Première salve pour les 20 ans du Main Square Festival

Placebo, Sam Smith, Avril Lavigne, ils seront à Arras pour les 20 ans du Main Square Festival entre les 4 et 7 juillet 2024! Ce mardi 11 décembre 2023, le Main Square Festival a enfin dévoilé une partie de sa programmation. Sans plus attendre, découvrez les artistes qui se produiront à la citadelle d’Arras pour les 20 ans du festival ! Les têtes d’affiche ! Pour ses 20 ans, le Main Square festival ne proposera pas 3 mais 4 jours de festivités. Et c’est le duo britannique Placebo qui fera à nouveau l’honneur de jouer à la Citadelle le 4 juillet 2024. En effet, le groupe faisait partie de la toute première programmation du festival. On salue donc le petit clin d’oeil ! À leurs côté se produira un artiste qui risque de rapporter de nombreuses entrées : Louis Tomlinson. Et oui, l’ancien membre de One Direction posera ses valises à la citadelle d’Arras le temps d’une soirée. À noter qu’une autre tête d’affiche semble encore se masquer derrière une multitude de X. On attend donc avec impatience de pouvoir découvrir qui se cache derrière ! Vendredi 5 juillet, on gardera une touche de rock avec Bring Me The Horizon en ajoutant une autre de rap avec la venue de Ninho. Pour le coup, nous sommes peu surpris puisque, en plus de faire revenir inlassablement les mêmes groupes touts les deux, trois ans, le festival programme de plus en plus de musiques urbaines. Le lendemain, nous sommes ravis de voir s’ajouter à la programmation Sam Smith ainsi que les mythiques Justice. Enfin deux pointures du rock clôtureront le festival : Lenny Kravitz et Avril Lavigne. L’un connaît le Main Square comme sa poche. L’autre, n’y a jamais mis les pieds et risque de raviver nos coeurs d’adolescents. Dans les deux cas, les deux vont nous faire danser et chanter à plein poumons ! https://www.youtube.com/watch?v=gPxE_E-gvG0 Les artistes internationaux Si vous nous suivez depuis un certain temps, vous savez combien nous sommes attachés aux artistes pop-rock. Malheureusement, en focalisant sa cible sur la jeunesse, le festival évolue pour proposer plus de musiques urbaines. Ce qui, on l’avoue, n’est pas franchement notre tasse de thé. L’an passé, nous avions été plus que déçu au premier coup d’oeil. Aujourd’hui, nous ne sommes pas sur un petit nuage, mais de nombreux noms nous donnent le sourire. À commencer par Nothing But Thieves. Découverts courant 2017, nous avions eu la chance d’assister à leur passage sur la Main Stage du festival à l’été 2018. Alors qu’ils n’apparaissaient à l’affiche d’aucun festivals français, nous espérions secrètement les revoir au Main Square. Ce qui sera chose faite car Dead Club City est l’un de nos albums phare cette année. Le rendez-vous est donc pris pour le vendredi 5 juillet où ils partageront l’affiche avec le groupe de metal-core français Landmvarks qu’on avait adoré en première partie de Sum 41 au Zénith de Lille. Par ailleurs, le roi de la transe, Armin Van Buuren vous permettra de danser jusqu’au bout de la nuit. Le lendemain, Against The Current seront à la citadelle d’Arras pour vous proposer leurs sons pop-rock. Et parce qu’on ne peut parler de rock sans penser à ses racines blues, le chanteur américain Christone « Kingfish » Ingram sera présent dimanche 7 juillet. Côté pop, la brésilienne Bianca Costa est à l’affiche du jeudi 4 juillet. Le même jour, on retrouvera Patrice et son « sweggae ». https://www.youtube.com/watch?v=AnA9jMaoPVU Les artistes français Parmi les artistes français programmés au Main Square Festival il y en a pour tous les goûts. De la pop en passant par l’électro, et bien sûr, le rap ! C’est d’ailleurs bien ce genre qui prime lorsque l’on parle d’artistes français. Tout au long des quatre jours de festivités, vous aurez donc la possibilité de voir sur scène : Zola, Luther, Josman, Alonzo et les régionaux Bekar. Un choix 100% masculin donc ! Côté musiques électroniques, les artistes français ne sont pas non plus en reste puisque des pointures seront présentes. À commencer par le rémois Vladimir Cauchemar. Vous pourrez également vous ambiancer aux sons des sets de Irène Drésel, Mosiman et bien sûr, The Blaze – que l’on avait découvert sur le festival-. Histoire d’un peu tout regrouper, le Main Square a convié à ses 20 ans un groupe que l’on a eu l’occasion de voir à de nombreuses reprises sur scène : Deluxe. Nul doute qu’ils vous feront danser et chanter au rythme de leurs titres oscillant entre hip-hop, soul, funk et jazz. Afin de les voir, il faudra se rendre sur le festival samedi 6 juillet. D’ailleurs, ce même jour, vous pourrez aller tendre une oreille au belge Pierre de Maere alias LA révélation francophone de l’année 2023 aux Victoires de la Musique. En parlant de révélation, Zaho de Sagazan sera quant à elle présente dimanche 7 juillet. On regrette cependant de ne pas voir figurer à l’affiche Jaïn qui avait réussi le pari d’ambiancer le festival en 2019. On aurait également pu s’attendre à d’autres grands artistes français pour dignement fêter les 20 ans du festival mais de Louise Attaque à Indochine en passant par Jean-Michel Jarre, aucun n’est présent sur l’affiche du Main Square Festival. https://www.youtube.com/watch?v=jzl3GQcVpZ4 Envie de fêter les 20 ans du Main Square Festival, la mise en vente aura lieu le 14 décembre à 10H ! RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Solidays 2024 : Découvrez les 1ers noms !

Sam Smith, Adèle Castillon et Louise Attaque parmi les premiers noms de l’édition 2024 de Solidays ! Après Rock en Seine, c’est au tour de Solidays d’annoncer les premiers noms de sa programmation 2024. Le festival qui se déroulera du 28 au 30 juin 2024 à l’hippodrome de Longchamp accueillera notamment Sam Smith. Sans plus attendre, voici les premiers noms ! Une programmation entre rap et électro En 2024, Solidays met l’accent sur le rap. Parmi les 13 noms révélés, pas moins de 5 sont issus de ce genre musical. D’ailleurs, le festival propose une large place au rap français. En effet, cette première annonce a dévoilé la présence de SDM, PLK, Zola ou encore Gazo & Tiakola. L’algérien Tif sera également de la partie. Solidays ne se moquent pas non plus des amateurs de musiques électroniques puisque le festival recevra ni plus ni moins Martin Garrix. Nul doute que le DJ néerlandais vous permettra de passer une bonne soirée au son de ses plus grands standards. Vous retrouverez aussi le DJ américain Diplo. Impossible que son nom ne vous dise rien au vue de ses nombreuses collaborations avec des artistes internationaux tels que : Madonna, Britney Spears, Snoop Dogg et même Soolking. Toujours côté musiques électronique, soyez prêts à vous déhancher au rythme des sets de Brutalismus 3000 et Trinix. https://www.youtube.com/watch?v=aDNRphs9MiY Et sinon ? Si vos goûts musicaux sont plus « classiques », pas d’inquiétudes. Solidays a également prévu à son affiche des artistes plus pop-rock. Comme nous vous l’annoncions en introduction, Sam Smith sera présent lors de l’édition 2024. On ne sait pas vous, mais on a déjà hâte de pouvoir reprendre avec lui les titres de son dernier album, Gloria (2023) et bien sûr son tube Stay with Me. Afin de l’accompagner, Solidays a joué la carte francophone. Le tout, sans se moquer de nous car Louise Attaque sera de la partie !  En revanche, pour le moment, le festival ne compte que deux artistes féminines à sa programmation : Pomme et Adèle Castillon. Enfin, trois avec Victoria Vassiliki  du duo Brutalismus 3000. On espère donc voir d’autres femmes à l’affiche pour la suite ! https://www.youtube.com/watch?v=3yXWSK7SkF0 La mise en vente des billets et pass aura lieu à compter du 7 décembre, 12h ! RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Rock En Seine : Les premiers noms sont là !

Massive Attack, The Kills, PJ Harvey, Måneskin,… Découvrez les artistes présents à l’édition 2024 de Rock En Seine. Mercredi 29 novembre, le festival parisien Rock En Seine a dévoilé les premiers noms de son affiche 2024. L’édition se déroulera du 22 au 25 août 2024 sur le domaine de Saint-Cloud. Sans plus tarder, découvrez le début de la programmation ! Jeu de piste en amont Quelques jours avant l’annonce officielle, Rock En Seine nous a proposé de nous prendre pour Sherlock Holmes. En effet, depuis un mois, le festival dissimule des indices dans ses posts. Nous avons donc enquêté de notre côté ! Afin de trouver quelques noms, il fallait notamment se pencher sur le contenu de certains t-shirt. Par ce biais, il était notamment possible de trouver Massive Attack, dont leur titre Teardrop était caché dans un QR code. On pouvait également retrouver l’inscription The Kills sur une photo des Nova Twins ou encore le logo de The Offspring dans le visuel proposant de partager la prog de nos rêves. Par ailleurs, Cyrielle a eu l’oeil en découvrant la signification de chiffres ajoutés à une photo représentant Uzi Freyja. Ces derniers n’étaient autre que les coordonnées de la ville d’origine de PJ Harvey. En regardant de plus près la bio du compte Twitter de Rock En Seine, on pouvait aussi lire : « Yeah, I done it before and I can do it some more » qui est une référence au titre culte de The Hives, Tick Tick Boom. Enfin, leur « il y a des souvenirs qui donnent le Smile » impliquait la présence du trio The Smile composé de Thom Yorke et Jonny Greenwood (Radiohead) ainsi que du batteur Tom Skinner. Le Rock véritablement de retour En 2024, vous aurez à nouveau droit à 4 jours de festivité au Domaine de Saint-Cloud. Et le moins que l’on puisse dire c’est que la première journée va démarrer sur les chapeaux de roues. En effet, ce sont deux bêtes de scènes qui se partagent l’affiche du jeudi 22 août : The Hives et Måneskin. Une nouvelle qui nous réjouit particulièrement !  Le samedi ne nous laisse pas non plus en reste. Pour cette troisième journée de festival, Rock en Seine recevra des pointures du rock. À commencer par The Offspring et Massive Attack. Seront également de la partie Blond Redhead et Inhaler – que nous avions découverts en première partie des Arctic Monkeys en mai dernier -. Cerise sur le gâteau, puisque leur Olympia est déjà complet, nous profiterons de The Kills sur le festival. Dimanche 25 août fera place à deux autres légendes : LCD Sound System et PJ Harvey. Graviterons autour d’eux The Smile, Róisín Murphy ainsi que la française Zaho de Sagazan. https://youtu.be/8XQYz7JKjWI?si=gNVs5-LDvR8F3vrR Un vendredi éclectique Histoire de nous donner un peu de répit, le vendredi 23 août propose un début de programmation éclectique. Au programme de cette journée, la néo-soul d’Olivia Dean ou encore la dance-funk de Jungle. Les deux étant britanniques, on admet être curieux de voir leurs performances respectives. Côté musique électroniques, vous pourrez danser au rythme des flamands Soulwax ou de Fred Again…! La mise en vente des billets aura lieu le 1er décembre à partir de 12H ! RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Louis Albi enchante La Bulle Café

Vendredi 10 novembre, Louis Albi était à La Bulle Café pour un concert aussi intimiste qu’énergique. Avant son passage par La Maroquinerie le 14 novembre 2023, Louis Albi s’est produit à La Bulle Café de Lille le 10 novembre. Retour sur la soirée ! De la Star Ac à la scène Un an plus tôt, nous découvrions Louis Albi à la Star Academy. Avec son effet madeleine de Proust, l’émission nous a surtout permis d’avoir un coup de coeur pour le jeune homme. Depuis, on sent combien Louis a évolué. De sa voix à sa prestation scénique, c’est un tout autre homme que celui découvert lors du premier prime. Aujourd’hui, il apparaît plus libéré. Fier de pouvoir monter sur une scène tant rêvée. Contrairement à Paris, Louis ne s’est pas produit à Lille dans une salle de concert à proprement parlé. En effet, il fallait se rendre à La Bulle Café afin de pouvoir profiter de sa venue. Un lieu convivial à deux pas du parc Jean-Baptiste Lebas où se produisent habituellement des groupes allant du rock au hip-hop. Mais ce soir-là, c’est de la pop que nous a proposé la salle. Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine Louis Albi, La Bulle Café, Lille | © Raine La Bulle Café en joie Il est aux alentours de 20h30 lorsque Louis Albi entre en scène. Malgré un léger couac technique d’entrée de jeu, le chanteur ne se dégonfle pas. Tout sourire, il s’excuse et, professionnel, reprend avec le premier titre de la soirée : Oiseau blessé. Le concert se poursuit avec Seul à deux ainsi que son premier single, Que tu te mentes. Comme vous vous en doutez sûrement, Pleurer de Joie a été interprété dans son entièreté. De quoi se faire un bon avis comparatif entre versions studios et live. Connaissant son envie de faire plaisir à ses fans, Louis nous a également concocté un medley reprenant quelques chansons interprétées lors de son passage à la Star Academy. À commencer par Même pas mal, titre composé par Slimane pour la finale de l’édition 2022. D’ailleurs, le public n’a pas hésité à reprendre les paroles. S’il a débuté ce medley avec le morceau qui a conclu son aventure, Louis a inclus celui par lequel tout à commencé : Je te promets (Johnny Hallyday). Un excellent choix si vous voulez notre avis. Puis, le chanteur enchaîne avec Un autre monde (Téléphone) et l’excellent Born This Way (Lady Gaga). Bientôt, la fin approche. Il faut dire qu’avec seulement 12 titres à son répertoire, le concert ne pouvait durer éternellement. Pourtant, nous sommes ravis de la tournure de la soirée. De part son énergie et sa bienveillance, Louis Albi transmet des émotions multiples. Et ce, bien que le son de la salle n’est pas rendu justice à son set. Pour l’avoir vu la semaine suivante à La Maroquinerie, on vous assure que Louis a davantage sa place dans une véritable salle de concert plutôt qu’un café / bar. Louis Albi et deux jeunes fans, La Bulle Café, Lille | © Raine Une dévotion pour ses fans Louis Albi a un profond respect pour ses fans, et c’est réciproque. Dès les premières secondes du show, quelqu’un scande un compliment au chanteur touché. Touché, il l’est également en entendant ses paroles reprises parmi les premiers rangs. D’ailleurs, avant même que le concert ne commence, nous avons pu constater que le public a bien révisé avant de venir à La Bulle Café. En effet, quelques uns fredonnaient l’air de diverses chansons, dont, Entre moi, entre nous. Durant le set, Louis nous a également surpris en demandant si quelqu’un connaissait les paroles de Mon Frère. Deux jeunes fans l’ont ainsi rejoint sur scène afin de passer un bon moment à ses côtés. Un moment qui restera gravé dans leurs mémoires, mais aussi dans les nôtres tant on pouvait sentir la bienveillance émanant du chanteur. Tout au long de la soirée, nous avons constaté qu’une véritable complicité s’est instaurée entre public et artiste, ce qui nous rappelle pourquoi nous aimons tant les petites salles. Complicité qui se poursuivra après le concert puisque Louis n’est pas du genre à laisser ses fans de côté. Ainsi, le chanteur s’est adonné à une longue séance de dédicaces. Autant dire que tout le monde a pu repartir avec son souvenir. Pour cela, on lui tire notre chapeau car rares sont les artistes à prendre autant de temps pour leurs fans. Et vous, avez-vous vu Louis Albi sur l’une de ses 4 dates ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

KO KO MO : Rock à l’état pur au Splendid

Le Need Some Mo Tour de KO KO MO s’est arrêté au Splendid de Lille le temps d’une soirée. Un concert qu’il ne fallait pas manquer ! Jeudi 2 novembre, KO KO MO s’est produit au Splendid de Lille. Une date en pleine tempête qui n’a pas empêché le duo de tout dévaster sur son passage. Retour sur une soirée entre rock et proximité avec le public ! Dynamite Shakers Afin d’assurer leurs premières parties, KO KO MO a fait appel à quatre vendéens : les Dynamite Shakers. En effet, après Angers et Nîmes, le quatuor s’est emparé de la scène lilloise. D’ailleurs, ne vous fiez surtout pas à leur jeune âge car ce groupe a énormément de potentiel. Musicalement, on adhère. Scéniquement, l’énergie est là. Supplément, on sent l’amitié qui lie le groupe, leur permettant d’offrir une belle prestation. On a notamment pu entendre leur dernier single sorti en octobre : The Bell Behind The Door. Pour ceux qui compterez (re)voir KO KO MO en France, sachez que Dynamite Shakers sera de la partie au Bikini (Toulouse) le 15 novembre ainsi qu’au Rocher de Palmer (Cenon) le 17 novembre. Le groupe sera également à la programmation des Transmusicales de Rennes le 7 décembre et participera aux Rockeurs ont du Coeur à Nantes le 16 décembre. Dynamite Shakers, Splendid (Lille) | ©Raine Photographie Dynamite Shakers, Splendid (Lille) | ©Raine Photographie Dynamite Shakers, Splendid (Lille) | ©Raine Photographie KO KO MO : du rock à l’état brut Après leur passage remarqué au Main Square Festival l’été dernier, nous avions hâte de retrouver KO KO MO sur scène. Et s’il a fait chaud… très chaud à Arras, ce 2 novembre, la chaleur était clairement à l’intérieur de la salle. Que voulez-vous, avec l’arrivée du duo nantais a suivi la tempête Ciaran. Un temps parfait pour un concert de rock si vous voulez notre avis. Car oui, KO KO MO dévaste tout sur leur passage grâce à leur énergie débordante. Derrière sa batterie, Kevin « K20 » Grosmolard transpire la joie de vivre. C’est d’ailleurs par lui que passe la majeure partie des interactions avec le public, Warren se concentrant davantage sur le chant tout en faisant le show. Une chose est sûre, on sent l’alchimie entre deux musiciens habités par un rock authentique. Une batterie, une guitare, nous n’avions besoin de rien de plus pour nous transpercer le coeur. Parmi les morceaux interprétés, on compte les excellents Non Essential Man, Need Some Mo en passant par So Down ou encore Technicolor Life. Au milieu de tout cela, Kevin nous offre un incroyable solo de batterie sur The Lemon Twins, encouragé par le public. Un set laissant un goût de reviens-y, on est gourmand ici ! Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine KO KO MO, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Une proximité incontestable avec le public Malgré les intempéries, la foule s’est déplacée en masse pour applaudir les deux nantais. D’ailleurs, s’il y a bien un terrain sur lequel KO KO MO n’a strictement rien à se reprocher, c’est bien sa proximité avec leur public. Le duo s’est même offert deux bains de foule au court de la soirée. La première, durant leur reprise de Personal Jesus (Depeche Mode) où Kevin n’hésitera pas à lâcher un « alors les vieux, ça va? » à destination des personnes assises dans les sièges derrières la console. Ce qui, on l’admet, nous a fait rire. La seconde, en conclusion du concert. Cette fois, c’est l’intimité qu’a cherché KO KO MO. À leur demande, un cercle se forme dans la fosse, les gens se baissent afin d’offrir une bonne visibilité à tous et les téléphones regagnent les poches. Une lumière à led descend alors entre eux, les éclairant tandis que Warren entame Show Must Go On (Queen). Bien sûr, il sera rejoint par l’entièreté de la salle qui n’a pas résisté à pousser la voix. On a également senti l’attachement profond du groupe pour le public lillois. D’abord en demandant qui était présent lors de leur passage au Splendid un an plus tôt. Puis, en mentionnant que s’ils devaient vivre ailleurs qu’à Nantes, ils choisiraient probablement Lille. Comme quoi, la chaleur du Nord est loin d’être un mythe ! En même temps, on les comprends. Nous non plus ne sommes pas originaires de la région et nous n’avons absolument aucune envie d’en partir. Ainsi, tous les éléments étaient réunis afin de passer une excellente soirée ! Et vous, étiez-vous de la partie pour KO KO MO ce 2 novembre au Splendid? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Interview : Louis Albi se livre avant sa tournée

« Je parle à toutes ces personnes qui se sentent un petit peu seules, différentes. Que ce soit pour leurs émotions, leur sexualité, ou plus globalement, l’ethnie, la religion. Je parle à tout le monde.«  Le 20 octobre 2023, Louis Albi a dévoilé son premier album, Pleurer de Joie. Avant son passage par La Bulle Café à Lille le 10 novembre prochain, nous avons eu l’occasion de nous entretenir avec lui. Un entretien particulièrement inspirant autour de son projet mais aussi un peu de culture. Pour toi, tout a changé très vite après la Star Academy. Y a-t-il eu une prise en charge après l’émission ou tu t’es retrouvé livré à toi-même ? (ce qui peut causer du stress) Louis : J’ai eu beaucoup de stress, parce qu’on a toujours peur de se tromper, de faire les mauvais choix. Après j’avais quand même un contact avec les équipes de casting qui nous ont suivi et un peu materné tout au long de l’aventure. Donc je savais que je pouvais avoir ce soutien là.  Même au niveau des professeurs, beaucoup ont continué à nous encadrer, nous aider un petit peu dans notre voie. Moi, j’avoue que j’ai mon avocate que j’avais pris avant l’aventure qui a continué, m’a aiguillé. Ensuite, Sony a pris le relais très très vite. De manière plus générale, aujourd’hui il est impossible de communiquer sans passer par les réseaux sociaux. Alors que beaucoup d’artistes ont des Community Manager pour les gérer, tu sembles t’en occuper toi-même. Est-ce une volonté de ta part? C’est une volonté de ma part parce que je trouve que c’est plus humain. Plus vivant. C’est plus moi, tout simplement. J’ai un projet qui est très personnel, donc ne pas se donner soi, ce serait un peu hypocrite je trouve (rires). Mais c’est du travail supplémentaire.  Après, j’ai aussi des gens chez Sony qui m’aident parfois pour les grosses grosses échéances à faire un petit planning ou à préparer certaines choses. Mais tout vient de moi parce que j’ai besoin de cette authenticité. De créer un lien sincère avec les gens. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Louis Albi (@albilouis) Si on ne se trompe pas, tu es le premier de la saison 2022 à sortir ton album. Comment as-tu géré cette pression? Y a pas eu de pression d’être le premier, parce que pour moi l’aventure était terminée. C’est juste que chacun fait ses projets. Prend le temps qu’il a besoin, etc… Après je vais pas mentir, j’ai eu vachement de déferlement de haine parce que j’étais le premier. Dans le sens où beaucoup de personnes, qui étaient dans la fanbase de la gagnante (Anisha, ndlr) par exemple, ou d’autres personnes, ne me trouvaient pas légitime de sortir mon projet en premier parce qu’ils ont du mal à comprendre que la compétition est terminée. J’ai fait mon aventure et maintenant je suis artiste en fait. Je suis artiste. J’ai mon propre projet. Donc c’est plus là où il y a eu un petit peu de mélancolie qui s’est installée face à la haine un peu gratuite des gens et leur incompréhension. Parce que à l’époque, il y avait une idée de priorité sur le premier. Aujourd’hui ça n’existe plus. Et heureusement parce qu’on fait des projets tellement différents et aussi enrichissant que ce serait dommage de se priver de travailler juste pour laisser certains en priorité. Je trouve que c’est bien cette idée qu’on prenne tous le temps qu’on veut, et voilà. En parlant de ton album, dès ton premier single, Que Tu te mentes, on a tout de suite compris que tu allais jouer la carte personnelle. C’est plutôt rare pour une première réalisation. Qu’est-ce qui t’as donné envie de te livrer de cette façon? Déjà mes idoles – enfin, mes idoles -, les personnes dont je respecte énormément le travail, c’est des gens qui partagent et qui ont peut-être presque une non pudeur sur leur vie perso. Et qui partagent beaucoup. C’est ça que je trouve hyper riche chez les artistes.  Donc je voulais en faire de même pendant l’aventure. J’étais quelqu’un mis à nu très facilement face aux autres, aux caméras, au public. Et je trouvais bien de rester dans cette continuité là. Continuer à leur donner de moi. Leur donner ma sincérité, mes larmes, mes rires, et qui je suis personnellement. On est aussi de grands hypersensibles. Du coup, Pleurer de joie nous a fait beaucoup de bien. Si tu l’as écrite comme pied-de-nez aux personnes critiquant ta sensibilité, est-ce que tu espères libérer, ne serait-ce qu’un peu, la parole sur ce sujet grâce à ce titre ? Totalement. Enfin, ce titre et l’album en général. Je parle à toutes ces personnes qui se sentent un petit peu seules, différentes. Que ce soit pour leurs émotions, leur sexualité, ou plus globalement, l’ethnie, la religion. Je parle à tout le monde. À tous les gens qui sont un petit peu à côté et pas forcément représentés ou écoutés. Et leur dire juste qu’ils ont le droit d’être comme ils sont. De vivre pleinement et d’être juste fier de qui ils sont. De leur chemin, leur travail. Donc oui, Pleurer de Joie, c’est une chanson sur l’hypersensibilité. Sur la mienne, mais aussi celle que des milliers, voir des millions de gens vivent au quotidien. Et voilà, c’est pour dédramatiser. Dire qu’on a le droit d’être comme on est. Et c’est beau. Nos larmes sont belles. Nos rires sont beaux. Toutes nos émotions doivent être vécues pleinement sans avoir besoin d’être bridées. https://www.youtube.com/watch?v=VZPZGOBNmZI D’ailleurs, tu joues la carte de la sensibilité à 100 % en incluant des mouchoirs dans l’un des packs proposés à la vente. Comment est venue cette idée très originale ? Alors l’idée vient pas de moi ! (rires) C’est mon avocate qui l’a eu. Et on trouvait ça vraiment super drôle.  Avec mon équipe on s’est dit, pourquoi pas jouer le truc à fond ? Du coup, je leur ai dit, on pourrait faire ça et c’est moi qui

Quatre dates pour Louis Albi

Un an après la Star Academy, Louis Albi part sur les routes pour quelques dates. Du 8 au 14 novembre, Louis Albi sillonnera la France et passera également à Bruxelles afin de donner vie à son premier album, Pleurer de Joie. Découvrez tout de suite les villes où aller le voir ! Qui est Louis Albi ? Si vous n’avez pas suivi le grand retour de l’émission culte de TF1, la Star Academy, le nom de Louis Albi ne vous dit probablement rien. Pour notre part, nous étions devant notre TV et on doit dire que le jeune homme nous a immédiatement tapé dans l’oeil. Sensible, drôle et surtout vrai. Voilà ce qui pourrait caractériser cet artiste. C’est également ce qui nous a donné envie de suivre son parcours après l’émission. D’ailleurs, son premier album, Pleurer de Joie est disponible depuis le 20 octobre dernier. Album dans lequel on retrouve des thématiques qui lui sont chères telles que : le harcèlement scolaire, l’homosexualité ou encore l’hypersensibilité. Le tout, évoqué d’une manière particulièrement solaire sur des rythmes pop.  https://www.youtube.com/watch?v=VZPZGOBNmZI Où voir Louis Albi en tournée ? Si comme nous vous avez la curiosité de découvrir Louis Albi en live, sachez qu’il débutera une mini tournée en novembre. Vous pourrez donc le retrouvez le 8 novembre à La Marquise (Lyon). Puis, le chanteur viendra se produire dans le Nord avec un passage par La Bulle Café (Lille) le 10 novembre. Le lendemain, Louis se produira en Belgique, et plus particulièrement du côté de Bruxelles au The Club du Cirque Royal. Enfin, cette mini tournée s’achèvera à Paris avec une date à La Maroquinerie le 14 novembre.   Bien que ces quatre dates se résument plutôt au nord de la France, nul doute que Louis sera de retour sur scène dans les mois à venir ! Évidemment, nous vous tiendrons au courant ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Louis Albi (@albilouis) Comptez-vous découvrir Louis Albi en live ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Shaka Ponk retourne le Zénith de Lille

Shaka Ponk a installé son Final Fucked Up Tour pour deux jours à Lille les 13 et 14 octobre 2023. Un dernier moment de communion entre le groupe et ses fans ! Vendredi 13 octobre, Shaka Ponk s’est produit au Zénith de Lille dans le cadre de leur Final Fucked Up Tour. Évidemment, nous ne pouvions manquer cet événement. La dernière tournée de Shaka Ponk Lors de l’annonce de leur nouvel album, sobrement intitulé Shaka Ponk, le groupe a troublé tout le monde. En effet, ils ne souhaitent plus faire de concerts. La raison ? L’écologie. Les tournées étant particulièrement gourmandes en énergie et polluantes, ils ont du faire un choix entre leurs vies professionnelles et leurs aspirations personnelles.  Après avoir pesé le pour et le contre, Sam et Frah ont expliqué qu’ils avaient davantage « envie d’être sur le terrain » afin d’agir sur la question du dérèglement climatique. Ainsi, après avoir fait leurs adieux à la scène, Shaka Ponk se concentrera sur The Freaks. Si vous n’en avait encore jamais entendu parlé, The Freaks est un collectif d’artistes et personnalités qui s’engagent écologiquement. On y retrouve notamment Matthieu Chedid, Zazie, Pomme, Mademoiselle K ou encore Juliette Binoche. The Last Internationale En guise d’ouverture, Shaka Ponk ne s’est pas moqué de nous. En effet, ce sont les américains The Last Internationale qui ont assuré le show. Un choix logique puisque depuis 2020, 3 membres de Shaka Ponk jouent pour eux. Mais pas ce soir. Ce soir ils ne sont que 3 sur scène. Delilah Paz au chant, Edgey Pires a la guitare et un batteur. On l’avoue, nous étions bien trop loin pour savoir s’il s’agissait ou non de Ion. Formé en 2008, le duo a commencé à avoir du succès en 2014. Ils ont notamment eu l’occasion de se produire en première partie de Robert Plant, The Who et plus récemment les Guns N’Roses. Delila et Edgey sont également reconnus pour leurs chansons abordant la politique et l’écologie. Deux thèmes chers à Shaka Ponk. Côté live, impossible d’être déçu. À peine en scène, Delila nous hypnotise par sa voix imprimée de soul. Musicalement, le duo possède tout ce qu’on aime dans le rock. Des gimmicks entraînants et des solos à ne plus savoir où donner de la tête. Pardonnez-nous de ne pas avoir retenus les titres des morceaux. On était tellement pris dans l’ambiance qu’on s’est uniquement focalisés sur la musique. Autre bon point, Delila n’a pas hésité à prendre un bain de foule et faire chanter le public dans son micro. C’est d’ailleurs quelque chose qui nous a marqué, la chanteuse n’hésitait pas une seule seconde à s’exprimer envers le publique soit en anglais soit dans un français très approximatif. The Last Internationale fut donc une très belle révélation pour nos oreilles et un nouveau groupe à ajouter à nos playlist ! https://www.youtube.com/watch?v=W2JRKNy3KY4 Shaka Ponk : Un début en acoustique C’est depuis le public que Shaka Ponk fait son entrée en scène. Une excellente initiative pour un groupe qui a toujours été proche de ses fans. Afin de conserver cette intimité, Sam, Frah et CC rejoignent une plateforme au fond de la fosse afin d’y débuter le concert d’une façon originale. Le tout, en escaladant les barrières de sécurité des gradins afin de gagner la fosse. Que voulez-vous, on est punk où on ne l’est pas. Contrairement à l’habitude où le groupe débute de façon énergique, ici, c’est l’acoustique qui a été préférée. Un bon moyen de débuter le show en douceur avant de ne plus pouvoir respirer. Ont été interprétés en acoustique I’m Picky, Run Run Run, Gung Ho ainsi qu’une reprise de House of The Rising Sun (Animals). Un set électrisant Une fois de retour sur la scène principale, Shaka Ponk ne nous laissera pas une minute de répit. À commencer par Je m’avance et son influence à la Noir Désir. On retrouve également Wanna Get Free, Twisted Mind, Sex Ball ou encore Circle Pit. Évidemment, puisqu’il était question de circle pit, Frah a de nouveau gagné la plateforme centrale afin que la fosse puisse tourner autour de lui. Le tout en demandant aux personnes fragiles et aux enfants de s’éloigner afin de ne pas se blesser. En parlant du public, Shaka Ponk en reste particulièrement proche. Après leur arrivée remarquée, Frah n’a pas hésité à faire monter une fan sur scène avant que le groupe n’entame leur reprise de Smell Like Teen Spirit (Nirvana). Un moment inoubliable pour elle puisque la jeune femme finira par s’offrir un joli slam sous le regard du chanteur. Parmi les titres de la setlist, Shaka Ponk n’a pas hésité à battre le fer. Notamment avec trois titre de leur dernier album : J’aime pas les gens, Tout le monde danse et 13000 heures. On espérait d’ailleurs avoir l’occasion d’entendre cette dernière en live puisqu’elle aborde le harcèlement scolaire. Le groupe n’a pas hésité non plus à déployer un drapeau LGBTQ+. Le tout couplé à des messages sur écrans poussant à « être qui ont est » vraiment ou « mourir en essayant de l’être ».  On retient aussi J’aime pas les gens ou Sam n’a pas hésité à allumer une cigarette sur scène dans le simple but de faire réagir le public. Shaka Ponk, Zénith de Lille | ©Raine Shaka Ponk au Zénith de Lille | ©Raine Shaka Ponk au Zénith de Lille le 13 octobre 2023 | ©Raine Samaha, Shaka Ponk au Zénith de Lille le 13 octobre 2023 | ©Raine Samaha, Shaka Ponk au Zénith de Lille | ©Raine Frah, Shaka Ponk au Zénith de Lille | ©Raine Un show très bien pensé Comme toujours Shaka Ponk ne déçoit pas visuellement. En guise de décor, des piles de livres s’imposent de chaque côté de la scène ainsi que sous les plateformes où jouent Steve (claviers) et CC (guitare) d’un côté, Mandris (basse) et Ion (batterie) de l’autre. Par ce choix on comprend une chose : instruisez-vous plutôt que de vous laisser manipuler par les gouvernements. En effet, durant Tout le monde danse, des images du gouvernement ont été projetées, provoquant une huée

Retour sur l’incroyable concert de Blanks

Le 19 septembre nous avons eu la chance d’assister au concert de Blanks qui se produisait pour la seconde fois à La Boule Noire. 3 ans que les fans de Blanks attendaient le groupe. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils n’ont pas été déçus. Retour sur ce concert exceptionnel qui a réjoui une foule en extase et en communion avec le chanteur. Jude Todd : une première partie qui met tout le monde d’accord ! Afin d’ouvrir les festivités c’est Jude Todd qui s’est lancé en première partie de Blanks. Ancien participant de The Voice, il interprète des chansons franco-anglaises aux airs pop folk. Les rythmes entraînants et la joie de Jude Todd (accompagné d’un batteur) ont directement ambiancé le public. Cela a donc donné le ton pour la suite.  Le public a tant apprécié les morceaux proposés que tout le monde a allumé les lumières des portables lors d’un titre. Ambiance intimiste garantie ! De plus, la foule s’est pris au jeu, chantant et les accompagnant avec leur cœur. D’ailleurs, à la fin du concert des roses ont été données au chanteur et son musicien. Indéniablement, Jude Todd est un artiste interprète complet à suivre de très près ! Judd Todd et son musicien en première partie de Blanks | © Mélanie Pierrat Qui est Blanks ? Le moment fatidique arrive : Simon de Wit, alias Blanks monte sur scène. Le grand néerlandais passe donc de YouTube à la scène. Et qu’il est bon dans les deux domaines ! Mais revenons d’abord sur ses prémices. Peut être que certains d’entre vous ne connaissent pas encore Blanks. Comme nous le mentionnions ci-dessus, le jeune homme n’a pas fait ses débuts sur scène mais sur Youtube. Sur sa chaine, on retrouve notamment des covers en tout genre. Par exemple, si Someone you loved (Lewis Capaldi) était de Blink 182. Ou encore si Another Love de Tom Odell était une chanson joyeuse au Ukulélé.  Par la suite, Blanks a créé ses premiers morceaux. Le tout, de manière participative. En effet, il laissait les gens voter via des sondages Instagram afin de déterminer les préférences de sa communauté. On découvre alors l’univers aux sonorités plus pop et entrainantes. Une pop un poil kitsch agrémentée de synthés. Un concert attendu Ā peine arrivé vêtu de la même tenue que celle qu’il porte sur l’affiche de sa tournée, soit, un costume et des converses, Blanks est acclamé par la foule. Il ne faudra d’ailleurs pas longtemps pour que tout le monde s’emballe sur chacun de ses titres. C’est ça quand on sait mettre l’ambiance !  D’ailleurs, il s’agit d’un concert « reporté » puisque le chanteur aurait du se produire à Paris il y a quelques années. Malheureusement, sa venue avait été compromise en raison du COVID. Public durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Public durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie PierratPublic durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Public durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Un artiste reconnaissant Tout le long du concert, Blanks interagit avec son public, ne cessant de répéter à quel point il est heureux et reconnaissant de faire ce concert. Les titres s’enchaînent et ne se ressemblent pas. Évidemment, le chanteur va jouer ses titres phares telles que la reprise de Better now (Post Malone), en passant par  I’m not scared anymore et bien sûr Breathe in breathe out où le public reprend les paroles. N’oublions pas de citer LE morceau avec lequel Banks s’est fait connaître au moment du confinement : Dance Alone. Un morceau participatif au rythme joyeux qui l’a propulsé sur le devant de la scène. Et, dans notre cas, nous a bercé durant le confinement. Le concert se passe comme une grosse soirée à la maison entouré de personnes bienveillantes et heureuses d’être là. Toutes profitent de chaque instant. Histoire de garder cette proximité, Blanks a également annoncé qu’il viendrait à la rencontre du public suite à son set. https://www.youtube.com/watch?v=Z4DEi1-t2sI Et vous, avez-vous découvert Blanks pendant le confinement ? MÉLANIE Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

L’Olympia sous le charme de Hozier

Hozier s’est produit dans un Olympia complet le 18 juillet ! Le 18 juillet 2023, nous avions rendez-vous à l’Olympia pour le concert tant attendu du grand et admirable Hozier. Retour sur ce formidable concert ! Une ouverture qui fait l’unanimité La soirée a commencé avec une jeune artiste américaine indépendante : Victoria Canal. Dès son arrivée seule sur scène avec sa guitare et son piano le public s’emporte et la soutien instantanément. Et ce, même durant les chansons « tristes ». Un fait qui a eu le don de faire rire l’artiste. Qu’importe son handicap physique – malformation de son bras droit de naissance -, Victoria Canal est une artiste complète qui risque d’aller loin. Ses chansons douces nous emmènent dans son univers qu’on adore immédiatement. Ce soir là, la chanteuse n’a cessé de répéter que le public de l’Olympia était l’un des meilleurs qu’elle ait eu. Elle a ajouté que c’est d’ailleurs pour ces moments qu’elle fait de la musique. La chanteuse nous a également glissé qu’elle aimait énormément le public de Hozier car « nous sommes tous gays » ! Un public qui la rend heureuse et reconnaissante. Elle nous as aussi fait la belle surprise de reprendre un titre de Phoebe Bridgers, Motion Sickness.  Autant dire que Victoria Canal nous a directement touché en plein cœur avec son entièreté et sa sincérité. Lors de cet événement, elle a annoncé qu’elle reviendrait à Paris pour sa première date en solo. On vous donne donc rendez-vous le 6 décembre au Pop up du Label. Victoria Canal, Olympia (Paris) | ©Mélanie Pierrat Un public à l’unisson Après s’être échauffé sur les chansons diffusées en attendant l’artiste – notamment Ho hey de The Lumineers – le public était plus que prêt à recevoir Hozier sur scène dignement ! Il est 21h lorsque Hozier et ses musicien.nes arrivent sur scène. L’Olympia est déjà tellement bruyant et heureux de le voir que le chanteur retire immédiatement ses oreillettes pour nous entendre de plus belle. Déchainé, c’est même de toute son âme que la foule a repris avec Hozier le premier titre du set : Eat Your Young. En parlant du public, nous lui tirons notre révérence. En effet, a de nombreuses reprises, Hozier a dû retirer ses oreillettes afin de l’entendre chanter. De Someone New à Would That I, la foule reprend les choeurs à pleins poumons. Sans compter les fans qui se sont déchaînés en rythme contre les barrières des premiers rangs.  Évidemment, lorsque les premières notes de Take me to Church ont résonné dans l’Olympia, le public s’est mis à hurler, chantant à tue-tête cette chanson devenue phare. Hozier en profite alors pour tendre son micro ou ramasser un drapeau LGBTQIA+ avant de l’accrocher délicatement au pied de son micro.  Aucun doute, en ce 18 juillet 2023, l’osmose entre Hozier et son public était bien présente. En plus de prendre les devants, le public se prêtera au jeu du chanteur à sa demande. Ainsi, l’Olympia reprendra une dernière fois Cherry Wine, accompagnant Hozier, seul à la guitare. Hozier à l’Olympia (Paris) | © Mélanie Pierrat Un concert incroyable Chaque secondes et chansons qui passent, la voix de Hozier nous fait vibrer. Tout ceci est notamment possible grâce à ses musicien.nes. Car sur scène, le chanteur est entouré de huit musiciens, dont quatre femmes. Et ça : on adore.  D’ailleurs, Hozier a insisté pour tous nous les présenter un par un. Le chanteur a également ajouté que tous ses musicien.nes sont des artistes indépendants. Comprenez donc qu’il enjoint à les soutenir dans leurs projets personnels. Toujours modeste, Hozier n’a pas hésité à inviter Victoria Canal à le rejoindre sur scène. Ainsi, ils ont interprété ensemble la ballade Like Real People Do. Hozier surprend également avec De Selby Pt. 1&2 qu’il n’avait joué en live qu’une fois auparavant. Hozier à l’Olympia (Paris) | © Mélanie Pierrat Bonne nouvelle, Hozier sera de retour à Paris le 29 novembre 2023. Cette fois-ci, au Zénith ! Serez-vous de la partie ? MÉLANIE Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin