[ANNULÉ] Main Square Festival 2020 : Les premiers noms !

Quelques semaines avant noël, le Main Square Festival 2020 dévoile ses 13 premiers noms et la date de mise en vente de ses billets ! Comme l’année dernière le Main Square Festival 2020 lève le voile sur ses 13 premiers noms à travers une projection sur le beffroi de la ville d’Arras. Une nouvelle édition programmée entre les 3-4 et 5 juillet 2020 ! Un vendredi pop-rock Dès le vendredi 3 juillet, le Main Square 2020 nous offre une vague pop-rock avec Sting et LP. À noter que le premier était déjà venu chanter les standards de The Police ainsi que ses titres solos lors de l’édition 2013. Autant vous dire qu’on a déjà hâte d’y être afin de reprendre en coeur Roxanne ou encore Every Breath You Take. Quant à l’auteure-compositrice LP, on est curieuses de découvrir sur scène celle qui a composé pour Mylène Farmer, Rihanna, Christina Aguilera, Cher, ou encore, Leona Lewis. La house sera également de la partie avec le DJ Alan Walker, anciennement connu sous le nom de DJ Walkzz. Un samedi éclectique  Le samedi 4 juillet, rap, pop et rock s’entremêleront à la programmation. Les plus jeunes seront ainsi ravis de retrouver à l’affiche du Main Square 2020 Therapie Taxi, Vald ou encore Koba Led. De notre côté, notre âme d’adolescent s’est éveillée avec l’annonce de la présence des Black Eyed Peas. Si le groupe était venu en 2010 avec David Guetta, c’est sans Fergie qu’ils reprendront possession de l’une des scènes du festival. Très attendus également The Pixies dont le Where is my Mine trotte souvent dans nos têtes. Quant à -M- alias Matthieu Chedid, le chanteur français devient abonné au Main Square avec une quatrième programmation depuis 2009. Le Main Square 2020 s’offre un tour du monde le 5 juillet Pour clore ses trois jours, la citadelle d’Arras s’offre Twenty One Pilots pour une date unique en France. Le retour du duo américain venu en 2014 était d’ailleurs espéré par leurs fans depuis plusieurs années. Après The Police et The Pixies, l’édition 2020 compte combler les nostalgiques de Supertramp. En effet, Roger Hodgson viendra interpréter les plus grands standards du groupe. Seront aussi de la partie l’australienne Tones & I ainsi que les rappeurs belges Caballero & Jeanjass. La mise en vente des billets débutera le mardi 26 novembre 2019 à 10h !

Main Square Festival : le recap

Quelques jours avant le début des festivités, découvrez ce que vous réserve la 15e édition du Main Square Festival d’Arras.

Festival Séries Mania : L’édition 2019 se dévoile

Évènement de la région Hauts-de-France, le Festival Séries Mania a dévoilé sa programmation ! Du 22 au 30 mars 2019, le Festival Séries Mania investira Lille pour la deuxième année consécutive. Découvrez les séries en compétition pour cette seconde édition dans le Nord ainsi que les membres du jury International. Un jury international à dominance féminine Pour son édition 2019, le Festival Séries Mania met les femmes à l’honneur au sein même de son jury international. Cette année, la compétition officielle sera présidée par la productrice, scénariste et réalisatrice américaine Marti Noxon (To the Bone – Buffy contre les vampires). L’entoureront Julianna Margulies (Urgences – The Good Wife), Audrey Fleurot (Kaamelott – Engrenages) et Delphine de Vigan (No et moi – D’après une histoire vraie). Deux hommes seront aussi de la partie : les réalisateurs Thomas Lilti (Hippocrate – Première Année) et Podz (Minuit – Xanadu). La compétition française sera quant à elle supervisée par un jury de presse internationale. Pour le composer : Stefania Carini (Italie), Stuart Heritage (UK), Lola Lemaigre (Belgique) Henrik Palle (Danemark) et Claudia Tieschky (Allemagne). La compétition officielle Cette année, la compétition officielle sera l’occasion de présenter dix séries inédites en avant première mondiale. Parmi elles, Chambers, la nouvelle série américaine mettant en scène Uma Thurman dans le rôle titre. Jack Thorne sera aussi de retour. Après Kiri, l’an passé, le britannique revient avec une co-scénarisation sur The Virtues dont la musique est signée PJ Harvey. Series Mania sera aussi l’occasion de découvrir la série franco-allemande Eden avec Sylvie Testud. Quant à leurs concurrents il s’agit de : Baghdad Central (RU), Chimerica (RU), Identification (Russie), Just For Today (Israël), Lambs of God (Australie), Mytho (France) et Twin (Norvège). La compétition française Côté compétition française, La dernière vague (Rodolphe Tissot) a retenu notre attention. Située dans les Landes, cette série met en scène une compétition de surf. Jusque là, rien de bien original, si ce n’est que les surfeurs vont disparaître, puis, réapparaître de longues heures plus tard. La raison ? Une vague provenant d’un arcus (nuage). On ne sait pas vous, mais nous, ça nous intrigue ! On a tout autant envie de jeter un oeil à la dystopie de Julius Berg : Osmosis. À l’heure où même l’amour est trouvable sur le net, Osmosis nous a aussi sauté aux yeux. Dans cette dystopie signée Julius Berg, l’application Osmosis repousse les frontières de l’inimaginable. Son objectif ? Trouver l’âme soeur – pour la vie – grâce à des microrobots implantés dans le cerveau de chaque utilisateur.  Intrigant n’est-ce pas ? Seront aussi en compétition : Double Je (Laurent Dussaux), Le Grand Bazar (Baya Kasmi), Soupçons (Lionel Bailliu) et Une île (Julien Trousselier). Les formats courts Le Festival Séries Mania est aussi l’occasion de récompenser les formats courts. Pour l’occasion, dix séries en provenance du monde entier seront projetées. À terme, une seule obtiendra une récompense. D’ailleurs, si vous aimez Stephen Frears (Les Liaisons Dangereuses), vous pourrez découvrir sa nouvelle réalisation qui met en scène Rosamund Pike (Gone Girl) et Chris O’Dowd (Good Morning England) : State of the Union. Zérostérone, réalisée par Nadja Anane et produite par La Dame de Coeur représentera quant à elle la France. Lors des séances de projection, vous pourrez aussi regarder People Talking (Espagne), Rasbhari (Inde), M (Argentine), Hell is Other People (Danemark), Germain s’éteint (Canada), Fourchette (Canada), Drive (Singapour) et Break up (France). Le panorama international À l’issu du visionnage, un jury entièrement constitué d’étudiants remettra le Prix des Étudiants de la Meilleure Série. Au total, quinze séries présentées en avant première française, européenne, voire mondiale constituent ce panorama international. Parmi elles, 8 Days. Une série qui suit une famille berlinoise tentant de survivre au chaos. La raison ? Une météorite va s’écraser sur le centre de l’Europe. Cry a tout autant piqué notre attention. En effet, cette production anglo-australienne met en scène un couple au coeur d’une enquête suite à la disparition de leur enfant. Évidemment, la presse va s’emparer de l’affaire. Notre amour pour les pleines écossaises nous donne aussi envie de nous attarder sur Curfew. Oscillant entre Angleterre et Écosse, la série se déroule sur fond de régime totalitaire et de course automobile. Au casting : Sean Bean (The Frankenstein Chronicles), Phoebe Fox (Eye in the sky), Adrian Lester (Primary Colors), Billy Zane (Titanic) ainsi que l’admirable Adrian Brody (The Singing Detective). Quant à la musique elle est signé par nul autre que Magnus Fiennes (Chromophobia). Enfin nous ne pouvions passer à côté d’une autre série anglaise : Flack. Portée par Anna Paquin (Margaret), l’histoire nous porte au sein d’une agence de relations publiques dans laquelle elle excelle alors que sa vie personnelle est un véritable fiasco ! Complètent cette compétition : Asylum City (Israël), Blackout (Russie), Exit (Norvège), Les Misérables (Royaume-Uni), Monzon (Argentine), Motherfatherson (Royaume-Uni), Pros and Cons (Danemark), Success (Croatie), Folklore (A Mother’s love, Nobody, Tatami), The Guest (Corée du Sud) et Hierro (Franco-espagnole). Un petit nouveau : Le Prix Vidocq En 2019, une nouvelle récompense voit le jour : le Prix Vidocq. Tout comme le Prix du Quai des Orfèvres en littérature, le Prix Vidocq récompensera le 29 mars prochain la meilleure série policière française. Évidemment, le trophée représentera la canne emblématique de Vidocq mais nous n’avons encore aucune information sur les séries nommées. Afin de décerner ce prix, le festival a fait appel à des professionnels de la sécurité intérieure. À sa présidence, la grande figure de la police nationale : Mme Mireille Ballestrazzi. Elle sera entourée d’un jury à dominance féminine constitué de Mme Cécile Dindar – secrétaire générale pour les affaires régionales auprès du préfet de la région Hauts-de-France -, de Mme Dominique Buffin – officier de police affectée au ministère de la Culture -, de Madame Blandine Clerc – commissaire de police -, de M. Michel Lalande – préfet de la région Hauts-de-France -, de M. Marc Drouet – directeur régional des affaires culturelles des Hauts-de-France – et de M. Christian Belpaire – commandant divisionnaire fonctionnel -. Comme les années précédentes, le public sera également invité à donner son avis sur les projections afin de discerner le Prix du Public. À noter que la Cérémonie d’ouverture sera présentée par Frédérique Bel (La Mante

Nos Bandes-Annonces de la Semaine #5

De Colette à Destroyer en passant par Au bout des doigts. Découvrez nos bandes-annonces de la semaine #5 !  Bienvenue dans nos bandes-annonces de la semaine #5 ! Aujourd’hui, on vous parle de recherche identitaire, de l’écrivaine Colette mais aussi d’une Nicole Kidman complètement métamorphosée. Au bout des doigts Parce qu’on apprécie les films autour de la musique, débutons nos bandes-annonces de la semaine avec le troisième long métrage de Ludovic Bernard. Cette fois-ci, il s’agit d’un jeune virtuose, Mathieu Malinski (Jules Benchetrit) n’osant afficher son talent car vivant en banlieue. Après une arrestation, il sera tiré de prison par le directeur du Conservatoire National Supérieur de Musique, Pierre Geitner (Lambert Wilson) et prendra des cours avec la Comtesse interprétée par Kristin Scott Thomas. Un synopsis qui nous a immédiatement fait penser à un Quatre Minutes moderne et sans contraintes. En effet, là où la jeune femme jouait les mains menottées dans le dos lors d’un concours, Mathieu Malinski sera libre. Font également partis du casting le chanteur Michel Jonasz et la jeune Karidja Touré qui avait été révélée grâce au Bande de Filles de Céline Sciamma. EN SALLE LE 26 DÉCEMBRE Destroyer  Cette semaine, impossible de passer à côté de la bande-annonce de Destroyer. On y découvre Erin Bell, une détective du LAPD autrefois infiltrée dans un gang du désert californien. Fait qui n’a pas était sans conséquences. Interprétée par Nicole Kidman – dont certains pressentent déjà le meilleur rôle de sa carrière –, Erin Bell va devoir fouiller dans le passer pour se défaire de ses démons. Autant dire qu’on espère pouvoir assister à une séance de ce thriller policier signé Karyn Kusama (The Invitation). Mais pour cela il nous faudra attendre, puisque si les États-Unis pourront s’en satisfaire dès le 25 décembre, ce n’est pas notre cas. PAS DE SORTIE FRANÇAISE Colette Dans ce nouveau biopic autour de Colette, Wash Westmoreland – qui a coécrit le scénario avec son compagnon Richard Glatzer, décédé en mars 2015 – va nous plonger dans la vie littéraire et sentimentale de l’écrivaine qui a brisé bien des tabous. Afin de l’incarner à l’écran c’est Keira Knightley (Domino, Star Wars : La Menace Fantôme) qui lui prêtera ses traits. Elle y retrouvera Dominic West (300, Star Wars : La Menace Fantôme) qui interprètera son mari, l’usurpateur Willy. Présenté en première mondiale au Festival du film de Sundance le 20 janvier 2018, il est sorti aux Etats-Unis depuis le 21 Septembre 2018 où il est plutôt bien reçu par la critique. Ici, Mars Films nous livre une bande-annonce pleine de force et de conviction. On peut vous dire qu’on a hâte de voir Keira Knightley dans ce grand rôle ! EN SALLE LE 16 JANVIER 2019… Mid90s Présenté au Festival International du Film de Toronto le 9 septembre dernier, Mid90s, est le premier long métrage de Jonah Hill (Maniac, Moneyball). Dans cette comédie dramatique le spectateur suit le quotidien d’un jeune garçon de 13 ans dans le Los Angeles du milieu des années 90. En pleine recherche identitaire Stevie (Sunny Suljic) va se lier d’amitié avec un groupe de skater allant ainsi à l’encontre des conseils de son grand frère Ian (Lucas Hedges). Entre violence et gamineries, le dur apprentissage de la vie ne fait que commencer pour Stevie. Une histoire qui n’est pas sans nous rappeler The Smell Of Us ou Ken Park de Larry Clark. Sorti aux Etats-Unis le 19 octobre 2018, il n’y a, hélas, pour l’instant aucune date de prévue pour la France. PAS DE SORTIE FRANÇAISE https://youtu.be/roOXX9yX0nQ Et vous, quelles bandes-annonces vous ont fait vibrer ?

Main Square Festival : l’édition 2018 a ensoleillé les coeurs

Queens of the Stone Age, Liam Gallagher, Depeche Mode, Jamiroquai, Orelsan. Ils étaient tous au Main Square Festival entre les 6 et 8 juillet ! Sous un soleil de plomb, la 14e édition du Main Square Festival a rassemblé toutes les générations pour trois jours de fête. Retour sur notre week-end arrageois ! Main Square 2018 : un festival écologique Outre les éco-cup disponibles sur tous les festivals, le Main Square se veut plus écologique. Entre un bar à vins et petites cabanes – où il était possible de danser au rythme de plusieurs DJ -, la citadelle d’Arras a vu fleurir le bois en ses lieux. L’espace VIP s’est lui aussi paré de décors en bois allant des assises aux tables en passant par des coussins en matériaux recyclés. Même le café respectait cette volonté puisque Café Royal offre une « volonté de respect de l’homme et de la nature ». Côté merchandising, le festival a fait appel à Westford Mill afin de créer des sacs éthiques et écologiques. Un petit geste qui fait plaisir et que l’on approuve entièrement. Une édition entre musique et football  Vendredi 6 juillet, match de l’équipe de France oblige, une vague de maillots bleu a déferlé sur le Main Square Festival. Évidement, pour les accompagner des chants ont résonné dans l’enceinte de la citadelle. On a donc pu entendre à plusieurs reprises La Marseillaise ou des « On est en demis ». C’était sans compter sur nos amis belges, eux aussi toujours en compétition qui ont apporté leur gaieté. Sur scène, le football était aussi présent. Affublé d’un maillot à l’effigie de la Belgique, le rappeur Rome Elvis a tenu a informer le public du premier but de son pays. Le lendemain, Liam Gallagher, fervent supporter de Manchester City, a quant à lui souhaité bonne chance à la France dans la compétition et salué la prestation de l’équipe nationale anglaise en leur dédiant un titre. Comme quoi, le week-end dernier, il n’était pas nécessaire de faire un choix entre Main Square Festival et football !  Les incontournables  Comme tous festivaliers, il y a ces groupes que l’on découvre au gré de nos envies et ceux que l’on attend avec impatience. Queens of the Stone Age en faisait parti. On s’est donc dandinées sur No One Knows, Smooth Sailing, le single The Way You Use to Do et l’incontournable A Song for the Dead. Si le public attendait du OASIS, Liam Gallagher en a servi entre deux titres de son album As You Were. De Rock’n’Roll Star à Morning Glory en passant par Supersonic, Some Might Say et Live Forever, les fans ont eu de quoi se ravir. Le classique Wonderwall n’a pas non plus été oublié et immédiatement repris par la foule. On ne va pas vous le cacher, même si la setlist de Depeche Mode manquait d’un South My Soul, on apprécie toujours les petits déhanchés de Dave Gahan. Le chanteur a d’ailleurs laissé place à Martin Gore pour l’interprétation de Somebody. Évidemment, le Main Square a dansé sur les intemporels Personal Jesus, Enjoy The Silence et Just Can’t Get Enough. Dimanche, bon nombre de nostalgiques du rap français des 90’s ont dansé et fredonné les refrains de ces morceaux qui bercent encore les générations avec IAM avant d’apprécier le funk des anglais Jamiroquai. En clôture, Orelsan a immédiatement emporté la foule avec son titre Basique. Ils ne nous ont pas déçu ! Drapeau rastafari flottant dans les airs, Damian « Jr. Gong » Marley nous a offert un voyage d’une heure. Oscillant entre rap, hip-hop et reggae, ses morceaux n’ont rien à envier à ceux de son père, alias l’iconique Bob Marley. On valide d’ailleurs son discours sur la marijuana et son usage médicinale. Un morceau, c’est ce qu’il leur aura fallut à Courteeners pour nous faire traverser la Manche. Malgré peu d’échange avec un public statique, les mancuniens ont donné le ton de la journée avec un indie rock dansant. Lors de l’annonce de la programmation, nous avions déclaré notre amour pour Nothing But Thieves. Dimanche après-midi, on a vu la poussière décoller du sol au rythme du gimmick survolté de Live Like Animals. On a aussi été agréablement surprises par leur reprise d’Immigrant Song (Led Zeppelin). Main Square Festival 2018 : Nos coups de coeur  En tant qu’amatrices de rock, on a littéralement été hypnotisées par la performance des Black Foxxes. Les morceaux prennent aux tripes alors que la voix du chanteur, Mark Holley, nous fait tantôt penser à Asaf Avidan, tantôt à Thom York (Radiohead). Inconnu au bataillon avant leur passage sur la Green Room, The Hunna nous a charmé. Dans la même veine que Nothing But Thieves, ils débordent d’une telle énergie que le public ne peut que les suivre. Appréciable aussi, la prestation des Okay Monday que l’on manquait sans cesse ces derniers mois. On a d’ailleurs adoré leur reprise de Like A Virgin (Madonna). Dans un tout autre registre, le belge Loïc Nottet nous a surprises avec un spectacle sans fioritures équivalant bien celui d’une SIA ou d’un Justin Timberlake. Chanteur et danseur, sa bonne humeur s’est répercutée sur toute la Main Stage. Même si l’on est pas fan absolu de ce qu’il produit, son show nous a donc bluffé. Et vous, comment avez-vous trouvé cette 14e édition du Main Square Festival ?

Download Festival : Foo Fighters, The Hives et The Noface ont fait le show

Dimanche 17 juin 2018, le Download Festival de Brétigny-sur-Orge accueillait les Foo Fighters, The Hives ou encore THE NOFACE.  Généreux, le Download Festival a compensé son impossibilité à nous accréditer en nous invitant sur le site de la base aérienne de Brétigny-sur-Orge. Au programme : THE NOFACE, The Last Internationale, Frank Carter and The Rattlesnakes, The Hives et les Foo Fighters. Retour sur une journée que nous ne sommes pas prêtes d’oublier ! THE NOFACE : Une femme prend le contrôle de la Main Stage Parce que le Download Festival programme aussi des femmes, on avait hâte de retrouver Oma Jali avec THE NOFACE. Si nous avons été contraintes de manquer le début de leur set -merci les grèves-, on peut vous garantir que le groupe se faisait entendre de loin. Très loin même puisque la chanteuse était bien décidée à réveiller tout le camping. Accompagnée de ses quatre musiciens masqués, la lionne a sorti les griffes, sautant de part et d’autre de la scène. Ce qu’elle veut, Oma l’obtient, les festivaliers formant à sa demande le premier circle pit de la journée. Du single I Am Over You à Transe en passant par Mermaid Chant, THE NOFACE ont fait danser la Main Stage 1 et créer la première bonne surprise de la journée pour les spectateurs ne les connaissant pas encore. The Last Internationale : A l’assaut du Download À l’autre bout du festival, une autre femme a fait le show : Delila Paz. Chanteuse et bassiste de The Last Internationale, elle a su intriguer la foule réunie face à la Spitfire Stage. Peu connus en France, le groupe new yorkais officie pourtant depuis dix ans à travers le monde avec ses performances live et leur textes engagés. Courant 2015, ils ont notamment fait la première partie des légendaires The Who lors de leur tournée européenne The Who Hits 50. Pour leur troisième passage dans l’hexagone, le duo a offert les prestations de Wanted Man, à Hard Times, en passant par Hit ‘Em With Your Blues, Killing Fields, 1968, ou encore Liberty and the Pursuit of Indian Blood a un public alerte et réactif. Frank Carter & The Rattlesnakes : une prestation parfaite Autre groupe à la notoriété montante, Frank Carter & The Rattlesnakes n’a pas déçu. Découvert l’an dernier au Main Square Festival d’Arras, les anglais ont fait le job en proposant un set enflammé. Charismatique, le chanteur n’a eu aucun mal à fédérer la foule qui a dansé au gré des rythmes furibonds. De Juggernaut à I Hate You en passant par Vampires ou encore Snake Eyes, les britanniques ont su faire briller la Main Stage autant que le soleil cet après-midi là ! THE HIVES : Inépuisables suédois Après avoir flâné de-ci de-là dans tout le festival, refait notre garde robe et retrouvé des amis, c’est encore une fois la programmation de la Main Stage 1 qui nous a attiré. Avec le soleil au rendez-vous, on a donc posé nos fesses dans l’herbe fraiche et profité du show proposé par les suédois de The Hives. Des années que nous ne les avions pas vu sur scène, et c’est comme si on s’était quitté la veille. Toujours aussi enjoué, Pelle Almqvist s’amuse avec son public, allant jusqu’à monter sur les épaules d’un festivalier afin qu’il le porte dans la foule. Même les membres des Foo Fighters n’ont pas résisté à la tentation du phénomène. Bien sûr, même si on avoue ne pas avoir tendue une oreille à leur dernier opus, le plaisir de fredonner Hate You Say I Told You So ou Tick Tick Boom reste. Les Foo Fighters nous laissent sans voix  Un peu moins d’un an après leur passage à l’Accorhotels Arena, les Foo Fighters ont investi la Main Stage 1 du Download Festival avec un de leur titre phare : All My Life. De quoi mettre en jambe un public ravi de retrouver les américains qui se font si rares en France. S’enchaîneront alors morceaux du dernier album (Concrete and Gold) et plus « old school » tels que The Pretender, Monkey Wrench, Breakout ou encore Everlong. Seul bémol, des ponts musicaux, qui, raccourcis, auraient pu permettre l’ajout d’un ou deux morceaux supplémentaires. Mais nous ne leur en tiendrons pas rigueur puisqu’ils sont liés aux problèmes de voix de Dave Grohl datant du festival Rock Am Ring (Allemagne) début juin. Appréciable également, la présence de trois choristes qui ont mis en valeur les choeurs quasi omniprésent sur les titres de Concrete and Gold. Mis en avant à deux reprises, Taylor Hawkins, perché en hauteur, a quant à lui interprété Sunday Rain derrière sa batterie avant d’échanger sa place avec Dave Grohl pour une reprise de Under Pressure. À cette occasion, il a été rejoint par Luke Spiller (The Struts), offrant un duo digne de l’original. Après un tel dimanche, on a déjà hâte d’être à la prochaine édition pour savoir ce que nous réserve le Download Festival ! Et vous, quels ont été vos coups de coeur ?

Réalisez des affiches pour le concours du Main Square Festival

Jusqu’au 4 juin 2018, gagnez vos places en participant au concours du Main Square Festival. À la clé, un affichage de vos oeuvres et des places pour la 14e édition. Cette année, le Main Square Festival a mis les petits plats dans les grands en lançant un concours particulier. Vous avez l’âme créative et pas encore vos places pour la quatorzième édition ? Cette article est définitivement pour vous ! En quoi consiste le concours ? Votre mission, si vous l’acceptez : créer une affiche de votre artiste ou groupe favori. Ouvert à tous, ce concours tient avant tout à mettre vos talents graphiques en avant. Mais attention, interdiction de flâner sur Google Images pour vous en approprier le contenu. Oui oui, on vous a vu venir bande de petits tricheurs ! Vous l’aurez compris, si avec ce concours, le Main Square désire se « marrer, rêver et vibrez », il vous faudra faire preuve d’originalité. Attention, pour que votre participation soit prise en compte il vous faudra obligatoirement inclure le logo du festival ainsi que l’url du site officiel. Si tu ne la connais pas encore par coeur, la voici : www.mainsquarefestival.fr. Le Main Square invite aussi « les plus téméraires ou inspirés » d’entre vous à jouer avec leur logo. Afin qu’il s’intègre au mieux dans votre création, il vous est donc permis de le retravailler ou le modifier. Un affichage à Arras et des places à gagner Les participants au concours du Main Square Festival vont être triplement gâtés. Vos oeuvres seront exposées à la Citadelle et dans le centre ville d’Arras durant la semaine du festival. Si vous faites partis des heureux gagnants, vous remporterez également vos entrées pour le Main Square. Et, le meilleur pour la fin, l’artiste que vous aurez choisi recevra un exemplaire de votre affiche. Rien que pour frimer devant vos amis, cela vos le coup, non ? Comment participer ? Pour ce concours, vous devrez créer une affiche d’un format de 118 x 175 cm (format visible 116 x 170cm) avec 5mm de fond perdu, une résolution de 300dpi et un espace colorimétrique en CMJN. Quant aux formats, sont acceptés : .pdf, .jpg, .eps ou .ai vectorisé.. Vous pouvez également télécharger le pack contenant le logo ainsi que le gabarit (format ai et psd) juste ici ! On vous a perdu avec les termes techniques ? La suite est beaucoup plus simple ! Il vous suffit d’envoyer vos plus belles oeuvres d’art avant le lundi 4 Juin 2018, 23h59 à gr******@****************al.fr. Lors de l’envoi, n’oubliez pas de préciser vos coordonnées (nom, prénom, n° de téléphone et adresse mail). Venez découvrir quels groupes | artistes se produiront au Main Square Festival !

Retour sur la programmation du Download Festival !

Dans un mois tout pile, le Download Festival s’installera une nouvelle fois sur la base aérienne de Brétigny-sur-Orge. Que voir durant ces quatre jours de festivité ? La troisième édition du Download Festival se tiendra du 15 au 18 juin à Brétigny-sur-Orge, en région parisienne. Guns N’ Roses, Ozzy Osbourne, Foo Fighters. Quels sont les artistes à ne pas manquer ? Quels groupes vous attendent sur la Main Stage ? Cette année, ce ne sont pas trois, mais quatre jours de festivité que vous offre le Download Festival. Vous voulez connaître les successeurs de Linkin Park, System of a Down et Green Day ? C’est parti ! Qu’importe votre décennie de prédilection, la Main Stage gâte les festivaliers avec la programmation en tête d’affiche de Ozzy Osbourne (vendredi), Marilyn Manson (samedi), et des Foo Fighters le dimanche. Cette journée devrait d’ailleurs rassembler des amateurs de rock plus « populaire » puisque la Main Stage accueillera The Hives, Frank Carter & The Rattlesnkes, Wolf Alice et THE NOFACE. La clôture du festival a quant à elle été confiée aux mythiques Guns N’ Roses le lundi. Si vous êtes les heureux détenteurs d’un pass quatre jours, vous pourrez également y retrouver Billy Talent, Powerwolf, Avatar, Crossfaith, Volbeat et même Jonathan Davis. Et parce qu’une Main Stage ne suffit à personne, le Download vous proposera une Main Stage 2. Sur scène The Offspring, NOFX ou encore Alcest le samedi 16 juin. Le lendemain, se sont Mass Hysteria, Dead Cross, Royal Republic et même The Struts – dont on avait adoré une précédente prestation au Main Square – qui prendront la relève. Download Festival : de la musique jusqu’au camping !  Du 14 au 18 juin, le camping du Download Festival sera lui aussi animé en musique grâce à la venue de plusieurs groupes sur la Firefly Stage. Dès le jeudi soir, les premiers arrivés pourront donc profiter de The Experimental et Tropic Blues Band. Le lendemain, se seront Hangman’s Chair, Peter Alexander Band, Merge et Laura Cox Band qui prendront la relève avant de laisser place à Galactic Empire, Cemican, Bad Cop Bad Cop et Jean Jean le samedi. Les festivités se poursuivront le dimanche aux côtés de In Search of Sun, Nesseria, Stone Broken et Kaiser Franz Josef avant de se clore le lundi 18 Juin avec Grit et Jared James Nichols. THE NOFACE : Notre coup de coeur à ne pas manquer Pour ceux d’entre vous qui ne nous suivent pas en parallèle sur Les Insouciants, THE NOFACE est un peu LE groupe que nous bichonnons depuis ses premières notes diffusées en février 2017. Depuis, la bande composée des anciens musiciens de Skip The Use et menée par la lionne Oma Jali a été programmée sur bon nombre de festivals (Main Square, Solidays,…). Est aussi sorti leur premier album aux accents électro rock : Chapter One. On est donc particulièrement fières de les retrouver sur la Main Stage le dimanche 17 juin aux côtés de The Hives, Frank Carter & The Rattlesnakes, Wolf Alice ainsi que des Foo Fighters. Une soudaine envie de vous rendre au Download Festival ? Les places sont en vente dans vos points de vente habituels ainsi que sur le site officiel du festival !   En attendant, retrouvez ci-dessous la grille horaire du Download Festival 2018 !

Festival International Series Mania : Retour sur une première édition réussie

Du 27 avril au 5 mai, Lille est devenue le point de rendez-vous de tous les amateurs de séries. Palmarès, coup de coeurs, informations à retenir. Voici ce qu’il ne fallait pas manquer lors de cette première édition nordiste du Festival International Séries Mania. Rendez-vous immanquable de cette fin avril, début mai, le Festival International Séries Mania a attiré plus de 55 000 curieux dans les différentes enceintes lilloises. Une première en province qui réjouit autant les organisateurs que la ville. Retour sur le palmarès et nos coups de coeur de cette édition 2018. Il Miracolo et Kiki and Kitty dominent le palmarès  Samedi 5 mai, la première édition lilloise du Festival International Séries Mania s’est clôt au Nouveau Siècle avec la remise des différents prix. Le jury présidé par le co-créateur de Narcos, Chris Brancato, a salué dans la compétition internationale la performance de l’actrice russe Anna Mikhalkova (An Ordinary Woman) avant de déclarer la série Israëlienne On The Spectrum Grand Prix du Jury. Les grands vainqueurs de cette édition 2018 sont cependant Il Miracolo et Kiki and Kitty qui repartent chacun avec deux prix. Le premier, qui est sorti mardi en Italie, a été salué par le jury dans le cadre de la compétition internationale en recevant le Prix Spécial du Jury ainsi que le Prix d’Interprétation Masculine pour la performance de Tommaso Ragno. Le second a enthousiasmé les plus jeunes en remportant le Prix des Lycéens et le Prix des Étudiants. Côté compétition française, le jury composé de membres de la presse internationale a élu sans surprises Ad Vitam meilleure série. Respectivement, Anne Charrier (Maman a tort), Bryan Marciano (Vingt-cinq) et Roschdy Zem (Aux Animaux la guerre), ont reçu les prix de meilleurs.e actrice et acteurs dans une série française. Ont également été attribués des prix à First Love (Formats Courts) et Kiri (Prix de la Meilleure Série). Le Prix du Public a quant à lui félicité la série américaine The Marvelous Mrs Maisel. Un lieu d’expositions et de rencontres Parce que Séries Mania, ce n’est pas uniquement du visionnage de séries non stop, nous nous sommes rendues au Tripostal afin de voir le festival sous un autre angle. Au menu, expositions, exploration de décors recréés par les équipes du festival, escape game et même la possibilité de tester la réalité virtuelle. Certains auront également pu y rencontrer leurs acteurs favoris. On a apprécié de pouvoir retrouver les décors issus de Stranger Things, Orange Is The New Black ou Le Bureau des Légendes avant de commencer notre détour par les expositions. Expositions dont on retiendra les fabuleux visuels de la chaîne FX (American Horror Story, Fargo, The American). À l’étage, le photographe Blake Morrow nous a directement renvoyé dans l’univers emblématique de Twin Peaks (David Lynch) avant que notre voyage se poursuivent à travers le monde avec les deux fangirls finlandaises, Tiia & Satu. Avec elles, on découvrent les décors originaux de nombreuses séries comme Supernatural, Sherlock, Sense8, Game of Thrones et bien plus encore. Côté extérieur, certains auront peut-être suivies via Instagram nos déambulations à travers Lille afin de retrouver les oeuvres de street art dissimulées dans toute la ville par le Collectif Renart. The Handmaid’s Tale du côté du vieux-Lille. Sheldon de The Big Bang Theory près du Sébastopol. Eleven de Stranger Things sur la façade du Tripostal. Kad Merad pour Baron Noir à Grand Place et même Wonder Woman dans une vitrine du quartier de Wazemmes. Un questionnement sur la société Que cela soit autour de tables rondes ou dans les séries, le Festival International Séries Mania a mis l’accent sur la société, et plus particulièrement les minorités. Ainsi, The Good Doctor, nous entraîne dans le quotidien de Shaun Murphy, un jeune chirurgien brillant et autiste interprété avec brio par Freddie Highmore (Bates Motel, Neverland). On fait ensuite un détour par le South-Side de Chicago avec The Chi, avant une halte à la table ronde dédiée aux minorités dans les séries américaines à l’ère de la présidence Trump. Avec elle, on s’attarde sur le fait que les séries puissent jouer un rôle éducatif. On évoque le #BlackLivesMatter ainsi que le phénomène du black face. Parler minorité implique également l’évocation de discriminations dues à son orientation sexuelle. On retrouve également la questions des femmes dans les séries ainsi que leurs représentations parfois particulièrement misogynes (Twin Peaks). Notre retour vers les salles obscures s’opère avec Kiri. Dramaturge reconnu outre Manche, Jack Thorne pointe cette fois-ci du doigt les adoptions inter-raciales et ce qu’elles peuvent amener. Une série de quatre épisodes que nous aurions grandement apprécier voir dans son intégralité. Des Femmes fortes au coeur de Séries Mania Des femmes fortes, le Festival International Séries Mania n’en a pas manqué. Avec An Ordinary Woman, série russe actuellement en tournage, c’est une femme à la fois fleuriste et proxénète que l’on découvre à l’écran. Joué par Anna Mikhalkova, le personnage de Marina se révèle avoir les mêmes préoccupations que tout le monde. Sont notamment évoquées les thématiques propres à la famille telles que le harcèlement scolaire ou le manque de présence des parents pour leurs enfants. Déjà dans notre collimateur avant le début du festival, American Woman ne nous a pas déçu. Créée par John Wells (Urgences, A la Maison Blanche, Shameless) et John Riggi (30 Rock), American Woman nous entraîne au coeur d’un Los Angeles des années 70 où les femmes se révoltent doucement. On suit plus particulièrement le quotidien de Bonnie Nolan (Alicia Silverstone), une mère de famille qui va devoir se battre pour élever seule ses deux enfants. On a d’ailleurs apprécié l’accentuation sur le fait que les Hommes ne considéraient pas les Femmes comme leurs égaux à cette époque. Aux dernières nouvelles, la série devrait être lancée sur Paramount Network à partir du 7 juin.  Au fil de ces neuf jours de festival, nous sommes aussi tombées sous le charme d’Insoupçonnable. Adaptation française par Virginie Brac de la série britannique The Fall, Insoupçonnable met en scène Emmanuelle Seigner et Melvil Poupaud. Elle, en tant que femme forte dans le rôle du commandant de police Chloé Fisher. Lui, en tant que père de famille aimant le jour et tueur en série la nuit. Autant dire qu’avec son