Yungblud surchauffe le Taubertal Festival

Le Taubertal Festival qui se déroule en Allemagne nous séduit et on en redemande ! Du 7 au 10 août 2025, le Taubertal Festival a pris place à Rothenburg (Allemagne). Pour la première fois depuis la création du site, nous avons décidé de tenter l’expérience d’un festival à l’étranger ! Retour sur notre dimanche en compagnie de Emil Bulls, Ennio, Nothing But Thieves et Yungblud ! Un festival en toute détente Encore traumatisés de l’ouverture des portes si tardive au Main Square 2024 que nous avions du courir pour espérer shooter le premier groupe, le Taubertal Festival nous a offert une expérience opposée. Nous avons même pu profiter du samedi soir sur place pour découvrir les lieux. Ce alors même que nous n’avions demandé un accès que pour le dimanche. Du jamais vu ! Sur place? Une rivière ombragée serpente le long du chemin. Il est même possible d’aller s’y tremper les pieds. Et vu la chaleur, on vous assure que petits et grands n’ont pas hésité à aller s’y rafraîchir. Côté nourriture, il y en a pour tous les goûts, notamment avec des options végé / vegan. Et ce, que ce soit sur le festival, à l’espace VIP ou pour le crew dont le service avait lieu au niveau de la tente presse. Les festivaliers pouvaient également pousser la chansonnette grâce à un espace karaoké. Nous, on a préféré profité du photomaton histoire de pouvoir garder un souvenir du festival. Des stands de préventions étaient également présents. Notamment une association allemande pour la préservation de l’eau. En somme, tous les éléments étaient réunis pour que nous passions un excellent moment. Ajouter à cela une ambiance particulièrement détendue et bienveillante qui donne envie d’y remettre les pieds aussi vite que possible ! Mara & Merit, Taubertal Festival | | © RainePhotographie Nothing But Thieves fans, Taubertal Festival | © RainePhotographie festivaliers, Taubertal Festival |© RainePhotographie À la découverte d’artistes allemands Dimanche, 17h. On commence notre journée avec le groupe de métal alternatif allemand Emil Bulls. On avoue, nous aurions du aller voir 100 Kilo Herz plus tôt dans l’après-midi mais nous étions un peu juste niveau timing. Comme expliqué dans notre annonce de la programmation, nos connaissances en groupes allemands et particulièrement limitée. On s’est donc laissé porté par le groupe qui nous a facilement transporté dans leur univers. Une très belle découverte pour nous (oui, même avec 30 ans de retard). Puis, on dérive sur la scène principale où était attendu Ennio. Avec ses 900 000 auditeurs mensuels sur Spotify, on sent qu’il s’agit d’un artiste en plein essort. Ce qui ne nous étonnes qu’à moitié ! Musicalement, on retrouve les codes de la pop-rock moderne et largement radiophonique. Et les stats ne mentent pas puisqu’il est diffusé sur plus de 250 radios (selon radiostats). Si on accroche à sa voix particulière, le reste ne nous emballe pas plus que ça. Emil Bulls, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Emil Bulls, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Ennio, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie La dernière de l’ère Dead Club City Cette fois c’est visiblement officiel, l’ère Dead Club City qui a vu les anglais Nothing But Thieves prendre du galon est officiellement terminée après 2 ans de tournée. Du moins, si le groupe ne décide pas d’ajouter de nouvelles dates alors qu’ils sont soient disant « en break ». Car si le groupe ne devait plus tournée, ils seront tout de même sur les routes en début d’année prochaine en Australie. À croire que prendre une pause est difficile.  Pour cette « dernière », le groupe est apparu sur scène sans l’un de leurs guitaristes, Joe Langridge-Brown étant absent pour raisons personnelles. Si son énergie à quelque peu manqué – car on apprécie toujours son jeu déchainé-, nous étions ravis de voir le bassiste, Phil Blake mis dans la lumière. Ce qui habituellement n’arrive que durant le jam et Amsterdam.  Malgré la voix un peu fatigué de Conor Mason suite à trois concerts consécutifs, Nothing But Thieves a su séduire le Taubertal Festival. Notamment avec If I Get High dont les high notes nous envoient des frissons ou, dans un autre registre, les excellents singles de Moral Panic, Is Everybody Going Crazy? et Unperson qui permettent à tout le monde de se défouler et jumper. On apprécie également toujours entendre en live des titres issus de Dead Club City comme Tomorrow Is Closed, City Haunts ou encore Overcome. Une chose est sûr, bien qu’il s’agisse de la fin d’une ère, les sourires étaient sur tous les visages. Que ce soit du public ou du groupe. Phil Blake, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Conor Mason, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Dom Craik, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Le sacre de Yungblud On ne s’en cache pas, Idols est l’un des albums que l’on écoute le plus depuis sa sortie. Il faut dire qu’avec ses influences allant de David Bowie aux Cure en passant par Oasis, on ne pouvait que l’aimer. Et visiblement, beaucoup de personnes ont rejoint le train cette année puisque Yungblud devient mainstream. Franchement, si vous nous aviez dit cela il y a quelques années, nous n’y aurions jamais cru ! Curieusement, nous n’avions jamais eu l’occasion de le voir sur scène avant le Taubertal Festival. En plus de l’avoir manqué au Main Square Festival à l’été 2022, notre tentative d’assister à l’un des concerts de sa dernière tournée est restée infructueuse. On s’est donc largement rattrapé ce dimanche 10 août. Seul bémol, on s’attendait à en prendre plein la vue avec les 9 minutes de Hello, Heaven, Hello dès le début du concert, mais Yungblud a coupé court à nos espérances en enchaînant directement sur The Funeral après l’introduction. Il nous faudra donc retourner voir le chanteur en concert pour y avoir droit ! Pour le reste, Yungblud impressionne autant par sa présence scénique, son charisme que sa capacité à galvaniser la foule. À de multiples reprises, le chanteur demande

Imagine Dragons clôt sa tournée française à Lille

Imagine Dragons a livré au stade Pierre-Mauroy un concert aussi intense que fulgurant, pour son dernier passage français de la tournée « Loom » Il aura fallu patienter onze ans pour revoir Imagine Dragons dans le nord de la France. Mercredi 23 juillet, le groupe originaire de Las Vegas s’est produit à la Decathlon Arena (Stade Pierre-Mauroy). Après, Paris et Lyon, c’est à Lille que le groupe donne le dernier concert en France de la tournée Loom.  Bien avant l’apparition du groupe par une trappe sous la scène, 4 ola sont lancés dans tout le stade. Le public est impatient et le concert est complet. Les places se sont envolées rapidement malgré des tarifs vertigineux — de 67 € à 155 € pour les billets standards, et jusqu’à  7 918 € pour les packs VIP.  Stade Pierre Mauroy, Lille I ©Welloma Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy, Lille I ©Welloma Quand le dragon s’éveille, le stade se soulève Dès les premières notes, la magie opère, les gradins se lèvent d’un même élan. Le chanteur Dan Reynolds commence doucement avec Fire These Hills et un micro sur pied qu’il décroche vite pour aller au devant de la scène. À la fin du morceau des confettis explosent et le ton est donné. Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Le groupe enchaîne immédiatement avec Thunder. Le guitariste  Wayne Sermon rejoint Dan Reynolds au bord de la scène, déclenchant un nouveau cri collectif. Malgré l’absence du batteur Daniel Platzman, récemment parti pour une carrière solo, le trio restant (Reynolds, Sermon et Ben McKee) n’a rien perdu de sa force scénique. Le public connaît chaque parole, chaque note. Reynolds, véritable bête de scène, ne se contente pas de chanter :il court, danse, fait de la batterie sur Radioactive et enchaîne avec du piano pour Deamons. Des confettis des flammes et des feux d’artifice accompagnent le show. Les voix du public aussi, Reynolds tend régulièrement le micro et la foule entonne comme une seule personne les refrains comme les couplets.  Wayne Sermon, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Wayne Sermon et Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma La voix du coeur et ses symboles Entre deux morceaux, Dan Reynolds se livre. Il évoque  la dépression et la  nécessité de parler, de ne pas rester seul. Son message est direct et sans détour : « Your life is always worth living »  À ces mots, les caméras balaient le public qui brandit des cartons portant cette phrase. En français : « Ta vie vaut toujours la peine d’être vécue » . Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma   Autre signe discret mais marquant : les croix noires sur ses mains. Si Dan Reynolds ne les mentionne pas sur scène, les fans connaissent leur signification. Héritées du mouvement Straight Edge, ces croix sont le symbole de son engament personnel à ne pas consommer des drogues, de l’alcool ou des substances.  Une promesse faite à lui-même, visible dès la tournée Evolve en 2018, et devenue  un clin d’oeil silencieux aux initiés. Les fans repartent du concert avec l’écho des refrains, des confettis dans les cheveux et le sentiment d’avoir vécu un moment de partage fort. Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Tu connaissais la signification des croix sur les mains de Dan Reynolds ? WELLOMA Journaliste & photographe MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

TRENDZ fait briller le Café de la danse à Paris

Le 6 juin 2025, le Café de la Danse à Paris a vibré au rythme de la K-pop avec Trendz C’est dans une salle comble que les membres de Trendz ont offert aux fans une soirée mémorable, pleine d’énergie et de complicité, avec leur performance « Glowy ». Un groupe qui sait tout faire Lors de notre arrivée au Café de la Danse nous avons eu la chance de pouvoir accéder à la salle en même temps que les fans VIP. Au programme : photos, autographes et quelques petits mots échangés avec Trendz. Malgré une fatigue certaine, les membres du groupe se sont montrés bienveillants et souriants. Nous, cela nous fait chaud au coeur de les voir proche de leur public. À 20h30, Trendz investi la scène avec une performance dynamique et entraînante, mêlant chorégraphies impeccables et interactions sincères avec le public. Les titres phares tels que Vagabond ou Chameleon ont résonné dans la salle, captivant l’attention de tous et provoquant les hurlements des fans présents.  Les jeux de lumière et les visuels soignés ont renforcé l’ambiance immersive du concert. Fait surprenant, le groupe a dansé sur des chansons qui ne sont pas les leurs (mention spéciale à Like Jennie), prouvant cependant qu’ils sont des danseurs incroyables, ayant abattu un travail monstrueux pour en arriver là. Pour cela, on ne peut que leur dire Bravo ! Andréane Gatto Un groupe qui aime ses fans Au-delà de la musique, ce qui a marqué la soirée, c’est la proximité du groupe avec ses fans. Entre chaque chanson, les membres ont pris le temps de s’adresser au public, exprimant leur gratitude et leur joie d’être à Paris. Cette sincérité a renforcé le lien spécial entre Trendz et ses « Friendz », comme on les appelle. Mention spéciale à l’anniversaire de Havit sur scène, quel moment ! Le public avait appris la célèbre chanson d’anniversaire en coréen, et la chantait à tue-tête en brandissant des petites photos de leur artiste vedette. Le concert s’est conclu en beauté avec une ovation du public. Cette soirée restera gravée dans les mémoires comme un moment de partage et de célébration de la musique. Trendz, Café de La Danse | © Andréane Gatto Azrael Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Vundabar à la Maroquinerie : un retour très attendu, en demi-teinte

Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy

Le 20 mai 2025, La Maroquinera a accueilli Vundabar pour un concert en demi-teinte. Deux ans après une date parisienne annulée in extremis, après que le chanteur Brandon Hagen se soit fracturé le bras à Bordeaux le matin même, Vundabar était enfin de retour dans la capitale. Une Maroquinerie pleine à craquer, un public impatient, et une tournée européenne de presque deux mois pour défendre Surgery and Pleasure, leur dernier album sorti en mars. Autant dire quetout semblait réuni pour une soirée mémorable. Entre joie et déception Sur scène, le trio de Boston (Brandon Hagen au chant/guitare, Drew McDonald à la batterie/synthé, Zack Abramo à la basse) a déroulé un set dense, piochant aussi bien dans ses classiques que dans ses nouvelles compositions. On entre tout de suite dans le vif avec I Got Cracked, titre d’ouverture de leur dernier disque, avant de retrouver des morceaux plus anciens comme Acetone (Smell Smoke, 2017) ou Chop (Gawk, 2015), joués avec une précision mécanique. Visuellement, la scénographie était épurée – peu de panneaux ou effets visuels – mais les lumières soignées laissaient la part belle à l’interprétation. Le public, lui, était totalement investi : un spectateur proche de la scène s’est même mis à dessiner le chanteur en direct, pendant que d’autres scandaient les paroles par cœur, y compris celles moins connues. L’ambiance aurait pu basculer dans l’intime, mais malgré une communication chaleureuse au début (“I’m very happy to be back in Paris… with an arm again!”), le groupe a gardé une certaine distance. Quelques moments ont pourtant marqué : un chapeau de cowboy sur la tête du chanteur, un « Save a horse, ride a cowboy! » hurlé par quelqu’un dans la foule, provoquant une hilarité générale. Plus tard, lors de Alien Blues – leur tube viral devenu culte sur TikTok – la salle a vibré à l’unisson. À la fin du morceau, Hagen trinque avec le public d’un “santé” à l’accent charmant, bière à la main. Brandon Hagen, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Une personne dessinant dans un carnet pendant le concert de Vundabar Brandon Hagen, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Mais ces rares instants d’interaction contrastent avec le reste du set. Le groupe enchaîne les morceaux – Spades, Beta Fish, Oulala, I Need You… – sans accorder beaucoup de place à l’échange. Entre certains titres, de longues pauses s’installent, presque gênantes, jusqu’à ce que la foule relance l’élan par des acclamations insistantes. Et lorsque le concert prend fin… il prend fin. Pas de rappel, pas de mot d’au revoir, et aucun membre du groupe – pourtant très attendu – ne s’est présenté au stand de merch, laissant une partie du public visiblement déçue. Vundabar livre ce soir-là un concert solide sur le plan sonore, avec une exécution maîtrisée et une setlist généreuse. Mais en dépit de quelques éclairs de complicité, on reste sur une impression étrange : celle d’un moment qui aurait pu – et dû – aller plus loin. À force de retenue, le groupe est passé à côté de la chaleur qu’un public aussi enthousiaste était prêt à lui offrir. Heureusement, le public fidèle n’oubliera pas certains regards, certaines lumières, une certaine complicité des membres de Vundabar échangée avec la foule à demi-mots. Et la Maroquinerie, fidèle à elle-même, reste un écrin unique pour les concerts parfois imparfaits, mais toujours vrais. Brandon Hagen, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Drew McDonald, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Zack Abramo, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Et vous, étiez-vous au concert de Vundabar à La Maroquinerie ? CHARLIE Invitée : Rédactrice – Photographe MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Partez à la rencontre de Trendz (kpop)

Trendz, le nouveau groupe de Kpop en vogue, a répondu à nos questions. Ils sont 7. Ils sont talentueux. Et ils sont plus motivés que jamais en entamant leur nouvelle tournée européenne. Les Insouciantes ont eu la chance de pouvoir poser quelques questions à Trendz. Bienvenue à Paris ! C’est votre première fois au Café de la Danse. Que ressentez-vous en revenant en France après votre concert à l’Alhambra ? HANKOOK : Tout d’abord, nous étions très excités d’apprendre que nous allions jouer à nouveau en France. J’ai été vraiment impressionné par la passion des fans lors de notre dernier concert, et la nourriture à Paris était absolument délicieuse. Tous mes souvenirs ici sont si positifs que je suis déterminé à offrir une autre performance incroyable et à créer encore plus de souvenirs inoubliables cette fois-ci. EUNIL : Je suis vraiment touché et ravi de revenir dans une ville aussi pittoresque que Paris. C’est aussi très significatif pour moi de pouvoir retrouver nos fans ici et de partager à nouveau une belle énergie avec eux. Que ressentez-vous par rapport à votre tournée européenne actuelle ? ra.L : Avec notre retour et la sortie de notre nouvel album Chameleon, je suis convaincu que les fans vont découvrir un côté plus coloré et unique de TRENDZ pendant cette tournée. Nous préparons aussi des performances spéciales en sous-unités, alors soyez au rendez-vous ! On dit souvent que le public français est très expressif. Avez-vous une anecdote ou un souvenir marquant à propos de vos fans en France, ou ailleurs en Europe ? Qu’aimez-vous chez les Français ? YECHAN : Chaque fois que nous jouons en Europe, les fans chantent toujours la même chanson avant même que nous montions sur scène. L’entendre nous aide vraiment à nous concentrer et à entrer dans le bon état d’esprit pour le show. J’ai hâte de l’entendre à nouveau cette fois. LEON : Les fans dans chaque pays européen où nous sommes passés, y compris la France, nous ont toujours montré un soutien intense et enthousiaste. Cela nous pousse à donner encore plus sur scène. J’ai trouvé les fans français particulièrement chaleureux et accueillants. Moi qui suis habituellement timide, je me suis senti très à l’aise grâce à eux. YOONWOO : Je me souviens d’avoir vu des familles entières assister à notre concert ensemble — c’était un moment très touchant et précieux. Aussi, beaucoup de fans étaient émus aux larmes pendant nos performances, et cela nous a donné encore plus de motivation pour transmettre des émotions profondes sur scène. À la fin de votre prochain concert à Paris, que souhaitez-vous que le public français retienne et ressente ? HAVIT : J’espère qu’ils se souviendront de l’amour et de la gratitude que nous avons voulu exprimer, de la passion que nous avons montrée sur scène, et de l’énergie enflammée que nous avons partagée avec le public. J’espère que ces émotions resteront avec eux longtemps. HANKOOK : Je veux que le public ressente l’énergie et la passion de TRENDZ et qu’il se souvienne de cette expérience comme d’un rêve. Nous allons vous montrer à quel point nous avons évolué depuis la dernière fois — alors, attendez-vous à quelque chose de grand ! Votre musique a une identité très marquée, avec de fortes influences hip-hop, électro et parfois rock. Si vous deviez décrire l’ADN de TRENDZ en trois mots aujourd’hui, lesquels choisiriez-vous ? ra.L : Caméléon, Noir, Attention. Comme un caméléon change de couleur, TRENDZ peut s’adapter à n’importe quel concept. Le noir, qui résulte de la combinaison de toutes les couleurs, représente la force de notre unité. Et nos performances captent toujours l’attention ! YECHAN : Polyvalence, Diversité, Sans-limite ! Nous savons explorer de nombreux styles, et je crois que TRENDZ n’a aucune limite. À Havit, Leon et Hankook : vous avez tous participé à « Mix Nine » avant vos débuts officiels. En quoi cette expérience a-t-elle influencé votre parcours dans TRENDZ ? HAVIT : Cette expérience m’a aidé à mûrir et à devenir plus fort. J’étais jeune et inexpérimenté, mais ce programme m’a donné une grande motivation et a changé ma façon de penser — je pense que c’est ce qui a mené à mes débuts. LEON : C’était un moment décisif pour moi. La compétition était intense, donc j’ai tout donné. Cette lutte a été essentielle à mon développement. HANKOOK : Cela m’a appris à survivre en tant qu’idole, et m’a fait réaliser à quel point le monde est vaste. Même si je n’ai pas atteint la fin du programme, je n’ai jamais abandonné. J’ai continué à avancer — et maintenant, je fais partie de TRENDZ. Quels sont les messages ou valeurs que vous souhaitez transmettre à travers votre groupe et votre musique ? YOONWOO : J’espère que notre musique et nos performances peuvent apporter du bonheur ou du réconfort, même un tout petit peu. Je crois que TRENDZ peut avoir une influence positive. EUNIL : Je veux transmettre de la confiance et de la joie. Si notre musique peut offrir ne serait-ce qu’un moment de force ou de bonheur au quotidien, et que cela devient une source de confiance, alors c’est le message que je veux faire passer. En tant qu’ambassadeurs de l’environnement en 2023, quelles actions ou initiatives sont importantes pour vous dans ce domaine ? HAVIT : Ce n’est pas seulement à cause de notre rôle d’ambassadeur — j’essaie de vivre avec une vraie conscience écologique. J’utilise une gourde, une boîte à lunch réutilisable, je fais attention au tri des déchets… Ces petits gestes comptent ! Quel est votre talent caché, que les fans ne voient pas sur scène ? HAVIT : Je peux faire des mouvements de type “bone-breaking” où mon bras tourne à 360°, et je joue un peu de piano et de guitare. Je lis vite, et je cuisine aussi bien selon des régimes sportifs. LEON : J’adorais le foot enfant et j’ai même joué en équipe scolaire. J’aimerais bien un jour montrer mes talents sur le terrain ! YOONWOO : Je suis bon pour donner des conseils. J’aide souvent les autres membres à gérer leurs soucis avec réconfort et

L’univers pop-folk de Mark Ambor au Trianon !

Mark Ambor au Trianon

De Tiktok à la scène, à la découverte de l’univers folk de Mark Ambor ! Son nom ne vous dit peut-être rien, et pourtant, vous n’avez pas pu passer à côté des chansons aux rythmes entrainants de Mark Ambor. À l’occasion de son concert au Trianon, le 16 avril dernier, retour sur son parcours fulgurant ! Tiktok, révélateur de nouveaux talents Depuis la création des réseaux sociaux, de nombreux talents ont été révélés au grand jour, comme Justin Bieber, Shawn Mendes, ou plus récemment, Doechi grâce à sa chanson Anxiety. Mark Ambor, quant à lui, suit les pas de ces artistes. Le 16 février 2024, la chanson Belong Together de Mark Ambor sort sur toutes les plateformes de streaming. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas passée inaperçue ! À la suite de sa sortie, cette chanson est devenue virale sur les réseaux sociaux. Notamment sur Tiktok ou près de 480 000 vidéos ont été réalisées sur la plateforme en l’utilisant.  Cette viralité lui a d’ailleurs permis d’entrer dans de nombreux classements. Il a atteint la 87e place dans le classement Hot 100 des Billboards, la 1ère place dans le classement espagnol LOS40, et le Top 10 dans de nombreux pays, notamment les Pays-Bas, l’Irlande, ou encore, la Suisse. Personne ne s’attendait à un tel succès de la part de ce jeune artiste émergent originaire de Pleasantville aux États-Unis. À l’heure actuelle, Belong Together  a été écoutée plus de 740 millions de fois uniquement sur Spotify. Et en concert, c’est un réel moment de communion.  Mais en réalité, le succès de Mark Ambor ne s’arrête pas à cette chanson. À la suite de Belong Together, ses singles Good To Be et Our Way ont eu le même succès, cumulant aujourd’hui plus de 157 millions d’écoutes pour le premier, et 33 millions pour le second. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Mark Ambor (@markambor) Welcome to Rockwood ! Mardi 16 avril 2025, au Trianon, un air festif et joyeux a envahi la salle du Trianon. La cause ? La venue de Mark Ambor et de ses chansons rythmées ! Pendant 1h30, aux rythmes de sa guitare, Mark Ambor a ensoleillé le Trianon. Tout le public a pu plonger dans l’univers de Rockwood, le premier album de l’artiste. Pour lui, Rockwood représente la genèse de sa carrière. En effet, le jeune américain a débuté en tant que chanteur dans le Rockwood Music Hall.  Appeler son premier album de cette manière est donc une façon pour lui de rendre hommage à ses racines et ses débuts, qui représentent pour lui un endroit de paix et de bonne humeur. Ce qu’il a réussi à retransmettre dans son album et durant ses concerts ! Mark Ambor au Trianon I ©ByKahina Mark Ambor au Trianon I ©ByKahina Mark Ambor au Trianon I ©ByKahina Pour celles et ceux qui auraient manqué son passage Trianon, pas de panique car Mark Ambor part en tournée des festivals cet été ! Retrouvez-le le 3 juillet au Rock Werchter Festival (Belgique), le 4 juillet au Main Square Festival (France), mais également le 10 juillet au Mad Cool Festival (Espagne) et le 12 juillet au festival Lollapalooza de Berlin (Allemagne).  On vous invite fortement à découvrir cet artiste ! Et vous, avez-vous déjà entendu parler de Mark Ambor ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Nuit Incolore enchante le Théâtre Sébastopol

Nuit Incolore est passé par le Théâtre Sébastopol de Lille mercredi 9 octobre 2024 ! Retour sur cette soirée suspendue hors du temps. La veille de la journée mondiale de la santé mentale, Nuit Incolore a présenté La Loi du Papillon Tour au Théâtre Sébastopol de Lille. Un passage différent de sa précédente venue dans le Nord avec une nouvelle setlist. Nuit Électrique Théo, alias Nuit Incolore se présente à nous seul en scène. Prétextant un retard de ses compères, il se met derrière son clavier histoire « d’occuper le temps » en attendant leur arrivée. Devenant l’espace d’une « première partie », Nuit Électrique, le chanteur en profite pour raconter des morceaux de sa vie tout en jouant des extraits de quelques uns de ses titres. De nouveaux titres en live Découvert grâce à son feat avec Kyo sur Je cours – oui on a loupé le coche du confinement -, on avait hâte de voir Nuit Incolore sur scène. Entre textes parlant de santé mentale à sa sensibilité, tout nous donnait envie d’assister à l’un de ses concerts. De sa direction artistique à ses tenues en passant par sa présence scénique, Théo a su nous captiver toute la soirée.  Alors que la réédition de son premier album, La Loi du Papillon, La Note Noire sortira le 15 novembre prochain, Nuit Incolore a retravaillé sa setlist afin d’interpréter de nouveaux titres. À commencer par son excellent dernier single, On S’écrira où le public s’est parfaitement prêté au jeu des choeurs. On aurait presque voulu que Loïc Nottet fasse une apparition sur scène. Nul doute que les surprises, Nuit Incolore les réservent pour son Olympia le 29 novembre prochain. Parmi les nouveaux titres joués compte également Adieu et Je me déteste. Alors qu’on papillonne dans son univers, on apprécie le mélange des genres qui n’enferment pas le chanteur dans une seule case. Puisant leurs inspirations à la fois dans la pop, le rock, les musiques électroniques ou encore les animés, les compositions de Nuit Incolore trouvent le parfait équilibre pour nous plaire. Et en live, elles prennent une autre dimension. Proximité avec son public Bien sûr, Nuit Incolore n’est pas venu à Lille uniquement pour nous présenter ses nouveaux titres. La setlist comptait plusieurs autres featuring dont Paradoxe ou encore Rendez-Vous. Afin de palier à l’absence de Mentissa sur l’un et Benoît Poher (Kyo) sur l’autre, leurs voix résonnent en fond. Jusqu’à ce que la guitariste, Isia Marie, prennent le relai concernant Paradoxe.  Pendant le concert, on rit – car le chanteur ne manque pas d’humour-, chante, danse et ressent de fortes émotions. D’ailleurs, l’immense affection dont fait preuve le public lillois à son égard ne laisse pas Théo en reste. Exprimant ses émotions, on le sent à plusieurs reprises au bord des larmes. Sur scène, on sent la prise de conscience de son succès, ses peurs, ses doutes mais aussi sa joie d’être là ce soir. En somme, Nuit Incolore est un artiste humble méritant amplement sa place dans l’industrie musicale française. Alors qu’il exprime sa peur à jouer dans un théâtre en raison des conditions assises, le Sébastopol lui a montré qu’il n’avait aucune crainte à avoir. Debout, le public chante et danse au fil des titres. Notamment à plein poumons durant Dépassé. Les fans se montrent aussi généreux en cadeaux. Il n’est donc pas étonnant de voir le chanteur se faufiler dans l’allée principale pour chanter au plus près de ses fans. Un moment dont se souviendront bon nombre d’entre eux. Et vous, comptez-vous entrer dans La Loi du Papillon Tour de Nuit Incolore ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Styleto à L’Olympia ! 

Styleto à L'Olympia

Une salle comble pour le premier Olympia de Styleto ! Après une tournée de 26 dates dans plusieurs salles et festivals francophones, c’est dans une salle très mythique que Styleto a décidé de clôturer le premier chapitre de sa carrière de chanteuse : L’Olympia ! Une safe-place de 4 800 personnes ! Samedi 19 octobre 2024, c’est les yeux plein de larmes que Styleto – de son vrai nom Laure – est montée sur scène pour la dernière date de sa première tournée : Le Mini Tour. Une tournée au caractère exceptionnel puisqu’elle a été remplie alors que cette jeune artiste française n’a pas encore sorti d’album. À L’Olympia, comme pour ses précédents concerts, le public était au rendez-vous et… en folie ! D’ailleurs, si vous avez lu notre précédent live report sur Styleto lors de son concert à La Cigale en mai dernier, vous ne serez pas surpris de l’ambiance qu’il y avait à L’Olympia !  Durant 1h30, 4 800 personnes étaient réunies dans cette safe-place géante. Le public a ri, pleuré, chanté, dansé, et nous aussi ! Accompagnée de ses amis et musiciens, Styleto a fait chavirer le coeur de L’Olympia par son énergie solaire et débordante. Sa proximité avec son public – aussi bien sur scène, que via ses réseaux sociaux depuis ses débuts sur Youtube, il y a 10 ans – nous a donné l’impression qu’on retrouvait une copine sur scène !  Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Pour cette dernière date, et tout au long de cette tournée, ses fans ont pu (re)découvrir ses plus grandes reprises et ses premiers singles. Styleto, qui aime faire des surprises à son public, nous a fait découvrir quelques morceaux inédits de son prochain album, notamment une chanson écrite par son chanteur français préféré, Ben Mazué, ou encore La Fille Lacrymale. Cependant, les surprises ne s’arrêtent pas là ! La chanteuse a invité son amie Adèle Castillon à partager un moment unique sur scène. Ensemble, elles ont repris le titre d’Adèle Castillon aux millions d’écoutes : Amour Plastique. Un instant hors du temps rempli de bonnes ondes, qui a fait vibrer et chanter tout l’Olympia ! Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Que faut-il retenir de Styleto et de son incroyable parcours ? Tout d’abord, Laure a commencé en tant que créatrice de contenus sur Youtube et Instagram il y a 10 ans. Ce n’est seulement qu’en 2016 qu’elle décide de poster des covers sur ses différentes plateformes. Quelques années plus tard, en, 2022, elle sort son premier EP de reprises intitulé Carrousel. Cet album révéla au grand jour le talent et la voix singulière de la jeune femme. Il lui a également permis de savoir si elle envisageait (ou non) un avenir dans la musique. La suite, on la connait. Styleto fait aujourd’hui partie des artistes émergentes françaises à suivre.  Mais ce n’est pas tout ! Cette tournée quasi sold-out a permis de donner un avant goût à ses fans de son futur album qui sortira en 2025. Un nouveau projet très attendu par son public, et plein d’émotions. Dans celui-ci, nous pourrons retrouver toutes les influences musicales de Styleto. Des ballades pleines de vérité, en passant par des chansons plus rythmées au texte engagé, chaque personne pourra se retrouver dans cet album. Voilà à quoi s’attendre ! Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Malgré le fait que sa première tournée ce soit terminée il y a quelques semaines, ce n’est pas la dernière fois que l’on verra Styleto sur scène ! En effet, elle a déjà été annoncée à la programmation du Printemps de Bourges 2025, soit l’un des plus grands festivals de musique français ! Alors, restez connecté.e.s, et n’hésitez pas à aller découvrir cette artiste au grand cœur dont on entendra parler en 2025. Et vous, avez-vous hâte de découvrir le premier album de Styleto ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin