Yungblud surchauffe le Taubertal Festival

Le Taubertal Festival qui se déroule en Allemagne nous séduit et on en redemande ! Du 7 au 10 août 2025, le Taubertal Festival a pris place à Rothenburg (Allemagne). Pour la première fois depuis la création du site, nous avons décidé de tenter l’expérience d’un festival à l’étranger ! Retour sur notre dimanche en compagnie de Emil Bulls, Ennio, Nothing But Thieves et Yungblud ! Un festival en toute détente Encore traumatisés de l’ouverture des portes si tardive au Main Square 2024 que nous avions du courir pour espérer shooter le premier groupe, le Taubertal Festival nous a offert une expérience opposée. Nous avons même pu profiter du samedi soir sur place pour découvrir les lieux. Ce alors même que nous n’avions demandé un accès que pour le dimanche. Du jamais vu ! Sur place? Une rivière ombragée serpente le long du chemin. Il est même possible d’aller s’y tremper les pieds. Et vu la chaleur, on vous assure que petits et grands n’ont pas hésité à aller s’y rafraîchir. Côté nourriture, il y en a pour tous les goûts, notamment avec des options végé / vegan. Et ce, que ce soit sur le festival, à l’espace VIP ou pour le crew dont le service avait lieu au niveau de la tente presse. Les festivaliers pouvaient également pousser la chansonnette grâce à un espace karaoké. Nous, on a préféré profité du photomaton histoire de pouvoir garder un souvenir du festival. Des stands de préventions étaient également présents. Notamment une association allemande pour la préservation de l’eau. En somme, tous les éléments étaient réunis pour que nous passions un excellent moment. Ajouter à cela une ambiance particulièrement détendue et bienveillante qui donne envie d’y remettre les pieds aussi vite que possible ! Mara & Merit, Taubertal Festival | | © RainePhotographie Nothing But Thieves fans, Taubertal Festival | © RainePhotographie festivaliers, Taubertal Festival |© RainePhotographie À la découverte d’artistes allemands Dimanche, 17h. On commence notre journée avec le groupe de métal alternatif allemand Emil Bulls. On avoue, nous aurions du aller voir 100 Kilo Herz plus tôt dans l’après-midi mais nous étions un peu juste niveau timing. Comme expliqué dans notre annonce de la programmation, nos connaissances en groupes allemands et particulièrement limitée. On s’est donc laissé porté par le groupe qui nous a facilement transporté dans leur univers. Une très belle découverte pour nous (oui, même avec 30 ans de retard). Puis, on dérive sur la scène principale où était attendu Ennio. Avec ses 900 000 auditeurs mensuels sur Spotify, on sent qu’il s’agit d’un artiste en plein essort. Ce qui ne nous étonnes qu’à moitié ! Musicalement, on retrouve les codes de la pop-rock moderne et largement radiophonique. Et les stats ne mentent pas puisqu’il est diffusé sur plus de 250 radios (selon radiostats). Si on accroche à sa voix particulière, le reste ne nous emballe pas plus que ça. Emil Bulls, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Emil Bulls, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Ennio, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie La dernière de l’ère Dead Club City Cette fois c’est visiblement officiel, l’ère Dead Club City qui a vu les anglais Nothing But Thieves prendre du galon est officiellement terminée après 2 ans de tournée. Du moins, si le groupe ne décide pas d’ajouter de nouvelles dates alors qu’ils sont soient disant « en break ». Car si le groupe ne devait plus tournée, ils seront tout de même sur les routes en début d’année prochaine en Australie. À croire que prendre une pause est difficile. Pour cette « dernière », le groupe est apparu sur scène sans l’un de leurs guitaristes, Joe Langridge-Brown étant absent pour raisons personnelles. Si son énergie à quelque peu manqué – car on apprécie toujours son jeu déchainé-, nous étions ravis de voir le bassiste, Phil Blake mis dans la lumière. Ce qui habituellement n’arrive que durant le jam et Amsterdam. Malgré la voix un peu fatigué de Conor Mason suite à trois concerts consécutifs, Nothing But Thieves a su séduire le Taubertal Festival. Notamment avec If I Get High dont les high notes nous envoient des frissons ou, dans un autre registre, les excellents singles de Moral Panic, Is Everybody Going Crazy? et Unperson qui permettent à tout le monde de se défouler et jumper. On apprécie également toujours entendre en live des titres issus de Dead Club City comme Tomorrow Is Closed, City Haunts ou encore Overcome. Une chose est sûr, bien qu’il s’agisse de la fin d’une ère, les sourires étaient sur tous les visages. Que ce soit du public ou du groupe. Phil Blake, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Conor Mason, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Dom Craik, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Le sacre de Yungblud On ne s’en cache pas, Idols est l’un des albums que l’on écoute le plus depuis sa sortie. Il faut dire qu’avec ses influences allant de David Bowie aux Cure en passant par Oasis, on ne pouvait que l’aimer. Et visiblement, beaucoup de personnes ont rejoint le train cette année puisque Yungblud devient mainstream. Franchement, si vous nous aviez dit cela il y a quelques années, nous n’y aurions jamais cru ! Curieusement, nous n’avions jamais eu l’occasion de le voir sur scène avant le Taubertal Festival. En plus de l’avoir manqué au Main Square Festival à l’été 2022, notre tentative d’assister à l’un des concerts de sa dernière tournée est restée infructueuse. On s’est donc largement rattrapé ce dimanche 10 août. Seul bémol, on s’attendait à en prendre plein la vue avec les 9 minutes de Hello, Heaven, Hello dès le début du concert, mais Yungblud a coupé court à nos espérances en enchaînant directement sur The Funeral après l’introduction. Il nous faudra donc retourner voir le chanteur en concert pour y avoir droit ! Pour le reste, Yungblud impressionne autant par sa présence scénique, son charisme que sa capacité à galvaniser la foule. À de multiples reprises, le chanteur demande
Taubertal Festival : Retour sur la programmation

Du 7 au 10 août, le Taubertal Festival (Rothenburg) accueillera Papa Roach, Enter Shikari, Nothing But Thieves et Yungblud.
À la rencontre d’Alessi Rose !

Interview exclusive : Alessi Rose, la nouvelle étoile montante de la scène internationale ! Son nom vous est peut-être encore inconnu et pourtant ! Alessi Rose, jeune artiste britannique autoproduite, est en train de se faire doucement une place sur la scène musicale internationale. À l’occasion du Main Square Festival 2025 (Arras), nous avons pu la rencontrer pour une interview exclusive. De ses débuts dans la musique, à son nouvel EP « Voyeur », en passant par sa notoriété grandissante, découvrez Alessi Rose ! Les Insouciant.e.s : Bonjour Alessi, bienvenue au Main Square Festival. Nous sommes ravie de t’interviewer aujourd’hui. Étant un média culturel ayant pour but de valoriser les femmes dans la société, cela nous tenait à coeur de t’avoir. Pour les gens qui ne te connaissent pas, peux-tu nous parler de tes débuts dans la musique ? On a vu que tu avais commencé par écrire des poèmes, à quel moment tu as su que tu voulais mettre tes pensées en musique et que c’était plus qu’une passion ? Alessi Rose : Je jouais des instruments lorsque je prenais des cours de comédie musicale. Quand j’étais plus jeune, j’étais même dans un choeur d’église parce qu’à l’époque j’adorais déjà performer ! J’ai commencé à écrire quand j’avais 12 ans. J’avais beaucoup de choses à dire. Mais en réalité, cela a commencé quand j’ai décidé de combiner la poésie et la musique. Mon père aimait, et aime toujours, les artistes de musique country. Moi, j’adore Madonna ou encore, Lana Del Rey, des artistes très expressives, aussi bien artistiquement, qu’idéologiquement. Pour en revenir à la question, j’ai commencé à écrire dans ma chambre, et vers 15-16 ans, j’ai commencé à poster quelques clips musicaux sur Instagram. À l’époque, je bloquais toutes les personnes de ma classe parce que j’avais peur d’être critiquée sur le fait que j’essayais de faire quelque chose qui me passionne. Aujourd’hui, je me dis qu’essayer c’est bien parce que si on n’essaie pas, qu’on n’est pas « cringe », qu’on ne se force pas à faire quelque chose, on ira nul part. Je n’en serais pas là où j’en suis aujourd’hui si je n’avais pas fait tout ça. Ce n’est qu’à mes 19 ans que j’ai commencé à produire mes chansons. Je n’avais aucune expérience, je ne savais pas du tout comment faire, et je n’avais surtout personne qui pouvait m’aider. Du coup, j’ai appris à m’autoproduire et j’ai envoyé mes musiques à BBC Introducing. Dans cette radio, ils diffusaient des musiques que je n’avais même pas terminé de mixer. Ils jouaient ça le weekend, et moi à côté, je postais mes musiques en ligne et faisais beaucoup de lives où je composais. C’est à 19 ans que j’ai rencontré quelqu’un à Londres qui m’a dit : « tu as tout pour avoir ta propre carrière, est-ce que tu as une équipe ? ». Mais à l’époque je n’avais personne, aucune connexion dans la musique, rien ! Quand j’y repense, tout s’est produit d’une manière que l’on dit improbable. Et pourtant, c’est bel et bien possible ! Je devais être là à ce moment-là, et ils [les producteurs] m’ont mis sur le bon chemin. J’ai été aidée par les bonnes personnes, au bon moment. Tu es autodidacte, tu t’autoproduis, en tant que femme autoproduite, est-ce que tu as dû faire face à certaines difficultés ? En réalité, je n’ai pas trop eu de difficultés sur l’aspect « production », mais plus en tant que femme qui ne vient pas d’un milieu musical, ou de Londres, ou qui n’a pas de connaissances dans cette industrie-là. C’est un milieu très fermé et souvent difficile d’accès pour certains. Plein de gens trouvent ça beaucoup plus dur que moi d’y accéder. Ils ont raison, c’est compliqué d’y rentrer si tu ne viens pas d’une famille qui a des connaissances dans ce milieu, ou tout simplement de l’argent. Dans mon cas, je suis sûre à 100% que BBC Introducing a fait la différence parce que c’est une radio régionale, qui aide les artistes émergeants, et cela m’a aidé à me faire une place sur la scène musicale, surtout quand je ne savais pas comment m’y prendre. Mais en réalité, je pense que tout le monde peut créer de l’art et qu’il ne devrait pas y avoir de règles pour savoir « qui peut, ou qui ne peut pas » en faire. Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Tes chansons parlent de sujets très importants, notamment de ton syndrôme de l’imposteur dans « Pretty World », ou de ton TOC dans « Don’t Ask Questions ». Est-ce que tes chansons sont une thérapie pour toi ? Oui ! Quand j’ai commencé à écrire à propos de choses qui se passaient à l’intérieur de moi, ça été un exercice très libérateur. Ça m’a aidé à mettre des mots, et à comprendre des choses qui n’étaient pas claires à l’instant T. Don’t Ask Questions raconte mon expérience avec un TOC que j’ai. J’ai pu comprendre comment est-ce qu’il se manifeste, les doutes et appréhensions que j’éprouve à ce sujet, ainsi que l’ambiguïté liée à quelque chose d’encore inconnu pour moi. En grandissant, j’aurais aimé que des personnes parlent ouvertement des TOC. Je n’avais aucune représentation dans la société. Du coup, je suis toujours très contente quand les gens me disent qu’ils ont trouvé une certaine forme de réconfort dans ce que j’ai écrit. C’est une mission accomplie ! Tu l’as dit, tu t’es tout d’abord fait connaitre sur les réseaux sociaux quand tu étais plus jeune, notamment sur Instagram, mais avec ta carrière grandissante et les nombreuses premières parties que tu as faites (notamment lors de la tournée européenne du Radical Optimism Tour de Dua Lipa, et prochainement, la tournée américaine du Miss Possessive Tour de Tate McRae) ta notoriété n’a fait qu’accroître. Quel est ton rapport aux réseaux sociaux et à la santé mentale ? Je crois que j’en suis encore au stade de l’expérimentation des réseaux sociaux et
Découvrez la programmation de la nouvelle édition de Séries Mania !

Du 21 au 28 mars 2025, Séries Mania sera de retour à Lille ! Que vous réserve cette édition? Le 13 février, dans la salle de projection du CNC, a été dévoilé ce qui nous attend pour cette édition très excitante de Séries Mania. Portée par des thèmes comme la famille ou la géopolitique actuelle, cette édition se voudra assez féminine, autant dans la programmation que dans les invités. Allez, trêve de suspens, place à la programmation ! Les jurys Cette année, les présidents des 3 jurys (Compétition, Panorama et Formats Courts) seront des présidentes. Le festival réaffirme cette année son envie de mettre en avant les femmes du cinéma. Le jury Compétition sera présidé par Pamela Adlon. Elle sera accompagnée de Minkie Spiro, Karine Viard, Ignacio Serrichio et Victor Le Masne. Le jury Panorama sera présidé par l’écrivaine Lola Lafon et composé de Marie Colomb, Kate Harwood, Casey Baron et Karlis Arnolds Avots. Quant au jury Formats courts, il sera présidé par l’actrice et chanteuse Camélia Jordana. Elle retrouvera à ses côtés Lisa Amjorn (réalisatrice de Young Royals), Julien Gaspard Oliveri (réalisateur de Ceux qui rougissent) et de Aaron Altaras. Pamela Adlon, Lola Lafon, Karine Viard et Camelia Jordana Les conférences Comme tous les ans, Séries Mania vous permettra d’assister à diverses conférences autour de thèmes actuels. On retient notamment un hommage à David Lynch via un échange autour de la série Twin Peaks animé par Olivier Joyard. Les séries sur le Ramadan seront également mises à l’honneur par Mohamed Bouhafsi avec Sofiane Zermani, Zahra Arkat et Yahia Bouzahem. Une conférence qui abordera le sujet des séries fédératrices que regardent ensemble les familles musulmanes lors de la fin de jeûne chaque jour du Ramadan. Thomas Jolly et d’autres invités parleront quant à eux de la scénarisation des cérémonies des JO. Une conférence qui s’explique par le fait que l’art du récit pour ces dernières soit similaire à celui d’une série. Enfin, Séries Mania abordera le sujet des présidents de la République en héros de séries. Pour cela, qui de mieux que François Hollande, ancien occupant du poste pour en parler ? Pour nous, il s’agit d’un invité des plus étonnant ! Cette année, il faut savoir qu’avec 48 séries venues de 19 pays différents, Séries Mania rayonne à l’international et affirme sa place de festival de référence sur les séries en Europe et dans le monde. © PHOTO AFP La compétition internationale Dans la compétition internationale, le jury remettra les prix de la Meilleure série, du Meilleur scénario, de la Meilleure actrice et du Meilleur acteur. Dans l’ordre alphabétique, “pour ne pas faire de jaloux”, comme a plaisanté Laurence Herszberg, ancienne directrice générale du Forum des Images et directrice générale du Festival, vous pourrez découvrir Empathie, série venue tout droit du Canada. On retrouvera aussi Générations, une série danoise sur la découverte d’un infanticide. Est aussi sélectionnée Kaboul, un récit sur la prise de Kaboul en 2021. Quant à nous, on a hâte de découvrir la nouvelle série de Cooper Raiff, Hal and Harper, sur un duo de frère et sœur. Long Bright River reste d’ailleurs dans le thème de la fratrie avec une enquête sur une soeur toxicomane disparue. Il sera aussi question de géopolitique. Notamment via Mussolini : Son of the Century, une biographie choc du dictateur italien. Avec Querer, on découvrira les conséquences intra-familiales de la révélation des viols conjugaux subit par la mère de famille. On a aussi hâte de pouvoir se plonger dans la série franco-suisse à suspens, The Deal, sur les négociations à propos du programme nucléaire iranien. Enfin, sera proposé un thriller politique sur un ancien déporté qui traque un criminel de guerre nazi resté impuni : The German. La compétition française Bien sûr, comme tous les ans, Séries Mania fera la part belle aux séries françaises. Et on a déjà hâte de découvrir toutes ces séries. À commencer par 37 secondes, la vérité sur le naufrage d’un bateau breton, avec Nina Meurisse. Anaon, un thriller rural et surnaturel, et Clean, revanche sociale d’une bande de femmes de ménages. On est aussi intriguées par La famille rose, qui raconte la transmission du cannibalisme dans cette famille. Enfin, on retrouvera Intraçables (Log-out), un thriller sur la cybercriminalité et Le sens des choses, une comédie sur une rabine en devenir. Panorama international et formats courts Enfin, la compétition Panorama international, où le jury remettra les prix de la Meilleure série, de la Meilleure réalisation, et de la Meilleure actrice et du Meilleur acteur. On retrouve la géopolitique avec A life’s worth, sur la guerre de Bosnie. At the end of the night, une série où l’on suit un couple qui divorce. Celeste, série comique sur une inspectrice des impôts qui veut faire tomber la plus grande star du pays. On a très hâte de découvrir Family Matters, dans laquelle une famille ouvre une clinique vétérinaire qui cache probablement un autre business et Putain, sur la hargne d’un lycéen contre ce “putain de monde”. Raul Seixas : Let me sing, un biopic sur un chanteur brésilien et Requiem for Selina, sur la 1ʳᵉ blogueuse norvégienne. On est curieuses de découvrir Réunion, un thriller de vengeance d’un homme sourd. The Danish Woman, l’épopée d’une femme danoise qui débarque en Islande et enfin What it feels like for a girl sur parcours d’une personne dans l’exploration et la découverte de son identité et son orientation sexuelle, que nous avons hâte de voir aussi. Côté formats courts, on retrouvera les séries Au fond du trou, sur les gens qui se rencontrent dans un mini golf, Chef d’orchestre, El’Sardines, Friendcast de Lou Howard, Moonbird, One of us is trembling avec Alex Høgh Andersen (Vikings), T-rex de Gabriel Savignac (Nichole) et Wingspan de l’artiste multidisciplinaire Pedro Harres. « Requiem For Selina » Autres surprises Cette année, vous pourrez revoir des séries cultes des années 90, dont la culte Charmed. Aura aussi lieu une avant-première des 3 premiers épisodes, pour la première fois, d’une série animé, Astérix et Obélix : Le Combat des chefs, en présence d’Alain Chabat. En clôture, vous pourrez découvrir en avant-première la saison 5 de la série qui cartonne en France, en cours d’adaptation dans plusieurs pays, HPI. Et en ouverture, une série qui sort le 30 avril, sur un chef gastronomique sous le règne de Napoléon, Carême. Alors, l’édition 2025 de Séries Mania vous donne-t-elle envie ?
MSF 2025 : les premiers noms sont tombés

Découvrez les artistes qui se produiront au Main Square Festival du 4 au 6 juillet à la citadelle d’Arras.
MSF 2024 : Une édition intergénérationnelle
Pour ses 20 ans, le MSF a fait appel à Placebo, Avril Lavigne, Lenny Kravitz ou encore Bring Me The Horizon ! Tout comme pour ses 10 ans, le MSF a fait le choix de 4 jours de festivals afin de fêter ses 20 ans. Quatre jours durant lesquels se sont succédées artistes français et internationaux. Le tout, avec une programmation très éclectique et intergénérationnelle. Retour sur le weekend ! Nos coups de coeur Tous les ans, le MSF nous permet de découvrir des groupes. Cette année, nous avions particulièrement hâte d’y voir Yonaka, Against the Current, The Warning et The Snuts. Et pour les quatre, nos coups de coeur se sont largement confirmés. Originaires d’Ecosse, The Snuts ont ouverts la Main Stage samedi 6 juillet. Une bonne manière de se mettre de bonne humeur avec un groupe dont les sonorités nous rappellent les débuts des Arctic Monkeys. Si le groupe perce à l’étranger, ils ne sont pas encore connus en France. On a donc sauté sur l’occasion pour découvrir en live quelques titres de leur album Millennials (2024). Mais aussi leur titre Glasgow issu de W.L. Avec eux, on vous assure que la chaleur et l’humour est clairement dans leurs coeurs ! La même journée Against The Current nous a touché en plein coeur. Ce groupe de rock américain mené par l’énergique Chrissy Costanza gagne à être connu tant leur prestation scénique nous a séduit. Côté musique, on adhère également, certaines sonorités nous faisant penser à Evanescence. La veille, Yonaka nous avait donné notre premier frisson. Bien qu’arrivée à la Green Room en retard – en raison de l’ouverture des portes tardives -, nous avons immédiatement accroché à l’univers de ces rockeurs originaires de Brighton. Quant à The Warning, c’est pour le moment notre révélation de l’année ! Le trio de soeurs mexicaines dont le 4e album, Keep Me Feed est sorti fin juin est un délice pour les oreilles. Et en live, c’est encore mieux tant les trois artistes nous en mettent plein la vue ! Notez bien leur nom car il risque de revenir très fréquemment dans les années à venir ! Bien qu’elle n’aient pas été nombreuses, cette année, les femmes ont prouver être capable de faire du rock. Et du bon ! Alejandra Villarreal Vélez, The Warning, MSF 2024, Arras | © Raine Jack Cochrane, The Snuts, Main Square Festival, Arras | © Raine Chrissy Costanza, Against The Current, Main Square Festival, Arras | © Raine Nos incontournables Dans tout festival, il y a des artistes dont on refuse de manquer le passage. Évidemment, à chacun ses préférences. Dans notre cas, nous attendions impatiemment le passage de Nothing But Thieves. Programmés en milieu de journée, le quintet anglais a enchaîné les titres. À commencer par leur dernier single Oh No :: He Said What? -issu de la réédition de Dead Club City-. Et comme toujours, la performance vocale de Conor Mason nous donne des frissons à chaque envolé. Notamment grâce à Futureproof ou I’m Not Made By Design. Ce dernier nous a aussi fait rire, avouant mal danser et demander aux festivaliers de montrer leur pire danse avant d’entamer Overcome. Bonus, une demande en marriage à eu lieu durant Impossible. Un fait qui arrive de plus en plus fréquemment durant leurs concerts ! Comptait également dans notre liste Tom Odell et Deluxe. Le premier nous a offert un show majoritairement sous la pluie quand les seconds ont fait briller le soleil sur la Main Stage. À y réfléchir, avait-on besoin d’autre chose qu’une petite dépression au-dessus de la citadelle afin d’entendre Black Friday et Another Love ? Vraiment, nous n’aurions échangé ce temps pour rien au monde. Un temps qui ne l’a en rien effrayé puisqu’il n’a pas hésité à monter sur son piano et venir chanter au niveau du premier rang. Seul bémol, si Zaho de Sagazan à rejoint le chanteur durant Black Friday, on avoue l’avoir à peine entendu de là où nous nous trouvions. Quant à Deluxe, cela fait plus de 10 ans que nous les suivons sans jamais être déçus. Nous sommes donc ravis de voir qu’ils ont assuré sur la Main Stage, apportant joie et bonheur aux festivaliers initialement présents pour Sam Smith. Un pari réussi qui s’est terminé dans un public répondant sans problèmes à toutes les demandes du groupe. Joe Langridge-Brown, Nothing But Thieves, Main Square Festival, Arras | © Raine Liliboy, Deluxe, Main Square Festival, Arras | © Raine Pépé, Deluxe, Main Square Festival, Arras | © Raine Un samedi LGBT Samedi 6 juillet, deux artistes issus de la communauté LGBT étaient présents : Eddy de Pretto et Sam Smith. Nombreux étaient les symboles à fleurir partout sur le festival. Licorne, drapeaux, paillettes… Le Main Square s’est paré de ses plus beaux atouts. De plus, si vous n’aviez rien pour soutenir la communauté, il était possible de faire un tour du côté du stand Centre LGBTI+ Fiertés Pas-de-Calais près du Bastion afin de soutenir la cause. De notre côté, nous sommes donc repartis avec deux badges ! Côté live, nous avions raison d’avertir que la Greenroom serait trop juste pour accueillir Eddy de Pretto. Massée d’un bout à l’autre de la scène, le public a accueilli le chanteur avec de nombreuses pancartes, dont un coeur faisant référence à son dernier album, Crash Coeur. On retient également les propos d’un chanteur bienveillant et désireux de voir la santé mentale prendre davantage de place dans nos vies. Mais également le fait de rester sois-même. Parmi les titres interprétés : pApA $ucre, Freaks, être biennn, LOVE’n’Tendresse, Kid et Fête de Trop. En suivant, nous avons rejoint la Main Stage afin de profiter du phénoménal Sam Smith. De ses changements de tenues à des performances dansées, iel a fait le show. Et de son point de vue, le Main Square est l’un des plus beaux endroits où iel a pu jouer. On ne pouvait d’ailleurs rêver mieux qu’un début de concert sur Stay With Me. On a aussi apprécié Too Good at Goodbyes, Lay Me Down, Latch et bien sûr, l’incroyable Unholy mais surtout qu’iel soit particulièrement proche de son public et toujours souriant. Sam Smith, Main
RES : La programmation complète !
Club Avant Seine, scène Firestone, journée 100% féminine ! On vous dit tout sur la programmation complète de RES ! Lundi 3 juin 2024, RES à compléter sa programmation. Découvrez qui se produira aux côtés de Lana Del Rey le mercredi 21 août ainsi que les artistes des scènes Firestone et du Club Avant Seine ! RES : Un mercredi Girl Power Tout comme c’était le cas l’an passé, la journée d’ouverture de Rock En Seine sera 100% féminine. Une volonté que l’on savoure et qu’on espère voir perdurer au fil du temps. Si nous en connaissions la tête d’affiche depuis plusieurs mois, on se demandait quelles artistes rejoindraient Lana Del Rey. Côté artistes francophones, sont programmées ce mercredi 21 août, Pomme et Rori. On ne vous présente plus la première qui a été sacrée à plusieurs reprises aux Victoires de la Musique. On est d’ailleurs ravie de la retrouver à la programmation de cette journée puisque Pomme n’a jamais caché son engagement pour la cause féministe. Notamment en prenant la parole à propos du mouvement #MusicToo. La seconde est belge et déjà prometteuse. Et oui, Rori – dont le nom est emprunté à la série Gilmore Girls – est déjà considérée comme l’un des espoirs de la pop francophone avec son EP Ma saison en enfer (2023). Vous aurez aussi l’occasion de découvrir la danseuse, comédienne et metteuse en scène franco-suisse : YOA. Inspirée par Nina Simone, Madonna, Rosalía ou encore Lana Del Rey, la jeune femme présentera son EP Chansons (+) Tristes (2023) ainsi que son nouveau titre Matcha Queen. Lors de cette journée Girl Power, la jeune irlandaise Nell Mescal vous offrira un voyage aux accents pop-folk grâce à son EP Can I Miss It For A Minute? Enfin, cette première journée de RES mettra l’accent sur Towa Bird. Celle qui a été guitariste pour Olivia Rodrigo et dont Billie Eilish est visiblement fan promet de réveiller la foule avec des titres rock. https://www.youtube.com/watch?v=WHDjBjnuZ1s La scène Firestone Avec l’annonce de sa programmation complète, RES a révélé le line-up de la scène Firestone. Dès le jeudi 22 août, vous y retrouverez trois groupes ! Durry, un duo formé durant la pandémie et composé d’un frère et une soeur originaire du Minnesota. Peut-être avez-vous déjà entendu leur titre Who’s Laughing Now ? Soft Launch, qui ont récemment joué en première partie de Declan McKenna. Avec eux, on peut s’attendre à des titres oscillant entre pop, indier-rock et psyché. Et The Scratch qui nous emmèneront pour une balade en Irlande ! Le lendemain, quatre nouveaux artistes se produiront sur la Scène Firestone : Aili, Bina., New West et Emily Jeffri. Si vous êtes adeptes de Tik Tok, vous connaissez probablement Emily Jeffri depuis l’été 2023. On la recommande aux fans de Stranger Things et de Kavinski ! Toujours côté musique électroniques, le duo Aili mixera des rythmes chaloupés couplés à des textes en japonais. Pour notre part, on aurait plutôt tendance à tendre une oreille à Bina. En même temps, qui peut résister à un mix entre néo-soul, jazz et R&B? Samedi 24 août, les festivités continueront avec CVC, Vox Low et Loverman. On est particulièrement attiré par le projet de Loverman dont on nous promet un songwriting digne des plus grands ainsi qu’un timbre de voix grave. Tout ce qu’on aime ! Evidemment, on ne pourra pas non plus passer à côté de CVC (alias Church Village Collective). Le simple fait que le groupe soit originaire de Cardif nous suffit à vouloir écouter leurs compositions inspirés par la Californie et les sixties. Histoire de conclure les festivités sur la Scène Firestone, Monobloc, Martha Da’Ro, Joy (Anonymous) et les Dynamite Shakers viendront vous présenter leurs univers respectifs. Les premiers sont originaires de New-York et tenteront de vous charmer avec leur titre I’m Just Trying to Love You. Les seconds sont français et sont déjà comparés aux Arctic Monkeys. Autant dire qu’ils sont très prometteurs ! https://www.youtube.com/watch?v=LnaUA4OMUmY Le Club Avant Seine Depuis 2005, RES mise sur les talents émergeants. Cette année, pas moins de 15 artistes de tout horizons se produiront sur la scène du Club Avant Seine du 22 au 25 août. Parmi cette sélection, 3 artistes féminines se dégagent : Lisa Ducasse, Joe La Panic et Nina Versyp. Coup de Coeur FORTE (Fond Régional pour les Talents Émergeants), Lisa Ducasse jouera au Club Avant Seine jeudi 22 août. L’occasion de découvrir son univers influencé par Barbara et Pomme. En plus d’avoir reçu le Coup de Coeur Give Me Five, Joe La Panic est également la lauréate du Prix Rock En Seine 2024. Avec cette artiste originaire de Montpelier, c’est la pop qui sera mis à l’honneur vendredi 23 août. Quant Nina Versyp, vous en avez peut-être entendu parler plus tôt dans l’année. En effet, la jeune femme a remporté le Prix Chorus des Hauts de Seine et s’est produit en première partie d’artistes telles que Pomme ou Clara Ysé. Vous la retrouverez au Club Avant Seine dimanche 25 août. Jeudi 22 août, vous retrouverez également au Club Avant Seine Menades et Past Life Romeo. D’ailleurs, cette dernière c’est d’abord fait connaître via le groupe de rock Sugar Pills. Aujourd’hui, elle met de côté le rock pour nous proposer des titres aux influences electro-pop. Le lendemain, ce sont 135, Please et Rallye qui rejoignent la programmation aux côtés de Joe La Panic. Samedi 24, les quatre groupes qui se produiront au Club Avant Seine sont : Astral Bakers, Clara Kimera, Dog Park et GeaGea. Enfin, Bada-Bada, Madam et Merryn Jeann vous emporterons dans leur univers respectifs dimanche 25 août. https://www.youtube.com/watch?v=4Q4tvXyRH_Y Retrouvez la programmation complète par jour ! Avez-vous hâte de vous rendre à l’édition 2024 de RES? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin
Clap de fin pour le Printemps de Bourges

NEJ et M.Pokora clôturent la 47e édition du Printemps de Bourges ! Dimanche 28 avril 2024, l’univers de la pop urbaine RnB s’est invité sur la scène du W pour clôturer en beauté ces 5 jours de festivités au sein de la ville de Bourges. NEJ En début d’après-midi, un set rempli de bonnes ondes, de sincérité et de pureté a pris place sur la scène du W. Dès son arrivée, la chanteuse NEJ a déclenché les foules ! Enchaînant les titres en français et en arabe, elle n’a laissé personne indifférent avec cette voix presque angélique et ses titres ambiançants. Après le succès phénoménal de Paro sur les réseaux sociaux – qui cumule à l’heure actuelle plus de 16 millions d’écoutes sur les plateformes de streaming -, NEJ s’est produite pour la première fois au Printemps de Bourges. Une nouvelle qui n’est pas passée inaperçue puisque ses fans étaient au rendez-vous, connaissant toutes les paroles du nouveau phénomène français. NEJ au Printemps de Bourges | ©ByKahina M.Pokora En fin de journée, le Printemps de Bourges s’est clôturé de façon endiablé avec un adepte du festival : M. Pokora. Pour fêter ses 20 ans de carrière, et après une vingtaine de dates de sa tournée Épicentre Tour, le chanteur a décidé de faire un arrêt dans plusieurs festivals dont le premier stop au Printemps de Bourges ! L’occasion pour le public de (re)découvrir des tubes emblématiques tels que Juste une photo de toi, Pas sans toi, ou encore – pour les fans de la première heure -, Dangerous. Bien sûr, M.Pokora a alterné avec des titres de son nouvel album comme Fahrenheit et Tombé. Sur scène, c’est bien plus qu’un concert, c’est un vrai show ! Chant, danse, effets pyrotechniques, échanges avec le public, M.Pokora est LE showman français et ne fait aucune différence entre les concerts et les festivals. La scénographie, l’implication, l’énergie sur scène et avec son public, tout est pareil ! Après plus d’1h de show à enchaîner les titres et les chorégraphies sur ses titres les plus connus, s’il y a bien une chose qu’on a retenu de lui ce jour-là, c’est l’amour pour son métier et la reconnaissance envers ses fans, avec sa phrase fêtiche : “Avec le cœur, toujours”. M.Pokora au Printemps de Bourges | ©ByKahina M.Pokora au Printemps de Bourges | ©ByKahina Si vous souhaitez voir des shows à l’américaine en France, la tournée Épicentre Tour de M.Pokora n’est pas terminée et passera dans les plus grands festivals et salles françaises jusqu’à l’été 2024. QUE PEUT-ON RETENIR DE CETTE ÉDITION 2024 ? Après ces quelques jours de festivités dans la ville de Bourges et les 130 concerts organisés sur les différentes scènes au sein du festival, le Printemps de Bourges s’est terminé sur deux concerts exceptionnels au dispositif encore méconnu, dont nous n’avons pas encore parlé. En effet, les deux concerts qui ont eu lieu ce jour-là, dimanche 28 avril, étaient entièrement chant-signés par Aurélie NAHON et Perrine DIOT, deux interprètes en LSF (Langue des Signes Françaises) de l’association 10 Doigts en Cavale. Un dispositif qui a permis à un plus grand nombre de spectateurs de profiter de ces concerts. Des concerts accessibles à tous et pour tous. Et vous, serez-vous au rendez-vous pour la prochaine édition du Printemps de Bourges ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin
Qui voir au Printemps de Bourges en 2024?
Qui dit Printemps, dit Printemps de Bourges. Découvrez les artistes programmés en 2024 ! Du 24 au 28 avril 2024, le Printemps de Bourges ouvrira la saison des festivals français. Entre artistes bien installés, révélations et Inouïs, on revient avant le début des festivités sur ce que vous pourrez entendre durant le festival. Les Inouïs Désormais, le Printemps de Bourges est indissociables des Inouïs. Chaque année, nous attendons même impatiemment les sélections dans l’espoir de découvrir de nouveaux artistes. Que cela soit dans notre propre région, mais également à l’échelle nationale. Pour rappel, les Inouïs du Printemps de Bourges ont notamment permis de révéler Christine and The Queen, Eddy de Pretto, Feu! Chatterton, Hervé, ou plus récemment, Lysistrata, Silly Boy Blue et Zaho de Sagazan. On vous recommande donc d’aller faire un tour du côté du 22 Est & Ouest afin de découvrir le cru 2024 composé de 33 artistes. En plus, il y en aura pour tous les goûts : chansons pop, rap, electro, Groove ou encore rock. Vous trouverez forcément votre bonheur à l’écoute de l’un des artistes sélectionnés. D’ailleurs, en cas de coup de coeur, vous avez jusqu’au 27 avril pour soutenir votre artiste favori en votant ! Parmi eux, vous pourrez notamment profiter de la pop du duo originaire de Nouvelle Aquitaine, Kokopeli dont le titre Seahorses s’adapte parfaitement à des envies d’été. Vous pourrez également compter sur la présence de la nordiste Anaysa et ses textes poétiques. En attendant de l’y découvrir, vous pouvez d’ors et déjà découvrir son EP, Désacoeurdé. Enfin, nous avons eu un coup de coeur pour la pop-folk onirique de Nina Versyp dont l’EP Paralysed est sortie en février 2024. https://www.youtube.com/watch?v=-6tpr2qFUrM Les anciennes révélations Inouïs. En parlant des Inouïs, d’anciennes révélations seront de passage par le Printemps de Bourges tout au long des festivités. À commencer mercredi 24 avril par par Santa et Zaho de Sagazan qui se produiront au W. Cette dernière jouera également au Palais d’Auron dans le cadre de la création « Messages Personnels » Françoise Hardy par Sage. Y apparaîtront d’autres anciens Inouïs tels que Voyou et P.R2B. La même journée, vous retrouverez aussi Raphaëlle Lannadère au MCB Gabriel Monnet ou encore Nikola et Oete au Palais Jacques Coeur. Le lendemain, 7 anciens seront de la partie dont Eddy de Pretto au Palais d’Auron. Dans la soirée, Eloi et Danyl seront quant à eux sur la scène dédiée aux Inouïs au 22 Est & Ouest. Oh Yeah! Oh Yeah ! proposeront également un concert Jeune Public au Théâtre Jacques Coeur. Lieu où se produira un peu plus tard dans la soirée François Atlas, Aghiad et Pierre Guénard. Vendredi 26 avril, seuls 3 artistes révélés par les Inouïs feront partis de la programmation. Silly Boy Blue (Le W), Youv Dee (MCB Gabriel Monnet) et les excellents Lysistrata (22 Est & Ouest). Le lendemain, vous pourrez retrouver quatre autres talents : Bekar (Le W), Calling Marian (Palais d’Auron) ainsi que Brique Argent et Joanna au 22 Est & Ouest. https://www.youtube.com/watch?v=E0g7mvfqsLQ Programmation scène par scène Le W Dès mercredi, en plus de Santa et Zaho de Sagazan, vous pourrez danser aux sons de Mika et Martin Solveig ou vous prendre une dose de nostalgie avec Kyo. Le lendemain sera plus pop-rock puisque le lieu accueillera Olivia Ruiz, Hoshi, Matmatah et Shaka Ponk. Vendredi 26 avril, Le W se parera majoritairement d’influences electro en programmant Trinix, Worakls Orchestra, Mezerg et Bon Entendeur. Luidji, PLK insuffleront quant à eux une part de hip-hop. En parlant de rap, les amateurs de ce genre, notamment français, seront servis samedi 27 avril. En effet, le W accueillera le temps d’une soirée Josman, Niska, SDM, Werenoi, Bekar, H Jeunecrack ou encore Bianca Costa. De quoi largement réjouir la jeunesse ! En guise de clôture, le Printemps de Bourges ne proposera qu’un seul et unique concert le dimanche. Un concerts aux allures pop puisque ce sont NEJ et Matt Pokora qui s’en chargeront. Si on a une préférence pour le rock, on admet que ce dernier est à ajouter à la liste des artistes à voir une fois dans sa vie. Le Palais d’Auron Nous vous en parlions plus haut, Sage mènera mercredi 24 avril une création nommée « Messages Personnels » Françoise Hardy. Un instant fait pour célébrer la chanteuse en se rassemblant autour de ses chansons. Pour cela, Sage a fait appel à d’autres artistes tels que Zaho de Sagazan, Thomas Dutronc, Clara Luciani, Voyou, P.R2B, Alex Kapranos, Alex Montembault, Albin de la Simone, November Ultra ou encore Clara Ysé. Jeudi, 25, le Palais d’Auron mettra le rap et la pop à l’honneur avec Nuit Incolore, Eddy de Pretto, Luther et Rounhaa. Le lendemain sera bien plus pop avec la venue de Yamê, Thomas de Pourquery, Clara Ysé et Solann. Solann que nous avions d’ailleurs découverts il y a quelques mois grâce à Louis Albi ! Pour finir en beauté samedi 27, le Printemps de Bourges vous promet une soirée Electric Palace. Vous pourrez y retrouver Trym, Creeds Live, TDJ, Dimension Bonus, Vanille ainsi que Calling Marian. https://www.youtube.com/watch?v=a9cKwuGkE-k Qui avez-vous hâte de voir au Printemps de Bourges ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin
Quels artistes pour le Bastion du Main Square
Pop, rock, rap, soul. Il y en aura pour tous les goûts sur la scène du Bastion durant le Main Square Festival. Depuis quelques années, le Bastion est la scène incontournable du Main Square Festival qui met en lumière les artistes régionaux. Découvrez ceux qui s’y produiront entre les 4 et 7 juillet 2024 ! Un jeudi éclectique Pour les 20 ans du Main Square, le Bastion représentera un spectre assez large de musiques. La première journée de festivité verra notamment se succéder du reggae, de la pop psyché, du post-punk et, plus étonnant encore, de la folk punk. Ce dernier genre sera représenté par Forest Pooky Quartet. Après écoute, on accroche facilement à Violets Are Red, Roses Are Blue and Dichotomy (2023) dont les mélodies ne sont pas sans rappeler les Beatles et la voix plutôt Biffy Clyro. Tout pour nous plaire en somme ! Les lillois de Naked Soft Men viendront insuffler un vent de fraîcheur et probablement d’humour avec leur excellent EP Bad Daddy. Cette année vous avez peut-être eu l’occasion de les croiser lors de l’audition régionale des Inouïs du Printemps de Bourges à l’Aéronef, ou plus récemment, en première partie de Structures au Grand Mix. À noter que le groupe se lance en ce mois d’avril dans une mini tournée UK, et qu’on est certains qu’ils vont s’y faire de nouveaux fans. Si vous êtes plutôt amateurs de raggae, vous pourrez vous échauffer avec Max’1 and the Rootsmakers avant de filer voir Sean Paul. Pour un peu de pop-psyché, vous pourrez également tendre une oreille aux autodidactes lillois Quantum Quantum. Si vous cherchez des femmes, désolé, il n’y en aura pas une seule à l’horizon sur le Bastion jeudi 4 juillet ! https://www.youtube.com/watch?v=CYkRaa7WSbk Un vendredi entre soul, rap et… métal Vendredi 5 juillet, la scène du Bastion aura clairement deux mood bien distincts : soul / rap et métal. Deux genres que l’on pourrait penser être aux antipodes, et qui pourtant, puisent parfois dans des influences communes. Comme quoi, il n’est pas idiot de les réunir au même endroit. Et c’est le groupe de métal amiénois Sycomore qui ouvrira le bal. Pour les férus de ce genre de musique, Oddism sera également de la partie. Muchos représentera quant à lui le rap français. On espère seulement qu’en live sa voix ne sera pas autotuné car malgré son omniprésence actuelle, on reste vieille école à ce sujet. En revanche, si vous aimez le rap, on vous conseille de le découvrir sur le Bastion aux alentours de 17h. Après le passage de Nothing But Thieves sur la Main Stage, deux choix s’offriront à vous. Le Trio de rock mexicain The Warning à la Green Room ou Guilty Delight au Bastion. Dans notre cas, on pense faire moitié moitié car si nous avons un véritable coup de coeur pour les premières, la voix chaude et puissante d’Aurélie Michelon, alias Orel, nous donne envie de découvrir Guilty Delight en live. De plus, un peu de soul ne fait jamais de mal à personne. Franchement, on aurait préféré ne pas avoir à faire de choix et pouvoir profiter des deux pleinement ! https://www.youtube.com/watch?v=N831EThg7w8 Samedi entre pop et chanson française La programmation du samedi 6 juillet sera des plus cohérente sur le Bastion puisqu’elle mêlera pop et chanson française. Et qui de mieux pour ouvrir cette journée que Romain Watson ? Le chanteur est connu dans la région pour avoir remporté le concours France Bleu de la Révélation de la chanson française des Hauts-de-France 2023. Gage de qualité, Romain a également fait partie du groupe Old Tree’z avec qui il a déjà eu l’occasion de se produire au Main Square en 2019. La pop sera quant à elle largement représentée par Future EXES, Demain Rapides et l’ovni Amouë. Ovni car elle puise aussi bien ses inspirations dans la pop que dans la soul, le rap et des sonorités plus électroniques. Si Amouë n’est pas passée par la case télé-crochet, comme elle le dit si bien dans son titre Intro, elle a bien l’intention d’atteindre le sommet. Côté pop-rock, faites confiance à Future EXES pour vous ambiancer. Rien que leur bio donne envie de se rendre immédiatement au Bastion pour les écouter ! Vous pourrez également profiter de l’électro-pop de Demain Rapides. À noter que l’artiste est sur la pente montante puisqu’il a remporté l’an passé le Prix du Jury au Printemps de Bourges. https://www.youtube.com/watch?v=uqLs0QxHOXQ Un dimanche paritaire Afin de conclure le weekend, le Bastion accueillera de la pop, du rock et du rap. Dès 15h55, c’est MOMA Elle et sa pop-folk qui ouvrira le bal. Originaire de Boulogne-sur-Mer, la jeune artiste nous proposera des titres influencés par Angus & Julia Stones, Tom Walker ou encore Ed Sheeran. Autant dire qu’on a hâte de découvrir son univers en live. Plus tard dans la journée, Blue Katrice, présentera son univers teinté d’une pop puisant ses inspirations entre musiques électroniques, classique et jazz. Son objectif ? Rendre le noir lumineux ! Rien que cela donne envie de s’arrêter au Bastion pour l’écouter. D’autant plus qu’elle aborde des thèmes qui nous parlent tels que les zones d’ombres de la nature humaine, les fantasmes ou encore la légitimité de questionner. Le rock sera quant à lui représenté par Lowland Brothers et le rap par STO. https://www.youtube.com/watch?v=hSqhnvEwkLU Quels artistes avez-vous hâte de découvrir sur la scène du Bastion ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin