Imagine Dragons clôt sa tournée française à Lille

Imagine Dragons a livré au stade Pierre-Mauroy un concert aussi intense que fulgurant, pour son dernier passage français de la tournée « Loom » Il aura fallu patienter onze ans pour revoir Imagine Dragons dans le nord de la France. Mercredi 23 juillet, le groupe originaire de Las Vegas s’est produit à la Decathlon Arena (Stade Pierre-Mauroy). Après, Paris et Lyon, c’est à Lille que le groupe donne le dernier concert en France de la tournée Loom. Bien avant l’apparition du groupe par une trappe sous la scène, 4 ola sont lancés dans tout le stade. Le public est impatient et le concert est complet. Les places se sont envolées rapidement malgré des tarifs vertigineux — de 67 € à 155 € pour les billets standards, et jusqu’à 7 918 € pour les packs VIP. Stade Pierre Mauroy, Lille I ©Welloma Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy, Lille I ©Welloma Quand le dragon s’éveille, le stade se soulève Dès les premières notes, la magie opère, les gradins se lèvent d’un même élan. Le chanteur Dan Reynolds commence doucement avec Fire These Hills et un micro sur pied qu’il décroche vite pour aller au devant de la scène. À la fin du morceau des confettis explosent et le ton est donné. Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Le groupe enchaîne immédiatement avec Thunder. Le guitariste Wayne Sermon rejoint Dan Reynolds au bord de la scène, déclenchant un nouveau cri collectif. Malgré l’absence du batteur Daniel Platzman, récemment parti pour une carrière solo, le trio restant (Reynolds, Sermon et Ben McKee) n’a rien perdu de sa force scénique. Le public connaît chaque parole, chaque note. Reynolds, véritable bête de scène, ne se contente pas de chanter :il court, danse, fait de la batterie sur Radioactive et enchaîne avec du piano pour Deamons. Des confettis des flammes et des feux d’artifice accompagnent le show. Les voix du public aussi, Reynolds tend régulièrement le micro et la foule entonne comme une seule personne les refrains comme les couplets. Wayne Sermon, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Wayne Sermon et Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma La voix du coeur et ses symboles Entre deux morceaux, Dan Reynolds se livre. Il évoque la dépression et la nécessité de parler, de ne pas rester seul. Son message est direct et sans détour : « Your life is always worth living » À ces mots, les caméras balaient le public qui brandit des cartons portant cette phrase. En français : « Ta vie vaut toujours la peine d’être vécue » . Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Autre signe discret mais marquant : les croix noires sur ses mains. Si Dan Reynolds ne les mentionne pas sur scène, les fans connaissent leur signification. Héritées du mouvement Straight Edge, ces croix sont le symbole de son engament personnel à ne pas consommer des drogues, de l’alcool ou des substances. Une promesse faite à lui-même, visible dès la tournée Evolve en 2018, et devenue un clin d’oeil silencieux aux initiés. Les fans repartent du concert avec l’écho des refrains, des confettis dans les cheveux et le sentiment d’avoir vécu un moment de partage fort. Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Tu connaissais la signification des croix sur les mains de Dan Reynolds ? WELLOMA Journaliste & photographe MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin
À la rencontre d’Alessi Rose !

Interview exclusive : Alessi Rose, la nouvelle étoile montante de la scène internationale ! Son nom vous est peut-être encore inconnu et pourtant ! Alessi Rose, jeune artiste britannique autoproduite, est en train de se faire doucement une place sur la scène musicale internationale. À l’occasion du Main Square Festival 2025 (Arras), nous avons pu la rencontrer pour une interview exclusive. De ses débuts dans la musique, à son nouvel EP « Voyeur », en passant par sa notoriété grandissante, découvrez Alessi Rose ! Les Insouciant.e.s : Bonjour Alessi, bienvenue au Main Square Festival. Nous sommes ravie de t’interviewer aujourd’hui. Étant un média culturel ayant pour but de valoriser les femmes dans la société, cela nous tenait à coeur de t’avoir. Pour les gens qui ne te connaissent pas, peux-tu nous parler de tes débuts dans la musique ? On a vu que tu avais commencé par écrire des poèmes, à quel moment tu as su que tu voulais mettre tes pensées en musique et que c’était plus qu’une passion ? Alessi Rose : Je jouais des instruments lorsque je prenais des cours de comédie musicale. Quand j’étais plus jeune, j’étais même dans un choeur d’église parce qu’à l’époque j’adorais déjà performer ! J’ai commencé à écrire quand j’avais 12 ans. J’avais beaucoup de choses à dire. Mais en réalité, cela a commencé quand j’ai décidé de combiner la poésie et la musique. Mon père aimait, et aime toujours, les artistes de musique country. Moi, j’adore Madonna ou encore, Lana Del Rey, des artistes très expressives, aussi bien artistiquement, qu’idéologiquement. Pour en revenir à la question, j’ai commencé à écrire dans ma chambre, et vers 15-16 ans, j’ai commencé à poster quelques clips musicaux sur Instagram. À l’époque, je bloquais toutes les personnes de ma classe parce que j’avais peur d’être critiquée sur le fait que j’essayais de faire quelque chose qui me passionne. Aujourd’hui, je me dis qu’essayer c’est bien parce que si on n’essaie pas, qu’on n’est pas « cringe », qu’on ne se force pas à faire quelque chose, on ira nul part. Je n’en serais pas là où j’en suis aujourd’hui si je n’avais pas fait tout ça. Ce n’est qu’à mes 19 ans que j’ai commencé à produire mes chansons. Je n’avais aucune expérience, je ne savais pas du tout comment faire, et je n’avais surtout personne qui pouvait m’aider. Du coup, j’ai appris à m’autoproduire et j’ai envoyé mes musiques à BBC Introducing. Dans cette radio, ils diffusaient des musiques que je n’avais même pas terminé de mixer. Ils jouaient ça le weekend, et moi à côté, je postais mes musiques en ligne et faisais beaucoup de lives où je composais. C’est à 19 ans que j’ai rencontré quelqu’un à Londres qui m’a dit : « tu as tout pour avoir ta propre carrière, est-ce que tu as une équipe ? ». Mais à l’époque je n’avais personne, aucune connexion dans la musique, rien ! Quand j’y repense, tout s’est produit d’une manière que l’on dit improbable. Et pourtant, c’est bel et bien possible ! Je devais être là à ce moment-là, et ils [les producteurs] m’ont mis sur le bon chemin. J’ai été aidée par les bonnes personnes, au bon moment. Tu es autodidacte, tu t’autoproduis, en tant que femme autoproduite, est-ce que tu as dû faire face à certaines difficultés ? En réalité, je n’ai pas trop eu de difficultés sur l’aspect « production », mais plus en tant que femme qui ne vient pas d’un milieu musical, ou de Londres, ou qui n’a pas de connaissances dans cette industrie-là. C’est un milieu très fermé et souvent difficile d’accès pour certains. Plein de gens trouvent ça beaucoup plus dur que moi d’y accéder. Ils ont raison, c’est compliqué d’y rentrer si tu ne viens pas d’une famille qui a des connaissances dans ce milieu, ou tout simplement de l’argent. Dans mon cas, je suis sûre à 100% que BBC Introducing a fait la différence parce que c’est une radio régionale, qui aide les artistes émergeants, et cela m’a aidé à me faire une place sur la scène musicale, surtout quand je ne savais pas comment m’y prendre. Mais en réalité, je pense que tout le monde peut créer de l’art et qu’il ne devrait pas y avoir de règles pour savoir « qui peut, ou qui ne peut pas » en faire. Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Tes chansons parlent de sujets très importants, notamment de ton syndrôme de l’imposteur dans « Pretty World », ou de ton TOC dans « Don’t Ask Questions ». Est-ce que tes chansons sont une thérapie pour toi ? Oui ! Quand j’ai commencé à écrire à propos de choses qui se passaient à l’intérieur de moi, ça été un exercice très libérateur. Ça m’a aidé à mettre des mots, et à comprendre des choses qui n’étaient pas claires à l’instant T. Don’t Ask Questions raconte mon expérience avec un TOC que j’ai. J’ai pu comprendre comment est-ce qu’il se manifeste, les doutes et appréhensions que j’éprouve à ce sujet, ainsi que l’ambiguïté liée à quelque chose d’encore inconnu pour moi. En grandissant, j’aurais aimé que des personnes parlent ouvertement des TOC. Je n’avais aucune représentation dans la société. Du coup, je suis toujours très contente quand les gens me disent qu’ils ont trouvé une certaine forme de réconfort dans ce que j’ai écrit. C’est une mission accomplie ! Tu l’as dit, tu t’es tout d’abord fait connaitre sur les réseaux sociaux quand tu étais plus jeune, notamment sur Instagram, mais avec ta carrière grandissante et les nombreuses premières parties que tu as faites (notamment lors de la tournée européenne du Radical Optimism Tour de Dua Lipa, et prochainement, la tournée américaine du Miss Possessive Tour de Tate McRae) ta notoriété n’a fait qu’accroître. Quel est ton rapport aux réseaux sociaux et à la santé mentale ? Je crois que j’en suis encore au stade de l’expérimentation des réseaux sociaux et
Clap de fin du Main Square Festival 2025 !

Main Square Festival : le festival intergénérationnel qui sait séduire petits et grands ! Vous le savez, à la rédaction, le Main Square Festival est un événement qui nous tient particulièrement à coeur. Quasiment chaque année depuis la création du média, nous y sommes. Et chaque année, nous sommes surpris.e.s par la diversité des artistes. Revivez avec nous cette édition 2025 ! La nouvelle génération sur le devant de la scène ! Un festival est un très bon endroit pour découvrir des nouveaux talents, et les organisateurs du Main Square Festival l’ont bien compris. En effet, cette année encore, nous avons pu découvrir une nouvelle génération de talents très prometteuse sur les différentes scènes du festival. D’un point de vue international, des artistes comme Dasha, Alessi Rose, Mark Ambor, ou encore Iziya, nous ont fait le plaisir de venir nous faire découvrir leur univers unique et singulier. Si ces noms ne vous disent rien, peut-être que celui de David Kushner vous est plus familier. Lors de la deuxième journée du festival, l’interprète de la chanson Daylight est venu faire (re)découvrir ses titres devant un public conquit et très engagé ! D’ailleurs on vous recommande vivement l’écoute de son excellent second album, The Dichotomy. David Kushner au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Fan d’Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina En parlant de public engagé, celui de Gracie Abrams était bien au rendez-vous ! En effet, dès l’ouverture du festival samedi, son public s’est précipité à la Main Stage pour attendre l’interprète des chansons Close To You et That’s So True. Un véritable raz-de-marée. Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette jeune chanteuse américaine a conquis encore un peu plus le cœur du public.D’un point de vue plus national, nos artistes de la scène française ne sont pas en reste ! Côté rap, Franglish, que l’on ne présente plus désormais, et Ben PLG (candidat de l’émission Nouvelle École) sont venus retourner le public du Main Square Festival. Si vous n’êtes pas des adeptes de la musique rap, ce n’est pas grave ! Lynx IRL, Hervé, ou encore Pierre Garnier, chanteur à succès, et grand gagnant de la Star Academy 2023, sont venus faire découvrir l’étendue de leur talent sur la scène de la Green Room. Vous auriez dû voir le monde ! Fan de Gracie Abrams au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Des têtes d’affiches qui ont conquis le public ! Les festivals sont vecteurs de nouveaux talents, mais ils sont également là pour permettre au public de (re)découvrir leurs artistes préférés sur scène. Lors de cette édition 2025, Clara Luciani, Big Flo & Oli, Julien Doré ou encore Lamomali (collectif franco-malien formé par le chanteur -M-), se sont succédés sur scène pour livrer des performances inédites ! Au total, chaque soir, 40 000 personnes étaient réunies pour danser et chanter sur leurs plus grands tubes ! Julien Doré au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Julien Doré au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Julien Doré au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Pour les plus courageux, et les couche-tard, le samedi et le dimanche soir se sont transformés en boîtes de nuit géantes grâce au DJ néerlandais, Martin Garrix, mais également grâce au DJ français que l’on ne présente plus : DJ Snake. Fun fact, notre Charlie national, présent chaque année pour mettre l’ambiance entre les concerts avec ses claping s’est même fait remarqué par Martin Garrix qui a souhaité le retrouver via les réseaux sociaux. Comme vous avez pu le constater, la programmation de l’édition 2025 était très diverse, ce qui a permis de créer de jolis moments de communions dans les groupes d’amis, ou les familles. Chaque personne a pu faire découvrir à son groupe un artiste qu’il apprécie, finalement, n’est-ce pas ça le but d’un festival ? Créer des souvenirs, s’amuser, chanter, danser et découvrir ! Devinez quoi ? Sur Instagram, le Main Square Festival nous a déjà donné rendez-vous pour l’année prochaine. Alors, réservez vos 3, 4, et 5 juillet 2026. On y sera, et vous ? Quels sont vos pronostics pour la programmation de l’édition 2026 ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES MELANIE Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin
Découvrez la programmation de la nouvelle édition de Séries Mania !

Du 21 au 28 mars 2025, Séries Mania sera de retour à Lille ! Que vous réserve cette édition? Le 13 février, dans la salle de projection du CNC, a été dévoilé ce qui nous attend pour cette édition très excitante de Séries Mania. Portée par des thèmes comme la famille ou la géopolitique actuelle, cette édition se voudra assez féminine, autant dans la programmation que dans les invités. Allez, trêve de suspens, place à la programmation ! Les jurys Cette année, les présidents des 3 jurys (Compétition, Panorama et Formats Courts) seront des présidentes. Le festival réaffirme cette année son envie de mettre en avant les femmes du cinéma. Le jury Compétition sera présidé par Pamela Adlon. Elle sera accompagnée de Minkie Spiro, Karine Viard, Ignacio Serrichio et Victor Le Masne. Le jury Panorama sera présidé par l’écrivaine Lola Lafon et composé de Marie Colomb, Kate Harwood, Casey Baron et Karlis Arnolds Avots. Quant au jury Formats courts, il sera présidé par l’actrice et chanteuse Camélia Jordana. Elle retrouvera à ses côtés Lisa Amjorn (réalisatrice de Young Royals), Julien Gaspard Oliveri (réalisateur de Ceux qui rougissent) et de Aaron Altaras. Pamela Adlon, Lola Lafon, Karine Viard et Camelia Jordana Les conférences Comme tous les ans, Séries Mania vous permettra d’assister à diverses conférences autour de thèmes actuels. On retient notamment un hommage à David Lynch via un échange autour de la série Twin Peaks animé par Olivier Joyard. Les séries sur le Ramadan seront également mises à l’honneur par Mohamed Bouhafsi avec Sofiane Zermani, Zahra Arkat et Yahia Bouzahem. Une conférence qui abordera le sujet des séries fédératrices que regardent ensemble les familles musulmanes lors de la fin de jeûne chaque jour du Ramadan. Thomas Jolly et d’autres invités parleront quant à eux de la scénarisation des cérémonies des JO. Une conférence qui s’explique par le fait que l’art du récit pour ces dernières soit similaire à celui d’une série. Enfin, Séries Mania abordera le sujet des présidents de la République en héros de séries. Pour cela, qui de mieux que François Hollande, ancien occupant du poste pour en parler ? Pour nous, il s’agit d’un invité des plus étonnant ! Cette année, il faut savoir qu’avec 48 séries venues de 19 pays différents, Séries Mania rayonne à l’international et affirme sa place de festival de référence sur les séries en Europe et dans le monde. © PHOTO AFP La compétition internationale Dans la compétition internationale, le jury remettra les prix de la Meilleure série, du Meilleur scénario, de la Meilleure actrice et du Meilleur acteur. Dans l’ordre alphabétique, “pour ne pas faire de jaloux”, comme a plaisanté Laurence Herszberg, ancienne directrice générale du Forum des Images et directrice générale du Festival, vous pourrez découvrir Empathie, série venue tout droit du Canada. On retrouvera aussi Générations, une série danoise sur la découverte d’un infanticide. Est aussi sélectionnée Kaboul, un récit sur la prise de Kaboul en 2021. Quant à nous, on a hâte de découvrir la nouvelle série de Cooper Raiff, Hal and Harper, sur un duo de frère et sœur. Long Bright River reste d’ailleurs dans le thème de la fratrie avec une enquête sur une soeur toxicomane disparue. Il sera aussi question de géopolitique. Notamment via Mussolini : Son of the Century, une biographie choc du dictateur italien. Avec Querer, on découvrira les conséquences intra-familiales de la révélation des viols conjugaux subit par la mère de famille. On a aussi hâte de pouvoir se plonger dans la série franco-suisse à suspens, The Deal, sur les négociations à propos du programme nucléaire iranien. Enfin, sera proposé un thriller politique sur un ancien déporté qui traque un criminel de guerre nazi resté impuni : The German. La compétition française Bien sûr, comme tous les ans, Séries Mania fera la part belle aux séries françaises. Et on a déjà hâte de découvrir toutes ces séries. À commencer par 37 secondes, la vérité sur le naufrage d’un bateau breton, avec Nina Meurisse. Anaon, un thriller rural et surnaturel, et Clean, revanche sociale d’une bande de femmes de ménages. On est aussi intriguées par La famille rose, qui raconte la transmission du cannibalisme dans cette famille. Enfin, on retrouvera Intraçables (Log-out), un thriller sur la cybercriminalité et Le sens des choses, une comédie sur une rabine en devenir. Panorama international et formats courts Enfin, la compétition Panorama international, où le jury remettra les prix de la Meilleure série, de la Meilleure réalisation, et de la Meilleure actrice et du Meilleur acteur. On retrouve la géopolitique avec A life’s worth, sur la guerre de Bosnie. At the end of the night, une série où l’on suit un couple qui divorce. Celeste, série comique sur une inspectrice des impôts qui veut faire tomber la plus grande star du pays. On a très hâte de découvrir Family Matters, dans laquelle une famille ouvre une clinique vétérinaire qui cache probablement un autre business et Putain, sur la hargne d’un lycéen contre ce “putain de monde”. Raul Seixas : Let me sing, un biopic sur un chanteur brésilien et Requiem for Selina, sur la 1ʳᵉ blogueuse norvégienne. On est curieuses de découvrir Réunion, un thriller de vengeance d’un homme sourd. The Danish Woman, l’épopée d’une femme danoise qui débarque en Islande et enfin What it feels like for a girl sur parcours d’une personne dans l’exploration et la découverte de son identité et son orientation sexuelle, que nous avons hâte de voir aussi. Côté formats courts, on retrouvera les séries Au fond du trou, sur les gens qui se rencontrent dans un mini golf, Chef d’orchestre, El’Sardines, Friendcast de Lou Howard, Moonbird, One of us is trembling avec Alex Høgh Andersen (Vikings), T-rex de Gabriel Savignac (Nichole) et Wingspan de l’artiste multidisciplinaire Pedro Harres. « Requiem For Selina » Autres surprises Cette année, vous pourrez revoir des séries cultes des années 90, dont la culte Charmed. Aura aussi lieu une avant-première des 3 premiers épisodes, pour la première fois, d’une série animé, Astérix et Obélix : Le Combat des chefs, en présence d’Alain Chabat. En clôture, vous pourrez découvrir en avant-première la saison 5 de la série qui cartonne en France, en cours d’adaptation dans plusieurs pays, HPI. Et en ouverture, une série qui sort le 30 avril, sur un chef gastronomique sous le règne de Napoléon, Carême. Alors, l’édition 2025 de Séries Mania vous donne-t-elle envie ?
Frank Carter & The Rattlesnakes @ Aéronef

Le 15 novembre 2024, Frank Carter & The Rattlesnakes ont fait leurs adieux pour une durée indéterminée au public français.
Nuit Incolore enchante le Théâtre Sébastopol
Nuit Incolore est passé par le Théâtre Sébastopol de Lille mercredi 9 octobre 2024 ! Retour sur cette soirée suspendue hors du temps. La veille de la journée mondiale de la santé mentale, Nuit Incolore a présenté La Loi du Papillon Tour au Théâtre Sébastopol de Lille. Un passage différent de sa précédente venue dans le Nord avec une nouvelle setlist. Nuit Électrique Théo, alias Nuit Incolore se présente à nous seul en scène. Prétextant un retard de ses compères, il se met derrière son clavier histoire « d’occuper le temps » en attendant leur arrivée. Devenant l’espace d’une « première partie », Nuit Électrique, le chanteur en profite pour raconter des morceaux de sa vie tout en jouant des extraits de quelques uns de ses titres. De nouveaux titres en live Découvert grâce à son feat avec Kyo sur Je cours – oui on a loupé le coche du confinement -, on avait hâte de voir Nuit Incolore sur scène. Entre textes parlant de santé mentale à sa sensibilité, tout nous donnait envie d’assister à l’un de ses concerts. De sa direction artistique à ses tenues en passant par sa présence scénique, Théo a su nous captiver toute la soirée. Alors que la réédition de son premier album, La Loi du Papillon, La Note Noire sortira le 15 novembre prochain, Nuit Incolore a retravaillé sa setlist afin d’interpréter de nouveaux titres. À commencer par son excellent dernier single, On S’écrira où le public s’est parfaitement prêté au jeu des choeurs. On aurait presque voulu que Loïc Nottet fasse une apparition sur scène. Nul doute que les surprises, Nuit Incolore les réservent pour son Olympia le 29 novembre prochain. Parmi les nouveaux titres joués compte également Adieu et Je me déteste. Alors qu’on papillonne dans son univers, on apprécie le mélange des genres qui n’enferment pas le chanteur dans une seule case. Puisant leurs inspirations à la fois dans la pop, le rock, les musiques électroniques ou encore les animés, les compositions de Nuit Incolore trouvent le parfait équilibre pour nous plaire. Et en live, elles prennent une autre dimension. Proximité avec son public Bien sûr, Nuit Incolore n’est pas venu à Lille uniquement pour nous présenter ses nouveaux titres. La setlist comptait plusieurs autres featuring dont Paradoxe ou encore Rendez-Vous. Afin de palier à l’absence de Mentissa sur l’un et Benoît Poher (Kyo) sur l’autre, leurs voix résonnent en fond. Jusqu’à ce que la guitariste, Isia Marie, prennent le relai concernant Paradoxe. Pendant le concert, on rit – car le chanteur ne manque pas d’humour-, chante, danse et ressent de fortes émotions. D’ailleurs, l’immense affection dont fait preuve le public lillois à son égard ne laisse pas Théo en reste. Exprimant ses émotions, on le sent à plusieurs reprises au bord des larmes. Sur scène, on sent la prise de conscience de son succès, ses peurs, ses doutes mais aussi sa joie d’être là ce soir. En somme, Nuit Incolore est un artiste humble méritant amplement sa place dans l’industrie musicale française. Alors qu’il exprime sa peur à jouer dans un théâtre en raison des conditions assises, le Sébastopol lui a montré qu’il n’avait aucune crainte à avoir. Debout, le public chante et danse au fil des titres. Notamment à plein poumons durant Dépassé. Les fans se montrent aussi généreux en cadeaux. Il n’est donc pas étonnant de voir le chanteur se faufiler dans l’allée principale pour chanter au plus près de ses fans. Un moment dont se souviendront bon nombre d’entre eux. Et vous, comptez-vous entrer dans La Loi du Papillon Tour de Nuit Incolore ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin
Dire Straits Experience au Zénith de Lille
Les amateurs de riffs de guitares se sont retrouvés au Zénith de Lille le 9 novembre pour The Dire Straits Experience. Un groupe hommage formé par le saxophoniste Chris White. Samedi 9 novembre 2024, The Dire Straits Experience s’est produit au Zénith de Lille dans le cadre de leur tournée Shiver in the dark. Retour sur une soirée sous le signe des riffs de guitares. Gaëlle Buswel Avec déjà quatre albums au compteur, l’artiste Gaëlle Buswell a été choisie pour ouvrir les dates françaises de The Dire Straits Experience. Un choix judicieux puisqu’elle propose un set d’une petite demie-heure seule en scène avec sa guitare. De quoi attirer l’attention entièrement sur sa performance. Tout au long de son set, la chanteuse interprètera des titres telles que Lya (issu de son album Black To Blue) ou encore Jealousy. Pour clore son passage, Gaëlle interprète Save My Soul avec en guise d’accompagnement son pied et ses mains pour battre le rythme. De quoi nous rappeler les premieres heures du blues ou aucun instrument n’était nécessaire pour vous prendre aux tripes. Car c’est ce qu’elle a réussi à faire ce soir. D’ailleurs, le public n’a pas hésité à donner de la voix, reprenant le refrain à chaque signe de la chanteuse. Nul doute que ce soir, Gaëlle Buswel est repartie de Lille avec de nouveaux fans à son compteur. Si vous ne la connaissez pas encore, la chanteuse a déjà eu l’occasion d’ouvrir des concerts pour Ringo Starr (The Beattles) et ZZ Top. Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie The Dire Straits Experience : la musique au premier plan Au premier abord, The Dire Straits Experience donne l’impression d’assister à un buff entre musiciens. Si vous êtes venus dans l’espérance d’entendre note pour note les versions albums des titres phares de Dire Straits, ce concert n’est pas fait pour vous. Ici, la musique est au premier plan. Si l’on retrouve les riffs intemporels du groupe, les 7 musiciens s’autorisent quelques écarts afin de faire durer les morceaux. Ce qui permet également de les faire vivre d’une nouvelle manière tout en respectant les codes Dire Straits. Bien sûr, tout comme les fans présents ce soir, nous sommes ravis d’avoir pu entendre en live Walk of Life, Romeo & Juliet, Brothers In Arms ou encore Sultans of Swings et l’incontournable Money For Nothing. Des titres attendus au Zénith de Lille au vue de la réaction du public. D’ailleurs, parmi les spectateurs certains ont fait le voyage depuis l’étranger puisque devant la salle et derrière nous dans le public, de l’anglais résonnait dans nos oreilles. Comme quoi, même s’il s’agit d’un Tribute Band, The Dire Straits Experience fait se déplacer les foules. À noter que The Dire Straits Experience n’est pas n’importe quel tribute band puisque le saxophoniste Chris White été l’un des membres de Dire Straits entre 1985 et 1992. De quoi réjouir les fans qui ont pu le voir passer du saxophone à différents cuivres durant le concert. L’occasion également de découvrir sur scène le chanteur et guitariste Terence Reis dont la performance nous a subjugué. Car si Mark Knopfler a laissé une marque indélébile de sa voix et ses guitares, Terence n’a rien à lui envier. Terence Reis, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Terence Reis, Richard Barrett et Yoyo Buys, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Chris White, DSE, ZénIth de Lille | ©RainePhotographie Un public en demi teinte En termes d’ambiance, le Zénith de Lille n’était pas paré de son ambiance des grands soirs. De ci de là, quelques personnes se levaient et dansaient, mais globalement, c’est un public lillois particulièrement sage et venu se détendre en musique qui était présent ce soir. Il aura fallu attendre Sultans of Swings pour que certains décident de quitter leurs sièges et se rendent devant la scène afin de se déchaîner. Soit 2 titres avant la fin du concert. Qu’on se le dise, si aujourd’hui les jeunes sont largement critiqués pour leur utilisation massive des téléphones lors de concerts, on peut vous assurer que ce soir, alors qu’ils ne faisaient pas partis de l’audience, de nombreux écrans étaient visibles depuis le public. Comme quoi, il ne s’agit pas d’une affaire de génération ! Richard Barrett, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Chris White et John Maul, DSE, ZénIth de Lille | ©RainePhotographie Et vous, avez-vous assisté à un concert de The Dire Straits Experience ? Raine Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin
DEADLETTER retourne le Grand Mix

Pour la seconde date de leur Hysterical Strength Tour, Deadletter était au Grand Mix (Tourcoing) le 11 octobre 2024.
Drag Race France : un show féerique et engagé
Cette année, Drag Race nous plonge dans l’univers des contes et légendes. Un spectacle drôle, engagé et parfait pour l’automne ! Du 30 septembre au 2 octobre, les reines de la saison 3 de Drag Race France se sont emparées du Théâtre Sébastopol (Lille) pour 3 dates LÉ-GEN-DAIRES avec pour thème Contes et Légendes. Retour sur la première soirée ! Contes et Légendes Mis en scène par Savary & Zaffuto, à qui l’on doit notamment le FANTASMA Circus Erotica, ce troisième spectacle Drag Race France s’inspire des Contes et Légendes. Le tout, en prenant en compte l’univers de chacune des Queens sur scène. Alors que Afrodite Amour offre un tableau inspiré de la mythologie, Norma Bell nous entraîne au coeur du Piton de la Fournaise. Il y a aussi celles qui ont vu les choses de façon plus décalées. À commencer par Ruby on the nail qui a décrété que sa légende serait Dalida. Avant sa performance, Nicky insiste même de façon humoristique sur le fait qu’elle n’a jamais rien eu d’autre en tête que… Dalida. Ce qui nous convient parfaitement puisque la chanteuse reste une légende de la musique. Toujours de façon décalée, Le Filip nous propose sa propre version de La Belle au bois dormant devenu La Belle au bois bandant. Très loin du conte de fées, la « Belle » version Le Filip – entourée de son harem – est à la fois capricieuse, imbuvable et impétueuse. Soit, tout le contraire de ce qu’on attend de la « princesse version Disney ». Après tout, Le Filip étant notre nouvelle reine, elle peut bien faire ce qui lui chante ! C’était évidemment sans compter sur Nicky Doll et son costume de reine digne d’un podium de défilé. Ici, l’inspiration est clairement celle de Maléfique (Blanche-Neige). Elle demandera même à plusieurs reprises qui est la plus belle ? Même si le public lillois aux aguets, a crié son nom avant même qu’elle le réclame. Norma Bell, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Afrodite Amour, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Ruby on the Nail, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Des performances de saison Rien de mieux que Drag Race France et son Elle était une fois… pour nous mettre d’humeur automnale. Via ces contes et légendes, Lula Strega, Misty Phoenix, Perseo ou encore Leona Winter ont offert des performances de saison. Un avant goût d’Halloween qui nous donne déjà envie d’assister à un Drag Show le 31 octobre. Misty Phoenix met les vampires à l’honneur dans une performance encore accrochée à nos rétines à l’heure actuelle. Des costumes à la mise en scène en passant par la chorégraphie, tout était parfait. En parlant de performance, Perseo – vêtue en pirate – a suspendu le temps grâce à un sublime ballet au claire de lune avant de nous impressionner avec son fameux grand écart. La standing ovation qui a suivi était donc amplement méritée. Qui dit légendes dit sorcières. Ça tombe bien, cette année le casting compte sur la plus douce et poétique des sorcières : Lula Strega. Telle la mère de la forêt, elle nous laisse pénétrer son antre afin de nous ensorceler. Pari réussi puisqu’on aurait voulu que son passage dure bien plus longtemps. Quant à Leona Winter, elle se présente à nous comme la reine des loups pour un moment entièrement live. Peu étonnant puisqu’elle s’est fait connaître du grand public dans la saison 8 de The Voice. Lula Strega, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Perseo, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Misty Phoenix, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Un show engagé Depuis sa première saison, Drag Race France véhicule un engagement politique et social. Valeurs qui ont été transposées sur scène. Notamment grâce à Nicky Doll qui, avant l’entracte remet une couche concernant les propos transphobes de J.K Rowling. Car dans son royaume, aucune potion ne sert de transphobie. On peut donc déguster toute boisson servie sur place en paix ! Les droits trans se retrouvent également au coeur de la performance de Edeha Noire. Logique nous direz-nous puisqu’elle-même est concernée. À l’instar d’un Frankenstein moderne, Edeha Noire se révèle à nous dans un costume de tissus rapiécés rappelant des bouts de peau. De cette renaissance, elle apprend qu’on a le droit d’avoir des émotions. Le droit de pleurer. Le tout superbement mis en scène dans un décor futuriste. Quant aux danseurs, leurs binder font écho à la transition – et / ou la dysphorie de genre -. Tout comme l’écran qui inscrit en fin de performance, Protect Trans Rights. Et qui de mieux que Magnetica pour évoquer la non binarité ? Dès le début, un Gender Error apparaît. L’artiste revêt un costume d’une créature imaginaire non genrée. En fond, un univers et des planètes inconnues. Pourtant lorsque les lumières s’éteignent nous avons l’impression d’observer une créature des fonds marins à bioluminescence. Du costume à la performance, Magnetica a su nous transporter dans son monde. L’engagement de ce spectacle passe également par le harcèlement scolaire. Notamment grâce à la performance de Lula Strega sur Run Boy Run (Woodkid) qui fait écho à son harcèlement scolaire en raison de son orientation sexuelle. Si Lula nous avait ému lors de la saison 3 de Drag Race en parlant de son expérience, elle nous a aussi touché en plein coeur ce soir. Magnetica, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Edeha Noire, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Nicky Doll, Théâtre Sébastopol, Lille | ©RainePhotographie Des Queens régionales à l’honneur On l’avait déjà remarqué en début d’année lors du spectacle de Paloma, le public lillois est friand de Drag. Comme nous n’avions pas eu la possibilité d’assister aux deux précédents show Drag Race France, nous avons sauté sur l’occasion cette année. Dans la salle, sequins, paillettes et superbes maquillages sont de sorties. Tout comme les éventails et quelques Drag Queens régionales. Parmi elles, Miss Coco Kennedy, La Gorgone Wild et The Glitter Wild. Au cours de la soirée, Nicky Doll a invité ces deux dernières à se lancer dans un lypsinc sur Freed From Desire (Gala). Un moment des plus appréciables puisqu’il met
Quels concerts voir à Lille en octobre ?
Découvrez notre top 5 des événements à ne pas manquer à Lille en octobre ! L’automne est là, tout comme le retour des événements dans la métropole lilloise ! On en a profité pour vous faire un top 5 des événements à ne pas manquer – selon nous – en octobre. Drag Race France 3 Vous le savez, que ce soit en musique ou en spectacles, nous soutenons les événements queer. Nous ne pouvions donc pas aborder le mois d’octobre sans vous parler du passage de la tournée Drag Race France 3 par Lille. Elle posera ses bagages au Théâtre Sébastopol les 30 septembre, 1 et 2 octobre. De quoi commencer l’automne avec un spectacle qui s’annonce haut en couleurs ! Et puis, qui dit automne, dit sorcière, alors pourquoi ne pas aller soutenir notre préférée, alias Lula Strega ? Sans parler de sa soeur rouquine Ruby on the Nail dont les lyp sync sont lé-gen-daires. Évidemment, on a également envie de soutenir les autres reines de cette troisième saison présentes sur la tournée : Afrodite, Edeha, Magnetica, Misty Phoenix, Norma Bell, Perso, Léona Winter, et bien sûr, notre nouvelle reine de France, LeFilip. La tournée ayant débuté récemment à Paris, on a eu l’occasion de voir quelques uns des costumes sur les réseaux et le travail d’Aymerick Zana met franchement l’eau à la bouche. Rendez-vous donc sur l’une de ces trois dates ! English Teacher Découverts cette année, les Britanniques d’English Teacher font désormais régulièrement partie des playlists que nous vous concoctons. Originaires de Leeds et Lancashire, le groupe s’est formé en 2018 au conservatoire sous un autre nom avant de changer de direction courant 2020. Si vous ne les connaissez pas encore, il n’y a pas de mal puisque le groupe a sorti son premier album This Could Be Texas en avril 2024. Avis aux amateurs de rock indépendant, English Teacher pourrait bien vous plaire ! Pour ceux qui auraient envie de les découvrir en live, on vous donne rendez-vous le 25 octobre au Grand Mix (Tourcoing). https://www.youtube.com/watch?v=5I7zefEoqGE Purple Disco Machine Il est rare qu’on ait un coup de coeur pour un DJ, mais Tino Piontek, alias Purple Disco Machine, a su nous captiver et ne plus nous lâcher avec ses titres ponctués d’influences 80’s. Le DJ et producteur allemand sera de passage à l’Aéronef le 19 octobre prochain. Et sans surprise, la soirée affiche complet depuis déjà plusieurs semaines. On regrette même de ne l’avoir découvert qu’en 2023 grâce à sa collaboration avec Nothing But Thieves sur Something On My Mind. Dès la première écoute, nous avons su qu’il rentrerait dans notre playlist pour ne plus jamais en ressortir. Et encore aujourd’hui, il est certainement l’un des morceaux que nous écoutons le plus. D’ailleurs, Something On My Mind est présent sur le troisième album de Purple Disco Machine, Paradise, sortie le 20 septembre dernier. On l’a écouté et on adore déjà W.IP (feat Metronomy), Dirty Pleasures (feat Jake Shears) ou encore Honey Boy (feat Nile Rodgers & Shenseea). L’album compte également Substitution en collaboration avec Kungs et Julian Peretta. Ou encore, Sophie and the Giants, avec qui il a déjà travaillé sur deux de ses titres phares, In The Dark et Hypnotized, prête quant à elle à nouveau sa voix sur Paradise. https://www.youtube.com/watch?v=UgYSUYamucI Nuit Incolore Alors que son nouveau titre, On s’écrira en duo avec Loïc Nottet vient de sortir, Nuit Incolore sera de passage au Théâtre Sébastopol de Lille le 9 octobre. Évidemment, ce morceau sera disponible sur la réédition de son album La Note Noire, dont la sortie est prévue pour le 15 novembre prochain. Si nous avons manqué chacun des passages de Nuit Incolore dans la métropole lilloise, on espère que celui-ci sera la bonne. Il faut dire que son univers, inspiré aussi bien par Tim Burton, le Studio Ghibli que par d’autres animés japonais, donne envie de venir le découvrir sur scène. Si vous souhaitez le découvrir, il reste des places et Ticketmaster fait même une promotion jusqu’au 27 septembre. https://www.youtube.com/watch?v=pssWIg6SA-I Hervé Révélation masculine 2021 aux Victoires de la musique, Hervé nous a tous fait danser pendant le confinement avec son excellent Si bien du mal. Trois ans plus tard, le chanteur est bien installé parmi les artistes français à voir absolument en tournée. A-t-on vraiment besoin d’expliquer pourquoi on l’apprécie ? De ses mélodies aux synthétiseurs efficaces, à sa voix reconnaissable entre mille, le chanteur a été un véritable coup de foudre pour plusieurs d’entre nous à la rédaction. Dans un sens, il nous a quelque peu rappelé Lescop à ses débuts, avec une énergie en plus, car en live, tous deux sont foncièrement différents. Hervé jouera au Grand Mix (Tourcoing) le 25 octobre. D’ailleurs, on est étonnés que cette soirée n’affiche pas encore complet ! https://www.youtube.com/watch?v=ABpZe4ld-xk Et vous, quels concerts vous font de l’oeil à Lille en octobre ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin