Yungblud surchauffe le Taubertal Festival

Le Taubertal Festival qui se déroule en Allemagne nous séduit et on en redemande ! Du 7 au 10 août 2025, le Taubertal Festival a pris place à Rothenburg (Allemagne). Pour la première fois depuis la création du site, nous avons décidé de tenter l’expérience d’un festival à l’étranger ! Retour sur notre dimanche en compagnie de Emil Bulls, Ennio, Nothing But Thieves et Yungblud ! Un festival en toute détente Encore traumatisés de l’ouverture des portes si tardive au Main Square 2024 que nous avions du courir pour espérer shooter le premier groupe, le Taubertal Festival nous a offert une expérience opposée. Nous avons même pu profiter du samedi soir sur place pour découvrir les lieux. Ce alors même que nous n’avions demandé un accès que pour le dimanche. Du jamais vu ! Sur place? Une rivière ombragée serpente le long du chemin. Il est même possible d’aller s’y tremper les pieds. Et vu la chaleur, on vous assure que petits et grands n’ont pas hésité à aller s’y rafraîchir. Côté nourriture, il y en a pour tous les goûts, notamment avec des options végé / vegan. Et ce, que ce soit sur le festival, à l’espace VIP ou pour le crew dont le service avait lieu au niveau de la tente presse. Les festivaliers pouvaient également pousser la chansonnette grâce à un espace karaoké. Nous, on a préféré profité du photomaton histoire de pouvoir garder un souvenir du festival. Des stands de préventions étaient également présents. Notamment une association allemande pour la préservation de l’eau. En somme, tous les éléments étaient réunis pour que nous passions un excellent moment. Ajouter à cela une ambiance particulièrement détendue et bienveillante qui donne envie d’y remettre les pieds aussi vite que possible ! Mara & Merit, Taubertal Festival | | © RainePhotographie Nothing But Thieves fans, Taubertal Festival | © RainePhotographie festivaliers, Taubertal Festival |© RainePhotographie À la découverte d’artistes allemands Dimanche, 17h. On commence notre journée avec le groupe de métal alternatif allemand Emil Bulls. On avoue, nous aurions du aller voir 100 Kilo Herz plus tôt dans l’après-midi mais nous étions un peu juste niveau timing. Comme expliqué dans notre annonce de la programmation, nos connaissances en groupes allemands et particulièrement limitée. On s’est donc laissé porté par le groupe qui nous a facilement transporté dans leur univers. Une très belle découverte pour nous (oui, même avec 30 ans de retard). Puis, on dérive sur la scène principale où était attendu Ennio. Avec ses 900 000 auditeurs mensuels sur Spotify, on sent qu’il s’agit d’un artiste en plein essort. Ce qui ne nous étonnes qu’à moitié ! Musicalement, on retrouve les codes de la pop-rock moderne et largement radiophonique. Et les stats ne mentent pas puisqu’il est diffusé sur plus de 250 radios (selon radiostats). Si on accroche à sa voix particulière, le reste ne nous emballe pas plus que ça. Emil Bulls, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Emil Bulls, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Ennio, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie La dernière de l’ère Dead Club City Cette fois c’est visiblement officiel, l’ère Dead Club City qui a vu les anglais Nothing But Thieves prendre du galon est officiellement terminée après 2 ans de tournée. Du moins, si le groupe ne décide pas d’ajouter de nouvelles dates alors qu’ils sont soient disant « en break ». Car si le groupe ne devait plus tournée, ils seront tout de même sur les routes en début d’année prochaine en Australie. À croire que prendre une pause est difficile.  Pour cette « dernière », le groupe est apparu sur scène sans l’un de leurs guitaristes, Joe Langridge-Brown étant absent pour raisons personnelles. Si son énergie à quelque peu manqué – car on apprécie toujours son jeu déchainé-, nous étions ravis de voir le bassiste, Phil Blake mis dans la lumière. Ce qui habituellement n’arrive que durant le jam et Amsterdam.  Malgré la voix un peu fatigué de Conor Mason suite à trois concerts consécutifs, Nothing But Thieves a su séduire le Taubertal Festival. Notamment avec If I Get High dont les high notes nous envoient des frissons ou, dans un autre registre, les excellents singles de Moral Panic, Is Everybody Going Crazy? et Unperson qui permettent à tout le monde de se défouler et jumper. On apprécie également toujours entendre en live des titres issus de Dead Club City comme Tomorrow Is Closed, City Haunts ou encore Overcome. Une chose est sûr, bien qu’il s’agisse de la fin d’une ère, les sourires étaient sur tous les visages. Que ce soit du public ou du groupe. Phil Blake, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Conor Mason, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Dom Craik, Nothing But Thieves, Taubertal Festival, Rothenburg | © RainePhotographie Le sacre de Yungblud On ne s’en cache pas, Idols est l’un des albums que l’on écoute le plus depuis sa sortie. Il faut dire qu’avec ses influences allant de David Bowie aux Cure en passant par Oasis, on ne pouvait que l’aimer. Et visiblement, beaucoup de personnes ont rejoint le train cette année puisque Yungblud devient mainstream. Franchement, si vous nous aviez dit cela il y a quelques années, nous n’y aurions jamais cru ! Curieusement, nous n’avions jamais eu l’occasion de le voir sur scène avant le Taubertal Festival. En plus de l’avoir manqué au Main Square Festival à l’été 2022, notre tentative d’assister à l’un des concerts de sa dernière tournée est restée infructueuse. On s’est donc largement rattrapé ce dimanche 10 août. Seul bémol, on s’attendait à en prendre plein la vue avec les 9 minutes de Hello, Heaven, Hello dès le début du concert, mais Yungblud a coupé court à nos espérances en enchaînant directement sur The Funeral après l’introduction. Il nous faudra donc retourner voir le chanteur en concert pour y avoir droit ! Pour le reste, Yungblud impressionne autant par sa présence scénique, son charisme que sa capacité à galvaniser la foule. À de multiples reprises, le chanteur demande

Imagine Dragons clôt sa tournée française à Lille

Imagine Dragons a livré au stade Pierre-Mauroy un concert aussi intense que fulgurant, pour son dernier passage français de la tournée « Loom » Il aura fallu patienter onze ans pour revoir Imagine Dragons dans le nord de la France. Mercredi 23 juillet, le groupe originaire de Las Vegas s’est produit à la Decathlon Arena (Stade Pierre-Mauroy). Après, Paris et Lyon, c’est à Lille que le groupe donne le dernier concert en France de la tournée Loom.  Bien avant l’apparition du groupe par une trappe sous la scène, 4 ola sont lancés dans tout le stade. Le public est impatient et le concert est complet. Les places se sont envolées rapidement malgré des tarifs vertigineux — de 67 € à 155 € pour les billets standards, et jusqu’à  7 918 € pour les packs VIP.  Stade Pierre Mauroy, Lille I ©Welloma Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy, Lille I ©Welloma Quand le dragon s’éveille, le stade se soulève Dès les premières notes, la magie opère, les gradins se lèvent d’un même élan. Le chanteur Dan Reynolds commence doucement avec Fire These Hills et un micro sur pied qu’il décroche vite pour aller au devant de la scène. À la fin du morceau des confettis explosent et le ton est donné. Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Le groupe enchaîne immédiatement avec Thunder. Le guitariste  Wayne Sermon rejoint Dan Reynolds au bord de la scène, déclenchant un nouveau cri collectif. Malgré l’absence du batteur Daniel Platzman, récemment parti pour une carrière solo, le trio restant (Reynolds, Sermon et Ben McKee) n’a rien perdu de sa force scénique. Le public connaît chaque parole, chaque note. Reynolds, véritable bête de scène, ne se contente pas de chanter :il court, danse, fait de la batterie sur Radioactive et enchaîne avec du piano pour Deamons. Des confettis des flammes et des feux d’artifice accompagnent le show. Les voix du public aussi, Reynolds tend régulièrement le micro et la foule entonne comme une seule personne les refrains comme les couplets.  Wayne Sermon, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Wayne Sermon et Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma La voix du coeur et ses symboles Entre deux morceaux, Dan Reynolds se livre. Il évoque  la dépression et la  nécessité de parler, de ne pas rester seul. Son message est direct et sans détour : « Your life is always worth living »  À ces mots, les caméras balaient le public qui brandit des cartons portant cette phrase. En français : « Ta vie vaut toujours la peine d’être vécue » . Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma   Autre signe discret mais marquant : les croix noires sur ses mains. Si Dan Reynolds ne les mentionne pas sur scène, les fans connaissent leur signification. Héritées du mouvement Straight Edge, ces croix sont le symbole de son engament personnel à ne pas consommer des drogues, de l’alcool ou des substances.  Une promesse faite à lui-même, visible dès la tournée Evolve en 2018, et devenue  un clin d’oeil silencieux aux initiés. Les fans repartent du concert avec l’écho des refrains, des confettis dans les cheveux et le sentiment d’avoir vécu un moment de partage fort. Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Dan Reynolds, Imagine Dragons, Stade Pierre Mauroy Lille | ©Welloma Tu connaissais la signification des croix sur les mains de Dan Reynolds ? WELLOMA Journaliste & photographe MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Clap de fin du Main Square Festival 2025 !

Mainsquare Festival 2025

Main Square Festival : le festival intergénérationnel qui sait séduire petits et grands ! Vous le savez, à la rédaction, le Main Square Festival est un événement qui nous tient particulièrement à coeur. Quasiment chaque année depuis la création du média, nous y sommes. Et chaque année, nous sommes surpris.e.s par la diversité des artistes. Revivez avec nous cette édition 2025 ! La nouvelle génération sur le devant de la scène ! Un festival est un très bon endroit pour découvrir des nouveaux talents, et les organisateurs du Main Square Festival l’ont bien compris. En effet, cette année encore, nous avons pu découvrir une nouvelle génération de talents très prometteuse sur les différentes scènes du festival. D’un point de vue international, des artistes comme Dasha, Alessi Rose, Mark Ambor, ou encore Iziya, nous ont fait le plaisir de venir nous faire découvrir leur univers unique et singulier. Si ces noms ne vous disent rien, peut-être que celui de David Kushner vous est plus familier. Lors de la deuxième journée du festival, l’interprète de la chanson Daylight est venu faire (re)découvrir ses titres devant un public conquit et très engagé ! D’ailleurs on vous recommande vivement l’écoute de son excellent second album, The Dichotomy. David Kushner au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Fan d’Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Alessi Rose au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina En parlant de public engagé, celui de Gracie Abrams était bien au rendez-vous ! En effet, dès l’ouverture du festival samedi, son public s’est précipité à la Main Stage pour attendre l’interprète des chansons Close To You et That’s So True. Un véritable raz-de-marée. Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette jeune chanteuse américaine a conquis encore un peu plus le cœur du public.D’un point de vue plus national, nos artistes de la scène française ne sont pas en reste ! Côté rap, Franglish, que l’on ne présente plus désormais, et Ben PLG (candidat de l’émission Nouvelle École) sont venus retourner le public du Main Square Festival. Si vous n’êtes pas des adeptes de la musique rap, ce n’est pas grave ! Lynx IRL, Hervé, ou encore Pierre Garnier, chanteur à succès, et grand gagnant de la Star Academy 2023, sont venus faire découvrir l’étendue de leur talent sur la scène de la Green Room. Vous auriez dû voir le monde ! Fan de Gracie Abrams au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Des têtes d’affiches qui ont conquis le public ! Les festivals sont vecteurs de nouveaux talents, mais ils sont également là pour permettre au public de (re)découvrir leurs artistes préférés sur scène. Lors de cette édition 2025, Clara Luciani, Big Flo & Oli, Julien Doré ou encore Lamomali (collectif franco-malien formé par le chanteur -M-), se sont succédés sur scène pour livrer des performances inédites ! Au total, chaque soir, 40 000 personnes étaient réunies pour danser et chanter sur leurs plus grands tubes ! Julien Doré au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Julien Doré au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Julien Doré au Main Square Festival 2025 I ©ByKahina Pour les plus courageux, et les couche-tard, le samedi et le dimanche soir se sont transformés en boîtes de nuit géantes grâce au DJ néerlandais, Martin Garrix, mais également grâce au DJ français que l’on ne présente plus : DJ Snake. Fun fact, notre Charlie national, présent chaque année pour mettre l’ambiance entre les concerts avec ses claping s’est même fait remarqué par Martin Garrix qui a souhaité le retrouver via les réseaux sociaux. Comme vous avez pu le constater, la programmation de l’édition 2025 était très diverse, ce qui a permis de créer de jolis moments de communions dans les groupes d’amis, ou les familles. Chaque personne a pu faire découvrir à son groupe un artiste qu’il apprécie, finalement, n’est-ce pas ça le but d’un festival ? Créer des souvenirs, s’amuser, chanter, danser et découvrir ! Devinez quoi ? Sur Instagram, le Main Square Festival nous a déjà donné rendez-vous pour l’année prochaine. Alors, réservez vos 3, 4, et 5 juillet 2026. On y sera, et vous ? Quels sont vos pronostics pour la programmation de l’édition 2026 ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES MELANIE Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

TRENDZ fait briller le Café de la danse à Paris

Le 6 juin 2025, le Café de la Danse à Paris a vibré au rythme de la K-pop avec Trendz C’est dans une salle comble que les membres de Trendz ont offert aux fans une soirée mémorable, pleine d’énergie et de complicité, avec leur performance « Glowy ». Un groupe qui sait tout faire Lors de notre arrivée au Café de la Danse nous avons eu la chance de pouvoir accéder à la salle en même temps que les fans VIP. Au programme : photos, autographes et quelques petits mots échangés avec Trendz. Malgré une fatigue certaine, les membres du groupe se sont montrés bienveillants et souriants. Nous, cela nous fait chaud au coeur de les voir proche de leur public. À 20h30, Trendz investi la scène avec une performance dynamique et entraînante, mêlant chorégraphies impeccables et interactions sincères avec le public. Les titres phares tels que Vagabond ou Chameleon ont résonné dans la salle, captivant l’attention de tous et provoquant les hurlements des fans présents.  Les jeux de lumière et les visuels soignés ont renforcé l’ambiance immersive du concert. Fait surprenant, le groupe a dansé sur des chansons qui ne sont pas les leurs (mention spéciale à Like Jennie), prouvant cependant qu’ils sont des danseurs incroyables, ayant abattu un travail monstrueux pour en arriver là. Pour cela, on ne peut que leur dire Bravo ! Andréane Gatto Un groupe qui aime ses fans Au-delà de la musique, ce qui a marqué la soirée, c’est la proximité du groupe avec ses fans. Entre chaque chanson, les membres ont pris le temps de s’adresser au public, exprimant leur gratitude et leur joie d’être à Paris. Cette sincérité a renforcé le lien spécial entre Trendz et ses « Friendz », comme on les appelle. Mention spéciale à l’anniversaire de Havit sur scène, quel moment ! Le public avait appris la célèbre chanson d’anniversaire en coréen, et la chantait à tue-tête en brandissant des petites photos de leur artiste vedette. Le concert s’est conclu en beauté avec une ovation du public. Cette soirée restera gravée dans les mémoires comme un moment de partage et de célébration de la musique. Trendz, Café de La Danse | © Andréane Gatto Azrael Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

L’univers pop-folk de Mark Ambor au Trianon !

Mark Ambor au Trianon

De Tiktok à la scène, à la découverte de l’univers folk de Mark Ambor ! Son nom ne vous dit peut-être rien, et pourtant, vous n’avez pas pu passer à côté des chansons aux rythmes entrainants de Mark Ambor. À l’occasion de son concert au Trianon, le 16 avril dernier, retour sur son parcours fulgurant ! Tiktok, révélateur de nouveaux talents Depuis la création des réseaux sociaux, de nombreux talents ont été révélés au grand jour, comme Justin Bieber, Shawn Mendes, ou plus récemment, Doechi grâce à sa chanson Anxiety. Mark Ambor, quant à lui, suit les pas de ces artistes. Le 16 février 2024, la chanson Belong Together de Mark Ambor sort sur toutes les plateformes de streaming. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas passée inaperçue ! À la suite de sa sortie, cette chanson est devenue virale sur les réseaux sociaux. Notamment sur Tiktok ou près de 480 000 vidéos ont été réalisées sur la plateforme en l’utilisant.  Cette viralité lui a d’ailleurs permis d’entrer dans de nombreux classements. Il a atteint la 87e place dans le classement Hot 100 des Billboards, la 1ère place dans le classement espagnol LOS40, et le Top 10 dans de nombreux pays, notamment les Pays-Bas, l’Irlande, ou encore, la Suisse. Personne ne s’attendait à un tel succès de la part de ce jeune artiste émergent originaire de Pleasantville aux États-Unis. À l’heure actuelle, Belong Together  a été écoutée plus de 740 millions de fois uniquement sur Spotify. Et en concert, c’est un réel moment de communion.  Mais en réalité, le succès de Mark Ambor ne s’arrête pas à cette chanson. À la suite de Belong Together, ses singles Good To Be et Our Way ont eu le même succès, cumulant aujourd’hui plus de 157 millions d’écoutes pour le premier, et 33 millions pour le second. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Mark Ambor (@markambor) Welcome to Rockwood ! Mardi 16 avril 2025, au Trianon, un air festif et joyeux a envahi la salle du Trianon. La cause ? La venue de Mark Ambor et de ses chansons rythmées ! Pendant 1h30, aux rythmes de sa guitare, Mark Ambor a ensoleillé le Trianon. Tout le public a pu plonger dans l’univers de Rockwood, le premier album de l’artiste. Pour lui, Rockwood représente la genèse de sa carrière. En effet, le jeune américain a débuté en tant que chanteur dans le Rockwood Music Hall.  Appeler son premier album de cette manière est donc une façon pour lui de rendre hommage à ses racines et ses débuts, qui représentent pour lui un endroit de paix et de bonne humeur. Ce qu’il a réussi à retransmettre dans son album et durant ses concerts ! Mark Ambor au Trianon I ©ByKahina Mark Ambor au Trianon I ©ByKahina Mark Ambor au Trianon I ©ByKahina Pour celles et ceux qui auraient manqué son passage Trianon, pas de panique car Mark Ambor part en tournée des festivals cet été ! Retrouvez-le le 3 juillet au Rock Werchter Festival (Belgique), le 4 juillet au Main Square Festival (France), mais également le 10 juillet au Mad Cool Festival (Espagne) et le 12 juillet au festival Lollapalooza de Berlin (Allemagne).  On vous invite fortement à découvrir cet artiste ! Et vous, avez-vous déjà entendu parler de Mark Ambor ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Linkin Park : un retour sur scène haut en émotions

Dimanche 3 novembre 2024 signait le grand retour de Linkin Park sur la scène française, à La Défense Arena de Nanterre. Retour sur cette soirée remplie de nostalgie et joie de vivre. Depuis le décès tragique du chanteur (et leader) de Linkin Park, Chester Bennington en 2017, le groupe a fait une longue pause dans leur carrière. Ici, tout le monde pensait que le groupe ne reviendrait plus sur scène même si Mike Shinoda (rappeur du groupe) faisait encore des apparitions en solo ou lors de concerts d’autres artistes comme Sum 41  afin de rendre hommage à son grand ami disparu. Mais quelle fut la surprise des fans de voir leur groupe préféré faire un retour sur scène avec cette fois-ci une nouvelle chanteuse : Emily Armstrong ?Son arrivée annonce le retour de Linkin Park en studio mais aussi sur scène. Depuis, tout s’est enchainé très vite et … nous voici en concert à Nanterre le 3 novembre 2024, deux nouveaux singles sortis et un nouvel album en route. Retour sur cette soirée d’exception !  Sleep Token : la première partie qui fait plaisir Après avoir franchi les bancs et vagues de personnes, nous arrivons enfin à l’intérieur de la salle qui bout d’impatience. Il faut dire que c’est nul autre que l’un des grands groupes en devenir, Sleep Token qui ouvre le concert. Formés en 2016, les membres de ce groupe britannique de métal sont constamment masqués afin de garder leur anonymat. Et cela ne fera que renforcer leur incroyable prestance scénique. Tout y est : jeux de lumières, présence sur scène, prestation vocales, instrumentation,… Un bonheur pour les yeux et les oreilles ! Imaginez vous. Fermez les yeux et plongez dans l’atmosphère de Sleep Token bercés par la voix du chanteur qui se fait appeler « Vessel« . Des instruments doux mais violents. Une voix calme et puissante avec quelques screams. Sur scène, la présence de choristes renforce davantage l’intensité du show. De la puissance musicale et vocale à en faire vibrer notre âme. Vraiment, ne passez plus à côté de cette merveille musicale qu’est Sleep Token en concert ! Un concert haut en émotions Après cette ouverture de show qui a fait plaisir à plus d’un, l’heure fatidique arrive. Lorsque Linkin Park arrive sur scène, on sent combien le groupe a marqué les générations. Sur scène, ils sont heureux. Ça se voit et ça se ressent ! Évidemment, la joie est partagée. L’ouverture du concert nous met clairement des frissons avec la foule qui est déjà en ébullition. La voix de Chester résonne également avec des éléments de Castle of Glass pendant l’introduction. Durant tout le concert on aura vu le groupe et le public en cohésion. Un fait qui nous fait chaud au coeur lorsque l’on pense à la tragédie qui a pu les toucher. D’ailleurs, le public a fait largement entendre sa voix afin de remplacer celle de Chester sur les parties des anciens morceaux qui lui appartenaient. Le temps est alors suspendu. Si vous voulez notre avis, c’est le plus des hommages. À La Défense Arena, les gens applaudissent et se réjouissent du concert. Un changement considérable par rapport à leur passage au Download Festival. Si comme nous vous avez assisté à ce concert en 2017, vous avez peut-être vécu l’un des derniers en présence de Chester. Un concert marquant du fait d’un mauvais accueil du public qui n’avait pas hésité à huer le groupe sur scène. Apparemment, les gens ont changé de discours suite au décès du leader de Linkin Park. Hypocrisie ou prise de conscience ? Ici le public était bien différent de celui de ce fameux festival (qui n’existe plus en France). Une nouvelle ère Avec l’arrivée d’Emily Armstrong, Linkin Park signe une nouvelle ère et le public sait aussi en être reconnaissants. Même si cela a clairement été la guerre pour obtenir des places pour ce concert de la tournée From Zéro World Tour. Depuis les gradins nous pouvions déjà observer au moins trois catégories différentes en fosse. Cependant, tout le monde semblait ravis d’être ici.  Mike Shinoda a gardé un sourire aux lèvres la plupart du temps, partageant une belle complicité avec Emily sur scène. Cette dernière reste tout de même par moments sur la réserve, laissant le public chanter et rendre hommage. Ainsi, la chanteuse a su garder un équilibre de présence sur scène tout en ayant à l’esprit que le public avait besoin de rendre faire ses adieux avant de tourner la page. Car même si Linkin Park restera a jamais marqué par cette tragédie et perte immense, leur évolution et joie sur scène reste à souligner. Leur setlist a su mettre en valeur les titres phares du groupe tels que Crawling, Burn It Down ou encore One Step Closer. Elle était d’ailleurs divisée en quatre actes différents, laissant le groupe nous interpréter 28 titres. Un retour sur scène marqué par la reconnaissance et l’hommage. Le temps était en lévitation durant des morceaux piano / voix uniquement comme pour Lost qui marquera l’acte III de la setlist avant de se faire rattraper par Breaking the Habit et What I’ve Done.  L’acte IV lui est quant à lui vraiment marqué par les morceaux les plus forts à vivre en concert de Linkin Park (selon nous) : Numb et In the End. Soit les grands classiques indémodables du groupe. Le rappel marque la cohésion entre les anciens et nouveaux morceaux. Dont le single Heavy is the Crown, interprété la veille à Londres pour la sortie du jeu League of Legends. Le concert s’est terminé en beauté avec Bleed It Out (Minutes to Midnight, 2007). Album qui aura marqué une génération entière avec des titres comme What I’ve Done, Shadow of the Day, ou encore Given Up. Un nouvel album très bientôt … N’oublions pas qu’en plus de leur tournée, Linkin Park sont retournés en studio. En plus des deux nouveaux singles (Over Each Other et Heavy is the Crown) ils nous reservent de nombreux autres titres. Leur nouvel album From Zero sort le 15 novembre prochain ! Et vous, qu’attendez vous pour voir (ou revoir) Linkin

Dire Straits Experience au Zénith de Lille

Les amateurs de riffs de guitares se sont retrouvés au Zénith de Lille le 9 novembre pour The Dire Straits Experience. Un groupe hommage formé par le saxophoniste Chris White. Samedi 9 novembre 2024, The Dire Straits Experience s’est produit au Zénith de Lille dans le cadre de leur tournée Shiver in the dark. Retour sur une soirée sous le signe des riffs de guitares. Gaëlle Buswel Avec déjà quatre albums au compteur, l’artiste Gaëlle Buswell a été choisie pour ouvrir les dates françaises de The Dire Straits Experience. Un choix judicieux puisqu’elle propose un set d’une petite demie-heure seule en scène avec sa guitare. De quoi attirer l’attention entièrement sur sa performance. Tout au long de son set, la chanteuse interprètera des titres telles que Lya (issu de son album Black To Blue) ou encore Jealousy. Pour clore son passage, Gaëlle interprète Save My Soul avec en guise d’accompagnement son pied et ses mains pour battre le rythme. De quoi nous rappeler les premieres heures du blues ou aucun instrument n’était nécessaire pour vous prendre aux tripes. Car c’est ce qu’elle a réussi à faire ce soir. D’ailleurs, le public n’a pas hésité à donner de la voix, reprenant le refrain à chaque signe de la chanteuse. Nul doute que ce soir, Gaëlle Buswel est repartie de Lille avec de nouveaux fans à son compteur. Si vous ne la connaissez pas encore, la chanteuse a déjà eu l’occasion d’ouvrir des concerts pour Ringo Starr (The Beattles) et ZZ Top. Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie The Dire Straits Experience : la musique au premier plan Au premier abord, The Dire Straits Experience donne l’impression d’assister à un buff entre musiciens. Si vous êtes venus dans l’espérance d’entendre note pour note les versions albums des titres phares de Dire Straits, ce concert n’est pas fait pour vous. Ici, la musique est au premier plan. Si l’on retrouve les riffs intemporels du groupe, les 7 musiciens s’autorisent quelques écarts afin de faire durer les morceaux. Ce qui permet également de les faire vivre d’une nouvelle manière tout en respectant les codes Dire Straits. Bien sûr, tout comme les fans présents ce soir, nous sommes ravis d’avoir pu entendre en live Walk of Life, Romeo & Juliet, Brothers In Arms ou encore Sultans of Swings et l’incontournable Money For Nothing. Des titres attendus au Zénith de Lille au vue de la réaction du public. D’ailleurs, parmi les spectateurs certains ont fait le voyage depuis l’étranger puisque devant la salle et derrière nous dans le public, de l’anglais résonnait dans nos oreilles. Comme quoi, même s’il s’agit d’un Tribute Band, The Dire Straits Experience fait se déplacer les foules. À noter que The Dire Straits Experience n’est pas n’importe quel tribute band puisque le saxophoniste Chris White été l’un des membres de Dire Straits entre 1985 et 1992. De quoi réjouir les fans qui ont pu le voir passer du saxophone à différents cuivres durant le concert. L’occasion également de découvrir sur scène le chanteur et guitariste Terence Reis dont la performance nous a subjugué. Car si Mark Knopfler a laissé une marque indélébile de sa voix et ses guitares, Terence n’a rien à lui envier. Terence Reis, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Terence Reis, Richard Barrett et Yoyo Buys, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Chris White, DSE, ZénIth de Lille | ©RainePhotographie Un public en demi teinte En termes d’ambiance, le Zénith de Lille n’était pas paré de son ambiance des grands soirs. De ci de là, quelques personnes se levaient et dansaient, mais globalement, c’est un public lillois particulièrement sage et venu se détendre en musique qui était présent ce soir. Il aura fallu attendre Sultans of Swings pour que certains décident de quitter leurs sièges et se rendent devant la scène afin de se déchaîner. Soit 2 titres avant la fin du concert.  Qu’on se le dise, si aujourd’hui les jeunes sont largement critiqués pour leur utilisation massive des téléphones lors de concerts, on peut vous assurer que ce soir, alors qu’ils ne faisaient pas partis de l’audience, de nombreux écrans étaient visibles depuis le public. Comme quoi, il ne s’agit pas d’une affaire de génération ! Richard Barrett, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Chris White et John Maul, DSE, ZénIth de Lille | ©RainePhotographie Et vous, avez-vous assisté à un concert de The Dire Straits Experience ? Raine Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Bouquet Final : Voyou clôt sa tournée en beauté

Voyou ouvre son Bouquet Final dans la ville de son enfance ! Samedi 21 septembre 2024, Voyou a présenté son premier Bouquet Final à l’Aéronef. Un instant de douceur et partage avec le public lillois venu en masse. Retour sur la soirée ! Voyou & Friends En guise d’ouverture de son Bouquet Final, Voyou nous propose un set acoustique particulier. Après avoir interprété Voyage, le chanteur offre à ses musiciens une superbe mise en valeur. Car Voyou n’est pas seulement accompagné de musiciens additionnels mais de véritables artistes. Et ce soir, chacun aura droit à son moment. Le premier à s’élancer est Rémi Klein. Habituellement derrière un synthé, ce soir, il passe à la guitare afin de nous interpréter une très belle composition personnelle : Ring the Bell. Puis, c’est au tour de Laura Etchegoyhen. Multi-instrumentiste originaire du pays-basque, sa composition l’hiver, accentue les voix qui s’harmonisent parfaitement. Ainsi, tous nous offrent un moment suspendu au fil de leurs lèvres. De son côté, Jean Thevenin (alias Jaune) prouve qu’il est parfaitement possible d’allier chant et batterie. S’il a délaissé la sienne le temps de ce set acoustique, on découvre ce soir son univers avec son titre le plancton. Enfin, la bassiste, compositrice et interprêtre Laure Sanchez nous offre également l’une de ses compositions personnelles. Tout ce petit monde conclu ensuite avec Carnaval. Rémi Klein, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie De gauche à droite : Laure Sanchez, Rémi Klein, Laura Etchegoyhen, Voyou, Jean Thevenin, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Jean Thevenin, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Rose & Punani font le show À peine le temps de nous remettre de nos émotions que la soirée continue avec le drag show de Rose & Punani. Car qui de mieux pour un Bouquet Final que la participation de Rose dans une tenue donnant l’impression d’un bouquet vivant ? Après une superbe entrée en la matière sur Last Dance (Donna Summer), le duo nous donne les résultats de la tombola organisée par Voyou. Et le chanteur n’a pas fait les choses à moitié puisque les lots comportaient des places de concerts pour la prochaine tournée, des lithographies dédicacées ou encore un album « très rare » pressé par Voyou lui-même. L’humour décapant de Rose et Punani fait largement rire la salle. D’ailleurs, on remercie Punani pour sa petite pique concernant la nouvelle formation du gouvernement. Suivant les résultats de la tombola, cette dernière nous offre un lip sync incroyable sur New-York still alive (Shirley Bassey). Puis, c’est au tour de Rose de se lancer dans une remise de prix avec imitation de plusieurs chanteuses francophones. Parmi elles, Vanessa Paradis, Céline Dion et Véronique Sanson. Sans parler de son hilarante reprise de Djadja (Aya Nakamura) par Dalida. Punani, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Rose & Punani, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Le concert Afin de poursuivre la soirée Bouquet Final, Voyou nous offre un set plus électrique et parfaitement représentatif de son univers. D’un côté, certains rythmes nous font danser (D’amour et d’insouciance) lorsque d’autres nous laissent en écoute active. Si Vanessa Paradis ou November Ultra ne sont pas de la partie à Lille, Pi Ja Ma a rejoint Voyou pour deux titres dont Les tétons. Morceau qu’ils interprètent pour la première fois sur scène et dont Voyou admet ne pas s’être souvenu de toutes les paroles en répétition. Et Pi Ja Ma de poursuivre, en affirmant qu’à Lille, on aime les tétons. Sur scène, l’alchimie entre les deux artistes se transmet facilement au public. Public qui sera remercié plus tard dans la soirée pour son oreille bienveillante avant que le chanteur n’interprète Une île. Pourtant, on peut affirmer que l’écoute n’était pas à 100% attentive puisque les spectateurs de l’Aéronef on du réclamer le silence lorsque Voyou s’est présenté seul devant nous au piano. Heureusement, rien qui ne puisse perturber le chanteur qui prend les cris à la rigolade après qu’un homme se soit fait huer par l’entièreté de la salle. Alors que la fin du concert approche, on sent combien Voyou est ému par ce Bouquet Final et ses retrouvailles avec les gens du Nord. Car s’il est une chose que l’on peut affirmer, c’est que Voyou porte un véritable amour pour ses origines. Alors quoi de mieux que sa chanson, Lille pour clore la soirée ?  Voyou, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Voyou, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Laure Sanchez, Bouquet Final, Aéronef, Lille | ©RainePhotographie Exposition, tatouages,… Arrivés à l’ouverture des portes, nous en avons profité pour flâner un peu dans l’Aéronef. En bas avaient été installé le merch ainsi que l’exposition de Voyou et Cyril Pedrosa. Exposition qui nous a permis de comprendre l’univers du chanteur mais aussi la façon dont ont été fait les artwork autour des Royaumes Minuscules. Il nous faudra ensuite gagner la mezzanine pour la suite des festivités. Ce qui nous a un peu étonné puisque l’on s’attendait à ce que tout soit centré au même endroit. Comme prévu, Fishstick était de la partie afin de tatouer celles et ceux qui le désiraient. D’ailleurs, Voyou avait lui-même dessiné une planche complète d’adorables tatouages. On l’avoue, il a été difficile de ne pas craquer pour l’un d’eux ! Les spectateurs ont également pu glaner des vêtements en se rendant au coin friperie qui se tenait juste à côté. Planche de dessins réalisés par Voyou pour des tatouages. ©fishstick.tattoo Et vous, allez vous assister au Bouquet Final de Voyou ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

La ferveur Star Academy de retour !

Les 18 et 19 mai 2024, la Star Academy a enflammé le Zénith de Lille avec quatre shows en deux jours ! 16 ans après la dernière tournée, la ferveur Star Academy est de retour ! Parmi les 68 dates de la tournée, un nouvel arrêt au Zénith de Lille pour pas moins de quatre dates en deux jours.  Un succès clairement renouée puisque les académiciens ont réussi à faire salle comble. Louis Albi s’affirme ! La Star Academy étant une histoire de famille, ce soir, la première partie est assurée par l’un des finalistes de la saison précédente, Louis Albi. Lui dont la promotion n’avait pas eu sa propre tournée Star Ac a aujourd’hui la chance de savourer l’engouement du public pour l’émission. Cependant, on trouve dommage que tout le monde n’ait pas été logé à la même enseigne. Car si vous assistiez à la séance de 15h, point de première partie. Dans le sillage de Louis, un vent de générosité et bienveillance. De quoi nous mettre de bonne humeur avec cinq titres issus de son premier album, Pleurer de Joie (2023) que nous avions eu l’occasion d’entendre dans son entièreté lors de son passage par La Bulle Café en novembre 2023. Ce soir, la scène lui offre tout l’espace dont il a besoin pour se libérer, révélant une personnalité aussi solaire que sincère avec un trait d’humour. Il nous a d’ailleurs assuré « s’amuser énormément » lors de ces premières parties. On vous l’assure, depuis ses quelques dates l’an dernier, Louis Albi s’est affirmé ! On espère donc qu’il aura l’occasion de se produire sur des scènes lui permettant de se lâcher aussi bien que ce soir à Lille ! À noter que Louis Albi se produira à la Arras Pride Festival le 8 juin prochain. Vous pourrez d’ailleurs y retrouver le même jour Margot Abate. Il sera aussi à nouveau sur plusieurs dates de la Star Academy entre le 12 juin (Angers) et le 7 juillet (Bruxelles). Dont le 6 juillet au Gayant Expo de Douai.  Louis Albi, Zénith de Lille | ©Raine Louis Albi, Zénith de Lille | ©Raine Louis Albi, Zénith de Lille | ©Raine L’essence Star Academy sur scène Lorsque l’on évoque la Star Academy, on pense chant mais aussi danse. Un point particulièrement mis à l’honneur durant tout le show proposé par la promotion 2023. De la chorégraphie de leur hymne, Au bout de mes rêves, à de nombreux tableaux, les académiciens enchaînent sans la moindre fausse note. Mention spéciale pour Djébril dont l’évolution scénique nous a impressionné. On le retrouvera même dans les airs pour une interprétation de Diamonds (Rihanna). Cette tournée revisitant les meilleurs moments de la saison, on retrouve des duos marquants tels que L’effet de masse (Candice et Axel) ou Shallow (Héléna et Pierre). Nous sommes également ravis de voir qu’après avoir laissé Kid (Eddy de Pretto) à Djébril lors d’un prime, Axel a désormais la possibilité de l’interpréter en duo durant cette tournée ! C’est aussi l’occasion de (re)voir quelques tableaux créés pour le télé-crochet de TF1. Ainsi, Candice et Pierre interprètent You’re the one that I want (Grease) tandis que Héléna, Djébril et Lénie chantent L’Assasymphonie. On ne pouvait non plus passer à côté du medley Michael Jackson qui avait marqué la saison. S’il arrive que d’autres académiciens rejoignent Héléna afin d’interpréter Popcorn Salé (Santa), ce soir, aucun invité ne s’est montré. C’est donc Julien qui a rejoint Héléna afin de chanter le titre sous une pluie de neige artificielle. Héléna et Julien, Zénith de Lille | ©Raine Candice, Pierre, Julien, Djebril, Héléna, Axel et Lénie, Zénith de Lille | ©Raine De droite à gauche : Djebril, Candice, Julien et Pierre, Zénith de Lille | | ©Raine Un public au rendez-vous On ne va pas mentir, il y a une véritable ferveur autour de cette tournée Star Academy. Si nous avons l’habitude du public nordiste à la réputation sans faille, ce soir, le Zénith de Lille était plus survolté que jamais. À tel point que nous nous sommes demandés si nous étions bien face à la Star Academy ou devant une star internationale ! Les académiciens ont reçu une véritable vague d’amour de la part des lillois. Et on ne peut qu’imaginer l’effet que cela doit faire multiplié par 4 ! Chaque intermède voit certain•e•s déclamer leur amour pour tel ou tel artiste. Tous sont touchés, et ça se voit ! Au vue de l’ambiance, le grand gagnant de cette saison, Pierre, décide même de tourner son prochain clip au Zénith de Lille. Après avoir interprété son premier single, Ceux qu’on était, Pierre offre ainsi son nouveau titre, Nous on sait. Toujours dans le but de supporter les projets personnels des académiciens, Axel a pu voir des centaines de coeur sur lesquels étaient inscrit « Chante plus fort » – en écho à son premier single Chante – s’élever dans la salle. Un joyeux anniversaire à son intention montera également du public -même s’il n’est que le lendemain -. À noter que Hélena et Julien ont également eu l’occasion de présenter leurs propres singles. Plus tard, alors que Lénie interprète Ne Me Jugez Pas (Camille Lellouche), des feuilles sont brandis en fosse et gradins avec son visage dans un coeur couplé d’un merci. En terminant par Famille, les académiciens englobent d’ailleurs les spectateurs dans la grande famille qu’est la Star Academy. Retrouvez ici toutes nos photos de la soirée ! Et vous, comptez-vous participer à la ferveur Star Academy ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin