Live Report : Taylor Swift à la Défense Arena

Du 9 au 12 mai 2024, Taylor Swift est venue présenter sa nouvelle version du Eras Tour à La Défense Arena. Retour sur l’un des événements les plus attendus de l’année ! C’est face à 45 000 personnes par soir que Taylor Swift a fait le show pendant près de 3h15 ! Un spectacle à couper le souffle, tant par la prestance de la chanteuse américaine que par ses tenues et les chorégraphies parfaitement exécutées de ses danseuses et danseurs. Nous y étions les 4 soirs et avons encore du mal à redescendre ! The Eras Tour : la tournée fantasmée par les fans La mise en vente des billets pour le Eras Tour a fait plus de déçus que de chanceux. Il faut dire que le nombre de fans espérant obtenir leur précieux sésame était démesuré ! Selon Bathilde Lorenzetti (patronne de La Défense Arena), un million de connexions ont été recensées par concert. Une jauge bien au-delà des 45 000 places disponibles à la Défense Arena, alias, la plus grande salle couverte d’Europe. Cette très forte demande s’explique notamment par le fait que Paris soit la première ville du monde à découvrir les chansons du très attendu The Tortured Poets Department. Album sorti seulement quelques jours avant le passage de la star américaine en France. La tournée Européenne se voit donc affublée d’une nouvelle Era. Car, comme l’expliquera Taylor au début du concert, le Eras Tour a pour but de revisiter toute sa discographie, soit 18 ans de musique « One Era at a time ».  Parmi les fans de Taylor Swift à Paris, près d’un tiers des spectateurs venaient de l’étranger. De quoi faire rager les fans français de la chanteuse dont le dernier passage en France remontait à 2011. Quelques fans aux regards désespérés ont donc tenté leur chance avec des pancartes « Cherche 1 place » tout le long de la file d’attente. Pendant ce temps, d’autres – une cinquantaine – ont passé la nuit devant l’Arena, désireux de se retrouver au plus près de l’artiste. Hors de question cependant de ne pas respecter le dress code des Swifties : paillettes, sequins, chapeaux ou encore tenues selon certaines Eras. On vous l’assure, il y en avait pour tous les goûts et les couleurs ! Taylor Swift, La Défense Arena, Paris | ©Melanie Pierrat Par amour Paris Lors du tour américain de Taylor Swift, de nombreuses étoiles montantes de la scène pop ont foulé la scène du Eras Tour. Parmi elles : Gracie Abrams, Girl in Red, Haim, Phoebe Bridgers, Beabadoobee, Muna, Gayle, Owenn et Sabrina Carpenter. Une liste d’artistes très qualitative dont certaines font parties de nos coups de coeur !  Cependant, pour l’ouverture de son show en Europe, Taylor Swift  s’est tournée vers l’une de ses amies de longue date : Hayley Williams. Une nouvelle qui a ravit les fans de Paramore. D’autant plus que le groupe n’avait pas joué en France depuis leur Olympia en janvier 2018 avec leur After Laughter Tour ! Alors merci Taylor Swift sans qui on espèrerait encore le retour du groupe. Mais après tout… Si l’on fait un mix des mots « Paramore » et « Taylor » cela donne « Partay » alors… Let’s Partay ! (faisons la fête) Lors de ces quatre soirs en première partie du Eras Tour, Paramore a principalement joué des titres très pop. Un fait sûrement dû au virage musical effectué avec de la sortie de After Laughter (2017). Soit l’album le plus pop du groupe et très loin des sons pop punk de All We Know Is Falling ou encore Riot!. En France, leur set ne comportera d’ailleurs qu’un titre de ce dernier, That’s What You Get. Parmi les titres joués, on compte aussi Brick By Boring Brick, ou encore le tant attendu (par les vampires) Decode qui sont extraits de l’album Brand New Eyes (2009). Des sons plus pop que rock tels que Still Into You ou Caught In The Middle posaient quant à eux l’ambiance pendant que Hayley Williams (chanteuse) dansait toujours aussi bien sur scène accompagnée de ses acolytes Taylor York (guitariste) et Zac Farro (batteur). Sans oublier le doux morceau, The Only Exception, qui aura permis (entre autres) à Hayley de pouvoir davantage montrer sa puissance vocale à la Défense Arena.  Ces ouvertures de concerts pendant quatre soirs de suite étant remplies d’énergie et d’entrain de la part de Paramore, le public ne pouvait qu’être ravi. Ce, qu’il soit familier ou non de Paramore ! Paramore, La Défense Arena, Paris | ©Melanie Pierrat Paramore, La Défense Arena, Paris | ©Melanie Pierrat Un show hors compétition Taylor Swift n’est pas connue pour faire les choses dans la mesure et le Eras Tour n’y échappe pas ! Peu avant le début des festivités, un compteur s’affiche sur l’écran principal, annonçant qu’il ne reste plus que quelques minutes d’attente ! Dans l’Arena, la tension monte et les fans se mettent à crier alors que l’on se rapproche dangereusement de zéro ! L’entrée en scène de Taylor est encore plus surprenante en vrai qu’au cinéma ! Nous étions au Grand Rex pour la diffusion du Eras Tour l’an dernier et le live n’a rien à envier aux salles obscures. Les frissons nous parcourent déjà lorsque quelques danseurs s’avancent sur la scène, portant comme des coquillages ou des pétales de fleur géantes qu’ils manient avec élégance. Se repliant tous sur eux-mêmes, ils cachent l’entrée de Taylor Swift sur scène pour ensuite la révéler aux yeux de tous, comme un bourgeon qui fleurit enfin ! Le sourire sur les lèvres de la chanteuse est communicatif. Sa présence nous fait oublier tout le reste alors qu’elle commence avec une version courte de Miss Americana & the Heartbreak Prince. Même si vous ne connaissez pas les paroles, vous serez directement happé.e tant l’ambiance et la prestance de la chanteuse sont extraordinaires ! La salle entière résonne et enchaîne directement avec Cruel Summer, dont le premier bridge de la soirée sera hurlé par tous ceux dont la chanson leur est familière ! Il faut dire que l’américaine est réputée pour ses bridges très catchy, et nous plaidons coupables car on adore tout autant ces passages ! Taylor Swift, La Défense Arena, Paris | ©Melanie Pierrat Dès le début du

Retour sur l’incroyable concert de Blanks

Le 19 septembre nous avons eu la chance d’assister au concert de Blanks qui se produisait pour la seconde fois à La Boule Noire. 3 ans que les fans de Blanks attendaient le groupe. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils n’ont pas été déçus. Retour sur ce concert exceptionnel qui a réjoui une foule en extase et en communion avec le chanteur. Jude Todd : une première partie qui met tout le monde d’accord ! Afin d’ouvrir les festivités c’est Jude Todd qui s’est lancé en première partie de Blanks. Ancien participant de The Voice, il interprète des chansons franco-anglaises aux airs pop folk. Les rythmes entraînants et la joie de Jude Todd (accompagné d’un batteur) ont directement ambiancé le public. Cela a donc donné le ton pour la suite.  Le public a tant apprécié les morceaux proposés que tout le monde a allumé les lumières des portables lors d’un titre. Ambiance intimiste garantie ! De plus, la foule s’est pris au jeu, chantant et les accompagnant avec leur cœur. D’ailleurs, à la fin du concert des roses ont été données au chanteur et son musicien. Indéniablement, Jude Todd est un artiste interprète complet à suivre de très près ! Judd Todd et son musicien en première partie de Blanks | © Mélanie Pierrat Qui est Blanks ? Le moment fatidique arrive : Simon de Wit, alias Blanks monte sur scène. Le grand néerlandais passe donc de YouTube à la scène. Et qu’il est bon dans les deux domaines ! Mais revenons d’abord sur ses prémices. Peut être que certains d’entre vous ne connaissent pas encore Blanks. Comme nous le mentionnions ci-dessus, le jeune homme n’a pas fait ses débuts sur scène mais sur Youtube. Sur sa chaine, on retrouve notamment des covers en tout genre. Par exemple, si Someone you loved (Lewis Capaldi) était de Blink 182. Ou encore si Another Love de Tom Odell était une chanson joyeuse au Ukulélé.  Par la suite, Blanks a créé ses premiers morceaux. Le tout, de manière participative. En effet, il laissait les gens voter via des sondages Instagram afin de déterminer les préférences de sa communauté. On découvre alors l’univers aux sonorités plus pop et entrainantes. Une pop un poil kitsch agrémentée de synthés. Un concert attendu Ā peine arrivé vêtu de la même tenue que celle qu’il porte sur l’affiche de sa tournée, soit, un costume et des converses, Blanks est acclamé par la foule. Il ne faudra d’ailleurs pas longtemps pour que tout le monde s’emballe sur chacun de ses titres. C’est ça quand on sait mettre l’ambiance !  D’ailleurs, il s’agit d’un concert « reporté » puisque le chanteur aurait du se produire à Paris il y a quelques années. Malheureusement, sa venue avait été compromise en raison du COVID. Public durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Public durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie PierratPublic durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Public durant Blanks à la Boule Noire | Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Blanks à la Boule Noire | © Mélanie Pierrat Un artiste reconnaissant Tout le long du concert, Blanks interagit avec son public, ne cessant de répéter à quel point il est heureux et reconnaissant de faire ce concert. Les titres s’enchaînent et ne se ressemblent pas. Évidemment, le chanteur va jouer ses titres phares telles que la reprise de Better now (Post Malone), en passant par  I’m not scared anymore et bien sûr Breathe in breathe out où le public reprend les paroles. N’oublions pas de citer LE morceau avec lequel Banks s’est fait connaître au moment du confinement : Dance Alone. Un morceau participatif au rythme joyeux qui l’a propulsé sur le devant de la scène. Et, dans notre cas, nous a bercé durant le confinement. Le concert se passe comme une grosse soirée à la maison entouré de personnes bienveillantes et heureuses d’être là. Toutes profitent de chaque instant. Histoire de garder cette proximité, Blanks a également annoncé qu’il viendrait à la rencontre du public suite à son set. https://www.youtube.com/watch?v=Z4DEi1-t2sI Et vous, avez-vous découvert Blanks pendant le confinement ? MÉLANIE Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Live Report : Hayley Kiyoko à l’Elysée Montmartre

Presque 5 ans après sa dernière venue en France, Hayley Kiyoko a enflammé l’Elysée Montmartre le 16 avril 2023 ! Le 16 avril dernier, Hayley Kiyoko est revenue embraser la capitale française dans la même salle où elle s’était produite lors de son premier concert en France en octobre 2018. Ce soir là, l’Elysée Montmartre était aux couleurs du drapeau queer, dans une ambiance électrique et très sexy. Nous y étions ! Une première partie qui donne tout de suite la température Si vous êtes un.e habitué.e des réseaux sociaux et notamment de Tiktok, vous connaissez probablement la chanson 10 things I hate about you de Leah Kate, qui cartonne en ce moment.  L’interprète, qui s’est produite à La Boule Noire en novembre dernier, était avec nous ce soir pour ouvrir la danse. Et le public n’a pas attendu une seule seconde pour accompagner l’artiste. Débordant d’énergie, elle a joué pas loin de 10 chansons de son répertoire pop / rock, ce qui peut paraître long pour une première partie mais qui était loin de nous déplaire ! Derrière nous dans le public, certains spectateurs nous avouent même être venus spécialement pour elle, ce que l’on peut tout à fait comprendre. Parmis les titres joués, elle nous a notamment présenté 2 titres qui sortiront très prochainement. Gros coup de coeur pour Superover, qui entrera directement dans nos playlists dès qu’il sera disponible ! Leah Kate à l’Elysée Montmartre | © Mélanie Pierrat Une attente longue mais qui en valait la peine Il aura fallut attendre plus de quatre ans pour que Hayley Kiyoko vienne chanter à nouveau en France. En effet, la dernière venue de l’icône lesbienne à guichets fermés date du 28 octobre 2018 à l’Elysée Montmartre. Ce soir encore, l’interprète de l’indémodable Girls like girls, considérée comme la première artiste pop ouvertement lesbienne et parlant sans filtre de ses histoires amoureuses, a rassemblé une nouvelle fois la jeunesse queer.  En attendant l’arrivée de la musicienne, nous avons fait la connaissance d’Oswald, 21 ans, arrivé.e en premier.e devant la salle ce matin. Déjà présent.e lors de sa première tournée en France, iel y a rencontré son copain. Pour l’anecdote, tous deux avaient perdu leurs billets VIP.  Iel nous conseille également de jeter un oeil au répertoire de Zolita. Bien qu’elles ne se connaissent pas, Zolita et Hayley ont fréquenté le même lycée. Du fait que les deux artistes soient lesbiennes et fassent de la musique pop, iel avait soumis l’idée d’un feat à Hayley lors du Q&A organisé avec les fans VIP en 2018. D’ailleurs, Zolita part en tournée aux côtés de Bebe Rexha en juin prochain, aux Etats-Unis. Nous sommes donc curieux d’assister à son évolution en attendant un passage en France avec enthousiasme ! https://www.youtube.com/watch?v=d2o6x-3hJeE Un show très chaud ! Arrivant sur scène peu après 21h, Hayley Kiyoko est accompagnée de ses deux danseuses. Dès sa première chanson, Found my friends, le ton est donné. Le public crie et chante avec elle, tandis que se déhanchent sur la scène les trois jeunes femmes.  Les danseuses portent des tenues très légères, les fesses à l’air. L’une d’elle arborre même un tee-shirt sur lequel est inscrit « lesbian jesus », soit, le surnom que ses fans ont donné à Hayley. Durant toute la performance, les changements de tenues sont multiples. D’ailleurs, pour terminer le show, elles portent des tee-shirts issus du merchandising. Ces derniers ont été offerts au public.  Bien que la chanteuse prenne le temps d’interagir avec ses fans, les titres se succèdent rapidement. Les premiers rangs n’hésitent pas à l’interpeler, lui criant des « You are my gay awakening » ou « I love you more than baguette« . Une jeune femme lui demande même de signer sa poitrine, ce que fera volontiers Hayley, un peu plus tard pendant le show. Hayley Kiyoko à l’Elysée Montmartre | © Mélanie Pierrat Une safe place queer Tout au long du concert, Hayley Kiyoko rappelle au public qu’elle souhaite que chacun.e se sente à sa place. Elle n’hésite pas à répéter que l’on doit tou.te.s être bienveillant.e.s les uns envers les autres. Alors qu’elle joue essentiellement son nouvel album Panorama pendant la première partie du concert, c’est à son tour de nous présenter une nouvelle chanson : Greenlight.  Le public est réceptif et profite du show où Hayley accompagne ses danseuses, nous rappelant qu’elle est aussi à l’aise dans ce domaine. Quelques minutes plus tard, un tabouret est apporté sur scène et elle invite l’une des VIP, Johanna, à la rejoindre. Elle interprète alors Pretty Girl en acoustique, la regardant dans les yeux. Le moment semble un peu hors du temps. Arrive bientôt l’hymne tant attendu de la chanteuse, apothéose de la soirée. À peine les premières notes de Girls like girls jouées que des drapeaux arc-en-ciel sont brandis par tout le public, virevoletant au dessus de la foule. Tout le monde chante à tue-tête et l’artiste américaine termine, elle aussi, avec un drapeau entre les mains. On se croirait presque à la Pride !  Le concert se termine après quelques titres supplémentaires. Comme nous, le public sort comblé de la salle et espère déjà une prochaine tournée. Ce, bien que la chanteuse reparte cette fois-ci outre atlantique pour ses dates US. Et vous, étiez-vous à l’Elysée Montmartre pour le concert de Hayley Kiyoko ? CYRIELLE SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Maroon 5 en exclusivité au Main Square Festival

Maroon 5 s’arrêtera au Main Square Festival d’Arras le 30 juin 2023. Une date en festival exclusive en France! La machine à tubes Maroon 5 sera de passage en France en 2023. Ami•e•s nordistes et d’ailleurs, réservez votre 30 juin 2023 car le groupe va enflammer le Main Square Festival! Une exclusivité française pour le Main Square Si vous cherchez Maroon 5 dans un festival cet été, n’allez pas plus loin que le Main Square Festival. Et oui, le festival arrageois a dégoté l’exclusivité nationale. Le groupe américain viendra donc mettre le feu à la Citadelle d’Arras le 30 juin 2023. Une nouvelle qui nous réjouit d’autant plus qu’elle rafraîchit la programmation du Main Square. En effet, si nous sommes toujours fidèles au rendez-vous depuis notre arrivée dans le Nord, on admet que ces dernières années, les annonces nous faisaient un peu moins vibrer. Cependant, la programmation de Maroon 5 annonce déjà un bon cru 2023.  On a donc hâte de vous retrouver au coeur de la Citadelle pour chanter à tue-tête This Love, Moves Like Jagger et bien évidemment le magnifique She Will Be Loved. Côté billetterie, la mise en vente des places et pass aura lieu le 30 novembre à 10H. Il vous suffira donc de vous rendre sur le site officiel du festival ou dans vos points de vente habituels. Impossible de vous rendre au Main Square ? Impossible de vous rendre au Main Square ou envie de doubler le plaisir ? Dans le cadre de sa tournée UK | Europe, Maroon 5 se produira également le 29 juin à La Défense Arena (Nanterre). La venue du groupe reste donc malheureusement dans la partie Nord de la France. La billetterie générale pour ce dernier aura lieu le vendredi 18 novembre. Bonne chances à toutes et tous !   Et pour vous, se sera une ou deux dates de Maroon 5 en 2023 ? RAINE SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME READ MORE READ MORE READ MORE NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Pinterest Linkedin

Main Square Festival : La programmation est complète !

Le Main Square Festival se tiendra du 30 juin au 3 Juillet 2022 à Arras. Les derniers noms annoncés, la programmation est désormais complète ! L’édition 2022 du Main Square Festival tient sa programmation complète. Retour sur les nouveaux noms ainsi qu’une exclusivité ! Les nouveaux noms Jeudi 30 juin, le Main Square Festival accueillera le trio des Hauts-de-France Charbon sur la scène du Bastion. Ils auront d’ailleurs l’honneur d’ouvrir les festivités avec leurs ambiances post-rock !  Deux noms viennent également compléter la programmation du samedi 2 juillet. C’est en effet nos chouchous, Edgär qui auront l’honneur d’inaugurer la Main Stage. Ils seront suivis par les américains The Regrettes qui viendront insuffler un air de punk rock sur la journée. CL en exclusivité Quand il n’y en a plus, il y en a encore. Et pas des moindres puisque le dernier nom n’est autre qu’une exclusivité. En effet, c’est au Main Square Festival que CL a choisi de poser ses valises cet été. La sud-coréenne viendra donc enchanter le public de la GreenRoom jeudi 2 juillet avec ses titres aux influences variées. Avec pas moins de 65 noms, cette édition du Main Square Festival offrira quatre jours de sons éclectiques. Autant dire qu’il y en aura pour tous les goûts et que nous avons déjà hâte d’être sur place avec vous ! Serez-vous de la partie pour ce retour du Main Square Festival ? Zelophe SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME SUJET READ MORE READ MORE READ MORE Newsletter Facebook Twitter Instagram Pinterest Linkedin

[ANNULÉ]14 nouveaux noms pour le Main Square Festival

Le Main Square Festival nous gâte avec 14 nouveaux noms ! C’est avec une grande surprise que 14 nouveaux noms sont tombés pour l’édition 2020 du Main Square Festival d’Arras ! On vous dévoile les artistes qui rejoindront la première vague. Vendredi Le premier jour, graviteront autour de Sting, les Pas-de-calaisiens Marcel et son orchestre ainsi que le DJ Henri PFR. Après deux venues en 2016 et 2018, Nekfeu réinvestira le Main Square Festival cette année encore. Seront également présents YUZMV et la fille de feu Jacques Higelin : Izia, que nous avions eu le plaisir de voir il y a quelques années aux Francofolies de La Rochelle. Samedi Après -M- et The Pixies, le samedi dessine des contours un peu plus rock avec Larkin Poe et la talentueuse Jenny Beth. Si le nom de cette dernière ne vous dit rien, vous l’aurez peut-être déjà vu sur le festival en 2017 avec son groupe : Savages. Rejoindront également les Black Eyed Peas le collectif d’artiste Brass Against et le DJ Madeon qui était déjà passé par le festival courant 2013. Dimanche Si la clôture du Main Square Festival 2019 avait été confiée à Jain, 2020 sera plus rock. Pour notre plus grand plaisir, ce sont les canadiens SUM 41 qui viendront déverser leur riffs sur la Main Stage. Groupe qui n’était d’ailleurs pas venue sur le festival depuis 2005. Seront également de la partie les rockeurs américains de Cage The Elephant, le trio australien Rüfüs Du Sol, l’américain Alec Benjamin et Last Train. Nous vous rappelons que les places pour le Main Square sont toujours disponibles dans tous vos points de ventes habituels ainsi que sur le site du festival. Alors vous aussi vous avez hâte de vous rendre à l’édition 2020 du Main Square Festival ?

Le retour flamboyant de Christine and The Queens

Quatre ans après son premier opus, Christine and The Queens s’offre un retour en force et une nouvelle identité.  Après quelques importants teasings, Christine and The Queens revient sur la scène musicale. Au programme : une nouvelle identité, un second album et un single entraînant prêt à cartonner ces prochaines semaines. Christine and The Queens change de nom Ne la nommez plus Christine and The Queens mais tout simplement Chris. La musicienne queer, devenue une figure majeure de la pop francophone de ces dernières années avec son premier album Chaleur Humaine, revient sur scène. Les premiers teasings, apparus en mars dernier avec l’annonce d’une tournée mondiale, ont indiqué un virage important pour la nantaise. Son nom de scène barré en orange laissait entrevoir les cinq premières lettres – soit « Chris ». L’artiste a également troqué son habituel tailleur contre une silhouette boyish. Une évolution accompagnée par la sortie d’un premier single aux accents funk, Damn, Dis-Moi. Un nouveau titre catchy, sensuel et rétro  Continuant sur sa lancée pop entamée avec Chaleur Humaine, Chris s’est entourée du producteur américain Dâm-Funk, pionnier du style G-Funk. Damn, dis-moi pour sa version francophone, est chargée en sonorités rétro. Un mélange de pop américaine des années 80/90 et de funk, nous rappelant musicalement Madonna ou Janet Jackson. Le texte de cette chanson est centré autour des déceptions amoureuses et sexuelles. Chris a notamment ajouté sa pensée sur les rôles genrés donnés dans la société, ne se retrouvant pas dans une case attribuée. Un second disque bilingue attendu à la rentrée  L’auteure, compositrice et interprète compte poursuivre sa conquête vers l’international, et propose une version anglophone de son single, Girlfriend. Ce lead-single esquisse les premiers contours d’un deuxième album au nom encore inconnu qui devrait arriver à la rentrée. Deux versions de cet opus, l’une francophone, l’autre anglophone, sont d’ores et déjà prévues. D’après un grand entretien accordé au Monde, on retient notamment qu’Héloïse Letissier – son état civil – a réalisé l’album et a fait appel au célèbre photographe britannique Jamie Morgan pour travailler sur la pochette. De quoi nous rendre impatientes jusqu’à cet automne, où Chris lancera sa tournée mondiale au Luxembourg le 11 octobre prochain. Retrouvez Christine and The Queens en concert près de chez vous :  11 octobre : La Rockhal, Esch sur Alzette (Luxembourg) 12 octobre : Forest National, Bruxelles (Belgique) 6 novembre : Place Bell, Montréal (Canada) 20 novembre : Hammersmith Apollo A, Londres (UK) – COMPLET 4 décembre : Zénith de Nantes Métropole, Nantes (44) 5 décembre : Bordeaux Métropole Arena, Floirac (33) 6 décembre : Zénith Sud de Montpellier, Montpellier (34) 11 décembre : Geneva Arena, Genève (Suisse) 12 décembre : Zénith Europe de Strasbourg – Eckolsheim (67) 14 décembre : Halle Tony Garnier, Lyon (69) 15 décembre : Zénith de Toulouse, Toulouse (31) 18 décembre :  Accorhotels Arena, Paris (75) Que pensez-vous de ce nouveau single et êtes-vous impatient de retrouver Chris sur scène ?

Indochine enflamme l’AccorHotels Arena de Paris

Du 16 au 18 février 2018, le 13 Tour d’Indochine a posé ses valises à l’AccorHotels Arena de Paris. Le samedi 17 février, c’est avec une certaine hâte qu’une partie de la rédaction s’est retrouvée à l’Accorhotels Arena de Paris pour applaudir Indochine dont le 13 Tour a débuté à Épernay le 10 février dernier. Retour sur une soirée placée sous le signe du spectacle et de l’album 13. Une setlist centrée sur 13 Même s’il nous faudra prendre de la hauteur pour nous en rendre compte, l’emblème de ce nouvel opus, le 13, se révèle jusque dans le montage de la scène. Avec pas moins de onze morceaux joués, le treizième album d’Indochine sorti le 8 septembre 2017 se retrouve en plein cœur de cette tournée. Parmi eux, les singles Un été français et La vie est belle. La réalisation du clip de ce dernier avait d’ailleurs été confié à l’artiste italienne pluridisciplinaire Asia Argento que nous retrouverons sur un large écran disposé au plafond pour un duo virtuel durant Gloria. Seront également interprétés Black Sky, 2033, Henri Darger ou encore Karma Girls qui conclura le set. Bien sûr, si 13 est omniprésent, les précédents albums n’ont pas été mis de côté. Pour notre plus grand plaisir, Adora (Alice & June) ainsi que À l’Assaut (des ombres sur l’O) (3) ont été joués dans leur entièreté et en version électrique s’il vous plait. ©thibaudtour Un set engagé Depuis ses débuts, Indochine n’hésite pas à prôner la tolérance, et le 13 Tour ne fait pas exception. Après 3e Sexe, et plus récemment Playboy où Nicola Sirkis disait avoir « essayé les vêtements de sa mère« , c’est au tour de Tomboy 1 de prendre la relève. Accompagné d’une basse dansante, les écrans mettent en avant l’artiste transsexuel Kiddy Smile en train de se maquiller. Et cela, on approuve totalement ! L’aspect politique est lui aussi mis sur le tapis durant les 2h30 de show proposé par Indochine grâce à Un été français et son « froid national ». Alors que nous nous attendions à l’apparition de Trump Le Monde et sa possibilité d’offrir un spectacle visuel, le morceau a été délaissé. Dommage ! On soulignera la présence de College Boy, où, tout comme sur la précédente tournée, le clip a été diffusé en sens inverse sur l’écran derrière la scène. Pour ceux qui auraient la mémoire courte, cette réalisation signée Xavier Dolan s’était vue censurer par le CSA en raison de ses images controversées. © Photo Goledzinowski Un concept grandiose mais peu utilisé Après avoir conquis le public et les médias avec son concept original de serpent lors du Black City Tour, nous attendions Indochine au tournant. Annoncée comme la tournée qui « donnera le vertige« , le 13 Tour parvient une fois encore à surprendre de par son renouveau visuel.  Cette fois, plus de serpent embrassant la fosse, cependant, incroyable mais vrai, un écran installé au plafond. On vous laisse imaginer notre surprise face à ce projet d’envergure aussi innovant que relevant d’un coup de génie. Dès l’introduction, nos yeux sont attirés vers ce plafond menant à d’autres galaxies. Prometteur face à ce fantastique voyage interstellaire, nous en espérions sans doute beaucoup trop, et avons quelque peu été déçues de voir cet écran massif délaissé une partie du concert. En effet, sitôt mises en routes, nos petites têtes se sont imaginées la poursuite d’un voyage avec cet écran diffusant de l’image en continu. Avec lui, nous aurions pu faire un arrêt sur Venus – non joué-, suivre Bob Morane dans ses aventures, et bien sûr, découvrir d’autres civilisations. Aurait également pu être projeté la rétrospective du clip College Boy dessus en plus des écrans derrière la scène. À noter que cela aurait résolu quelques problèmes de transitions entre les morceaux, ce qui est bien dommage, le groupe nous ayant habitué à mieux. © Goledzinowski Equité pour les fans grâce à la Zone 13 Comme d’habitude, Indochine prend soin de ses fans. Grâce à une tarification peu élevée par rapport à d’autres spectacles de la même envergure, le groupe rend ses concerts accessibles à tous. Seulement, là ou bon nombre d’artistes abusent des carrés or à des tarifs exorbitants, avec sa Zone 13, Indochine a mis en place tout le contraire. Le principe ? Lorsque les billets sont scannés dans les soixante ou quatre-vingt-dix premières minutes après l’ouverture des portes, des autocollants sont donnés au hasard permettant l’obtention d’un ticket et d’un bracelet Zone 13. Les gagnants se retrouvent ainsi cantonnés dans un arc de cercle autour de la scène et l’avancée, profitant ainsi du spectacle en étant aux premières loges. Une très belle initiative qui permettra aux spectateurs habitués des fonds de salles de pouvoir espérer se retrouver au plus près de leurs idoles. En soit, Indochine propose encore une fois un spectacle impressionnant et abordable pour toutes les bourses. Et si la setlist est particulièrement centré sur 13, peut-être pouvons nous mettre cela sur le compte du futur projet prévu pour les quarante ans du groupe. En effet, dans une interview accordée au Parisien, Nicola Sirkis soulignait son souhait de jouer tous les albums dans différentes villes. Le 13 Tour ne serait-il qu’un prélude pour cet anniversaire ? En attendant, nous avons hâte de les retrouver au Zénith de Lille courant Mai afin de découvrir le spectacle dans une salle plus intimiste que l’AccorHotels Arena. Retrouvez les dates du 13 Tour