mk2 présente son nouveau cycle mk2 Junior
Les cinémas mk2 réitèrent leur cycle mk2 Junior ! Profitez à moindre coût de films à (re)voir en famille ou entres nostalgiques. Depuis le 20 Juin, les cinémas mk2 du Quai de Loire, BnF (Bibliothèque Nationale Française) et Gambetta à Paris proposent un cycle Junior. Une offre qui contentera aussi bien petits et grands enfants. Bonus, les séances sont au tarif unique de 4€ et la programmation s’étend jusqu’au 2 Juillet 2019. Pour cette nouvelle saison, ce sont Les Nouveaux Héros (2014) qui ont inauguré le cycle, avant d’enchaîner avec La Petite sirène (1989). On vous dit tout sur la programmation des films projetés dans les mois à venir. Les premiers Disney au programme Cette année, faites un bon dans le passé avec le mk2 Junior afin de découvrir deux classiques de l’animation. Entre le 22 mai et le 4 juin 2019, les mk2 vous proposerons tout simplement d’assister à des projections du tout premier long-métrage animé des Studios Disney : Blanche-Neige et les sept nains (1937). En plus d’avoir marqué l’histoire de l’animation, le film a remporté un Oscar d’honneur en 1939. Si vous aimez le cinéma autant que l’animation, Blanche-Neige et les sept nains devrait être l’un de vos immanquables du mk2 Junior. Auparavant, le mk2 célèbrera du 16 au 29 janvier un autre classique : Fantasia (1940). En plus d’inonder les toiles de sa magie, le troisième long-métrage des Studios Disney est une excellente occasion de s’initier à la musique classique. Sont notamment présents Toccata et fugue en ré-mineur (Bach), divers extraits du ballet Casse-Noisette (Tchaïkovski) ou encore l’Ave Maria (Schubert) Nos madeleines de Proust On continue notre virée dans l’univers Disney avec ces dessins animés qui nous ramènent irrémédiablement en enfance. Du 7 au 20 novembre, c’est le petit favori de Raine qui sera à l’affiche : Aladdin (1992). En plus, le film est sorti l’année de sa naissance. Coïncidence ? On ne croit pas ! Pour Zelophe, c’est Rox et Rouky, mais on vous en parlera plus tard ! Princesse à la pantouffle de verre égarée, Cendrillon (1950) sera quant à elle programmée du 2 au 15 janvier 2019. Une ocassion en or de retrouver les adorables Jack et Gus Gus ou fredonner le Bibbidi-Bobbidi-Boo avec la marraine-fée. Enfin, c’est l’éternel enfant turbulant du monde imaginaire, Peter Pan (1953), qui cloturera ce mk2 Junior 2019 avec des séances du 19 juin au 2 juillet. On avoue, on pense déjà à caler une séances afin de pouvoir retrouver le Capitaine Crochet et Lili la Tigresse. Les animaux s’emparent du mk2 Junior Parce que Disney c’est aussi des long-métrages centrés sur nos amis les bêtes, nos âmes d’enfants sont ravies de voir apparaître La Belle et le Clochard (1955), Les Aristochats (1970), le sous-côté Rox et Rouky (1981) et 1001 Pattes (1998) dans ce mk2 Junior. Le premier s’inscrit dans la lignée 50’s de la programmation et vous guidera du 5 au 18 juin vers une romance entre deux chiens issus de classes différentes. Pour l’anecdote, il s’agit du premier Disney ditribué par Buena Vista Pictures Distribution, une société créé par Walt Disney afin de prendre son indépendance. Du 21 novembre au 4 décembre prochain, foncez (re)découvrir le dernier Disney à entièrement utiliser la technique analogique : Rox et Rouky. On l’avoue, c’est l’un de nos favoris, et on est encore émues à l’idée que le mk2 le diffuse. Avec le printemps, seront diffusés du 27 mars au 9 avril 2019 1001 Pattes (1998), puis du 8 au 21 mai Les Aristochats. Ne nous demandez pas combien de fois nous avons regardé la VHS – inutile d’expliquer hein ? – de ce dernier, l’usure de la bande se suffit à elle-même. Les héroïnes prennent le pouvoir Vous le savez, chez Les Insouciantes on a un petit faible pour les héroïnes. Ce qui tombe bien puisque les femmes prennent le pouvoir dans quatre films. On craque déjà sur Pocahontas (1995) et Mulan (1998) qui nous promettent une retombée en enfance. Seront aussi de la partie les plus récentes Rebelle (2012) et La Reine des neiges (2013). Grâce à la première se dessineront du 10 au 23 octobre le goût de l’aventure et de la nature accompagné du trio infernal constitué de Flit, Meeko et Percy. Bien sûr, vous pourrez aussi profiter des conseils de grand-mère feuillage. S’en suit du 24 au 6 novembre, l’inspirante Mulan qui enjoindra les filles à s’accepter telles qu’elles sont tout en leur donnant une leçon de courage. Si vous préférez les nouvelles générations, les princesses de Rebelle (2012) et La Reine des neiges (2013) seront respectivement projetées sur grand écran du 24 avril au 7 mai 2019 et 19 décembre 2018 au 1er janvier 2019. Ainsi, vous pourrez terminer l’année 2018 en chantant un bon « Libérée, délivrée… » ! Des films pour les milléniales En plus de Rebelle et La Reine des Neiges que nous venons de mentionner, les mk2 vous offrent un florilège de dessin-animés qui vous rappeleront bien des souvenirs. Du 5 au 18 décembre, rejoignez Bob Razowski, Sulli et l’adorable Boo dans Monstres & Cie (2001). Poursuivez votre début d’année 2019 avec les aventures de Volt, Star malgré lui (2008) du 30 janvier au 12 février, avant de fondre pour Lilo & Stich (2002) du 13 au 26 février. Et ne nous faites pas croire que vous arrivez à résister à ce petit extraterestre aussi attachant que surprenant. Le mk2 Junior sera aussi l’occasion de (re)découvrir du 27 février au 12 mars Kuzco, l’empereur mégalo (2000). On avoue, il est loin d’être notre petit chouchou mais rien que pour les répliques cultes et voir un roi transformé en lama, ça vaut quand même le détour ! Mars sera également l’occasion de retourner en cuisine et de mijoter de bons petits plats en compagnie de Gusteau et Rémi. Les deux amis seront à l’affiche de Ratatouille (2007) dans vos mk2 du 13 au 26 mars. Pour clore notre tour d’horizon des années 2000, ce n’est ni plus ni moins que Le Monde de Nemo (2003) qui vous transportera à travers les océans du 10 au 23 avril 2019. On ne sait pas vous, mais nous on a déjà hâte de retrouver la jovialité de Dori et les requins végétariens.
Robert Downey Jr : du talent et du coeur !
Parmis les hommes qui nous inspirent, Robert Downey Jr est une source à bien des égards. On vous propose de revenir sur le parcours de cet homme attachant. Excentrique au coeur tendre, Robert Downey Jr est l’un des acteurs les plus prisés d’Hollywood. De part son engagement, sa personnalité touchante et sa multi-casquette, il est aussi l’une de nos plus grandes influences. Un homme engagé Si Robert Downey Jr est un homme au passé trouble, il s’est assagit sans oublier d’où il vient. En effet, il n’est pas rare qu’il mette en place des collectes de fond avec la Random Act Funding. Créée avec son épouse, la RAF soutient notamment des associations aidant des toxicomanes à revenir à une vie plus saine afin qu’ils puissent retrouver une place dans la société. Ainsi, l’acteur a par exemple dessiné un t-shirt qu’il a ensuite mis en vente pour la CRI-Help. Néanmoins, il ne s’agit pas du seul combat mené par Robert Downey Jr puisqu’il s’est aussi engagé auprès de la recherche médicale. En atteste bon nombre d’actions autour de maladies rares ou trop peu connues du grand public. Il a notamment profité de l’avant première d’Avengers : Infinity War pour soutenir la ROHHAD Association pour mettre en place une levée de fond. L’acteur n’hésites pas non plus à aider des familles démunies affrontant la maladie au quotidien. Généralement, les différentes campagnes débouchent sur un tirage au sort permettant de rencontrer l’homme lors d’événements spécifiques. Des rôles qui nous touchent Homme au grand coeur, Robert Downey Jr est avant tout un acteur qui nous a permis de renforcer notre amour du cinéma. Ce qui nous bouleverse ? Sa capacité à émouvoir à travers l’interprétation de ses personnages. Découvert en 1992 sous les traits de Charlie Chaplin – inspirant l’un d’entre nous à se déguiser pour aller à l’école -, c’est dans le rôle de Merivel (Le don du roi – 1995) qu’il nous a le plus touché. En effet, choix de l’acteur ou non, les personnages qu’il interprète ont souvent un penchant pour une autodestruction généralement soulignée par des addictions. Nous tenons donc à saluer toutes les émotions que l’homme parvient à faire passer à travers un simple regard, donnant chaque fois envie de le protéger contre ses démons. Nous retiendrons notamment ses prestations dans Gothika (2003), Il était une fois dans le Queens (2006), A Scanner Darkly (2006), Charlie Bartlett (2007), Le soliste (2009), ou encore Le juge (2014). Un homme doué pour l’interprétation de personnages atypiques Robert Downey Jr est aussi très doué pour jouer des personnes atteintes de maladie. Si en 1997, il campe un homosexuel atteint du SIDA dans Pour une Nuit, c’est en interprétant l’écrivain sarcatisque Dan Dark dans The Singing Detective (2003) que Robert nous surprend. Avec aisance, l’acteur se glisse dans la peau d’un homme atteint d’une maladie dégénérative qui lui donne des crises de psoriasis ainsi que des hallucinations. Quatre ans plus tard, on le retrouve dans Für : Un portrait imaginaire de Diane Arbus. Face à Nicole Kidman, il incarne Lionel Sweeney, l’étrange voisin de Diane Arbus souffrant d’Hypertrichose; ce qui implique que son corps soit entièrement recouvert de poils. À travers ces rôles, l’interprétation de l’acteur passe avant tout par le regard, ce qui, en somme, est une véritable torture pour nos petits coeurs d’empathe ! Des rôles faits pour lui Impossible de parler de Robert Downey Jr sans mentionner son interprétation parfaite du personnage issu de l’univers Marvel : Tony Stark (aka Iron Man). Campant le multimilliardaire depuis 2008, l’acteur a su donner une part de lui-même à ce génie tout droit sortit des comics. Derrière l’excentrique playboy philanthrope, c’est un Tony Stark pourvu d’un coeur que nous apprenons à apprécier au fil des ans. Avec lui, on découvre alors les peurs de l’homme pour l’abandon et la mort, qu’elles soient siennes ou des personnes qu’il estime. Si Robert Downey Jr n’endossera plus le rôle de Tony Stark après Avengers : Endgame, l’homme donnera tout de même sa voix au personnage dans la série MARVEL What If… ? Outre Iron Man, nous ne pouvons passer à côté de son personnage de Sherlock Holmes dans les films de Guy Ritchie. Passionnées par les aventures de l’enquêteur né sous la plume d’Arthur Conan Doyle, nous ne retenons à l’écran que trois interprétations : Basile Rahtbone (1939), Robert Downey Jr. (2009) et Johnny Lee Miller (2012) dans Elementary. Concernant notre homme, il a su donner à son personnage un petit grain de folie et d’excentricité qui se confond avec l’époque des faits, le costume et les mimiques lui allant à ravir. On attend désormais impatiemment 2021 pour l’arrivée sur nos écrans du 3e volet de ses aventures. Un musicien accompli Robert Downey Jr est avant tout un excellent musicien et chanteur. Surement l’avez-vous déjà remarqué derrière un piano dans Ally McBeal où il interprète le titre River. Son passage dans cette série lui permettra également chanter Every Breath You Take avec Sting. Un peu plus haut, nous vous parlions de The Singing Detective. Et bien, l’occasion est rêvée pour vous plonger dans le film et (re)découvrir sa performance sur In My Dreams. Évidemment, nous ne pouvions évoquer la musique et Robert sans vous recommander son album, The Futurist (2004). Outre huit morceaux signés de sa propre main, le chanteur a repris deux titres : Smile, une composition de Charlie Chaplin et Your Move, qui n’est autre que la première partie du I’ve Seen All Good People de Yes. Pour la petite anecdote, son titre, Broken, apparaît dans le générique de Kiss Kiss Bang Bang (2005).