Coach Party enflamme le Café de la Danse à Paris !

Coach Party au café de la Danse, image à la une

Véritable étoile montante du rock indépendant anglais, Coach Party s’est produit au Café de la Danse à Paris, le 3 novembre dernier. Après avoir assuré la première partie d’Indochine – dont cet été lors du Nancy Open Air -, Coach Party déboule avec un tout premier album, Killjoy. 10 titres déchaînés sur lesquels il est impossible de ne pas sauter ! Retour sur leur concert au Café de la Danse le 3 novembre 2023. Un moment suspendu en première partie Après s’être installés dans une salle cosy et agréable, la première partie commence sur les coups de 20 heures avec Lya!. Accompagnée à la batterie, l’artiste se défend plutôt bien avec de jolis riffs de guitare et une voix qui nous suspend sur des airs indie-rock. Notamment sur des morceaux tels que So Tired et Where I’m Going.  Dans la salle, le public se prête au jeu, lui réservant un bel accueil. Lya! nous transporte rapidement dans son univers. Et ce, bien que l’on distingue une légère timidité qui donne le ton. Si certaines chansons sont douces en apparence, d’autres, plus rock, échauffent le public pour la suite ! Malgré un léger moment de panique dû à un problème technique – vite éclipsé par un solo de batterie -, Lya! aura révélé de belles chansons émouvantes. Une superbe entrée en matière qui donne envie de la découvrir davantage. Lya!, Café de la Danse, Paris | © Mélanie Pierrat Place à Coach Party Après un léger retard, Coach Party entrent en scène sur Scandalous des Mis-teeq. Le Café de la Danse n’est pas tout à fait complet, mais bon nombre de personnes se sont rassemblées pour la venue des britanniques. Quoi de mieux pour prédire une bonne ambiance ? D’ailleurs, le groupe ouvre la soirée avec l’un de leurs single issus de Killjoy : Micro Aggression.  La découverte en live de cette première réalisation se poursuit avec What’s The Point In Life et Born Leader. D’excellents choix permettant de faire monter l’ambiance crescendo. À noter que lors de leur set, Coach Party a quasiment joué l’album dans son intégralité puisque 9 titres sur 10 font partis de la setlist. Bien sûr, les britanniques n’oublient pas leurs précédents EP. Le groupe interprétera 3 titres issus de Nothing Is Real (2022) et 4 de After Party (2021). Parmi eux, Flag (Feel Like A Girl), Everybody Hates Me, I’m Sad ou encore Can’t Talk, Won’t. Sous les vibrations des guitares et de la batterie, les gradins tremblent. Le groupe est déchaîné. Le public aussi. Dans la fosse, le centre n’est plus que pogos. Tout comme eux, on se laisse porter par les différents morceaux résonnant dans la salle.  Coach Party, Café de la Danse, Paris | © Mélanie Pierrat Un groupe proche de son public S’il est une chose que l’on ne peut reprocher à Coach Party, c’est sa proximité avec le public. En effet, les membres du groupe interagissent avec le public pratiquement entre chaque chanson. Ce, que ce soit pour des remerciements, de petites anecdotes ou même des discussions. Le tout, en anglais puisque seul le batteur – et producteur – Guy Page parle un peu français. En parlant de proximité, Coach Party nous a fait bonne impression avant même son entrée en scène. Plus tôt dans la soirée, alors que les fans attendaient devant la salle, le groupe est venu remercier les fans attendant devant le Café de la Danse. Ils ont également fait une apparition dans la fosse avant le début de la première partie afin de pouvoir saluer d’autres personnes. Des échanges qui vaudront au groupe de recevoir un très bel accueil, le public se déchaînant au rythme de l’énergie des Coach Party. Un vrai bonheur pour les yeux… et les oreilles! Au bout d’une heure et demie, le groupe joue ses dernières chansons, les enchaînant sans interruption. Break-down conclura le set. Après des saluts acclamés par une assistance survoltée, le groupe part, laissant place à ce qu’on pensait être un rappel. Cependant, la régie lance la version originale d’Il en faut peu pour être heureux du Livre de la Jungle. Peut-être le choix parfait pour résumer cette soirée ? Et vous, allez-vous voir Coach Party sur scène ? ELISA Rédactrice MES ARTICLES MÉLANIE Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

KO KO MO : Rock à l’état pur au Splendid

Image à la une pour le concert de KO KO MO au Splendid (Lille) le 3 novembre 2023.

Le Need Some Mo Tour de KO KO MO s’est arrêté au Splendid de Lille le temps d’une soirée. Un concert qu’il ne fallait pas manquer ! Jeudi 2 novembre, KO KO MO s’est produit au Splendid de Lille. Une date en pleine tempête qui n’a pas empêché le duo de tout dévaster sur son passage. Retour sur une soirée entre rock et proximité avec le public ! Dynamite Shakers Afin d’assurer leurs premières parties, KO KO MO a fait appel à quatre vendéens : les Dynamite Shakers. En effet, après Angers et Nîmes, le quatuor s’est emparé de la scène lilloise. D’ailleurs, ne vous fiez surtout pas à leur jeune âge car ce groupe a énormément de potentiel. Musicalement, on adhère. Scéniquement, l’énergie est là. Supplément, on sent l’amitié qui lie le groupe, leur permettant d’offrir une belle prestation. On a notamment pu entendre leur dernier single sorti en octobre : The Bell Behind The Door. Pour ceux qui compterez (re)voir KO KO MO en France, sachez que Dynamite Shakers sera de la partie au Bikini (Toulouse) le 15 novembre ainsi qu’au Rocher de Palmer (Cenon) le 17 novembre. Le groupe sera également à la programmation des Transmusicales de Rennes le 7 décembre et participera aux Rockeurs ont du Coeur à Nantes le 16 décembre. Dynamite Shakers, Splendid (Lille) | ©Raine Photographie Dynamite Shakers, Splendid (Lille) | ©Raine Photographie Dynamite Shakers, Splendid (Lille) | ©Raine Photographie KO KO MO : du rock à l’état brut Après leur passage remarqué au Main Square Festival l’été dernier, nous avions hâte de retrouver KO KO MO sur scène. Et s’il a fait chaud… très chaud à Arras, ce 2 novembre, la chaleur était clairement à l’intérieur de la salle. Que voulez-vous, avec l’arrivée du duo nantais a suivi la tempête Ciaran. Un temps parfait pour un concert de rock si vous voulez notre avis. Car oui, KO KO MO dévaste tout sur leur passage grâce à leur énergie débordante. Derrière sa batterie, Kevin « K20 » Grosmolard transpire la joie de vivre. C’est d’ailleurs par lui que passe la majeure partie des interactions avec le public, Warren se concentrant davantage sur le chant tout en faisant le show. Une chose est sûre, on sent l’alchimie entre deux musiciens habités par un rock authentique. Une batterie, une guitare, nous n’avions besoin de rien de plus pour nous transpercer le coeur. Parmi les morceaux interprétés, on compte les excellents Non Essential Man, Need Some Mo en passant par So Down ou encore Technicolor Life. Au milieu de tout cela, Kevin nous offre un incroyable solo de batterie sur The Lemon Twins, encouragé par le public. Un set laissant un goût de reviens-y, on est gourmand ici ! Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine KO KO MO, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Kevin « K20 » Grosmolard, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Warren Mutton, Le Splendid (Lille), 2023 | ©Raine Une proximité incontestable avec le public Malgré les intempéries, la foule s’est déplacée en masse pour applaudir les deux nantais. D’ailleurs, s’il y a bien un terrain sur lequel KO KO MO n’a strictement rien à se reprocher, c’est bien sa proximité avec leur public. Le duo s’est même offert deux bains de foule au court de la soirée. La première, durant leur reprise de Personal Jesus (Depeche Mode) où Kevin n’hésitera pas à lâcher un « alors les vieux, ça va? » à destination des personnes assises dans les sièges derrières la console. Ce qui, on l’admet, nous a fait rire. La seconde, en conclusion du concert. Cette fois, c’est l’intimité qu’a cherché KO KO MO. À leur demande, un cercle se forme dans la fosse, les gens se baissent afin d’offrir une bonne visibilité à tous et les téléphones regagnent les poches. Une lumière à led descend alors entre eux, les éclairant tandis que Warren entame Show Must Go On (Queen). Bien sûr, il sera rejoint par l’entièreté de la salle qui n’a pas résisté à pousser la voix. On a également senti l’attachement profond du groupe pour le public lillois. D’abord en demandant qui était présent lors de leur passage au Splendid un an plus tôt. Puis, en mentionnant que s’ils devaient vivre ailleurs qu’à Nantes, ils choisiraient probablement Lille. Comme quoi, la chaleur du Nord est loin d’être un mythe ! En même temps, on les comprends. Nous non plus ne sommes pas originaires de la région et nous n’avons absolument aucune envie d’en partir. Ainsi, tous les éléments étaient réunis afin de passer une excellente soirée ! Et vous, étiez-vous de la partie pour KO KO MO ce 2 novembre au Splendid? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Live Report : Maisie Peters au Trianon

Maisie Peters au Trianon, Paris, en 2023 | © Cyrielle Poilpré

Le 3 mai 2023 s’est tenue une battle impressionnante au Trianon : Maisie Peters vs. son public. Qui chantera le plus fort ? Dans le cadre de sa toute première tournée européenne intitulée “Maisie takes Europe”, la chanteuse britannique Maisie Peters s’est produite au Trianon le 3 mai dernier. Le concert était sold out et le public semblait l’attendre comme le Messie. Récit d’un concert collectif. Mia Wray, une première partie à la voix puissante et captivante Chanteuse australienne multifacette, Mia Wray a été choisie afin d’assurer les premières parties des concerts européens de Maisie Peters. Une chose est sûre, cette artiste autodidacte en aura surpris plus d’un ce soir. En effet, sa voix profonde vient nous saisir et nous accrocher jusqu’à la fin de son set. Accompagnée de ses deux musiciens, la jeune femme aux yeux cernés de paillettes arrive sur la scène du Trianon avec un sourire communicatif. Il s’agit d’ailleurs de son premier concert à Paris et elle ne manquera pas de nous faire savoir à quel point elle est heureuse d’être ici. En guise d’ouverture, elle nous propose son premier single, Work for me (2020). Et dès le début, sa puissance vocale fait l’unanimité dans le public. Les regards sont tous posés sur elle tandis qu’elle se déhanche au rythme de la musique, se baladant sur tout l’espace que la scène lui offre.  Alors qu’elle s’apprête à jouer son troisième morceau, Needs, Mia précise qu’elle souhaite dédier ce titre à toutes les personnes ayant souffert de partenaires sexuels « pas très doués ». Fou rire assuré! D’ailleurs ses interventions sont nombreuses. Elle demandera notamment un peu plus tard si l’on pouvait voir ses tétons. Alors même qu’elle portait des cache-tétons et bien que cela lui soit égal.  Le public participe lui aussi, venant l’accompagner avec enthousiasme lorsqu’elle le demande ou allumant les flashs des téléphones lorsqu’elle présente Monster Brain, son dernier single sorti le 19 avril. Mia terminera son set avec Happy. Chanson qui nous a tant marquée que nous en avons encore des frissons ! Les applaudissements retentissent tandis qu’elle reste incrédule devant nous, répétant des « This is insane ! ». Elle quittera finalement la scène après avoir pris une photo avec le public, souvenir de son premier passage en France ! Mia Wray au Trianon, Paris | © Cyrielle Poilpré Des fans dévoués pour Maisie Peters Alors que seulement quelques chanceux ont été sélectionnés pour assister aux balances (durant lesquelles Maisie Peters a repris The Louvre de Lorde !), la salle comble est désormais débordante d’énergie. Et pour cause, le concert prévu aux Étoiles le 30 mars 2020 avait dû être annulé. Cela fait donc plus de 3 ans que les fans attendaient cette nouvelle date. Devant nous, Célia et Alix patientent elles aussi. Toutes les deux âgées de 25 ans, elles se sont rencontrées en faisant du RP (Role Play) sur la même plateforme. Célia a connu Maisie il y a plusieurs années sur YouTube avec ses chansons tristes qu’elle adore. Surtout Favourite Ex. Elle ajoute que ces chansons l’inspirent pour ses écrits ainsi que pour beaucoup de ses personnages de RP.  Alix l’a quant à elle découverte en première partie de Ed Sheeran au Stade de France l’an passé. Elles nous recommandent d’aller écouter Nina Nesbitt, une artiste écossaise dont l’univers musical est similaire à celui de Maisie. C’est d’ailleurs à son concert qu’elles se sont vues pour la première fois, alors qu’elles ne savaient pas qu’elles y assistaient chacune de leur côté ! La patience de tous finit par être récompensée puisque la chanteuse arrive peu après 20h30. Sur scène elle est accompagnée de sa guitare et de ses musiciens Joel, Tina et Jeezy. Le concert démarre et les fans n’attendent pas une seconde pour chanter avec elle, certains connaissant probablement la totalité de son répertoire. Alors qu’elle interprète Love Him I Don’t, des roses atterrissent à ses pieds et elle ne manquera pas de remercier son public pour l’attention. Maisie Peters au Trianon, Paris | © Cyrielle Poilpré Maisie et Paris, une histoire d’amour Bien qu’elle se soit produite à plusieurs reprises à Paris, Maisie Peters fait sa grande première en tête d’affiche. En effet, auparavant elle était venue assurer les premières parties de Tom Walker (2018) et Ed Sheeran(2022). C’est donc dans sa ville préférée d’Europe qu’elle nous offre un show d’un tout petit peu plus d’une heure.  Vêtue d’un crop top noir « what about wendy » et d’un pantalon de sirène, elle est acclamée par son public durant tout le concert. Et elle nous le rend bien puisque, après nous avoir dit se sentir très connectée à notre capitale (allant même jusqu’à nous déclarer « You have rats, I am one !« ), elle interprétera exceptionnellement The List. Une chanson qui compte beaucoup pour elle. D’ailleurs c’est un gros coup de cœur pour nous aussi !  Ce soir, les fans sont au cœur du concert et chantent presque plus fort qu’elle ! La salle entière est debout et les gradins ne se reposeront pas une seule fois non plus. Les plus fervents chantent à plein poumons, ce qui fait sourire Maisie. Pour Brooklyn, elle s’amuse à changer les paroles afin de nous faire chanter « if you’re looking for the girl of your dreams, she’s in Paris with me« .  Maisie Peters au Trianon, Paris | © Cyrielle Poilpré Une symphonie de cœurs brisés Si vous connaissez Maisie Peters, vous savez probablement que ses chansons abordent souvent les thèmes des relations amoureuses, des ruptures, des cœurs brisés… Tout ce qu’on aime ! Son prochain album, The Good Witch, sortira le 23 juin ! À cette occasion, elle nous présente l’un de ses titres, You’re Just A Boy (And I’m Kinda The Man), et on est tout de suite convaincus ! Quelques chansons plus tard, elle lance son medley acoustique composés des chansons qu’elle considère comme les plus traumatisantes. On y retrouve notamment Glowing Review, Favourite Ex ainsi qu’une reprise de Dear John (Taylor Swift).  La communauté queer n’est pas oubliée puisqu’elle nous dédiera la chanson John Hughes Movie en fin de concert, avant de terminer par son dernier single, Lost The Breakup. Maisie reviendra pour le

TOUR D’HORIZON #4

Image à la une pour le Tour d'Horizon #4 parlant des Gardiens de la Galaxie 3, de congé menstruel, de l'Eurovision et du single "Overcome" de Nothing but Thieves

Nothing But Thieves, Les Gardiens de La Galaxie et bien d’autres font partis de notre Tour d’Horizon #4 ! On poursuit le mois de Mai avec un Tour d’Horizon #4 ! Parmi nos actus de la semaine, on reviendra sur le dernier Marvel mais aussi de la musique ou encore le congé menstruel. Nothing But Thieves – Overcome On débute ce Tour d’Horizon #4 par un énorme coup de coeur musical ! Découverts il y a quelques années avec leur excellent Amsterdam, Nothing But Thieves s’est depuis fait une place dans nos coeurs. Cette semaine, les britanniques sont de retour avec un nouveau single : Overcome.  Dès la première écoute, on comprend que le titre va devenir un incontournable de l’été. En effet, la musique est entraînante et donne des envies de voyages. Même le clip nous emmène en road trip, c’est pour dire ! Côté paroles, on retrouve la patte Nothing But Thieves. Une touche d’espoir en plus ! Désormais, nous avons hâte de pouvoir entendre l’intégralité de Dead Club City dès le 7 juillet 2023. https://www.youtube.com/watch?v=TzTv976ghws Les Gardiens de la Galaxie 3 Mai est également synonyme de sortie du dernier volume des Gardiens de la Galaxies. Et à nouveau, James Gunn signe une très bonne réalisation. Dans ces nouvelles aventures, les Gardiens doivent venir en aide à l’un des leurs, conférant à l’équipe un véritable esprit de famille. On a également apprécié que le film revienne sur le passé de Rocket. De plus, comme toujours, les choix musicaux sont impeccables. Oui, on s’est permis de fredonner dans le cinéma, mais que voulez-vous, on ne peut pas s’en empêcher ! Concernant Adam Warlock (Will Poulter), nous avons d’abord été déçus par sa candeur. Puis, nous avons compris où voulait en venir James Gunn. Étant considéré comme une « création parfaite », il n’est autre qu’un enfant dans un corps d’adulte. Il se doit donc d’apprendre. Cela en tête, son évolution paraît donc intéressante. Désormais, on espère pouvoir le retrouver prochainement chez Marvel. https://www.youtube.com/watch?v=07a5jW2mEU0 Eurovision Ce samedi 13 mai avait lieu la 67e édition de l’Eurovision. Un événement à côté duquel nous ne pouvons décidément pas passer ! Certains d’entre vous se diront peut-être que c’est absolument ridicule mais on y déniche souvent des talents insoupçonnés. À titre d’exemple, nous avons pu y découvrir Duncan Laurence, Rosa Linn ou encore Måneskin ! N’oublions pas non plus que c’est grâce à l’Eurovision qu’ABBA a connu un succès planétaire. Si l’Ukraine a remporté l’édition 2022, il était impossible d’organiser le concours à domicile. Ce, pour des raisons de sécurités évidentes. C’est donc à Liverpool (Angleterre) que l’Eurovision a posé ses valises. D’ailleurs, si la soirée ne s’est pas tenue en Ukraine, le pays était bien au coeur de l’évènement. D’une part grâce à l’une des présentatrice, elle-même ukrainienne. La seconde, de part le choix des tenues vestimentaires. Et enfin, grâce au public et autres artistes qui n’ont pas hésité à assurer leur support. Alors pas de doutes, cette année encore, certains sont sortis du lot ! Parmi nos favoris comptait l’Italie, la Suisse ou encore la Suède. On a également apprécié My Sister’s Crown, l’hymne féministe des Tchèques Vesna. Un titre qui collait parfaitement à l’ambiance Eurovision avec sa superbe mise en scène. La Norvège nous a aussi tapé dans l’oeil avec le Queen of Kings de l’italo-norvégienne Alessandra. https://www.youtube.com/watch?v=ag8qxpvTTy0 Lille rejette le congé menstruel Impossible de poursuivre ce Tour d’Horizon #4 sans aborder ce qui se passe au sein de notre propre ville. Et oui, alors que l’expérimentation d’un congé menstruel pour les fonctionnaires de la ville avait été abordé, le conseil municipal de Lille l’a refusé. La raison ? Un congé menstruel renforcerait les discriminations à l’égard des femmes. Par ailleurs, Charlotte Brun, coprésidente du groupe majoritaire et adjointe au maire a tenu des propos loin d’être féministes. Selon elle, un tel congé amènerait « à donner raison aux hommes qui nous ramènent à notre condition naturelle en prenant le risque de renforcer les discriminations à l’embauche« .  Des propos qui nous choquent puisque d’autres pays ont déjà instauré le congé menstruel sans que cela ne pose problème. Le fait que Madame Brun ait ajouté qu’un tel congé « invisibiliserait certaines femmes durant cette période et les amènerait à une rupture de soins » nous laisse également sans voix. Car par là, on cherche à nouveau à mettre en compétition des femmes 100% valides à d’autres ayant des soucis de santé. Et personnellement, cela nous met dans une colère noire. Pour rappel, selon un sondage IFOP de 2022, 53% des salariées seraient victimes de règles douloureuses. Parmi elles, 35% affirment que cela les gêne durant leur travail. Étant nous-même concernée, on admet que travailler avec des crampes, migraines, fatigue et sensation de perte de connaissance, c’est le top ! Mais bon, ne frustrons pas les femmes à 100% de leur capacité pour 2 jours de congés ! Et vous, qu’elles actus ont fait votre Tour d’Horizon ? LA REDACTION SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

La galerie Roger-Viollet met les femmes du XXe siècle à l’honneur

Séries de photographies issues de l'exposition "Une histoire photographique des femmes au XXe" | ©Mélanie Pierrat

Une histoire de la photographie des Femmes au XXe siècle : l’exposition gratuite à ne pas manquer à la galerie Roger-Viollet. La galerie Roger-Viollet présente jusqu’au 25 mars 2023 l’exposition photographique Une histoire photographique des femmes au XXè siècle. Gratuite, elle retrace en images l’histoire des Femmes, plus particulièrement en France, à cette époque et leur émancipation.  Les femmes aux XXe siècle Dans un contexte ou le patriarcat ne nous a toujours pas quitté et est encore – bien trop – présent dans le quotidien des femmes, cette exposition nous rappelle à quel point les féministes sont importantes dans l’avancée des droits de la femme et des libertés.  Rappelons effectivement qu’il y a environ un siècle – autant vous dire que c’était hier -, que les femmes (en France) étaient des objets pour les hommes. Notre unique but était donc d’être une épouse, une génitrice, une femme de ménage, une cuisinière. Et on vous passe tout ce qui était devoir conjugal. On ne se résumait qu’à cela pour les hommes. La vie d’une femme pouvait se résumer à « sois belle et tais toi ». ©Mélanie Pierrat Des luttes féminines toujours d’actualité Avec l’arrivée des guerres, les hommes partent et les gouvernements décident – enfin – d’attribuer des rôles plus importants aux femmes. Elles deviennent alors secrétaires, fabricantes d’armes, garagistes, etc. Des corps de métiers se retrouvent donc ouverts à tous et toutes, mais surtout, on se rend compte qu’elles valent plus que d’être femme au foyer.  Qui dit rôles plus importants dit aussi libération de paroles. Cela nous amène donc à l’arrivée de suffragettes venues de l’Angleterre. De plus en plus présentes, affirmées et imposantes, les femmes obtiennent le droit de vote. Non sans de nombreuses manifestations et luttes sociales. Ce fut un petit pas pour la femme, mais un grand pas vers la liberté.  En effet, de grandes figures féminines s’imposent désormais dans la littérature, les sciences, le sport, la politique, la musique, etc. La liberté des femmes mais aussi des corps est en marche. ©Mélanie Pierrat Des portraits épatants Cette exposition rassemble de sublimes portraits argentique des grandes figures féminines ayant marquées le XXè siècle en France. Ces figures inoubliables se retrouvent quasiment toutes côtes à côtes. Des portraits fascinants mettant en avant des femmes de tout horizon telles que Simone De Beauvoir, Marie Curie, Coco Chanel, Simone Veil, Françoise Giroud ou encore Josephine Baker. Une sorte de « wall of fame » (mur de la gloire) féministe et engagé qui fait plaisir à voir.  Des portraits photographiques noir et blanc ainsi que colorés – mais tout en finesse -, viennent se poser sur ce mur. Un délice pour les yeux des amateurs – ou non – de photographie. Dans ces portraits nous ne pouvons constater qu’une chose : la puissance et l’audace de ces figures fortes qui ont marquées non seulement l’histoire de la France mais celle du monde entier.  Puis, il y a aussi des portraits de sportives et artistes. On pense notamment à la tenniswomen Suzanne Lenglen ou aux chanteuses Édith Piaf, Barbara et Brigitte Bardot. En effet, n’oublions jamais l’impact qu’à la musique sur un peuple. Quand la musique s’en mêle et dénoue les mœurs. Chacune de ces grandes icônes est gravée dans la culture française. Avez-vous envie de découvrir Une histoire photographique des Femmes au XXe siècle à la Galerie Roger-Viollet? MÉLANIE SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Tour d’horizon #1

Visuel reprenant les différentes choses exposées dans l'article Tour d'Horizon #1

Musique, cinéma, photographie… Découvrez notre Tour d’Horizon de la semaine ! À partir d’aujourd’hui, nous essaierons de proposer chaque dimanche un Tour d’Horizon de notre semaine. Un parfait moyen pour vous d’en savoir davantage sur nos préférences culturelles. Prêt•e•s à découvrir ce qui a marqué notre semaine ? Les Gardiennes de la Planète Pour débuter notre Tour d’Horizon de la semaine, on revient sur Les Gardiennes de la Planète. Sorti en salle le 22 février, ce documentaire est signé par Jean-Albert Lièvre et narré par Jean Dujardin. Immédiatement, nous sommes pris dans l’ambiance avec une baleine à bosse échouée sur une plage française. Pendant que des Hommes tentent de la sauver, les spectateurs sont invités à découvrir leur place essentielle dans l’écosystème de la planète. De leur migration – ou non – à leur façon de communiquer, on en apprend davantage sur ces cétacés qui mériteraient plus de respect de notre part.  En effet, si les baleines sont aujourd’hui en voie de disparition, c’est entièrement due à l’Homme. On a d’ailleurs apprécié que le documentaire revienne sur la façon dont elles ont été chassées dans un but industriel. De l’éclairage public aux objets du quotidien, en passant par les cosmétiques, l’huile de baleines était une valeur sûre. Pourtant, si elles venaient à disparaître, l’Homme s’éteindrait à son tour. Women’s History Month Comme chaque année, la Journée Internationale des droits des Femmes aura lieu le 8 mars. Cependant, cette année, nous avons envie d’en faire plus. Puisque contrairement à nous, les États-Unis et le Royaume-Uni n’ont pas une journée, mais un mois, nous nous calerons sur leur système. En effet, du 1er au 31 mars se déroule là-bas le Women’s History Month. Pour exemple, la National Women’s History Alliance s’est donnée pour thème la « Célébration des Femmes qui racontent des Histoires ». Par ce biais, il est donc possible d’encourager des femmes actives dans toutes les formes de médias et storytelling. Sont notamment cités le print, radio, TV, scènes, écrans, blogs, podcasts et réseaux sociaux. Une liste largement inspirante ! Bien sûr, si mars est fait pour mettre en avant des Femmes qui nous inspirent, nous continuerons à le faire tout au long de l’année. Après tout, c’est dans notre ADN. Mars au Féminin Dans la lignée du National Women’s History, on ne pouvait passer à côté du challenge Mars Au Féminin proposé par Floandbooks sur Instagram. Ce dernier consiste à lire des livres uniquement écris par des autrices tout au long du mois de mars. Rien de très compliqué donc. Si vous souhaitez un peu corser les choses, pour sa 6e édition, Flo & Books a déterminé plusieurs catégories. Vous pourrez les retrouver dans le post ci-dessous. Pour notre part, on est très inspirés par un recueil de poésie, un cosy mystery ou encore un classique. Mais chacun est libre de faire ce qu’il souhaite. Si vous souhaitez participer à ce défi, vous n’aurez qu’une chose à faire : partager vos lectures via le #marsauféminin. À noter qu’en parallèle, un concours est organisé chaque semaine de mars. Deux rencontres auront également lieu à Paris et en région parisienne samedi 11 et 25 mars. Checkez son compte Instagram si vous voulez en savoir plus ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Florence (@floandbooks) Du nouveau dans la rédaction Cette année, la rédaction s’agrandit avec l’arrivée de nouveaux membres. Aujourd’hui, on a envie de mettre en avant l’une d’entre elle : Mélanie Pierrat. Si on devait vous la décrire, on dirait qu’elle est aussi timide que pleine de folie ! Et comme nous, elle adooore les animaux ! Diplômée de l’École de Condé (Nancy) en photographie, notre petit Panda – comme on aime la surnommer – est bourrée de talent. De l’argentique au numérique, elle s’adapte parfaitement à son environnement. En vous plongeant dans son travail, vous découvrirez des séries de portraits, des détails et même de la photo concert. Et nous, on aime cette diversité ! Pour nous, elle s’aventurera dans des salles de concerts. Car vous n’avez aucune idée à quel point elle en est mordue ! L’art étant aussi important pour elle, il n’est pas impossible de la croiser au détour d’une exposition. Et bien sûr, si nous vous proposons des interviews, c’est à elle que nous confierons la prise de vue. On vous encourage vivement à aller découvrir son travail sur son compte Instagram. Et surtout, à lui envoyer plein d’amour car elle le mérite ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Mélanie Pierrat (@pierratmelanie) MUSIQUE Vous avez dû le remarquer, cette année, les articles musicaux fleurissent sur le site. Cela correspond tout simplement à notre envie de revenir à nos sources. En effet, lorsque nous avons débuté avec Les Insouciants, seule la musique comptait. Il est donc normal pour nous de mettre davantage l’accent sur ce point. On termine donc ce premier Tour d’Horizon avec My Witch de Jen Cloher. Si le clip de cette chanson est disponible depuis le mois dernier, nous l’avons découverte grâce à la sortie de son nouvel album, I am The River, The River Is Me vendredi 3 mars. Avec cet opus, la musicienne nous invite à voyager à travers les terres de ses ancêtres, deux peuples Mãori. C’est également l’album parfait pour se détendre. Alors, ce premier Tour d’Horizon vous a-t-il plu ? LA RÉDACTION SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Une tournée et un album pour Ed Sheeran!

Ed Sheeran écrivant dans une maison près de la mer | ©Annie Leibovitz

Ed Sheeran surprend tout le monde avec un nouvel album et un passage par Paris ! En ce mercredi 1er mars 2023, Ed Sheeran annonce dans le plus grand calme la sortie d’un nouvel album accompagné d’une mini-tournée. On vous dit tout sur les infos à retenir ! Subtract, le 6e album d’Ed Sheeran Cette première semaine de mars, Ed Sheeran a révélé que son sixième LP, Subtract sortira le 5 mai 2023. Dans un long texte publié sur ses réseaux, le chanteurs est même revenu sur le projet. En effet, il planchait sur le sujet depuis une dizaine d’années, désireux de « sculpter l’album acoustique parfait, écrivant et enregistrant des centaines de chansons avec une vision claire« . Cependant 2022 a tout remis en question. Le tout, en raison « d’une série d’événements qui a changé sa vie, sa santé mentale ainsi que sa façon de voir la musique et l’art« . Pour exemple, Ed Sheeran revient sur le fait qu’en l’espace d’un mois « sa femme – alors enceinte – a appris qu’elle avait une tumeur inopérable pendant sa grossesse« , que « son meilleur ami est décédé subitement » et qu’il « s’est retrouvé au tribunal à défendre son intégrité et sa carrière d’auteur-compositeur« . À sa place, qui n’aurait pas ressenti de peur ou d’angoisses ?  En résulte donc un album composé en un peu plus d’une semaine avec des pensées plus sombres. Album qui se veut être « l’ouverture de la trappe de son âme« . De par ces mots, on ne peut que comprendre pourquoi il avait « l’impression de se noyer ». Impression qu’il montre d’ailleurs à travers le dévoilement de la track list de Subtract. En effet, la vidéo montre le chanteur tantôt marchant sur une plage, tantôt submergé par les vagues, seul le bruit du ressac l’accompagnant. https://youtu.be/QaNa2bVG860 Un passage par Paris Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, Ed Sheeran a décidé d’accompagner la sortie de ce sixième opus par une flopée de dates. Enfin, une pré-sortie puisque l’entièreté des dates européennes auront lieu courant mars et avril. D’ailleurs, si la tournée européenne se cantonne au Royaume-Uni et à l’Irlande, les français sont de petits veinards. En effet, Ed Sheeran sera de passage par l’Accor Arena de Paris le 2 avril prochain.  Pour prendre vos places, plusieurs options s’offrent à vous. Première solution : accéder à une pré-vente en précommandant Subtract avant le 7 mars. Dans ce cas, vous obtiendrez un code qui vous permettra d’acheter vos places le 8 mars à partir de 10h. Il semblerait également que Ticketmaster organise sa propre pré-vente. Pour cela, vous devez simplement demander à être notifié pour le jour de la mise en vente. Enfin, la mise en vente générale dans tous vos points de vente habituels aura lieu le 10 mars 2023. Et d’après l’Accor Arena, le premier tarif serait de 100€. On vous souhaite bon courage à toutes et tous car la concurrence risque d’être rude ! Avez-vous hâte de voir ce que Ed Sheeran réserve avec son nouvel album ? RAINE SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Måneskin au Casino de Paris, on y était !

Image à la une concert Måneskin au Casino de Paris

Mi février, les italiens de Måneskin étaient au Casino de Paris pour un concert privé organisé par Europe 2 ! Le 10 février dernier, quelques 2000 chanceux ont eu l’occasion d’assister au concert privé du groupe de rock italien Måneskin au Casino de Paris. Un événement organisé par Europe 2 auquel nous avons eu le bonheur d’assister ! L’avant concert ! Pour voir Måneskin, certains fans se sont présentés devant le Casino de Paris à 6h du matin. Il faut dire que la présence des gagnants de l’Eurovision 2021 dans une salle aussi petite était assez exceptionnelle. En effet, c’est à guichet fermé que le groupe va se produire à l’Accor Arena le 13 mars prochain. Une ambiance plus intimiste et une plus grande proximité avec le public était donc promise ce soir là ! C’est aux alentours de 19h15 que les portes s’ouvrent enfin, laissant passer les premiers spectateurs qui découvrent le hall du Casino de Paris. Ce dernier a été décoré à l’effigie du groupe pour l’occasion. Tandis que certains courent pour obtenir leur place dans les premiers rangs, d’autres se prêtent au jeu des interviews, photos de la presse et de la radio organisatrice. La salle se remplit au fur et à mesure, l’ambiance commençant déjà à s’échauffer malgré la place assez restreinte en fosse. Kaky pour ouvrir le bal Afin d’assurer la première partie de cette soirée, c’est le jeune artiste français, Kaky qui a été choisi. À l’aise sur la scène et entraînant facilement le public avec ses chansons oscillants entre divers registres musicaux, il convaint sans difficulté. La salle est réceptive et ses sons éclectiques restent en tête, promettant de jolies surprises dans son répertoire. Parmi eux, un titre issu de Room 404, Voyage de nuit. Après une prestation efficace d’un quart d’heure, il remercie son public et s’éclipse, tandis que les derniers retardataires s’installent dans les gradins. À noter que Kaky a sorti son premier album, Joli Monde, en juin 2022. On vous recommande donc d’aller y tendre une oreille ! https://www.youtube.com/watch?v=KJIVrxYf6C0 Måneskin fait le show Quelques minutes seulement avant 21h arrive enfin le groupe tant attendu ! Les membres venant prendre un à un place sur la scène sous les cris enthousiastes des fans français. Måneskin démarre avec l’un de ses nouveaux titres phares : Kool Kids. Titre qui déchaîne déjà les foules. L’ambiance est tout de suite lancée, le public chantant à tue-tête les paroles avec un Damiano (chanteur) en forme.  Tant les membres du groupe se donnent en spectacle, on ne sait même plus où poser les yeux. On constate rapidement combien leur énergie est communicative, leur single Gossip dynamisant encore plus leurs adeptes. S’en suit Baby Said. Choisi comme cinquième single, il s’agit probablement de l’un des meilleurs morceaux de Rush! S’enchaînent ensuite Bla Bla Bla et Zitti E Buoni durant lesquels Victoria (basse) et Thomas (guitare) se font un plaisir d’aller visiter la fosse. Ethan (batterie), en fond de scène, ne décélère quant à lui pas le rythme.  C’est juste avant de commencer Beggin’ que Damiano revient sur le bad buzz Tiktok. Il rappelle alors qu’il n’a aucune lassitude à jouer ce morceau qui les a propulsé sur la scène internationale. Avec cette reprise, ils prouvent une nouvelle fois leur efficacité, ne laissant aucun repos à leurs fans. Supermodel est la prochaine sur leur setlist qui arrive déjà bientôt à sa fin.  Photographie du guitariste Thomas Raggi (Maneskin) lors du concert au Casino de Paris | © Cyrielle Poilpre C’est toutefois lors de leur titre suivant, le single The Loneliest, que la communion se fait dans toute la salle. Les flashs s’allument, accompagnant la voix puissante du chanteur sur cette ballade mélancolique. Les paroles résonnent dans toutes les bouches, ne laissant plus aucun doute quant à leur talent et leur renommée. La soirée se termine en beauté avec I Wanna Be Your Slave. Hymne du groupe qui nous fait regretter la courte durée de ce concert. Victoria retourne à nouveau parmi les fans dans la fosse tandis que Thomas nous offre un rapide solo de guitare. Alors que la foule est en délire, Damiano enflamme une nouvelle fois le Casino de Paris, jusqu’aux dernières notes avant leur salut final.  Måneskin séduit une nouvelle fois le public français lors de cette soirée exceptionnelle! On ne peut que vous donner rendez-vous à l’Accor Arena de Paris pour leur passage unique en France ! Maintenant que vous avez eu un avant goût, avez-vous hâte d’être le 13 mars 2023 pour voir Måneskin à l’Accor Arena ? CYRIELLE SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Matmatah revient avec un nouvel album !

Une pour l'article du review de l'album "Miscellanées Bissextiles"

Matmatah sort un nouvel album au nom aussi singulier qu’eux : Miscellanées Bissextiles ! Après six ans d’absence, Matmatah revient avec un sixième album : Miscellanées bissextiles. Un nom plutôt bien choisi au vu du contenu divers qu’il nous offre ! Un groupe de rock français incontournable Célèbre groupe de rock français venu de Brest, Matmatah ne cesse de remplir les salles depuis son premier succès, Lambé an dro. Aujourd’hui, il s’agit même de l’un des groupes phares du paysage musical français. De l’originel restent Stan (chant) et Eric (basse). Les accompagnent désormais Julien (piano), Benoit (batterie) et Léo (guitare).  Pour la petite histoire, en 1998, Matmatah s’est retrouvé au tribunal à cause de L’Apologie. En effet, cette chanson issue de leur premier album, La Ouache (1998) a été considérée comme une provocation à l’usage de stupéfiants. S’en suit Rebelote (2001) dans lequel on peut trouver des titres anglais et français mais pas de référence à la Bretagne. Il est donc résolument très rock.  Avec Archie Kramer (2004), le groupe passe un nouveau cap puisque plusieurs chansons sont calibrées pour la radio. On y retrouve d’ailleurs le titre Au conditionnel dont le succès n’est plus à présenter. Après La cerise (2007), le groupe annonce sa séparation en fin de tournée. Ils se reformeront cependant quasiment 10 ans après (2016) pour sortir Plates coutures (2017). Un album qui leur permet de parler des problèmes de société qui les touchent, tout en gardant leur univers musical résolument rock’n roll. C’est donc le début d’une nouvelle aventure, puisque le 3 février 2023 est sorti leur dernier album en date, Miscellanées bissextiles, dont nous allons parler plus en détail dans cet article. Les prémices du nouvel album C’est en juin 2021 que tout a commencé avec un nouveau titre en anglais : Bet you and I. On a même eu la chance d’avoir la version mixée par le célèbre producteur de musique anglais, Brian Rawling. Producteur qui a notamment produit Cher. Suite à cette chanson, Matmatah nous laisse sur notre faim. En effet, il faudra attendre fin 2022 pour voir défiler les nouveautés. Tout d’abord, le single Brest-même en novembre 2022. Puis, Hypnagogia le mois suivant. Enfin, avec la nouvelle année est arrivé un troisième titre très rock’n’roll : Fière allure. Le clip de ce dernier révèle notamment nombre de photos d’archives. Ainsi, on y voit les cinq membres du groupes enfants, déjà devant leurs instruments et respirant la joie de vivre (sauf pour Eric Digaire, mais on lui pardonne). Matmatah « Quitte les sentiers battus«  S’il y a bien une phrase qui peut résumer cet album, c’est un extrait de l’entêtante L’aventure : « quittons les sentiers battus« . C’est en effet ce qu’à fait Matmatah en enregistrant entre Brest, Hérouville, Auray ou encore la Macédoine du Nord. Et bien sûr, ce sixième opus est toujours auto-produit. À l’écoute de Miscellanées bissextiles on se rend compte qu’il n’y a pas de règles. Les musiques n’ont pas de thème commun. Ni forcément de logique. Et pourtant, elles s’enchaînent naturellement. Stan précisait que « Matmatah fait ce qu’il veut » et nous sommes bien d’accord ! C’est d’ailleurs ce qui en fait un grand album car on sent que les chansons sont à leur place tant elles sont voulues par le groupe. https://youtu.be/JAJPFW3VLY8 Histoire de bien déroger à la règle de « Faites des chansons qui peuvent passer en radio », Matmatah démarre son album par une musique de – tenez-vous bien – environs 20 minutes : Erlenmeyer. Un mélange de toutes sortes de rythmes et de genres qui peut en surprendre plus d’un. Malgré sa longueur, on ne s’ennuie pas, se laissant prendre par le flot. Évidemment, on retrouve les influences bretonnes chères à Matmatah. Trenkenn Fisel et Brest-même sont de ces chansons dont le rythme vous colle à la peau, salée par l’air marin. D’un autre côté, on peut entendre des musiques engagées : Populaire, SklogW et Obscène Anthropocène critiquent tour à tour la vindicte populaire, l’inaction des hautes sphères et la transformation néfaste de la Terre par l’Homme. Si vous nous demandiez nos coups de coeur, nous n’aurions aucun mal à vous répondre. Hypnagogia vous entrainera dans un univers flottant, entre rêve et réalité. On ne peut s’empêcher de bouger lentement sur cette mélodie, pour profiter de chaque sensation que la musique et la voix hypnotique de Tristan nous procurent. D’un style totalement différent, L’aventure nous a particulièrement séduit. C’est une chanson qui vous mettra de bonne humeur et qui vous invitera à vivre tout ce qui s’offre à vous. Après tout, nous n’avons qu’une seule vie et « les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais ». Et vous, qu’avez-vous pensé du nouvel album de Matmatah ? AZRAEL SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Pinterest Linkedin

Découvrez la nouvelle sensation Lo-Fi, Chris de Sarandy

Chris de Sarandy

Chris de Sarandy nous captive avec son titre That’s Life! Comme chez Les Insouciant•e•s nous sommes friands de nouveautés, impossible de passer à côté de Chris de Sarandy. Nouveau venue sur la scène Lo-Fi, le chanteur anglais a dévoilé That’s Life le 10 février 2023.  Mais qui est Chris de Sarandy? Originaire du sud-ouest de l’Angleterre, Chris de Sarandy a décidé de voler de ses propres ailes. Après des débuts à l’âge de 14 ans dans un groupe indé, le chanteur s’est envolé du côté de l’Allemagne. En effet, c’est à Berlin que Chris a posé ses valises afin de commencer une carrière solo. Ville qui n’a pas été choisie par hasard puisqu’elle a vu passer de nombreux artistes tels que David Bowie ou Nick Cave. Il faut aussi noter que Berlin est la ville de l’électro par excellence.  Entre rencontres avec des producteurs et musiciens, Chris de Sarandy se met à la compositions de ses premiers titres. Parmi eux, Good Girl, sad Boy et Like I Don’t Know You. On peut d’ailleurs dire que ce déménagement a porté ses fruits puisqu’il a été repéré par le label berlinois Embassy of Music. Découvrez That’s Life Nous l’annoncions un peu plus tôt, Chris de Sarandy a sorti un nouveau titre, That’s Life. Un morceau devenu coup de coeur dès sa première écoute. D’une voix rauque et sensible à une instrumentation simple faite de beats en douceur bercés par un piano, tout nous plaît. That’s Life apparaît même comme une chanson doudou à écouter lorsque l’on perd pied pour se consoler. Pour ce titre en particulier, Chris a expliqué l’avoir écrit en seulement trois heures. Autant dire que le chanteur a bien fait de suivre son instinct puisqu’il ne nous aura fallu que quelques secondes d’écoute pour avoir envie d’en apprendre plus sur son univers. Côté paroles, That’s Life évoque la période de doute profond et d’instabilité ressenti après une rupture. Fait inspiré par la plus longue relation du chanteur qu’il a mis des années à accepter. Un homme qui nous parle de ses sentiments, nous, on adhère complètement ! Si Chris de Sarandy est parvenu à recevoir un accueil enthousiaste pour son single Like I Don’t Know You sur les ondes allemandes, on lui souhaite de connaître le même succès en France ! Ce dernier figurera d’ailleurs sur l’EP du chanteur qui sortira courant avril. Que pensez-vous de ce titre de Chris de Sarandy? RAINE SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

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