Jodie Foster : L’icône intemporelle du cinéma et de la résilience

JODIE FOSTER PHOTOGRAPHIÉE PAR ZOEY GROSSMAN. STYLISÉE PAR ALEX WHITE - ELLE MAGAZINE-

Jodie Foster, icône du cinéma et femme inspirante ! Dans le monde du cinéma, certaines personnalités brillent par leur talent, leur détermination et leur charisme. Jodie Foster, actrice légendaire, est sans conteste l’une de ces figures. Au-delà de son immense succès sur grand écran, Jodie Foster incarne la force, la résilience et l’intelligence dans une industrie souvent marquée par les défis. À travers son parcours professionnel et personnel, elle a su inspirer des générations entières. Dans cet article, nous explorerons la vie, les combats et les réalisations de cette femme exceptionnelle. Les débuts d’une étoile montante Jodie Foster a amorcé sa carrière cinématographique à un âge où la plupart des enfants découvrent à peine le monde qui les entoure. Née le 19 novembre 1962 à Los Angeles, en Californie, elle fait ses premiers face caméra à l’âge de 3 ans dans la série télévisée Mayberry R.F.D. Le début d’une trajectoire qui allait la conduire vers les sommets de l’industrie cinématographique. Il faudra attendre 10 ans de plus pour qu’elle se révèle dans Les deux font la paire. Film de science-fiction ou elle incarne la jeune sœur intrépide d’un personnage principal joué par Martin Landau. Cette performance précoce a immédiatement attiré l’attention des critiques et du public sur son incroyable talent et sa présence à l’écran. 4 ans plus tard, Jodie Foster s’impose véritablement avec son rôle dans Taxi Driver (Martin Scorsese). À seulement 14 ans, elle incarne le personnage d’Iris, une prostituée adolescente, avec une maturité et une intensité qui dépassent de loin son jeune âge. Ce rôle lui a d’ailleurs valu une nomination aux Oscars dans la catégorie « Meilleure Actrice dans un second rôle », faisant d’elle la plus jeune nominée dans cette catégorie à l’époque. Cette nomination a été le début de la gloire puisqu’en 1980, Jodie décroche le rôle principal dans Les Accusés, où elle incarne Sarah Tobias, une jeune femme violée cherchant justice. Sa performance courageuse et émotionnellement éprouvante lui a valu son premier Oscar en tant que meilleure actrice. Elle en recevra un second dans la même catégorie pour son interprétation de Clarice Starling (Le Silence des Agneaux) en 1991. Ainsi, elle est devenue l’une des rares actrices à avoir remporté deux Oscars dans la même catégorie. Au fil des années, Jodie Foster a continué à diversifier ses rôles et à explorer une gamme de genres cinématographiques. De drames intenses à des comédies légères, elle a prouvé sa polyvalence et son talent incontestable, établissant ainsi sa réputation en tant qu’une des actrices les plus respectées de sa génération. Son parcours remarquable dans l’industrie cinématographique témoigne non seulement de son talent exceptionnel en tant qu’actrice, mais aussi de sa capacité à naviguer avec succès à travers les défis et les exigences de l’industrie du divertissement. Jodie Foster reste une icône intemporelle du cinéma, dont l’héritage perdurera bien au-delà des projecteurs et des écrans. Au-delà des projecteurs Bien que Jodie Foster soit largement connue pour ses performances sur grand écran, sa vie en dehors des projecteurs est tout aussi remarquable. En tant que femme publique, elle a navigué avec habileté entre sa carrière professionnelle et sa vie privée, tout en utilisant sa notoriété pour défendre des causes qui lui tiennent à cœur. Jodie Foster est réputée pour son activisme et son engagement envers diverses causes sociales. Elle a notamment utilisé sa plateforme pour défendre les droits des femmes, des LGBTQ+ et des enfants, par le biais de discours passionnés, de soutien financier et de participation à des événements caritatifs. Son engagement envers ces causes essentielles témoigne de sa conscience sociale et de son désir de faire une différence positive dans le monde. Parallèlement à son activisme, Jodie Foster a également prouvé son intelligence et son talent en dehors du monde du cinéma. Elle est diplômée de l’Université de Yale, où elle a étudié la littérature anglaise. Son engagement envers l’éducation et son désir de poursuivre ses passions au-delà du monde du divertissement illustrent sa profondeur et sa polyvalence en tant que personne. Le tout, en maintenant une distance respectueuse entre sa vie personnelle et sa carrière publique. Cette capacité à préserver son intimité tout en étant une figure publique lui a d’ailleurs valu le respect et l’admiration de ses pairs et ses fans. En fin de compte, Jodie Foster est bien plus qu’une actrice talentueuse. Elle est une voix influente pour le changement et une source d’inspiration pour ceux qui admirent sa détermination, son intégrité et son engagement envers les autres. Son impact sur et en dehors de l’écran témoigne de sa place en tant que véritable icône, dont l’héritage perdurera bien au-delà de sa carrière cinématographique. https://youtu.be/zgHD_VorukM?si=fo2V__bg5d78XaXp Résilience et triomphe Le parcours professionnel de Jodie Foster n’a pas été sans défis. Malgré son immense talent et son succès précoce, elle a dû surmonter plusieurs obstacles tout au long de sa carrière. Des périodes de moindre visibilité à Hollywood aux difficultés rencontrées en tant que femme dans une industrie dominée par les hommes, elle a fait face à des défis avec résilience et détermination. Au début des années 2000, Jodie Foster a fait le choix de se concentrer davantage sur sa carrière derrière la caméra en tant que réalisatrice et productrice. Cette transition témoigne de sa volonté de se réinventer et d’explorer de nouveaux horizons artistiques. Ses films, tels que Le Complexe du Castor (2011) et Money Monster (2016), démontrent sa capacité à aborder des sujets complexes et contemporains avec intelligence et sensibilité. Malgré les hauts et les bas de sa carrière, Jodie Foster a toujours su rebondir avec force et détermination. Son approche méticuleuse et son engagement envers son métier lui ont permis de maintenir une présence durable à Hollywood, où elle continue à être respectée et admirée tant pour son talent d’actrice que pour ses réalisations en tant que réalisatrice. En plus de sa carrière cinématographique, Jodie Foster a également réussi à concilier sa vie professionnelle avec sa vie personnelle. Mère de deux enfants, elle a toujours veillé à trouver un équilibre entre ses responsabilités familiales et ses engagements professionnels, démontrant ainsi sa capacité

Paloma au PluriElles : la consécration

affiche "Paloma au pluriElles" représentant Paloma (alias Hugo Bardin) en triple

Couronnée première reine de Drag Race France, Paloma sillonne la France avec son premier spectacle, Paloma au PluriElles. Mardi 27 février 2024, Hugo Bardin, alias Paloma a de nouveau fait salle comble à Lille. Après un passage remarqué au Théâtre Louis Pasteur (Grand Palais) l’année dernière, c’est au Splendid que l’artiste aux multiples talents nous a donné rendez-vous ! Comme des millions de téléspectateurs, nous avons découvert Paloma lors de la première saison de Drag Race France. Ayant eu un coup de coeur immédiat pour son drag, on ne pouvait passer à côté de l’occasion de la voir sur la scène du Splendid !  Personnages multiples Hugo Bardin est un comédien avant tout, et on vous l’assure, à travers ses personnages, il montre l’intégralité de son talent. De la comédie au lyp sync – sur un enregistrement de sa propre voix -, à la danse, rien n’effraie Hugo. Ou plutôt Paloma puisqu’il s’agit bien de son alter-ego féminin qui se présente à nous ce soir. Face aux 500 personnes venues lui clamer leur allégeance, Paloma se met dans la peau de 7 femmes très différentes les unes des autres. Les habitués de Drag Race et Quotidien connaissent forcément quelques unes d’entre elles puisque Paloma les fait vivre régulièrement à l’antenne. Certaines sont déjà devenues cultes à l’instar de sa romanesque Fanny Ardant qui nous avait fait mourir de rire durant le Snatch Game. C’est d’ailleurs sous ses traits que débute Paloma au pluriElles.  Le spectacle est à l’image de Paloma : drôle, intelligent et piquant. De la peinture au cinéma en passant par la littérature, ces femmes servent un florilège de références aussi éclectiques que culturelles. Pas étonnant lorsqu’on sait que Hugo est particulièrement cultivé – ou culturé pour Laeticia/Néfertiti -. Quant à la conclusion du show, elle nous laisse sans voix face à une performance en lyp sync sur un titre encore inédit de Paloma. Instant qui nous a fait penser à la scène finale des Liaisons Dangereuses ou Madame de Merteuil retire bijoux et maquillage. Ici, pas d’humiliation mais une acclamation méritée suivi d’une standing ovation pour Hugo Bardin qui pose une couronne sur sa tête, nous rappelant qu’il reste notre reine. Le temps des remerciements, il en profite pour annoncer que le titre entendu (P.A.L.O.M.A) sortira dans quelques jours. Il s’agit d’une collaboration avec Rebeka Warrior et RAUMM qui sera accompagnée d’un clip. Un spectacle féminin et féministe Paloma au pluriElles est une ode aux femmes. Jouant sur de nombreux clichés, ses personnages passent un message résolument féministe. Guide de musée et autrice de littérature saphique, Delphine pose les termes en s’attardant sur une oeuvre de Pablo Picasso représentant Dora Maar de façon difforme. Elle dépeint alors l’homme comme misogyne, violent et possédant le talent d’un enfant de 4 ans tandis qu’à l’inverse, Dora Maar était une femme exceptionnelle et « plus talentueuse que lui ». Dans un autre registre, Depardieu en prend aussi pour son grade. Et ça, on approuve totalement ! Delphine laisse ensuite place au tableau de Marie-Antoinette à la rose. Perchée dans son cadre, la dernière reine de France surnommée « Madame Déficit » revient sur le fait qu’elle n’était en vérité pas la plus dépensière. En atteste les nombreuses passions de son mari, Louis XVI pour la chasse mais aussi les horloges et les cadenas. De façon hilarante, Marie-Antoinette dépeint la situation comme un rapport Freudien lié au sexe.  À travers toutes ces femmes, Paloma recoupe de façon comique les différentes phases de la vie d’une femme. Lolashiva cherche à se reconnecter avec son soi intérieur tandis que Viviane Vivier évoque la ménopause. Même la bourgeoise Anne-Cyprine annonce combien vieillir n’est pas beau en faisant du tri dans les vêtements de sa belle-mère décédée. Notamment en s’enroulant dans une énorme culottes ayant connu de meilleurs jours. Sans aucun doute, Paloma au pluriElles est un spectacle respirant un amour profond pour les femmes.  On apprécie aussi le fait que pour s’entourer sur ce spectacle, Hugo Bardin n’ait fait confiance qu’à des femmes. Du son à la lumière en passant par sa compère en scène (Elodie), pas à un homme à l’horizon. Fait qui prouve que, même si elles sont bien moins nombreuses, les femmes dans le milieu du spectacle ont du talent ! https://www.youtube.com/watch?v=rD5CZzraSUY Une troisième date lilloise On profite de cet article pour vous informer que si vous avez manqué Paloma au PluriElles lors de l’un de ces deux passages par Lille, elle sera de retour le 30 octobre 2024 au Sébastopol. Une parfaite occasion pour suivre son ascension et lui montrer votre soutien. À noter que les places sont déjà en ventre entre 23€ et 47€. Le Pas-de-Calais n’est pas non plus en reste puisqu’elle jouera au Casino d’Arras le 15 octobre. Bien sûr, cette année, Paloma est en tournée dans toute la France. Vous pourrez notamment la retrouver aux Folies Bergères les 10 et 11 avril, à l’opéra de Clermont-Ferrand – sa ville natale – le 19 avril ou encore au Théâtre Fémina de Bordeaux le 5 juin. Toutes les dates sont disponibles sur lnkfi.re. Et vous, avez-vous vu Paloma au PluriElles ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

« Le Consentement » ou l’emprise d’un pédophile acclamé par la critique littéraire

Image montrant Gabriel Matzneff (Jean-Paul Rouve) et Vanessa Springora(Kim Higelin) dans le film "Le Consentement"

Dans Le Consentement, Vanessa Filho met en images la relation de Vanessa Springora avec l’écrivain Gabriel Matzneff. Un film avec pour thématique l’emprise d’un véritable prédateur. Sortit en salle le 11 octobre 2023, Le Consentement est largement inspiré du récit éponyme de Vanessa Springora publié en 2020. Sur fonds d’années 80, Vanessa, 13 ans, côtoyait écrivains et férus de littérature lors de dîners mondains. Parmi eux, Gabriel Matzneff, un écrivain qui se révèlera être un effroyable prédateur.  TRIGGER WARNING Le Consentement aborde la pédocriminalité. Il n’est donc par recommandé pour toutes et tous ! × Ignorer cette alerte. Une époque où il était interdit d’interdire: entre complicité et laxisme Le Consentement débute dans une cour d’école. Une scène à priori banale. Pourtant, Vanessa Springora (Kim Higelin), 13 ans n’a rien de l’adolescente lambda. Habituée aux dîners mondains donnés par sa mère (Laetitia Casta), elle y apparaît comme une enfant timide, n’adressant la parole à personne. En revanche, elle y écoute très attentivement un homme chauve, la cinquantaine passée et au phrasé particulier : Gabriel Matzneff. Grimé pour l’occasion, Jean-Paul Rouve tient ce rôle particulièrement effrayant. En premier lieu prévenant, son personnage envoie par la suite des dizaines de courriers à Vanessa. D’abord réticente à cette relation, la mère finira par laisser les choses se faire. Le tout, par lassitude ou aveuglement, comme si elle aussi, était sous emprise. À moins que ce ne soit de la jalousie. Une mise en parallèle entre une femme délaissée par son mari – par les hommes en général -, en proie aux addictions et sa fille, jeune, innocente et déjà très convoitée. L’un des passages les plus marquant reste l’intervention de Denise Bombardier dans  Apostrophes. Émission où l’écrivaine québécoise y attaque frontalement Gabriel Matzneff, reprochant à sa littérature de  servir «d’alibi» à ses crimes et abus de pouvoir. «Moi, M. Matzneff me semble pitoyable», lance-t-elle avant de poursuivre : «Comment s’en sortent-elles, ces petites filles, après coup? Moi je crois qu’elles sont flétries et la plupart d’entre elles, peut-être, pour le restant de leurs jours.»  Ce jour là, en plateau, elle est la seule à remettre ces agissements en question face à des invités hilares. Face à cette émission, la mère de Vanessa éteint la télévision. En effet, ces paroles entrent en contradiction avec ce qu’elle laissait faire au même moment au sein de son propre foyer. En outre, lorsque le personnage de Vanessa décide de rompre avec son « amant », celui-ci appelle inlassablement, et en pleine nuit sur le téléphone du domicile familial. La mère s’étonne alors : « Mais, c’est dommage, il t’aime bien pourtant. » Un passage qui a largement fait soupirer d’exaspération l’entièreté de la salle, marquant ainsi désapprobation et incompréhension. Deux rangées derrière la notre, nous avons même pu entendre un couple chuchoter « C’est tellement dégueulasse« . https://www.youtube.com/watch?v=H0LQiv7x4xs&t=2s Une relation d’emprise qui va crescendo Sans connaissance du contexte, on pourrait croire que Le Consentement est une histoire d’amour entre un homme et une femme incluant une grande différence d’âge. Ce qui dérange certains, même lorsque les deux parties sont majeurs. Cependant, il n’en est rien. Car on le répète, Vanessa n’a que 13 ans et l’homme face à elle à le quadruple de son âge. Et bien que Kim Higelin, l’interprète de la jeune fille en ait 23 en réalité, la voir dans ce rôle nous met mal à l’aise. Évidemment, comme dans chaque relation impliquant de l’emprise, tout débute de manière quasi romantique. Dans les années 80, on parle ici de relation épistolaire. D’abord, uniquement du côté de Gabriel Matzneff. Puis, de Vanessa. Viennent ensuite les premières balades et enfin, une invitation à l’appartement de l’homme. Lieu où, pour détendre l’atmosphère, Matzneff met de la musique sur son tourne-disques, esquissant quelques pas de danse un peu gauche. Mais, comme dans toute relation toxique, le vrai visage du prédateur ne tarde jamais à se dévoiler. Étape par étape, on passe ainsi d’avances, à la séduction, et bien sûr, la manipulation. SPOILER & TW 1 Tout au long du films, les scènes “d’amour” sont vraiment déstabilisantes. En effet, elles mettent en images ce que nous avons lu dans le livre. Ce ne sont donc pas deux personnes qui s’aiment comme on veut bien nous le faire entendre, mais une adolescente abusée par un homme de 50 ans. Homme qui lui fait croire que tout cela est “très beau, très rare” et bien sûr, “que de l’amour“.  Gabriel Matzneff (Jean-Paul Rouve) et Vanessa Springora (Kim Higelin) Pour Vanessa, la désillusion est terrible. Elle, que Matzneff appelle souvent « mon enfant », découvre qu’il cumule en cachette les « amours » avec d’autres adolescentes. Parfois, en même temps. Et pour ne rien arranger, qu’il pratique également le tourisme sexuel sur de petits garçons aux Philippines. C’est notamment la lecture de l’un des livres de l’écrivain qui agit comme élément déclencheur et véritable prise de conscience. En effet, Matzneff y décrit sans vergogne sa passion pour « les culs frais de Manille« . On découvre alors une adolescente tantôt désoeuvrée, abattue, tantôt en proie à une énorme crise de panique. Le tout, dans la chambre d’hôtel permanente de son amant. Là, seule face à un miroir, elle réalise ce qu’elle vient de lire. Dans son reflet, elle aperçoit alors quatre ou cinq jeunes garçons dont certains d’origine asiatique. SPOILER & TW 2 Parmi les scènes choquantes compte également un jour où Vanessa et Gabriel Matzneff sont dans leur chambre d’hôtel. L’homme y apparaît assis au bord du lit, chemise ouverte et pantalon baissé jusqu’aux chevilles, sexe apparent. S’en suit une fellation montrée de manière subjective. Une scène qui a également secouer la salle. Avis final Le Consentement est un film qui marque. Pas seulement pour ces scènes que l’on juge glauques et malaisantes mais aussi par la dépiction de l’emprise telle qu’elle est en vérité. En effet, pour l’avoir vécu nous-même, nous savons qu’elle peut provenir d’une relation amicale, familiale ou amoureuse.  Autant dire qu’après ces deux heures à regarder cela, de nombreuses questions nous viennent à l’esprit :  « Comment la société a-t-elle pu être aussi laxiste ?« , « Combien d’autres enfants ont subis

Séries Mania : Que vous réserve la saison 3 ?

Envie de faire un tour à Séries Mania cet été ? Découvrez ce qui vous attend pour la troisième édition lilloise qui se tiendra du 26 août au 2 septembre 2021. En fin d’été, Séries Mania sera de retour à Lille pour une saison 3. Projections à Lille, en région ou en ligne, rencontres, activités. Voici ce qui vous attend entre les 26 août et 2 septembre 2021. Un nouveau lieu pour le village festival Cette année, Séries Mania mise entièrement sur la carte estivale. Habituellement installé au Tripostal, le village du festival est délocalisé en plein coeur de Lille. En effet, c’est place Rihour que vous pourrez vous rassemblez afin de profiter d’ateliers jeune public ou encore de la boutique et la librairie du festival. Le point informations et la billetterie s’y trouveront également. Incontournable du festival, les décors immersifs inspirés des séries seront de retour. Il sera donc possible de vous plonger dans les décors de Friends, Dexter et The Mandalorian. Seront aussi de la partie des programmes VR ainsi qu’un Escape Game autour du Bureau des Légendes. À noter que chaque journée au Village Festival aura sa propre thématique. Le weekend débutera dans la bonne humeur avec un vendredi sous le signe de la comédie. Le lendemain, les Super-Héros prendront le relai. Pour l’occasion, des Cosplayers professionnels déambuleront dans la ville. Vous pourrez également vous grimer puisqu’un prix du plus beau costume sera remis pour l’occasion. Les enfants ne seront pas oubliés grâce à une animation maquillage. Le dimanche 29 août sera quant à lui sous le signe des Geeks. Quoi de mieux qu’une thématique sanglante pour débuter la semaine ? Et oui, le lundi 30 août, c’est un « Ze Serie Horror Pixi Show #2 » par Cellofan’ qui vous attend. Les deux dernières journées seront respectivement une journée musicales et une journée dans l’espace. La première proposera notamment un cours de danse par la Compagnie Farid’O et le Flow ainsi qu’un Karaoke Live avec les Okay Monday. Enfin, qui dit journée dans l’espace dit Star Wars. En plus d’un atelier conception de sabres laser, la Légion 501 – The Mandalorian – déambulera en ville. La journée se conclura quant à elle avec un Blind Test des Airnadettes. Les Rencontres Comme de coutume, Séries Mania recevra quelques équipes de vos séries préférées. Le vendredi 27 août, Kamel Belghazi, Honorine Magnier, Frank Monsigny, Luce Mouchel et Ariane Seguillon viendront représenter le feuilleton de TF1, Demain nous appartient. Le lendemain, on reste sur la première pour une rencontre avec les acteurs de la série Ici tout commence. Seront présents : Benjamin Baroche, Rebecca Benhamour, Azize Diabate, Mikaël Mittelstadt ainsi que Clément Rémiens. Téïlo Azaïs, Aurore Delplace, Fabrice Deville et Naïma Rodric vous donneront quant à eux rendez-vous au village festival à partir de 14h30 le 30 août où ils représenteront le feuilleton phare de France 2 : Un si grand soleil. Lundi 30 août, Séries Mania recevra Marie Papillon au village du festival afin de parler de sa série Marie et les choses. Discussion qui sera précédée de la diffusion d’épisodes inédits. En espérant que le soleil soit avec elles, Béatrice de La Boulaye et Sonia Rolland viendront représenter la série policière française Tropiques Criminels le lendemain. Le premier jour de septembre sera lui accompagné des Petits Meurtres d’Agatha Christie qui feront leur apparition annuelle sur le festival. Seront présents : Chloé Chaudoye, Arthur Dupont et Emilie Gavois-Khan. Tous les jours, des rencontres auront également lieu à l’UGC de Lille. Notamment avec Hagai Levi, Olivier Marchal, Anny Duperey, Audra McDonald, Muriel Robin ou encore Steven Canals, En parallèle, des séances de dédicaces se dérouleront avec certains invités au village du festival. S’y rendront notamment Florence Aubenas, Tania de Montaigne, Marianne Levy ou encore Delphine Horvilleur. Les projections en région Tout comme en 2019, Séries Mania se décentralise afin de vous proposer des séances dans cinq villes des Hauts-de-France. Cette année ce sont Amiens, Dunkerque, Lens, Wallers-Arenberg et Tourcoing qui ont été retenues. Ce n’est pas une, mais deux séances auxquels auront droit les Tourquennois. Le cinéma Les Ecrans vous donne donc rendez-vous le samedi 28 août à 20h pour la projection de La Tri et Or de Lui. À noter que La Tri sera diffusée en première partie de la séance de Or de Lui. Ainsi, vous n’aurez pas à choisir entre les deux. Le lendemain, c’est la dramédie française Nona et ses filles qui aura droit à une projection au Studio 43 de Dunkerque en présence de sa réalisatrice : Valérie Donzelli. Le cinéma Orson Welles d’Amiens recevra quant à lui la production française Jeune et Golri le 30 août. Seront présentes la réalisatrice Agnès Hurstel ainsi que la comédienne Marie Papillon. Quoi de mieux que le lieu du tournage pour découvrir les premiers épisodes de Germinal ? C’est bien ce que vous propose Séries Mania avec une projection le 31 août à l’Arenberg Creative Mine. Bonus, l’équipe de la série sera présente afin de vous parler de cette série adaptée du livre éponyme de Zola. Enfin, Lens aura droit au lancement de la nouvelle saison des Petits Meurtres d’Agatha Christie le 1 septembre au théâtre Le Colysée. Le tout, en présence d’une partie de l’équipe. Carte Blanche à la scène du Stand-Up Après des mois de pandémie, Séries Mania mise sur une thématique qui fera du bien : l’humour. En effet, le festival donne carte blanche à la scène du Stand-Up français avec des projections, des rencontres ou encore une exposition. En partenariat avec Kiblind, cette dernière mettra en avant 15 illustrateur•ices livrant leur interprétation des séries de stand-up. Dès le vendredi 27 août, le festival vous proposera en partenariat avec Le Spotlight son Séries Mania Comedy Club. Une soirée animée par l’humoriste et youtubeur Thomas Deseur où seront mis à l’honneur 4 talents des Hauts-de-France : Mahé, Lila Benchabane, Jojo Bernard et Varobaz. À noter que cette soirée sera parrainée par nul autre que Kyan Khojandi. Kyan que l’on retrouvera d’ailleurs plus tôt dans la journée au Majestic pour sa Carte Blanche. Il vous y présentera la série Master of None. Kyan Khojandi Toujours côté Carte Blanche, Nora Hamzahoui a choisi de vous parler de Seinfeld et Curb Your Enthusiasm le 28 août tandis que celle d’Agnès Hurstel sera dédiée à Crashing et Broad City le lendemain. Fadily Camara vous présentera quant à elle Ramy et Everybody Hates Chris le 30 août. Enfin, Alex Ramirès conclura ses Cartes Blanche avec la présentation le 31 août de The Marvelous Mrs Maisel et This Way Up par l’humoriste Alex Ramirès. Toutes ces séances auront lieu au Majestic. Enfin, Renan Cros animera une rencontre en compagnie de la créatrice de la série Drôle, Fanny Herrero. Conseillère stand-up sur le projet mettant en

Disney Investor Day : Marvel fait le plein d’infos

Le 10 décembre, le Disney Investor Day a révélé de nouvelles informations quant aux sorties Marvel à venir. Séries, films, on vous dit tout ! Évènement de cette fin d’année, le Disney Investor Day a offert une projection sur les films et séries de la firme Marvel à venir. De Ironheart à She Hulk en passant par Doctor Strange ou Black Panther, on fait le point ! Phase 4 en route Présent au Disney Investor Day, Kevin Feige est revenu sur le futur du Marvel Cinematic Universe. Ainsi, Captain Marvel 2, dont la sortie devrait avoir lieu le 11 novembre 2022 verra Monica Rambeau et Ms.Marvel rejoindre Carole Danvers. Cette fois, c’est Nia DaCosta (Little Woods | Candyman) qui sera à la réalisation. Déjà bien fourni au niveau du casting, Doctor Strange in the Multiverse of Madness va accueillir une petite nouvelle : America Chavez alias Miss America. Xochitl Gomez rejoint donc Benedict Cumberbatch (Stephen Strange | Doctor Strange) et Elizabeth Olsen (Wanda Maximoff | Scarlett Witch) dans cette production à la fois en lien avec Spider-Man 3 et WandaVision. Rendez-vous le 25 mars 2022 en salle. Pèle-mêle, Ant-Man & The Wasp : Quantumania voit rejoindre Kathryn Newton (Cassie Lang | Stature) et Jonathan Majors (Kang le Conquérant). Christian Bale est confirmé dans Thor : Love & Thunder afin d’interpréter Gorr. On croise également les doigts pour les sorties de Black Widow le 7 mai 2021, Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings le 9 juillet 2021 et The Eternals le 5 novembre 2021. Concernant Black Panther 2, le regretté Chadwick Boseman ne sera pas remplacé. Et ce, de manière physique ou numérique. D’après Kevin Feige, le film lui rendra hommage tout en continuant l’exploration du Wakanda et de ses personnages. Shuri (Letitia Right) y tiendra-t-elle le rôle principal ? Par ailleurs, Kevin Feige a profité de l’événement pour officialiser l’arrivée des Quatre Fantastiques dans le MCU. Si le casting reste encore un mystère, c’est Jon Watts – à qui l’ont doit les deux derniers Spider-Man – qui se collera à la tâche. Des femmes, encore des femmes ! Vous vous en doutez, on ne pouvait écrire cet article sans faire un point « femmes dans le MCU ». Il faut dire qu’outre Captain Marvel, les personnages féminins en stand-alone se font rares à l’écran. Mais voilà, qui dit Disney+, dit davantage de possibilités. En effet, compte tenu du succès de la série Jessica Jones (Netflix), la déclinaison du MCU de cette manière semble judicieux. D’autant plus que, contrairement au cinéma, les séries ont l’avantage de pouvoir approfondir les personnages. Mais revenons-en au sujet principal. Lors de ce Disney Investor Day, les séries ont fait la part belle aux femmes. Annoncé il y a quelques temps, le développement de She Hulk a désormais un début de casting. Et c’est Tatiana Maslany (Orphan Black) qui y interprètera la cousine de Bruce Banner : Jennifer Walter. Mark Ruffalo (Hulk) fera d’ailleurs une apparition dans la série. Tout comme Tim Roth qui reprendra son rôle d’Emil Blonsky, alias l’Abomination. Comme mentionnez plus haut, Ms. Marvel va également avoir droit à sa série. Prévue pour 2022, elle mettra en scène Kamala Khan (Iman Vellani) la première super-héroïne musulmane. Croyez-vous que, comme dans les comics, elle y shipera Spider-Man et Captain Marvel ? Après tout, la super-héroïne rencontrera son idole dans Captain Marvel 2. Toujours côté production connue, Kate Bishop (Hailee Steinfeld) soutiendra Hawkeye (Jeremy Renner) dans la série éponyme et Wanda se retrouvera au centre de l’intrigue de la série WandaVision. Série dont la sortie est prévue le 15 janvier 2021. L’information qui nous a le plus réjouit reste cependant la préparation d’une série autour de IronHeart. Digne héritière de Tony Stark – dont il est l’I.A dans les comics -, Riri Williams (Dominique Thorne) risque de nous réserver son lot de surprises. Des nouveautés pour Disney+ Si l’événement de ce 10 décembre 2020 a permis de faire le point sur les projets d’ors et déjà connus, il a aussi été l’occasion d’en révéler de nouveaux. Parmi eux, trois nouvelles séries et un téléfilm. Et oui, James Gunn reviendra à la réalisation pour Guardians of the Galaxy Holiday Special. Après Sam Wilson et Bucky Barnes, c’est le colonel James Rhodes qui va reprendre du service. Dans ce projet intitulé Armor Wars, Don Cheadle rendossera l’armure de War Machine afin d’affronter le pire cauchemar de Tony Stark. Le petit favori de tous, Baby Groot va lui aussi avoir droit à davantage de temps d’écran dans I am Groot. Par ailleurs, si une série centrée sur Nick Fury avait été évoqué, elle est aujourd’hui officialisée. Intitulée Secret Invasion, cette production nous fait évidemment penser au crossover du même nom où les Skrulls, peuple métamorphe, a secrètement remplacé plusieurs super-héros par des imposteurs. Tout ce que l’on peut pour le moment vous dire, c’est que Samuel L. Jackson et Ben Mendelsohn (Talos) seront de la partie. Séries repoussées, on en est où ? Bousculé en raison de la pandémie, les Studios Marvel ont du s’adapter. En effet, l’impossibilité de tournage a repoussé la sortie des productions initialement prévues pour 2020 à 2021. Ce Disney Investor Day a donc été l’occasion de faire le point. Parmi les plus attendus : What if…?, The Falcon et le Soldat de l’Hiver ou Loki. Bonne nouvelle, toutes trois ont eu droit à des images exclusives. À commencer par What if…? qui nous présente Peggy Carter sous les de Captain Britain. Ce projet animé tease également ce qu’aurait donné la vie de T’Challa – doublé par Chadwick Boseman – s’il s’était retrouvé dans la peau de Star Lord. Autant dire qu’on a déjà hâte d’être à l’été 2021. Située après les événements d’Endgame, The Falcon et le Soldat de l’Hiver promet autant de testostérone que d’action. On y retrouvera notamment l’antagoniste de Captain America, le Baron Zemo (Daniel Brühl) mais aussi Sharon Carter (Emily Van Camp) et John Walker (Wyatt Russell). Une série de six épisodes que vous pourrez dévorer à partir du 19 mars 2021. Bien sûr, le Dieu de la Malice a aussi eu droit à son heure de gloire. Si les premières images montrent la scène d’Avengers : Endgame où Loki s’échappait avec le Tesseract, le reste fait saliver. Alors que le premier teasing de la série durant le Superbowl dévoilait un Loki menaçant la TVA (Time Variance Authority), cette fois, c’est l’un de ses bureaucrates qui se dévoile : Mobius M. Mobius (Owen Wilson). Et si Kevin Feige avait promis un voyage à travers le temps, c’est bien ce qui semble se dessiner. En effet, le Trickster se présente dans cette bande-annonce tantôt comme candidat aux élections présidentielle américaine, tantôt comme le célèbre pirate de l’air D.B Cooper. Il faudra cependant attendre Mai 2021 avant son

Dark Waters : Des lobbys intouchables

Inspiré de faits réels, Dark Waters revient sur l’empoisonnement de la population par l’entreprise DuPont. Une réalisation signée Todd Haynes avec Mark Ruffalo dans le rôle de Robert Bilott.

Super Bowl 2020 : Les bandes-annonces révélées !

De Top Gun à James Bond en passant par Black Widow, découvrez les bandes-annonces du Super Bowl 2020 ! Le Super Bowl 2020 n’est pas seulement un moment consacré au sport. Il est aussi celui où l’on attend avec impatience de nouvelles bandes-annonces. Sans plus tarder, voici les productions qui ont été mises en avant durant l’événement ! James Bond au rendez-vous Avant son arrivée sur nos écrans le 2 avril 2020, James Bond a fait un détour par le Super Bowl 2020. Dans ce spot, on retrouve Daniel Craig pour sa dernière apparition dans le rôle de l’agent 007 aux côtés de Lashana Lynch. En plus de Rami Malek dans le rôle du vilain, on retrouve la française Léa Sédoux qui campait déjà le rôle de Madeleine Swann dans 007 Spectre. Super Bowl 2020 : Jackpot pour la Paramount ! Cette année, c’est la Paramount qui a décroché le gros lot avec pas moins de quatre spots durant le Super Bowl 2020. Avant de revenir troubler les salles obscures le 18 mars prochain, la seconde partie de Sans Un Bruit a fait un détour par l’événement américain avec un nouveau spot. Inutile d’en dire davantage, les images parlent d’elles-même. Sonic s’est également invité avec un trailer mettant en scène plusieurs athlètes avant de nous plonger dans l’univers du hérisson avec lequel nous avons grandi. Vous y verrez aussi bien le personnage que son antagoniste, le Dr. Robotnik interprété par Jim Carrey. Un court intermède qui nous donne envie de découvrir ses nouvelles aventures dès le 12 février au cinéma. Histoire de rester en enfance, Bob l’Éponge a aussi eu droit à son moment de gloire. Dans ce nouveau film, Bob a perdu son escargot de compagnie, Gary et va devoir le retrouver. Notez au passage les apparitions de Snoop Dogg et Keanu Reeves ! Bien sûr, rien de tel que le Super Bowl 2020 pour retrouver Tom Cruise dans la peau de Maverick. En attendant la sortie des suites des aventures de notre pilote favori le 15 juillet 2020, on vous laisse déguster les nouvelles images de Top Gun : Maverick. Les Minions pour Universal Les Minions se sont incrustés au Super Bowl 2020 avec la promesse d’un film aussi hilarant que les précédents. Au menu : toujours plus de méchants, des explosions, du kung-fu et même des poils de torses épilés. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’avec Il était une fois Gru, Universal ne compte pas nous laisser indifférent. Il nous faudra cependant attendre le 8 juillet 2020 avant de retrouver les Minions en salle. Trailer final pour Mulan Avant sa sortie le 25 mars 2020, Mulan a révélé sa bande-annonce finale au Super Bowl 2020. Contrairement au live-action de La Belle et La Bête ou du Roi Lion, ce nouveau long métrage de Walt Disney Pictures s’éloigne distinctement du dessin-animé. Une chose qui devrait plaire à certains et être contestée par d’autres. Dans tous les cas, la jeune Mulan est prête à en découdre avec ses adversaires ! https://www.youtube.com/watch?v=GNNUzQoKLYc La part belle aux productions MARVEL Une fois encore, les Studios MARVEL ont profité du Super Bowl 2020 pour promouvoir leurs futures productions. Les amateurs de football américains ont ainsi pu découvrir une quarantaine de secondes autour de Black Widow. Interprétée par Scarlett Johansson, la super espionne va visiblement avoir des choix à faire. On retrouve également dans ce spot Yelena Belova (Florence Pugh), Melina Vostokoff (Rachel Weisz) et Alexei Shostakov (David Harbour) alias Red Guardian. https://www.youtube.com/watch?v=nd59q960YDA MARVEL a aussi promu ses séries à venir sur la plateforme de streaming Disney + via une bande-annonce regroupant Falcon and the Winter Soldier, WandaVision et Loki. De Falcon (Anthony Mackie) lançant le bouclier de Captain America à un face à face entre Zemo (Daniel Brühl) et le Soldat de l’Hiver (Sebastian Stan) ou les retrouvailles entre Wanda (Elizabeth Olsen) et Vision (Paul Bethany), la firme laisse présager de la diversité dans le MCU. Quant à Loki, nous n’avons pu nous empêcher de repérer le TVA inscrit sur sa chemise, soit Time Variance Authority. Allez donc savoir ce qu’à pu entreprendre le personnage campé par Tom Hiddleston pour les menacer de la sorte. L’homme invisible L’homme Invisible a lui aussi fait une courte apparition lors du Super Bowl 2020. Dans ce nouveau spot, on retrouve l’essence de ce qui a été révélé précédemment. Soit, une Cecilia Kass (Elisabeth Moss) harcelée par Adrian Griffin (Oliver Jackson-Cohen), son petit ami qu’elle pensait mort et finalement devenu invisible. Autant dire que nous ne sommes pas particulièrement emballées par cette nouvelle adaptation de l’oeuvre de H.G Wells. Pour les curieux, le film sera en salle à partir du 26 février et promet une expérience SF horrifique. Quelles sont les bandes-annonces révélées lors du Super Bowl 2020 qui vous donnent le plus envie ?

Maléfique : le Pouvoir du Mal, une quête de liberté et de paix

Maléfique fait son retour au cinéma le 16 octobre pour un second opus intitulé Le Pouvoir du Mal. Un rendez-vous immanquable pour les amateurs de La Belle au bois Dormant. Réalisé par Joachim Rønning, Maléfique : Le Pouvoir du Mal arrive sur nos écrans le 16 octobre. Un film creusant à la fois la complexité des relations entre la sorcière et Aurore et explorant de nouvelles alliances. On vous dit tout sur ce film que l’on a pu découvrir en avant-première le 9 octobre dernier ! Un conflit maternel Si les liens entre Maléfique (Angelina Jolie) et la princesse Aurore (Elle Fanning) se sont renforcés et apaisés au fil du temps, ils n’en demeurent pas moins complexes. En effet, dans ce second volet Maléfique s’oppose farouchement à la future union de sa filleule et du Prince Philippe (Harris Dickinson), arguant que l’amour sincère n’existe pas, tout comme la paix entre les deux royaumes. Du côté d’Ulstead, la reine Ingrith (Michelle Pfeiffer), future belle-mère d’Aurore, n’est pas en reste et va jusqu’à provoquer la colère de Maléfique. Comment ? Tout simplement en déclarant qu’elle considère désormais la princesse Aurore comme sa propre fille. S’en suit alors un conflit entre les deux femmes, mêlant jalousie et désir avide de pouvoir sur les décisions d’Aurore. Évidemment, se dessine aussi la relation entre une mère et son fils. Relation qui n’est pas des plus saines puisque la reine Ingrith cherche à le manipuler afin qu’il prenne son parti. Deux femmes en quête de paix (ou presque) Bien que Maléfique émette des craintes quant à la sincérité des sentiments du Prince Philippe envers sa filleule, son désir le plus cher reste la paix définitive entre le monde de la Lande et celui des Humains. Malheureusement, avec la reine Ingrith dans les parages, cela semble impossible. Tout comme Maléfique, la reine Ingrith révèle une femme blessée, trahie par beaucoup d’hommes sans jamais se détourner de son but. Sous ses airs bienveillants, la reine Ingrith cherche en effet à anéantir le monde des fées par un moyen aussi radical qu’effrayant. Et pour cela, quel meilleur prétexte que la cérémonie de mariage entre son fils et la princesse Aurore ? Tout est alors soigneusement mis en oeuvre par la reine afin de montrer Maléfique sous un mauvais jour et l’éloigner d’Aurore. Dans ce rôle d’antagoniste, Michelle Pfeiffer est parfaite. À la fois égoïste, élégante et glaciale par moment, elle nous offre un personnage tout aussi humain qui fait que l’on adore la détester. Une vision pas si manichéenne que ça… Ce deuxième opus est aussi l’occasion pour Maléfique de retrouver ses semblables. Blessée par une sbire du roi (Jenn Murray), elle est secourue par Conall (Chiwetel Ejiofor). Grâce à ce personnage mystérieux, elle fait connaissance avec une bande de créatures ailées et cornues chassées jadis par les humains. Attirée par l’esprit de groupe et leur solidarité, Maléfique est alors tiraillée entre le désir de vengeance exprimée par certains membres de la tribu et son attachement pour les humains, de part son histoire avec Aurore. Au sein de la communauté, certaines Fées Noires, comme Borra (Ed Skrein), ont l’intime conviction que la violence est l’unique solution. Elles espèrent donc pouvoir tirer profit des pouvoirs de Maléfique. En effet, déterminés à protéger leur environnement et la nature, ces êtres sont en guerre contre l’espèce humaine. En somme, les deux camps ont chacun des choses à se reprocher. Choses qu’ils devront corriger s’ils veulent un jour cohabiter en paix. « Les humains sont des vautours qui pillent la Terre » – Borra Et vous, avez-vous envie de découvrir Maléfique : Le Pouvoir du Mal ?

Glass : un film qui vole en éclats !

Après Incassable (2000) et Split (2016), M. Night Shyamalan revient dans un univers visionnaire et effrayant avec Glass. Il y a quelques jours, Les Insouciantes ont assisté à l’avant-première du film qui sortira en salles le 16 janvier. Avec Glass, M. Night Shyamalan réunit dans un crossover ce qui a fait le succès de ses deux précédents opus : de la baston, un environnement angoissant à souhait et une performance exceptionnelle de James McAvoy. Une création sonore angoissante D’une part, l’intrigue ne se repose jamais. On ne ressent pas de longueurs devant Glass. De l’autre, la bande son maintient le spectateur en alerte. Tantôt lancinante, tantôt semblable aux battements de cœur, elle accentue l’angoisse et la terreur au fil des scènes. Il en va de même pour les bruitages réalistes (surtout dans les scènes de bagarre) et fracassants. On remarque aussi que la moindre parole est accompagnée d’un son, qui va du bruit de pas sur le sol à la porte qui claque violemment en passant par les hurlements de La Bête. Des destins broyés en quête d’utilité Les trois protagonistes sont mis face à leurs démons et leurs traumatismes d’enfance : David Dunn (Bruce Willis) a survécu à une noyade « imposée » par ses camarades d’écoles, Kevin Crumb (James McAvoy) a subi des violences de la part de sa mère quand il avait neuf ans et Elijah Price (Samuel L. Jackson) s’est fracturé le corps 94 fois au cours de sa vie (dont une fois dans un manège forain). Alors que le Dr Staple (Sarah Paulson) tente de soigner Dunn de son prétendu délire, sa seule préoccupation est de protéger de La Bête le personnel de l’hôpital et le reste de la population. Dunn ne peut ainsi se résoudre à mettre un terme à sa mission car il pense être le seul capable de l’arrêter. Kevin, est quant à lui une âme brisée qui se protège de lui-même derrière des avatars. L’arrivée de ces deux personnages offre à Elijah l’occasion de se libérer et de révéler la vérité à la société : il existe bien des super-personnes parmi nous. Un raisonnement s’opposant à celui d’Ellie Staple qui pense que ces « surhommes » s’abusent eux-mêmes. Mais ce qui rend Elijah – ou Monsieur Glass – si dangereux, c’est avant tout son air tranquille sous lequel se cache la préparation d’un plan que personne ne soupçonne. Et lorsque le personnel s’en rendra compte, il sera déjà trop tard. Le film nous interroge alors sur cette question : Êtes-vous un super-héros ou ne s’agit-il que d’un fantasme malgré vos croyances ? Une performance d’anthologie Nul n’ignore la complexité que cela représente d’interpréter 24 personnages en même temps. C’est pourtant le challenge que James McAvoy relève avec brio, tantôt effrayant et émouvant, tantôt détestable et admirable. De son interprétation, on note les ressemblances avec des personnages tels que Wolverine ou Hulk lorsque Kevin/Patricia/Hedwig ainsi que le reste des personnalités se transforment en Bête. Les effets spéciaux rendent encore plus réalistes cette transition entre l’humanité et l’animosité qui caractérise ce personnage. Glass n’est pas seulement un film d’action violent. Il s’avère être une intrigue psychologique, où chaque personnage bascule dans sa mégalomanie pour se protéger. Au final, le méchant n’est pas celui auquel on pense ni celui qu’on voit dans un premier temps. La révélation de l’antagoniste et de l’existence des super-héros ne survient qu’à la fin, pour mieux faire raisonner la vérité au grand jour, et faire voler en éclats l’ordre autoritaire comme une glace qui se brise en mille morceaux. Et les femmes dans tout ça ? Outre les trois personnages principaux, le Dr Ellie Staple (Sarah Paulson) est primordial dans l’intrigue. Directrice de l’hôpital psychiatrique, elle est en charge de la sécurité des patient.e.s, et plus particulièrement de Dunn, Price et Crumb. Trois hommes considérés comme des éléments dangereux. Mais s’ils n’étaient pas le réel danger ? Pour cela, il vous faudra vous rendre en salle. En effet, empathique au premier abord, le Dr Staple est hardie dans son ambition d’établir un progrès dans sa profession. Mais, est-elle là pour réparer ces hommes, ou les briser ? Madame Price (Charlayne Woodard), bien qu’étant un personnage secondaire, occupe quant à elle une place très spéciale dans la construction du personnage de son fils. Déterminée à ne pas l’abandonner, elle est convaincue qu’Elijah a besoin d’un déclic pour redevenir actif. Enfin, le film met en avant Casey Cook (Anya Taylor-Joy). Ancienne victime de La Bête et unique personne à avoir survécu à son kidnapping, elle fascine l’opinion. Elle prend la défense de Kevin Crumb car il a été le premier à voir sa douleur lorsqu’elle était son otage. En retour, elle a vu la sienne. Et si au premier abord, on pourrait croire que Casey est atteinte du syndrome de Stockholm, c’est bien plus complexe que cela. Casey serait en quelque sorte l’alter-ego de Kevin, de par les violences familiales qu’elle a aussi subi sans pour autant être devenue schizophrène. Au final, ces trois femmes soutiennent à leur manière des hommes brisés, violents malgré eux, mais terriblement attachants. Et vous, avez-vous hâte de découvrir Glass au cinéma ?

Nos bandes-annonces de la Semaine #7

Toys Story 4, Dumbo, Pikachu Detective. Nos bandes-annonces de la semaine #7 , sont très animées ! Nos bandes-annonces de la semaine sont de retour avec une sélection de films éveillant nos âmes d’enfants. TOY STORY 4 Avec pas moins de deux bandes-annonces, la saga Toy Story annonce son grand retour pour un quatrième opus ! Cette fois, Woody et ses amis embarquent dans une farandole des plus joyeuse jusqu’à ce qu’un nouveau personnage apparaisse. Ne se considérant pas comme un jouet, cet inconnu brise le quotidien de ses camarades. Autant dire qu’on a hâte d’en apprendre plus sur ce personnage qui semble des plus désorienté. SORTIE LE 26 JUIN 2019 DUMBO En voyant le nom de Tim Burton à la réalisation, nous étions un peu septique. Ces dernières années, ces films ont causé notre déception et nous avions donc peur d’une vision tronqué du chef-d’oeuvre qu’est le dessin animé Dumbo. Mais voilà, tout comme Depp nous a agréablement surprises dans son rôle de Grindelwald (Les Animaux Fantastiques), Burton épate. Littéralement soufflées par la justesse de la bande-annonce, on plonge dans une ambiance qui n’est pas sans rappelée son Big Fish. Tourné en prise réel, le film suit l’histoire de l’éléphanteau – né dans un cirque –  au pouvoir de voler grâce à ses immenses oreilles. Ajoutez à cela deux minutes trente de bande-annonce faisant passer du rires aux larmes et un casting cinq étoiles (Eva Green, Colin Farrell, Michael Keaton, Danny DeVito,  ou encore Alan Arkin ) pour qu’on ait envie de voir le film. SORTIE LE 27 MARS 2019 DÉTECTIVE PIKACHU Après un jeu mettant en scène un Pikachu détective, l’année prochaine, l’adorable Pokemon débarquera au cinéma. Et qui de mieux que Ryan Reynolds pour prêter sa voix à la plus célèbre de ces créatures ? Dans ces images, nous découvrons Tim Goodman – Justice Smith -, un jeune homme ayant eu le rêve de devenir dresseur de Pokemon étant enfant. Malheureusement, une toute autre voie s’offre à lui. Un jour, Tim découvre des billets de train sur son lit et un certain Pikachu entré par effraction dans son appartement. Avec ce nouveau compagnon dont lui seul comprend le langage, tous deux vont enquêter sur la disparition du père de Tim, un célèbre détective. Une nouvelle aventure promet de se distinguer de l’animé originale tout en nous rappelant le dessin-animé de notre enfance. SORTIE LE 18 SEPTEMBRE 2019 THE HAPPY PRINCE Pour sa première réalisation, Rupert Everett nous livre les dernières années du célèbre auteur Oscar Wilde dans un biopic dramatique. Ici nous retrouvons l’écrivain à l’apogée de sa réussite, tombant amoureux du poète anglais Alfred Bosie Douglas. Amour qui lui vaudra deux années d’emprisonnement. Entouré de Colin Firth dans le rôle de Reggie Turner – auteur et journaliste – et d’Emily Watson (Constance Wilde) ou encore de Colin Morgan (Lord Alfred Douglas), Everett se donne le rôle titre qu’il semble interpréter à merveille. On l’avoue, nous sommes maintenant impatiente de pouvoir découvrir ce biopic qui nous paraît aussi torturé et proche du Total Eclipse (1995) de Agnieska Holland où était relaté la sulfureuse relation entre Rimbaud et Verlaine. SORTIE LE 19 DECEMBRE 2018 SPIDER-MAN NEW GENERATION Impossible de terminer nos bandes-annonces de la semaine sans une pensée émue pour Stan Lee. Le maître incontesté de MARVEL n’est plus, laissant derrière lui bon nombre de héros orphelins et endeuillés. Heureusement, le temps n’a pas d’emprise sur Spider-Man qui s’invitera sur nos toiles à partir de mi-décembre. Dans cette version animé, Peter Parker devra former le jeune Miles Morales, un garçon lui aussi piqué par une araignée. Venus d’autres dimensions apparaîtrons également Spider-Gwen, le Spider-Man noir et… Spider-Cochon. Autant dire que cette nouvelle production animée promet déjà un bon divertissement autour du Spider-Verse. SORTIE LE 12 DECEMBRE 2018

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