La programmation presque complète du Main Square est là!
Le Main Square Festival révèle sa programmation – quasi – complète ! Découvrez les artistes à voir à la Citadelle d’Arras du 30 juin au 2 juillet 2023 ! Jeudi 26 janvier 2023, le Main Square Festival a ajouté une trentaine de noms à sa programmation. Après Maroon 5, David Guetta, Macklemore, Aya Nakamura et Orelsan, découvrez qui se produira à la Citadelle d’Arras l’été prochain ! Du rap et du R’n’B… Le Main Square Festival se veut éclectique et ouvert pour tous. Chose que nous savons depuis quelques années déjà. Cette année ne déroge pas à la règle. Si vous aimez le rap et le RnB, vous ne serez pas déçu. Les français seront notamment à l’honneur puisque dès le vendredi vous pourrez profiter de Tiakola et Alvin Chris. Curieusement non annoncé avec les autres têtes d’affiches, Damso sera également de la partie. Une nouvelle qui devrait réjouir la Gen Z. Le lendemain, comme annoncés précédemment, ce sont Orelsan et Aya Nakamura qui enflammeront la Main Stage. On pourra aussi retrouver le nordiste Konga qui n’est autre que le Lauréat Hauts-de-France de la sélection Buzz Booster 2022 ainsi que les belges Hamza. Dimanche 2 juillet, Rethno côtoiera l’américain Macklemore, le canadien BBNO$ et l’haïtien Joué Dwèt Filé. Des noms qui promettent autant de découvertes, de styles différents et d’artistes renommés. https://youtu.be/FZIxKMqrdUo En passant par la pop et le rock… Si à première vu le Main Square semble manquer de rock, c’est surtout parce qu’il y à très peu de gros noms à se mettre sous la dent. Exit les Green Day, Red Hot Chili Peppers, Muse & co. Cette année, vous n’aurez droit en tête d’affiche qu’à la pop de Maroon 5 pour illuminer la Main Stage le vendredi 30 juin. Ce même jour se produiront les canadiens City and Colour ainsi que les français Grand Cru et Izia. Préparez-vous à avoir Mon Coeur dans la tête. Pour notre plus grand plaisir, Anna Calvi et Calum Scott apporteront quant à eux un vent de fraicheur britannique. Côté régionale, les lillois YMNK et les boulonnais Ravage Club ont été choisis pour défendre la région. On imagine donc que nous pourrons les retrouver sur la scène du Bastion. En parlant région, Feu Minéral représentera le Pas-de-Calais samedi 1er Juillet. Tout comme leurs compères lillois Dear Deer et Orange Dream. Le Main Square récidive également avec la K-Pop. Après la venue de CL le 30 juin 2022, c’est au tour de The Rose de venir prendre la température de la Citadelle. Bien sûr nous pourront également compter sur la réputation de Royal Republic, des excellentes Nova Twins et de Hot Milk pour envoyer du lourd. On vous parlerez bien de Cloud, mais nous n’avons aucune information à son sujet ! Dimanche, pas moins de 8 groupes vous proposerons une ambiance rock’n’roll. À commencer par un habitué du festival : John Butler. Les USA seront aussi largement représentés grâce à la présence de Fever 333, Spoon, ou encore Sir Chloe. Pour terminer le weekend en beauté, vous pourrez headbanguer sur le post metal de Queen(ares), la folk de June Bug ou encore la pop de Gang Cloud. Mention spéciale pour les nantais KO KO MO qui est certainement LE groupe à ne pas manquer ! https://youtu.be/p5iJPWy7CSc … pour terminer avec l’électro ! Comme tous les ans, le Main Square pense programmation éclectique. C’est pourquoi l’électro sera aussi de la partie ! Pour votre immense plaisir, ce sont même les plus grands qui viendront vous ambiancer. Chose dont vous avez visiblement envie puisque la soirée de clôture avec à son affiche David Guetta est déjà complète. Nul doute que les textes engagés de Suzane ou les lillois LYDSTEN devraient également vous plaire. Fun fact, l’un des premiers textes de Suzane est une réponse au titre Sale Pute d’Orelsan… programmé la veille. Vendredi, c’est le petit prince de l’électro qui se produira sur la Main Stage : Kungs. D’ailleurs, vous l’avez peut-être déjà vu en première partie de Guetta. À moins que ce ne soit son premier succès, This Girl (2016) qui vous ai attiré. Dans tous les cas, vous pourrez compter sur le frenchie pour vous déhancher au fil de son set. Enfin, samedi amènera dans ses valises un autre habitué du Main Square : Vitalic. Il sera précédé des belges Lost Frequencies et du canadien Apashe, exceptionnellement accompagné d’un brass band. https://youtu.be/h7IZgMEd6J0 À l’heure où nous écrivons, la programmation du Main Square Festival 2023 est presque complète. Nous avons pris la température sur les réseaux sociaux et il en ressort clairement des avis mitigés. En effet, nombreux sont ceux qui attendaient beaucoup plus de cette édition. Surtout avec l’augmentation des tarifs ou en voyant les programmations d’autres festivals. En effet, si le Main Square Festival devrait largement réjouir la Gen Z, on se demande où sont passés Shaka Ponk, les Arctic Monkeys, Stromae, Placebo, The Black Keys ou encore Imagine Dragons ! Les festivaliers se le demandent et beaucoup pensent déjà à revendre leurs places ou se faire rembourser. Prêt•e•s à vous rendre au Main Square Festival l’été prochain ? RAINE & ZELopHE SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Pinterest Linkedin
DAVID BOWIE – ICONE DE LA CULTURE POP
Véritable icone de la pop culture, David Bowie laisse derrière lui un héritage certain. Cinq ans après sa disparition, retour sur sa carrière ! Déjà 5 ans ont passé depuis le décès de l’iconique David Bowie le 10 janvier 2016. De ses titres cultes à ses looks inoubliables, le chanteur reste aujourd’hui l’une de nos plus grandes sources d’inspirations. Un style inimitable David Bowie est avant tout l’incarnation de la réinvention à chaque album. Pionnier du Glam Rock avec Marc Bolan, l’icône de la culture pop s’est inspiré de nombreux courants artistiques tout au long de sa carrière. Son talent innovateur et visionnaire lui a notamment valu le surnom de Pablo Picasso de la musique. Il faut dire qu’avec pas moins de 27 albums studio, l’oeuvre laissée derrière lui est aussi conséquente qu’influente pour bon nombre d’artistes. D’après le biographe David Buckley, la mouvance punk rock serait d’ailleurs inspirée du travail de l’artiste britannique. De sa musique, on retient particulièrement sa « trilogie berlinoise » composée des albums Low (1977), Heroes (1977) et Lodger (1979). Enregistré à la fin de l’année 1976 à Berlin-Ouest, ce triptyque a vu David Bowie expérimenter des éléments issus des musiques du monde, de l’électro, du krautrock ou encore de la musique ambiante. Et tout cela, aux côtés du producteur Tony Visconti et l’anglais Brian Eno. Plus tard, David Bowie fera référence à cette trilogie comme une part de son ADN. Quelque part, on peut voir ces albums comme un moyen de remonter la pente. En effet, leurs réalisations font suite à une sombre descente aux enfers du chanteur sur la côte Ouest américaine. En s’établissant en Suisse, puis à Berlin, l’artiste s’est ouvert à la culture. Art contemporain, musique classique et littérature l’ont ainsi inspiré avant qu’il ne reprenne le chemin des studios. À noter que cette convalescence lui a permis de travailler avec son grand ami Iggy Pop sur l’album The Idiot où Bowie teste des sons, enregistrant en parrallèle Low. Parmis ces trois opus on retrouve des titres notables et entêtant comme Speed of Life, Sound and Vision, Beauty and the Beast, Heroes, Blackout, Look Back In Anger, Boys Keep Swinging ou encore Fantastic Voyage. David Bowie et ses tenues iconiques Perfectionniste, David Bowie ne laisse rien au hasard. Scénographies, lumières, maquillages et tenues de scènes sont choisies avec minutie. Et quelles tenues ! Aujourd’hui, toutes sont plus iconiques les unes que les autres. Tantôt Aladdin Sane, tantôt Geisha, Bowie a autant ensorcelé les stylistes de la planète que ses fans. Les couturiers parlons-en ! Parmi eux, le regretté Kansai Yamamoto réputé pour ses créations avant-gardistes et à qui l’on doit justement les tenues de Bowie à l’époque d’Aladdin Sane. Apparas qui resteront certainement les plus emblématiques de la carrière de David Bowie. À l’occasion de The Man Who Sold The World, l’artiste a collaboré pour l’élaboration d’une robe pour homme avec Michael Fish. Le célèbre costume bleu clair porté par David Bowie dans Life On Mars ? a quant à lui été dessiné par Freddie Burretti. Tout comme le costume molletonné de Starman. On peut également cité la créatrice Ola Hudson qui a designé son rôle de Thin White Duke accompagnant la tournée Station to Station. Tout au long de sa carrière David Bowie retrouvera Natasha Korniloff. Elle l’habillera notamment en Pierrot le clown ou dans un costume bouffant marin. Bowie a également offert une place à la jeunesse en faisant confiance à Alexander McQueen pour la confection d’une fabuleuse redingote aux couleurs de l’Union Jack. Aujourd’hui encore, ces tenues toutes plus iconiques et épiques les unes des autres font toujours rêver. Tant et si bien qu’elles font désormais partie de la culture populaire, leurs représentations étant reconnaissables au premier coup d’oeil lorsqu’elles inspirent de nouvelles créations. On peut noter par exemple le shooting photo de Tilda Swinton pour Vogue Italie et i-D en 2003 devant le photographe Craig McDean. La comédienne se présente cheveux teints en rouge orangés, les yeux maquillés à la Bowie, les pauses et les costumes n’étant pas sans nous rappeler le David Bowie du milieu des années 70 ! De l’art du clip En plus de son talent pour la musique et la mise en scène avec ses costumes épatants, David Bowie a offert de superbes clips. On pourrait même dire que chacun de ses clips est un tableau, une scènette. Toujours la main sur son image, l’homme n’a en effet pas hésité à faire appel au plus grands afin de faire vivre morceaux et personnages. Reconnu pour ses photographies d’artistes internationaux (Iggy Pop, Queen, Lady Gaga,…), Mick Rock est passé à la réalisation pour quatre clips de David Bowie : John, I’m Only Dancing, The Jean Genie, Space Odity, et Life on Mars ?. Seuls clips qu’il ait réalisé au cours de sa carrière. On retrouve également le réalisateur David Mallett qui signera une dizaine de clips dont Ashes to Ashes, DJ, Under Pressure, Let’s Dance, China Girl, ou encore Dancing in the Street. Outre des personnes issus de l’univers musical, David Bowie n’a pas hésité à se rapprocher de réalisateurs tels que Gus Van Sant pour la réalisation du clip de Fame ’90 ! Essai concluant qui permettra au réalisateur américain de collaboré ensuite avec les Red Hot Chili Peppers, Elton John, Tracy Chapman ou encore les Hanson entre deux longs métrages. On peut également cité l’appel à la photographe et réalisatrice Floria Sigismondi pour les réalisations de The Stars (Are Out Tonight) et The Next Day. Clip dans lequel apparaît d’ailleurs Tilda Swinton et représente le christianisme de façon satirique. Enfin, le chanteur a fait appel à Johan Renck pour les superbes mises en scène de Blackstar et Lazarus. Deux clips qui nous ont profondément marqué tant on y sentait la fin proche de Bowie. Qu’il nous questionne, nous mette mal à l’aise ou nous laisse sans voix fasse à leur esthétique particulière, la magie opèrent toujours sur nos écrans. De la chanson à l’écran Souvent défini comme un génie de la musique, il ne faut pas oublier que David Bowie est aussi acteur. De caméos