Disney Investor Day : Marvel fait le plein d’infos
Le 10 décembre, le Disney Investor Day a révélé de nouvelles informations quant aux sorties Marvel à venir. Séries, films, on vous dit tout ! Évènement de cette fin d’année, le Disney Investor Day a offert une projection sur les films et séries de la firme Marvel à venir. De Ironheart à She Hulk en passant par Doctor Strange ou Black Panther, on fait le point ! Phase 4 en route Présent au Disney Investor Day, Kevin Feige est revenu sur le futur du Marvel Cinematic Universe. Ainsi, Captain Marvel 2, dont la sortie devrait avoir lieu le 11 novembre 2022 verra Monica Rambeau et Ms.Marvel rejoindre Carole Danvers. Cette fois, c’est Nia DaCosta (Little Woods | Candyman) qui sera à la réalisation. Déjà bien fourni au niveau du casting, Doctor Strange in the Multiverse of Madness va accueillir une petite nouvelle : America Chavez alias Miss America. Xochitl Gomez rejoint donc Benedict Cumberbatch (Stephen Strange | Doctor Strange) et Elizabeth Olsen (Wanda Maximoff | Scarlett Witch) dans cette production à la fois en lien avec Spider-Man 3 et WandaVision. Rendez-vous le 25 mars 2022 en salle. Pèle-mêle, Ant-Man & The Wasp : Quantumania voit rejoindre Kathryn Newton (Cassie Lang | Stature) et Jonathan Majors (Kang le Conquérant). Christian Bale est confirmé dans Thor : Love & Thunder afin d’interpréter Gorr. On croise également les doigts pour les sorties de Black Widow le 7 mai 2021, Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings le 9 juillet 2021 et The Eternals le 5 novembre 2021. Concernant Black Panther 2, le regretté Chadwick Boseman ne sera pas remplacé. Et ce, de manière physique ou numérique. D’après Kevin Feige, le film lui rendra hommage tout en continuant l’exploration du Wakanda et de ses personnages. Shuri (Letitia Right) y tiendra-t-elle le rôle principal ? Par ailleurs, Kevin Feige a profité de l’événement pour officialiser l’arrivée des Quatre Fantastiques dans le MCU. Si le casting reste encore un mystère, c’est Jon Watts – à qui l’ont doit les deux derniers Spider-Man – qui se collera à la tâche. Des femmes, encore des femmes ! Vous vous en doutez, on ne pouvait écrire cet article sans faire un point « femmes dans le MCU ». Il faut dire qu’outre Captain Marvel, les personnages féminins en stand-alone se font rares à l’écran. Mais voilà, qui dit Disney+, dit davantage de possibilités. En effet, compte tenu du succès de la série Jessica Jones (Netflix), la déclinaison du MCU de cette manière semble judicieux. D’autant plus que, contrairement au cinéma, les séries ont l’avantage de pouvoir approfondir les personnages. Mais revenons-en au sujet principal. Lors de ce Disney Investor Day, les séries ont fait la part belle aux femmes. Annoncé il y a quelques temps, le développement de She Hulk a désormais un début de casting. Et c’est Tatiana Maslany (Orphan Black) qui y interprètera la cousine de Bruce Banner : Jennifer Walter. Mark Ruffalo (Hulk) fera d’ailleurs une apparition dans la série. Tout comme Tim Roth qui reprendra son rôle d’Emil Blonsky, alias l’Abomination. Comme mentionnez plus haut, Ms. Marvel va également avoir droit à sa série. Prévue pour 2022, elle mettra en scène Kamala Khan (Iman Vellani) la première super-héroïne musulmane. Croyez-vous que, comme dans les comics, elle y shipera Spider-Man et Captain Marvel ? Après tout, la super-héroïne rencontrera son idole dans Captain Marvel 2. Toujours côté production connue, Kate Bishop (Hailee Steinfeld) soutiendra Hawkeye (Jeremy Renner) dans la série éponyme et Wanda se retrouvera au centre de l’intrigue de la série WandaVision. Série dont la sortie est prévue le 15 janvier 2021. L’information qui nous a le plus réjouit reste cependant la préparation d’une série autour de IronHeart. Digne héritière de Tony Stark – dont il est l’I.A dans les comics -, Riri Williams (Dominique Thorne) risque de nous réserver son lot de surprises. Des nouveautés pour Disney+ Si l’événement de ce 10 décembre 2020 a permis de faire le point sur les projets d’ors et déjà connus, il a aussi été l’occasion d’en révéler de nouveaux. Parmi eux, trois nouvelles séries et un téléfilm. Et oui, James Gunn reviendra à la réalisation pour Guardians of the Galaxy Holiday Special. Après Sam Wilson et Bucky Barnes, c’est le colonel James Rhodes qui va reprendre du service. Dans ce projet intitulé Armor Wars, Don Cheadle rendossera l’armure de War Machine afin d’affronter le pire cauchemar de Tony Stark. Le petit favori de tous, Baby Groot va lui aussi avoir droit à davantage de temps d’écran dans I am Groot. Par ailleurs, si une série centrée sur Nick Fury avait été évoqué, elle est aujourd’hui officialisée. Intitulée Secret Invasion, cette production nous fait évidemment penser au crossover du même nom où les Skrulls, peuple métamorphe, a secrètement remplacé plusieurs super-héros par des imposteurs. Tout ce que l’on peut pour le moment vous dire, c’est que Samuel L. Jackson et Ben Mendelsohn (Talos) seront de la partie. Séries repoussées, on en est où ? Bousculé en raison de la pandémie, les Studios Marvel ont du s’adapter. En effet, l’impossibilité de tournage a repoussé la sortie des productions initialement prévues pour 2020 à 2021. Ce Disney Investor Day a donc été l’occasion de faire le point. Parmi les plus attendus : What if…?, The Falcon et le Soldat de l’Hiver ou Loki. Bonne nouvelle, toutes trois ont eu droit à des images exclusives. À commencer par What if…? qui nous présente Peggy Carter sous les de Captain Britain. Ce projet animé tease également ce qu’aurait donné la vie de T’Challa – doublé par Chadwick Boseman – s’il s’était retrouvé dans la peau de Star Lord. Autant dire qu’on a déjà hâte d’être à l’été 2021. Située après les événements d’Endgame, The Falcon et le Soldat de l’Hiver promet autant de testostérone que d’action. On y retrouvera notamment l’antagoniste de Captain America, le Baron Zemo (Daniel Brühl) mais aussi Sharon Carter (Emily Van Camp) et John Walker (Wyatt Russell). Une série de six épisodes que vous pourrez dévorer à partir du 19 mars 2021. Bien sûr, le Dieu de la Malice a aussi eu droit à son heure de gloire. Si les premières images montrent la scène d’Avengers : Endgame où Loki s’échappait avec le Tesseract, le reste fait saliver. Alors que le premier teasing de la série durant le Superbowl dévoilait un Loki menaçant la TVA (Time Variance Authority), cette fois, c’est l’un de ses bureaucrates qui se dévoile : Mobius M. Mobius (Owen Wilson). Et si Kevin Feige avait promis un voyage à travers le temps, c’est bien ce qui semble se dessiner. En effet, le Trickster se présente dans cette bande-annonce tantôt comme candidat aux élections présidentielle américaine, tantôt comme le célèbre pirate de l’air D.B Cooper. Il faudra cependant attendre Mai 2021 avant son
Avengers Endgame : Entre émotions et déception
Un peu plus de dix ans après les débuts d’Iron Man (2008), Avengers Endgame boucle la boucle. Réalisé par Anthony et Joe Russo, cet opus réunit vos héros favoris dans l’espoir de vaincre Thanos. Un an après Infinity War, Avengers Endgame est dans nos salles. Que vaut la 22ème production des Studios Marvel sortie le 24 avril ? Voici notre avis AVEC SPOILER ! Avengers Endgame : La secousse émotionnelle Contrairement à ses prédécesseurs, Avengers Endgame verse dans l’émotion plutôt que l’action. Dès les premières minutes, le film se concentre sur des héros meurtris par la disparition de trillion de personnes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que chacun gère la défaite à sa façon. Clint Barton baigne dans le sang. Natasha Romanoff a du mal à gérer ses émotions. Thor est anéanti. Steve Rogers, malgré son chagrin, cherche à faire le bien autour de lui. Bruce Banner est en paix avec lui-même. Quant à Tony, il coule des jours paisibles dans un chalet avec Pepper. Qui dit émotion, dit performance. Et à ce petit jeu, Robert Downey Jr fait un sans faute. Une fois encore, l’interprète de Tony Stark nous attendrit autant qu’il nous émeut aux larmes par la justesse de son jeu. Mention spéciale pour le travail physique de l’acteur dont l’amaigrissement nous a fait frissonner. Mais il n’est pas le seul à briller. Paul Rudd offre un Scott Lang en plein détresse. À ses côtés, on vit crainte, douleur et soulagement. Quant à Natasha Romanoff (Scarlett Johansson), l’espionne ne nous est jamais apparue si ébranlée que dans Avengers Endgame. Ici, seule sa relation fraternel avec Clint Barton (Jeremy Renner) prime, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Seule ombre au tableau, celle que l’on nomme désormais Captain Marvel (Brie Larson) ne semble absolument pas affectée par la disparition de ses pairs. Un fait étonnant puisqu’elle demandait immédiatement des nouvelles de Fury dans la scène post-générique de son film. Pourtant, rien ne transparaît à l’écran. La raison ? La demoiselle à bien d’autres préoccupation que la souffrance terrienne. Pas présomptueuse du tout cette Carol Danvers. Poursuite d’une phase féministe Vous le savez, depuis quelques années maintenant, les Studios Marvel et Disney ont décidé de mettre les personnages féminins en avant. Évidemment, Avengers Endgame ne déroge pas à la règle. Après Infinity War et son temps accordé à Gamora (Zoe Saldana) et Scarlett Witch (Elizabeth Olsen), c’est au tour de Black Widow et Nebula (Karen Gillan) d’avoir leur heure de gloire. Cette dernière nous fait la surprise d’être au coeur même de l’intrigue. Une chose à laquelle on ne s’attendait pas une seconde et qui nous a fait le plus grand bien. L’arc de Black Widow nous a quant à lui touché tout au long du film, nous la présentant aussi secouée qu’indomptable. Tout aussi étonnant, le fait d’avoir survendu Captain Marvel (Brie Larson) pour finalement la reléguer au second plan. Okoye (Danai Gurira) voit également son temps de jeu se résumer à de brèves apparitions. Quant au snap volontaire de Shuri (Letitia Wright), on le regrette franchement. En effet, la jeune femme aurait probablement pu aider les Avengers à trouver une solution sans faire patauger le film. Évidemment, on ne pouvait vous parler des femmes du MCU sans évoquer la bataille finale. La scène réunissant les héroïnes en un seul et même endroit à eu l’effet escompté puisque largement applaudie dans notre salle. On avoue pourtant lui préférer un instant centré sur Scarlet Witch. Désireuse de venger Vision, elle compte bien en découdre avec ses opposants. Ou plutôt avec Thanos. Et franchement, elle est absolument badass comparée à une Captain Marvel mis à mal par le titan en moins de deux. Des personnages risibles On l’avoue, après Ragnarok et Infinity War, on espérait un Thor (Chris Hemsworth) à son apogée. Pourtant, de divin et mature, il n’est plus que misérable et idiot. Même sa nouvelle apparence drôle sur le coup de la surprise devient lourde – sans mauvais jeu de mot – et lassante. Ainsi, au lieu de profiter d’un Dieu du Tonnerre admirable sur le champ de bataille, on tremble à l’idée de le voir tomber au combat tant il est incapable de briller. Avengers Endgame nous permet aussi de renouer avec le côté extravagant de Bruce Banner (Mark Ruffalo)… en pire. D’homme en conflit permanent avec Hulk, il devient rapidement un mélange des deux. Soit, le Professeur Hulk. Sur le papier, l’idée est bonne mais c’est la douche froide. Comme le dit si bien la Valkyrie (Tessa Thompson), on préfère ses deux autres apparences. Après cela, quasiment plus rien ne va. Lui autrefois si sérieux n’est aujourd’hui plus qu’objet comique. Heureusement, sa rencontre avec l’Ancien (Tilda Swinton) permet de renouer un peu avec le scientifique qu’on aime tant. On retient également son geste de bravoure afin de ramener les disparus à la vie. Quant au redoutable et conquérant Thanos (Josh Brolin), il n’a plus rien de tel. Il devient même tellement passif qu’on en vient à se demander s’il y a bien un vilain avant la bataille finale. Une virée dans les scènes cultes du MCU Vous en rêviez ? Marvel l’a fait. En compagnie d’Iron Man, Captain America et Ant-Man, on se replonge gaiement dans Avengers (2012). Pour notre plus grand plaisir, on découvre l’envers de l’arrestation de Loki (Tom Hiddleston). Une scène qui ne manque pas de piquant, signant un nouvel instant culte du MCU. Avengers Endgame fait également un clin d’oeil au Soldat de l’Hiver (2014) en détournant la scène de l’ascenseur. Toujours la même année, on file ensuite dans l’univers pré Docteur Strange pour un moment très agréable. Et cette fois, c’est Tilda Swinton alias l’Ancien qui revient à l’écran. Rocket et Thor nous ramènent quant à eux sur Asgard. Détruite durant le Ragnarok, la cité offre au Dieu du Tonnerre un instant avec sa mère, Frigga (Rene Russo). On revoit aussi rapidement Loki emprisonné ainsi que Jane Foster (Natalie Portman). Toujours dans l’espace, War Machine (Don Cheadle) et Nebula
Nos Bandes-Annonces de la Semaine #1
Mary Poppins. Captain Marvel. Les Veuves. Elles sont toutes dans nos bandes-annonces de la semaine #1. On fête l’Automne avec un tout nouveau rendez-vous hebdomadaire : nos bandes-annonces de la semaine. Pour cette grande première, on vous propose nos coup de coeur avec en bonus de nombreuses femmes à l’affiche ! Le Retour de Mary Poppins Cinquante quatre ans après le film culte de Robert Stevenson, Emily Blunt redonne vie à la plus célèbre nanny du globe. Inspirée des ouvrages de P.L Travers, Le Retour de Mary Poppins s’annonce comme une comédie musicale à ne pas manquer. Évidemment, les Studios Disney ont mis les petits plats dans les grands en faisant appel à Rob Marshall (Chicago) pour qui Mary Poppins a un affect particulier. Il s’agit en effet du film qui lui a « fait aimer le cinéma, donné le goût des comédies musicales, de l’aventure et du fantastique à l’écran. » Avec de telles mots, nul doute que ce retour signera un vibrant hommage à la gouvernante anglaise. Ancrées dans un Londres sous la Grande Depression, les premières images du Retour de Mary Poppins montrent un Michael Banks (Ben Wishaw) devant subvenir seul aux besoins de ses trois enfants. Heureusement, Mary Poppins réapparait dans leur vie afin d’insuffler un peu de joie et de fantaisie. À noter que Dick Van Dyke fait partie du casting rassemblant Emily Mortimer, Colin Firth, Lin-Manuel Miranda et Meryl Streep. EN SALLE LE 19 DÉCEMBRE 2018 Captain Marvel Première super-héroïne à avoir droit à son film solo dans le MCU, Captain Marvel s’annonce déjà comme l’un des immanquables de 2019. Prête à en découdre avec quiconque s’opposera à elle, Carol Danvers (Brie Larson) nous renverra dans les années 90 où se déroule une guerre galactique entre deux races avec pour enjeu la Terre. Captain Marvel sera l’occasion de retrouver Samuel L. Jackson (Nick Fury) et Lee Pace (Ronan) mais surtout de faire connaissance avec Walter Lawson | Mar-Vell (Jude Law), Talos (Ben Mendelsohn) ou encore Maria Rambeau (Lashany Lynch). Côté technique, les réalisateurs Anna Boden et Ryan Fleck ont réuni une équipe de choc. En effet, la direction photo a été confiée a Ben Davis (3 Billboards | Doctor Strange), la décoration à Andy Nicholson (Gravity | Jurassic World : Fallen Kingdom) et la supervision des effets spéciaux à Dan Sudick (Avengers : Infinity War | Black Panther). EN SALLE LE 6 MARS 2019 Les Veuves Le réalisateur oscarisé de 12 Years a Slave, Steve McQueen revient cette année avec Les Veuves. Portée à l’écran par Viola Davis, Michelle Rodriguez, Cynthia Erivo et Elizabeth Debicki, quatre femmes vont se retrouver liées par une dette due à l’activité criminelle de leurs défunts maris. Alors que leurs vies semblaient rangées, ensemble, elles vont décider de devenir à leur tour braqueuses. Une bande-annonce qui nous a curieusement rappelé la thématique de Ocean’s 8 et son braquage mis en place par une bande de femmes. À noter que le casting rassemble égalment Liam Neeson, Colin Farrel, Daniel Kaluuya et le grand Robert Duvall. EN SALLE LE 28 NOVEMBRE Crazy Rich Asians Comédie dramatique signée Jon Chu (Sexy Dance 2, Insaisissables 2), cette réalisation hollywoodienne sort du lot grâce à son casting 100% asiatique. Lors de la sortie US fin août, Crazy Rich Asians a d’ailleurs fait tremblé le box-office en amassant 25M$ en un week-end. Un joli score pour cette production au petit budget adapté du best-seller de Kevin Kwan au titre éponyme. En sera-t-il de même en France ? Réponse début novembre. Le peech ? Rachel Chu (Constance Wu), une New-Yorkaise d’origine chinoise rejoint son petit ami, Nick Young (Henry Golding) à Singapour. Elle y découvrira qu’en plus de faire partie de l’une des familles les plus riches d’Asie, il est aussi l’un des célibataires les plus convoités. Autant dire que la bande annonce promet un véritable décalage entre l’univers de la jet-set et la jeune femme. EN SALLE LE 7 NOVEMBRE Johnny English Contre Attaque Sept ans. C’est le nombre d’années que les fans de l’espion britannique auront dû attendre pour son grand retour au cinéma. Pour sa contre attaque, Johnny English est confronté à la réalité virtuelle. Prévenu de la possible perte de repères, il tombe dans le panneau et nous fait déjà rire avec ses bourdes. La bande annonce met également en scène Emma Thompson dans le rôle d’une Première Ministre agacée par l’agent. Aucun doute possible, on a déjà hâte de pouvoir retrouver l’icône de notre enfance Rowan Atkinson et son humour british. EN SALL LE 10 OCTOBRE Une famille immédiate (Instant Family) Comédie familiale tirée d’une histoire vraie, Une famille immédiate est portée à l’écran par Rose Byrne (X-men : Fisrt Class, Spy) et Mark Wahlberg (Les infiltrés, Ted) – ce dernier étant aussi à la production-. Le film raconte l’histoire d’un couple, qui, après avoir déménagé dans une immense maison décide d’adopter. Pete et Ellie se retrouvent alors avec trois enfants turbulents dont l’ainée, Lizzy, n’est autre que Isabela Moner, la nouvelle Dora l’exploratrice en live action ! Avec Sean Anders (Very Bad Dad, Comment tuer mon boss 2) à la réalisation, nous ne pouvons que nous attendre à du rire et de l’amour. AUCUNE SORTIE FRANÇAISE A L’HORIZON Et vous, quelle bande annonce a marqué votre semaine ?
Avengers : Infinity War. Entre tensions, vengeances et pop culture.
Sorti le 25 avril 2018, le dix-neuvième film de la franchise MARVEL, Avengers : Infinity War fait carton plein dans le monde. /!\ SPOILER en fin d’article ! Meilleur démarrage pour une sortie mondiale, Avengers : Infinity War n’aura pas mis longtemps à dépasser Black Panther. Dominant le box office mondial depuis sa sortie le 25 avril 2018, le petit dernier de la franchise MARVEL livre une histoire entre tensions et vengeances. Un « crossover » inédit dans l’histoire du cinéma Pour la première fois en dix ans, les Studios MARVEL ont réussi le pari fou de réunir 22 super-héros. Ce « crossover » inédit dans l’histoire du cinéma intègre les Avengers originaux, les Gardiens de la Galaxie, Docteur Strange, et Black Panther. Sont aussi présents les petits nouveaux arrivés lors des différents films : Vision, Scarlett Witch, Falcon, Spider-Man, War Machine ainsi que le Soldat de l’Hiver. Bien que Ant-Man (Paul Rudd) et Hawkeye (Jeremy Renner) soient physiquement absents, tous deux ne sont pas tombés dans l’oubli. Vous saurez donc où ils se trouvent et pourquoi ils n’interviennent pas dans Infinity War. Point positif, le film ne s’attarde pas seulement sur les héros. On aurait même pu dédier ce film à Thanos (Josh Brolin), leur nouvel opposant tant l’obtention des pierres d’infinité est importante. Bien qu’un long-métrage d’une telle envergure puisse s’avérer problématique, Avengers : Infinity War passe le test haut la main en mettant chacun en avant d’une manière ou d’une autre. Certes, parfois il ne s’agit que de quelques secondes, mais on s’en contente très bien. MARVEL poursuit sa mise en valeur des Femmes Si Black Panther mettait largement les Femmes en avant, Infinity War poursuit sur cette voie. Certes, elles sont moins souvent à l’écran que leurs partenaires masculins mais leur peu de présence est parfois remarquable. De Black Widow à Scarlett Witch, en passant par Okoye, Mantis ou Gamora, toutes sont prêtes à en découdre avec Thanos et son Ordre Noir. Ordre Noir comptant dans ses rangs la guerrière extraterrestre Proxima Midnight (Carrie Coon). Seule Shuri (Letitia Wright) se fait plus discrète que ses comparses. Malgré sa très courte apparition, ce personnage qui avait fait forte impression dès sa première apparition dans Black Panther continue de briller par son intelligence. Et même si l’échange tant espéré entre elle et Tony Stark (Robert Downey Jr.) n’a finalement pas lieu, on se satisfait parfaitement de celui avec le Docteur Banner. On aspire désormais à la voir davantage dans le prochain volume. On dénote tout de même une grande absente : la Valkyrie (Tessa Thompson). Apparue dans Thor : Ragnarok on s’attendait à la voir apparaître aux côtés de Thor, Loki et Hulk. Il n’en est rien. Puisque les frères Russo ont déclaré qu’elle serait toujours en vie, on espère la retrouver à l’écran dans la suite des aventures. Avec l’apparition au cinéma dans les mois à venir de la Guêpe (Evangeline Lilly) et de Captain Marvel (Brie Larson), les deux héroïnes pourraient également rejoindre le casting. Attendez bien la scène post-générique et pour avoir un petit indice (mais on ne vous a rien dit) ! Gamora et Wanda au centre de l’intrigue Si les figures masculines sont au centre de l’intrigue, Thanos en première ligne, on ne peut pas reprocher aux frères Russo de ne pas avoir essayé de donner plus de temps aux personnages féminins. Car oui, Avengers : Infinity War met deux femmes au centre de l’intrigue : Wanda et Gamora. La première, incarnée par Elisabeth Olsen crève l’écran à chacune de ses apparitions. Elle, dont nous avions fait la connaissance dans l’Ère d’Ultron se montre un véritable atout pour les Avengers. Plus puissante et survoltée que jamais, elle est prête à tout pour protéger Vision (Paul Bethany), dont la gemme de l’Esprit orne le front et avec qui elle entretient une relation. Mention spéciale à Okoye (Danai Gurira) qui soulignera même ses capacités en demandant pourquoi elle n’avait pas pris part à la bataille depuis le début. La seconde, permet d’explorer le passé qu’elle a en commun avec Thanos, son père adoptif. Membre à part entière des Gardiens de la Galaxie, Gamora (Zoe Saldana) révèle une facette de sa personnalité qui n’a plus rien à voir avec la femme antipathique des débuts. Vulnérable, elle s’inquiète pour le secret qu’elle porte sur ses seules épaules et dont Thanos souhaiterait s’emparer. Autant vous dire qu’avec ce personnage intervient un fort sentiment de compassion qui ne nous quittera plus. Entre tensions et humour D’entrée de jeu, le spectateur se retrouve propulsé dans un univers à la tension aussi palpable qu’inquiétante. Là où Thor : Ragnarok laissait le Dieu du Tonnerre et ses compères en proie à une menace imminente, Avengers : Infinity War scelle leur destin dès les premières minutes. Massacrés par l’Ordre Noir accompagnant Thanos, les Asgardiens croulent sur le sol, Thor (Chris Hemsworth) inclus. S’installe dès lors le climat global qui oscillera entre anxiété et instants dé légèreté. L’Ordre Noir aide notamment à ressentir cette sensation de chaos avec ses extraterrestres près à tout pour aider Thanos. Parce qu’un MARVEL sans humour ne serait plus un MARVEL, parlons d’un sujet plus léger. Bienvenue, il offre au spectateur la possibilité de se remettre de ses émotions. On regrette cependant que la quasi totalité des personnages au potentiel humoristique ait été mis dans le même panier. De ce fait, hormis Bruce Banner dont l’interprétation de Mark Ruffalo nous fait mourir de rire depuis deux films, les scènes sur terre manquent cruellement de cette touche permettant de désamorcer la tension. En parlant de Banner, son alter égo, Hulk, sera autant un apport humoristique qu’une compréhension de la faiblesse du Big Guy. Avengers : Infinity War et la Pop Culture Omniprésentes, les références à la Pop Culture interviennent aussi bien dans les choix esthétiques faits par les frères Russo que dans les dialogues. Impossible notamment d’ignorer les clins d’oeil à Harry Potter tant ils sont nombreux. Entre Tony Stark comparant ouvertement Ebony Maw à Voldemort, un échange rappelant curieusement celui entre Dumbledore et Harry dans Les Reliques de la Mort, ou, un personnage – dont nous tairons le nom – ressemblant étrangement à un détraqueur, il était invraisemblable de ne pas mentionner l’univers de J.K
Black Panther : Au-delà du nouveau blockbuster de MARVEL
Pour la Saint-Valentin, MARVEL nous a offert son dernier petit bijou : Black Panther. Signé Ryan Coogler, le film nous plonge dans une ambiance Africaine hors du commun. Annoncé comme l’un des immanquables du mois, Black Panther est sortit le 14 Février 2018. Inutile de vous dire que Les Insouciantes ne pouvaient manquer au rendez-vous de ce petit bijou réalisé par Ryan Coogler. Black Panther : le film de tous les records Autant se le dire tout de suite, Black Panther restera dans l’histoire du cinéma américain, et ce, pas seulement pour son contenu. En effet, le blockbuster qui annonçait déjà des recettes conséquentes bien avant le Jour J au vue de préventes dépassant Captain America : Civil War et Batman VS Superman, a encore battu quelques records. En terme de démarrage un week-end de Presidents Day (jour férié aux US), il surclasse ainsi Deadpool – une autre signature MARVEL – et ses 152 millions d’euros. En se classant en top position du « meilleur lundi de l’histoire » avec ses 40,1 millions de dollars, il dépasse également Star Wars : le Réveil de la Force. Plus généralement, sur les trois premiers jours d’exploitation, Black Panther s’est placé à la cinquième place du meilleur démarrage de l’histoire derrière les deux derniers Star Wars, Jurassic World (2015) ainsi que le premier Avengers (2012). A-t-on mentionné qu’il n’était pas encore sorti en Chine, au Japon et en Russie ? Traditions et mythes africains à l’honneur Le dix-huitième long-métrage MARVEL nous transporte au beau milieu de l’Afrique et ses traditions. Pour se faire, vous partirez à la découverte d’un pays imaginaire : le Wakanda. Mais attention, contrairement aux pays voisins où famine et pauvreté sont de rigueur, cette nation cachée aux yeux du reste du monde en est loin. Tirant sa force du vibranium – vous savez, le métal dont est fait le bouclier de Captain America -, le Wakanda est sans doute le pays le plus perfectionné au monde. À la tête de la Tribu de la Panthère ainsi que d’autres formant le peuple wakandais, celui que l’on nomme Black Panther et son uniforme bien reconnaissable. Cet uniforme, parlons-en justement ! Si au premier abord Black Panther pourrait désigner le mouvement révolutionnaire afro-américain Black Panther Party, une tout autre idée à effleurer notre esprit. En Afrique, la panthère, tout comme le léopard, est perçue comme le symbole du commandement. De ce fait, des chefs d’État sont déjà apparus en public vêtus de tenues faites de la peau de cet animal. On pourrait donc voir à travers ce costume la poursuite de cette tradition particulière. Prenant part après la mort de l’actuel Black Panther, T’Chaka (John Kani), son fils et héritier, T’Challa (Chadwick Boseman) devra revendiquer ce droit au trône lors d’un combat rituel où la force de la panthère noire lui sera ôtée. Nous avons d’ailleurs particulièrement appréciées la beauté de la mise en scène de ce rituel de combat, autant par le choix du décor, des costumes ou de la musique qui nous ont immédiatement plongé au cœur de l’événement. Évidemment, le lien avec les traditions est présent. En Afrique, musiques, costumes, danses et couleurs sont en effet des éléments rituels et vitaux par excellence. Le port du masque est quant à lui une manière de se cacher comme la représentation d’un autre être (ex : la panthère noire). Véritable héritage ancestral et identité ethnique, les scarifications n’ont pas été oubliées. En atteste celles en forme de points sur les joues de W’Kabi (Daniel Kaluuya) ainsi que celles de Erik « Killmonger » Stevens (Micheal.B Jordan), le super vilain de l’histoire. On ne vous en dira pas plus à son propos afin de ne pas vous spoiler. Vous pourrez au passage comprendre en regardant le film quelle est leur signification. Oui, parce qu’il existe différents types de scarifications avec des significations toutes plus différentes les unes des autres. Bien sûr, impossible de mentionner les mythes et traditions africaines sans évoquer la spiritualité du peuple. Élément important, il s’impose au spectateur par la mise en scène d’aspects initiatiques, mais aussi par le totémisme. Mais qu’est-ce que le totémisme nous direz-vous ? Et bien, il s’agit « d’une organisation tribale fondée sur le principe du totem » qui représente traditionnellement un parrain, un père, un patron ou même un frère. Ici, il est bien évidemment nulle autre que la panthère noire. Outre son apparition sous la forme d’une incarnation humaine, Black Panther nous la présente comme un objet fabriqué et incrusté dans la roche d’une montagne. On termine notre tour d’horizon avec des rituels intimement liés à la notion de sacrifice. Exploitée à deux reprises, il apparaît tel un rite de passage. D’abord dans le cadre du combat où les deux hommes sont dans l’obligation de gagner, abandonner ou mourir. Puis, lorsque le vainqueur se doit de boire le jus d’une fleur décuplant les forces de l’homme. À ce stade, intervient un second type de sacrifice qualifié d’identitaire. Enseveli, la nouvelle panthère noire accède alors à un pont entre le monde des vivants et celui des ancêtres à qui il est possible de s’adresser. Des femmes de caractère Contrairement aux autres films de la franchise MARVEL, Black Panther détonne par son omniprésence de femmes aux caractères bien trempés et inspirantes. Parmi elles, Shuri est certainement le personnage auquel nous nous sommes immédiatement attachées. Jeune sœur de T’Challa, son intelligence n’a d’égal que son humour qui insuffle un véritable vent de fraîcheur et cette touche MARVEL que nous apprécions tant. Letitia Wright excelle dans le rôle, et nous n’avons plus qu’une espérance, qu’elle se confronte à son alter ego sur le plan invention, Tony Stark, dans Avengers : Infinity War. Un conseil, n’essayez pas de l’énerver sous peine de goûter à son artillerie. Mais Shuri n’est pas la seule femme à sortir les crocs. Après la présentation des Valkyries dans le Thor Ragnarok de Taika Wititi, c’est au tour de Ryan Coogler de mettre une nouvelle armée de guerrières à l’honneur. Telles les Amazones de Dahomey (ou Mino), avec qui elles partagent certains traits physiques, dont
Super Bowl 2018 : Les bandes annonces qu’il ne fallait pas manquer
Avengers Infinity War, Mission Impossible, Jurassic World, Star Wars. Quelles bandes annonces ont été révélées lors du Super Bowl 2018 ? Événement sportif le plus attendu de l’année aux États-Unis, le Super Bowl n’est pas seulement un match. Entre hymne national interprété par la chanteuse Pink et le show de Justin Timberlake, le Super Bowl est avant tout l’occasion pour les cinéphiles de découvrir pas moins de neuf nouvelles bandes annonces. Les Insouciantes vous disent tout ! Mission Impossible : Fallout Il y a quelques mois le tournage de Mission Impossible posait ses valises à Paris, intriguant les passants. Aujourd’hui, le Super Bowl nous a permis d’en découvrir les premiers extraits. Dans la nuit du dimanche 4 au lundi 5 février, c’est donc un Tom Cruise dans la peau du désormais célèbre Ethan Hunt que nous avons retrouvé sur nos écrans. Au menu de cet opus intitulé Fallout : des courses poursuites, une avalanche de cascades et un voyage à travers le monde. Hâte de le découvrir dans les salles obscures ? L’attente risque d’être un peu longue jusqu’au 1er Aout 2018. Avengers : Infinity War C’est bien le Super Bowl que les studios Marvel et Disney ont choisi pour dévoiler la seconde et très courte bande annonce d’Avengers : Infinity War. Cette fois-ci, l’émotion est moins palpable, mais on sent la lutte contre le titan Thanos proche. Évidemment, tous nos vengeurs favoris ainsi que les Gardiens de la Galaxie sont de la partie dans une sorte de préparation au combat. En attendant la sortie d’Avengers : Infinity War le 25 Avril, les fans de Marvel pourront patienter avec Black Panther dès le 14 Février. À noter que ce dernier règne déjà sur le Box-Office américain en surclassant Captain America : Civil War et Batman VS Superman rien qu’en terme de préventes. Jurassic World 2 : Fallen Kingdom Pour ce cinquième volet de la série à succès américaine Jurassic Park, Jurassic World : Fallen Kingdom, Owen Grady (Chris Pratt) s’apprête à faire face à une nouvelle menace. Comme le révélait le premier teaser, Owen Grady et Claire Dearing (Bryce Dallas Howard) organisent une expédition sur la Isla Nublar afin de sauver les dinosaures restants d’une éruption volcanique. On y voyait d’ailleurs Owen retrouver Blue, le raptor qu’il avait élevé. À travers cette seconde bande annonce sortie durant le Super Bowl, les dinosaures débarquent en Angleterre ou Benjamin Lockwood (James Cromwell) les a fait transférer dans sa propriété. Mis aux enchères, ils pénètrent les foyers. La panique se lit sur tous les visages et on a hâte d’en apprendre davantage. Librement adapté des romans de Michael Crichton, Jurassic World : Fallen Kingdom sortira le 6 Juin prochain. The Cloverfield Paradoxe Avec la diffusion de la bande annonce de The Cloverfield Paradoxe, Netflix s’est offert un véritable coup de pub. En effet, la plateforme de streaming a surpris tout le monde en annonçant la sortie imminente de son film dès la fin du Super Bowl sans passage en salle. Autant dire qu’avec 40 millions de dollars de budget, c’est du jamais vu à Hollywood. Troisième film de l’univers Cloverfield, ce nouveau long-métrage produit par J.J Abrams mêle science-fiction, épouvante et horreur. Reste maintenant à savoir si The Cloverfield Paradoxe vaut réellement le coup d’oeil ou s’il ne s’agissait là que d’un subterfuge de la part de Netflix pour faire parler d’eux. A Quiet Place Les films d’horreur ont eux aussi droit à leur promotion lors du Super Bowl, et cette année, c’est A Quiet Place (Sans un bruit) de John Krasinski qui s’est faufilé entre les publicités pour nous effrayer. Prenons donc la direction d’une ferme reculée dans le Midwest des États-Unis où vit une famille harcelée par un fantôme. Pas de cadre plus idéal pour une histoire de ce genre n’est-ce pas ? Oui, parce qu’il est bien question d’une présence venant perturber les habitants de la maison au moindre bruit. Pour les amateurs de films d’horreur, Sans un bruit sera à l’affiche à partir du 18 Avril. Juste au cas où, on vous déconseille de boire ou manger quoi que ce soit pendant la séance. Red Sparrow Adaptation du roman de Jason Matthews au titre éponyme, Red Sparrow (Le Moineau Rouge) s’attarde sur le destin de Dominika Egorova (Jennifer Lawrence), une jeune danseuse de ballet recrutée contre son gré par les services secrets russes. Au vu de la bande annonce, Red Sparrow s’annonce comme un thriller prometteur. Reste à savoir si les deux autres tomes de la trilogie auront eux aussi droit à leur déclinaison en film. En attendant, rendez-vous le 21 mars pour découvrir Jennifer Lawrence dans le rôle d’une espionne. À noter que Matthias Schoenaert et Jeremy Irons sont eux aussi au casting. https://www.youtube.com/watch?v=k0CcpKKUZoY Solo : A Star Wars Story Impossible d’évoquer les bandes annonces diffusées lors du Super Bowl sans évoquer le prochain Star Wars. Comme l’indique le titre, cette nouvelle production Disney sera centré sur le personnage de Han Solo. Le film reviendra sur ses jeunes années, et notamment, sur sa rencontre avec Chewbacca et Lando Calrissian. Avec ce spin-off, les fans de la franchise devraient être ravis de revoir ce personnage mythique à l’écran. Skyscraper Le Super Bowl nous offre une nouvelle dose d’action avec Skyscraper dont la première scène nous montre un Dwayne Jonhson cerné par un hélicoptère sur le toit d’un immeuble duquel il va sauter. Signé Rawson Marshall Thurber, Skyscraper s’annonce déjà comme un film d’action digne de La Tour Infernale ou Die Hard. L’histoire ? Will Ford (Dwayne Johnson), ancien membre du FBI et vétéran de guerre reconverti en responsable de sécurité des gratte-ciels est affecté en Chine. Malheureusement, ce qui s’annonçait comme un emploi tranquille va rapidement dégénérer et lui faudra alors rétablir sa réputation et tenter de sauver sa famille. Concernant la sortie française, nos amis américains auront le privilège de le découvrir un peu avant nous puisqu’il sera dans nos salles le 25 juillet. Dundee : la blague australienne Avec son casting 5 étoiles 100% australien, Dundee s’annonçait quelques semaines avant le Super Bowl comme une suite de la célèbre saga Crocodile Dundee. Mais voilà, si l’engouement autour du film réunissant Chris Hemsworth, Margot Robbie, Hugh Jackman ou encore Danny McBride dans le rôle du rejeton du