Le “Mini Tour” pas si mini de Styleto !

De YouTube à la scène, Styleto comble la Cigale !​ Qui a dit que les rêves ne pouvaient pas devenir réalité ? En tout cas, pas Laure alias Styleto ! Revivez avec nous son concert parisien à La Cigale, le 28 mai dernier.  From Youtube to La Cigale… Pour Styleto, tout a commencé sur Youtube il y a 10 ans. Sans forcément avouer au début sa passion pour le chant, ses abonnés ont vite compris son attrait pour la musique. Notamment grâce à ses Playlist du moment et ses vlogs toujours accompagnés des bonnes musiques.  En décembre 2016, son talent est révélé au grand jour lors de sa collaboration avec l’ancien groupe français Arcadian. Ensemble, ils ont repris de nombreuses chansons. Depuis ce jour, un déclic s’est produit et la jeune youtubeuse n’a plus caché son envie de chanter. Il aura fallu attendre décembre 2020 pour que Styleto poste son premier cover sur Instagram. 1 an plus tard, le 21 novembre 2021, tout s’enchaîne. Sa reprise de Gaffe aux autres (Ben Mazué) est devenue virale et cumule à l’heure actuelle plus de 3 millions de vues sur Instagram. Ben Mazué a d’ailleurs donné l’opportunité à la jeune fille de chanter son titre en live avec lui lors de l’un de ses concerts. Le 27 août 2022, l’artiste sort son premier album : Carrousel. Un LP constitué de nombreuses reprises de ses artistes favoris. De Dalida à Orelsan, en passant par Ben Mazué évidemment, cet album varié lui aura permis de commencer en douceur dans le monde de la musique. Le 10 juin 2023, c’est la consécration ! Laure (alias Styleto) dévoile sa signature avec Columbia. S’ensuit la réalisation de plusieurs singles, un featuring avec la chanteuse Louane et une annonce très attendue par ses fans : une tournée. Du moins, un mini tour de 5 dates évidemment sold-out en moins de 3 minutes ! Pour ne pas décevoir son public, d’autres dates françaises et belges ont alors été annoncées dont La Cigale ce 28 mai et L’Olympia le 19 octobre prochain.  Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par STYLETO (@styleto) Styleto à La Cigale : une safe place de 1 800 personnes ! La deuxième partie du Mini Tour de Styleto s’est terminée le 28 mai dernier à La Cigale. Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il y a eu beaucoup d’émotions ! Au fil de la soirée, Styleto jongle entre compositions personnelles et reprises présentes sur Carrousel. Évidemment, nous auront droit à Paroles Paroles ainsi que la cover qui l’a révélé : Gaffe aux autres. Elle interprètera également son dernier single sortie en mars dernier, Faut que tu m’aimes. On compte aussi parmi les titres joués Se casser. Accompagnée de ses musiciens, Styleto fait face à une salle comble. Si elle nous gâte avec une scénographie haute en couleur, elle est aussi capable de faire rire, chanter, danser, et même verser quelques larmes à son public. De nature timide et réservée, la jeune chanteuse s’est révélée. D’ailleurs, on a remarqué une chose : le rapport qu’elle a avec son public est très spécial puisqu’on avait l’impression que tout le monde était amis ! S’il y a bien une chose que l’on peut retenir de ce Mini Tour, ce sont les bonnes ondes qui s’en dégagent. Tout le monde s’y sent bien et ressort avec le sourire à coup sûr !  https://youtu.be/1TCYpxsaXm8 Et vous, serez-vous au rendez-vous pour L’Olympia de Styleto ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Tour d’horizon #1

Visuel reprenant les différentes choses exposées dans l'article Tour d'Horizon #1

Musique, cinéma, photographie… Découvrez notre Tour d’Horizon de la semaine ! À partir d’aujourd’hui, nous essaierons de proposer chaque dimanche un Tour d’Horizon de notre semaine. Un parfait moyen pour vous d’en savoir davantage sur nos préférences culturelles. Prêt•e•s à découvrir ce qui a marqué notre semaine ? Les Gardiennes de la Planète Pour débuter notre Tour d’Horizon de la semaine, on revient sur Les Gardiennes de la Planète. Sorti en salle le 22 février, ce documentaire est signé par Jean-Albert Lièvre et narré par Jean Dujardin. Immédiatement, nous sommes pris dans l’ambiance avec une baleine à bosse échouée sur une plage française. Pendant que des Hommes tentent de la sauver, les spectateurs sont invités à découvrir leur place essentielle dans l’écosystème de la planète. De leur migration – ou non – à leur façon de communiquer, on en apprend davantage sur ces cétacés qui mériteraient plus de respect de notre part.  En effet, si les baleines sont aujourd’hui en voie de disparition, c’est entièrement due à l’Homme. On a d’ailleurs apprécié que le documentaire revienne sur la façon dont elles ont été chassées dans un but industriel. De l’éclairage public aux objets du quotidien, en passant par les cosmétiques, l’huile de baleines était une valeur sûre. Pourtant, si elles venaient à disparaître, l’Homme s’éteindrait à son tour. Women’s History Month Comme chaque année, la Journée Internationale des droits des Femmes aura lieu le 8 mars. Cependant, cette année, nous avons envie d’en faire plus. Puisque contrairement à nous, les États-Unis et le Royaume-Uni n’ont pas une journée, mais un mois, nous nous calerons sur leur système. En effet, du 1er au 31 mars se déroule là-bas le Women’s History Month. Pour exemple, la National Women’s History Alliance s’est donnée pour thème la « Célébration des Femmes qui racontent des Histoires ». Par ce biais, il est donc possible d’encourager des femmes actives dans toutes les formes de médias et storytelling. Sont notamment cités le print, radio, TV, scènes, écrans, blogs, podcasts et réseaux sociaux. Une liste largement inspirante ! Bien sûr, si mars est fait pour mettre en avant des Femmes qui nous inspirent, nous continuerons à le faire tout au long de l’année. Après tout, c’est dans notre ADN. Mars au Féminin Dans la lignée du National Women’s History, on ne pouvait passer à côté du challenge Mars Au Féminin proposé par Floandbooks sur Instagram. Ce dernier consiste à lire des livres uniquement écris par des autrices tout au long du mois de mars. Rien de très compliqué donc. Si vous souhaitez un peu corser les choses, pour sa 6e édition, Flo & Books a déterminé plusieurs catégories. Vous pourrez les retrouver dans le post ci-dessous. Pour notre part, on est très inspirés par un recueil de poésie, un cosy mystery ou encore un classique. Mais chacun est libre de faire ce qu’il souhaite. Si vous souhaitez participer à ce défi, vous n’aurez qu’une chose à faire : partager vos lectures via le #marsauféminin. À noter qu’en parallèle, un concours est organisé chaque semaine de mars. Deux rencontres auront également lieu à Paris et en région parisienne samedi 11 et 25 mars. Checkez son compte Instagram si vous voulez en savoir plus ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Florence (@floandbooks) Du nouveau dans la rédaction Cette année, la rédaction s’agrandit avec l’arrivée de nouveaux membres. Aujourd’hui, on a envie de mettre en avant l’une d’entre elle : Mélanie Pierrat. Si on devait vous la décrire, on dirait qu’elle est aussi timide que pleine de folie ! Et comme nous, elle adooore les animaux ! Diplômée de l’École de Condé (Nancy) en photographie, notre petit Panda – comme on aime la surnommer – est bourrée de talent. De l’argentique au numérique, elle s’adapte parfaitement à son environnement. En vous plongeant dans son travail, vous découvrirez des séries de portraits, des détails et même de la photo concert. Et nous, on aime cette diversité ! Pour nous, elle s’aventurera dans des salles de concerts. Car vous n’avez aucune idée à quel point elle en est mordue ! L’art étant aussi important pour elle, il n’est pas impossible de la croiser au détour d’une exposition. Et bien sûr, si nous vous proposons des interviews, c’est à elle que nous confierons la prise de vue. On vous encourage vivement à aller découvrir son travail sur son compte Instagram. Et surtout, à lui envoyer plein d’amour car elle le mérite ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Mélanie Pierrat (@pierratmelanie) MUSIQUE Vous avez dû le remarquer, cette année, les articles musicaux fleurissent sur le site. Cela correspond tout simplement à notre envie de revenir à nos sources. En effet, lorsque nous avons débuté avec Les Insouciants, seule la musique comptait. Il est donc normal pour nous de mettre davantage l’accent sur ce point. On termine donc ce premier Tour d’Horizon avec My Witch de Jen Cloher. Si le clip de cette chanson est disponible depuis le mois dernier, nous l’avons découverte grâce à la sortie de son nouvel album, I am The River, The River Is Me vendredi 3 mars. Avec cet opus, la musicienne nous invite à voyager à travers les terres de ses ancêtres, deux peuples Mãori. C’est également l’album parfait pour se détendre. Alors, ce premier Tour d’Horizon vous a-t-il plu ? LA RÉDACTION SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THEME NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Rencontre avec Mathilde Bourneuf, responsable de la Nana Academy

Mathilde Bourneuf répond à nos questions autour de la Nana Academy ! Ecole du girl power, la Nana Academy offre la parole auxNanas d’Paname, un collectif dont fait partie Mathilde Bourneuf, responsable de la Nana Academy. En cette journée internationale des Droits des Femmes, découvrez son univers.   En quoi consistent les Nanas d’Paname ? C’est un collectif de femmes solidaires avec des femmes leaders dans leur domaine et surtout porteuses de projets. Le but est de créer un réseau de femmes fortes et influentes et de défendre des valeurs telles que l’entraide, le partage, la sororité, la démarche d’accomplissement de soi… Le collectif est un écosystème d’entraide où les femmes se soutiennent, échangent, se rencontrent. Ceci est une alerte Je suis une description. Cliquez sur le bouton modifier pour changer ce texte. × Rejeter l’alerte Comment as-tu rejoint le collectif ? Assez jeune, j’ai su que je voulais faire de la communication et de l’événementiel. J’ai eu un parcours assez simple et normal : une école de pub. J’ai fait deux ans là-bas et une amie a eu l’idée de passer le CELSA. On a fait une prépa mais on n’a pas eu le CELSA. J’ai fini par faire un BTS Sup, une année de fac en L2 et une licence pro chef de projet à l’université Paris Descartes. Ça m’a donné un nouveau regard sur la communication avec trois principes : le bon sens, la logique et la créativité. Dans le cadre de cette année de licence pro, j’ai atterri chez les Nanas d’Paname pour un stage de 6 mois. En passant l’entretien, on m’a proposé un poste de social media manager. Un truc auquel j’avais jamais touché. Je me suis dit qu’il y avait un énorme potentiel dans le collectif. Mathilde Bourneuf – responsable de la Nana Academy – © Les Nanas d’Paname Je suis rentrée en janvier 2019 chez les Nanas d’Paname. À la fin de mon stage on m’a proposé de m’occuper de la Nana Academy. Je m’y occupe de tout sauf de la partie administrative. Depuis septembre 2019, j’en suis responsable. Qu’est-ce que la Nana Academy ? Quelle est son histoire après que tu aies repris les rênes ? C’était une idée que les directeurs des Nanas d’Paname, Édouard Couturier et Chloé Bonnard avaient en tête depuis très longtemps. Ils m’ont proposé de m’en charger à la fin de mon stage. L’histoire a été de dire que le collectif est un écosystème d’entraide où les femmes se soutiennent, échangent, se rencontrent. À la Nana Academy, on veut rendre cet écosystème d’entraide accessible. Nous sommes très présentes sur Instagram. La Nana Academy passe du virtuel au réel et rassemble la communauté autour de rendez-vous inspirants. Cela fait parti de nos quatre mots-clés : s’inspirer (grâce à des talks), apprendre (avec des masterclass), créer (avec des ateliers cuisine) et se rencontrer (grâce aux apéros-réseaux). La Nana Academy veut pouvoir faire intervenir des femmes des Nanas d’Paname et des femmes expertes dans leur domaine afin de vous offrir les meilleures pour vous inspirer. Le but ne s’arrête pas au féminisme. Celles qui ont besoin de se sentir écoutées, se sont les femmes. Et sur un large panel de sujets : de la confiance en soi à la charge mentale, en passant par comment se libérer des relations toxiques, l’écologie, octobre rose, le self-love ou plus récemment le plaisir féminin… Vous dites qu’il y a des sujets non-féministes, quels sont-ils ? En réalité les sujets sont très larges. Aujourd’hui les Nanas d’Paname, c’est avant tout un collectif basé sur cette force humaine. Ses relations humaines nous amènent à aborder de nombreux sujets comme : les relations toxiques, la question du harcèlement de rue, le harcèlement scolaire – et toutes formes de harcèlement -.  Mais également le handicap, le racisme… On a vraiment envie de diffuser des valeurs de bienveillance et d’entraide avant tout et ça vaut autant pour les relations hommes-femmes, femmes-femmes ou hommes-hommes.  Les Nanas d’Paname sont une “safe place” où il n’y aura aucun jugement, aucune discrimination par rapport à la différence puisque, justement, nous avons envie de cultiver cette différence. Vous dites que les Nanas d’Paname est un lieu d’entraide et de bienveillance. Le collectif est-il ouvert aux personnes transgenre, non binaires, intersexe,… ? Une future Nana d’Paname, qu’elle soit trans, non binaire ou cisgenre, ça n’a pas d’importance. On recrute des personnes inspirantes, porteuses de projets et qui ont envie de contribuer à un projet humain avant tout.  Les Nanas d’Paname sont une “safe place” où il n’y aura aucun jugement, aucune discrimination par rapport à la différence puisque, justement, nous avons envie de cultiver cette différence. D’inciter les femmes du collectif à embrasser cette différence. À en faire une force. Ce, que ce soit par rapport à leur orientation sexuelle ou si elles ont envie de prendre la parole. Le but est d’avoir des personnes ouvertes à l’idée d’en parler. Nous, on les accompagne pour donner de la force à leur message.  Ça peut aussi être des personnes avec des particularités physiques. Je pense notamment à Julie Bullier – fondatrice du compte Instagram La fille qui a des tâches -. En ce moment, elle sensibilise au harcèlement dans les écoles. La question du genre ne se pose donc pas dans le recrutement aux Nanas d’Paname, en tant que Nana d’Paname ou dans notre équipe. Sur le site des Nanas d’Paname une citation dit : « Notre force réside dans nos différences ». Qu’est que cela signifie pour vous ? C’est notre mantra. Elle veut dire que ce sont les différences qui font nos forces collectivement et individuellement. Chez nous, la différence signifie la diversité et la différence des standards de beauté imposés par la société. Quelle est la femme qui vous inspire ? J’en ai même trois ! D’abord un duo : « Elise et Julia ». Elles sont hyper badass. Elles ont eu la capacité de créer le média « Fraîches », puis, leur agence et d’affirmer leurs idées haut et fort.  Enfin, Audrey Contino. C’est la dernière à avoir rejoint le collectif même si, en réalité, elle connait Les Nanas d’Paname depuis le début. Elle a son agence de com et travaillait avant dans le textile. Elle a un cœur gigantesque. C’est sincèrement une

Comment Disparaître : agoraphobie et réseaux sociaux

Les réseaux sociaux peuvent-ils être salvateurs ? C’est ce que Sharon Huss Roat nous explique à travers Comment Disparaître. Un roman touchant sur la timidité, la phobie sociale et l’utilisation des réseaux sociaux. La timidité et la phobie sociale sont des maux que nous connaissons que trop bien. C’est pourquoi Comment Disparaître de Sharon Huss Roat nous a immédiatement attiré. Un livre sur la phobie sociale Plus qu’un roman sur la thématique des réseaux sociaux, Comment Disparaître met en avant les phobies sociales. Car Vicky n’est pas simplement timide. Vicky a une réelle phobie sociale couplée à une timidité maladive. Chacun de ses mouvements a des conséquences. Des peurs qui en engendrent d’autres. Alors forcément, après le départ de sa meilleure amie pour le Winsconsin, Vicky veut juste se fondre dans la masse. Avec Jenna, il n’y avait aucun risque. Jenna prenait la parole à sa place, l’aidait à affronter ses peurs. Mais cette année Vicky est seule et les choses vont complètement changer. C’est donc avec justesse que Comment Disparaître met en scène le comportement de Vicky pour devenir invisible. Auprès d’elle, vous longerez les murs, prendrez garde à ne pas vous faire remarquer ou éviterez de vous faire interroger en classe. Ajoutez à cela la nécessité de gérer des crises d’angoisses aux causes multiples. Autant dire qu’on s’est immédiatement identifiée à cette adolescente qui nous a rappelé nos propres années scolaires. Pour Vicky, il s’agit de s’enfermer dans les WC du collège, pour nous, celui de s’isoler à une table du CDI ou sur un banc à l’abri des regards. Comment Disparaître et les relations parentales toxiques Sans même s’en rendre compte, un adulte peut avoir un comportement toxique avec son enfant, et cela, Sharon Huss Roat l’a parfaitement compris. Ce mauvais rôle, c’est la mère de Vicky qui l’endosse. Par le biais d’un discours qui nous a fait grincé des dents, cette femme révèle clairement le fossé entre personnes atteintes de phobie sociale et leur entourage. En effet, désirant tellement que sa fille soit « comme les autres » elle s’immisce à plusieurs niveaux dans sa vie. L’un consiste à choisir des vêtements à l’opposé de la personnalité de sa fille et a bouder si Vicky refuse de les porter « pour lui faire plaisir ». Un autre, à pousser Vicky à sortir avec des amis ou se rendre à des soirées. Et cela, quitte à déclencher une crise d’angoisse tout en retournant la faute contre son enfant sans jamais se remettre en question. Exit donc l’empathie. Si ce comportement peut vous paraître extrême, malheureusement, il ne l’est pas tant. Comment Disparaître permet donc de remettre les choses à niveau avec une vraie prise de conscience. Une réflexion sur les réseaux sociaux À l’heure où les réseaux sociaux font partis intégrante de nos vies, Comment Disparaître nous oblige à faire le point sur notre présence en ligne. Par le biais de Vicky, on se retrouve directement confrontée à une adolescente en manque d’attention. Une adolescente qui décide de créer un compte Instagram afin de se prouver à elle-même qu’elle n’est pas aussi lamentable qu’elle pense le paraître. Sous le pseudo de Vicurious – Vicurieuse en français -, Vicky se crée alors une identité à l’opposée de la sienne. Pour cela, elle utilise les vêtements achetés par sa mère et relégués au fond de son armoire, une perruque colorée et des accessoires. Cette nouvelle personnalité en place, Vicky gagne en notoriété grâce à ses photobombs. Un peu trop rapidement d’ailleurs pour que le roman soit véritablement réaliste, mais passons. De là, Vicky s’aperçoit que sa nouvelle notoriété  peut lui permettre d’aider de jeunes internautes se sentant aussi seuls et invisibles qu’elle. Parmi ces instagrammeurs, des camarades de lycée pas si entourés ou heureux qu’il n’y paraît. En même temps qu’elle, on se rend alors compte d’à quel point chacun peut s’inventer une vie, gommant les mauvais instants. D’à quel point il est impossible de connaître véritablement une personne que l’on suit. Ainsi, Vicky prend conscience que l’isolement n’est plus forcément une question de mal être. Afin de prouver à tous qu’ils ne sont pas seuls, elle va alors se servir du hashtag « solitude » pour mettre des commentaires sur leurs photos. Ouvrant les yeux sur le problème que peuvent être les réseaux sociaux et la phobie sociale, Comment Disparaître est un vrai coup de coeur. Que vous soyez adolescent, adulte ou parents, on vous recommande donc ce roman qui vous permettra de mieux comprendre tout cela et agir en conséquence. Et vous, avez-vous envie de plonger dans Comment Disparaître ?

Évadons-nous cet été : Un défi lecture pour rythmer votre été

Du 21 juin au 21 septembre, participez à notre tout premier défi lecture : Évadons-nous cet été ! L’été approche et vous ne savez pas encore ce que vous allez bien pouvoir lire ? Ça tombe bien, la Team des Insouciantes vous a concocté avec soin un défi lecture aux couleurs de la saison : Évadons-nous cet été ! Pourquoi le thème Évadons-nous cet été ? Ce n’est un secret pour personne l’été est synonyme d’évasion. Et puis, que l’on parte ou non en vacances, s’évader grâce à un bon livre, c’est quand même le pied ! Certes, le thème est vaste, mais on peut déjà vous dire qu’on espère vous emmener un peu du côté de la Nouvelle-Zélande et du Canada où vivent deux d’entre nous. On l’avoue, on avait plusieurs thématiques dans nos chapeaux de paille et on ne savait trop lequel choisir. Via Twitter, nous avons donc lancé un sondage pour savoir lequel vous inspirait le plus. Résultat, vous avez privilégier l’évasion. Hello ! Avec la Team on vous prépare notre premier défi lecture. Quelle thématique vous inspire le plus ? @VendrediLecture @MardiConseil @bookfairies_fr, un coup de main ? — Les Insouciant•e•s (@InsouciantesMAG) May 31, 2018 Pour les nombreuses personnes ayant votées en faveur du thème révolte (féminine), promis, on lancera un hashtag dédié dans les mois à venir. Un, parce que ça nous tient à coeur. Deux, parce qu’on a plein de lectures à vous faire découvrir. Et trois, parce qu’on est certaines que vous aussi, vous avez des choses à nous apprendre sur le sujet ! Les livres acceptés Pour coller au thème, on autorise aussi bien la littérature classique que moderne et contemporaine. Romans, nouvelles, poésies,… Une seule condition : épatez-nous ! Si vous avez déjà lu un livre en rapport avec le thème, n’hésitez pas à en parler à votre communauté en utilisant le croisillon dédié pour que nous puissions vous retrouver. Attention ! Ici on parle d’évasion types voyages (road trip, photographie), expéditions ou encore périples. Pas d’évasion de prison donc !  Combien de livres dois-je lire ? Autant que vous voudrez ! Évadons-nous cet été est surtout un défi incitant au partage via Instagram et Twitter. On ne vous impose donc en rien un nombre prédéfini de livres à lire. Pas besoin non plus de chroniquer vos lectures. Un simple post sur les réseaux servira de participation ! Durée du challenge Du 21 juin au 21 septembre inclus, soit, tout l’été ! Où suivre Évadons-nous cet été ?  Instagram : #évadonsnouscetété Twitter : #évadonsnouscetété Une question ? N’hésitez pas à nous contacter via notre formulaire ou sur l’un de nos réseaux. On y répondra avec plaisir !

I Weigh, un mouvement pour redonner confiance aux femmes

Lancé par l’actrice britannique Jameela Jamil, le mouvement I Weigh encourage les femmes à célébrer ce qu’elles valent réellement. L’histoire d’I Weigh a commencé le 23 février dernier, lorsqu’un compte Instagram s’est interrogé sur le poids physique des soeurs Kardashian et Kylie Jenner. « Est-ce que Kim pèse 56 kgs ? Quel est votre poids ? » indiquait le texte accompagnant cette photo, prônant l’obsession de la minceur chez les femmes. Ce qui a agacé l’actrice de The Good Place et présentatrice TV / radio britannique Jameela Jamil, reprenant alors la photo sur ses réseaux pour exprimer un coup de gueule contre les standards féminins quasiment imposés dans notre société.  Un mouvement bienveillant devenu viral Dans la foulée, pour contrer ce body shaming toujours aussi présent dans nos quotidiens, elle a créé I Weigh, un mouvement encourageant les femmes à peser ce qu’elles valent réellement. Aussi bien sur les plans professionnels qu’amicaux. « Je pèse : une belle relation, de bons amis, je ris tous les jours, j’adore mon travail (…) » a indiqué Jameela Jamil sur cette photo publiée sur Instagram. Depuis ce post, des milliers de femmes ont mis en lumière bon nombre de leurs qualités et accomplissements. Simple hashtag à ses débuts, le mouvement est devenu viral d’un point de vue mondial. Face à un tel engouement, Jamil ouvre un compte Instagram dédié le 16 mars dernier. « Je suis fatiguée de voir des femmes qui ignorent de leurs qualités incroyables, de leurs accomplissements quotidiens, juste parce qu’elles n’ont pas un satané écart entre leurs cuisses. » Jameela Jamil sur Instagram Dans I Weigh, le compte dédié au mouvement met en valeur de nombreuses femmes – et quelques hommes – ainsi que leurs quotidiens. On y retrouve différentes facettes indiquées sur ces photos : les qualités, les diplômes, leurs passions, leurs entourages, notamment. Un moyen vraiment inspirant de célébrer ce que nous sommes véritablement et de nos accomplissements.

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