Découvrez ce que vous réserve la saison 2023 du West End
La Saison 2023 du West End est lancée ! Découvrez quelles pièces voir à Londres cette année ! La Saison 2023 du West End annonce encore de bons moments à passer dans les théâtres londoniens. Puisque nous aimons tant leurs productions, on vous fait un petit topo sur les pièces dans lesquelles joueront vos acteur•ice•s favoris mais aussi sur les immanquables ! Qui voir sur scène en 2023? Lors de cette saison 2023, le West End va faire peau neuve. Du 15 janvier au 16 avril, Steven Moffat (Doctor Who, Sherlock) présentera sa première création, The Unfriend, au Criterion Theatre. Écrite avec l’aide de Mark Gatiss (Sherlock, La Favorite), la pièce a été acclamée et sold-out dès sa première au Chichester Festival Theatre. De plus, elle compte à son casting Reece Shearsmith (Coup de Théâtre, Good Omens), Amanda Abbington (Sherlock) et Michael Simkin (V pour Vendetta, Mamma Mia!). Nul doute qu’il s’agit de la production à ne pas manquer en ce début d’année ! Par ailleurs, Josie Rourke dirigera la première pièce du scénariste Sam Steiner. Jouée du 18 janvier au 18 mars au Harold Pinter, Lemons Lemons Lemons Lemons Lemons mettra en scène Aidan Turner (Poldark, Le Hobbit) et Jenna Coleman (Sandman, Le Serpent). Puis, Lenny Henry (The Witcher, Broadchurch) foulera les planches du Bush Theatre dans August In England. Et contrairement au titre de la pièce, les représentations auront lieux au printemps : du 28 avril au 10 juin. The Unfriend de Steven Moffat avec Amanda Abbington, Michael Simkin et Reece Shearsmith L’année sera également l’occasion de voir des acteurs de renoms. Par exemple, Sir Ian McKellen joue dans Mother Goose aux côtés de John Bishop (Footloose) jusqu’au 29 janvier. Les amateurs de séries ne seront pas non plus en reste. En effet, Zachary Quinto (Star Trek, AHS) et David Harewood (Supergirl, Homeland) sont à l’affiche de Best Enemies au Noel Coward Theatre jusqu’au 18 février. La suite de la saison 2023 accueillera en ce même lieu Patriots du 26 mai et 19 août. L’occasion de (re)voir Tom Hollander (The Night Manager, Pirates des Caraïbes), Will Keen (His Dark Materials, La Ruse) et Luke Thallon (La Favorite) dans cette pièce autour de la chute de l’Union Soviétique. Si vous aimez Sam Mendes (American Beauty, 1917), il revient dans le West End avec la pièce de Stefano Massini, The Lehman Trilogy. Une pièce que le réalisateur et metteur en scène avait déjà dirigé en 2019. Cette année, la pièce investira le Gillian Lynne Theatre du 24 janvier au 20 mai. Et en tête d’affiche, ni plus ni moins que Hadley Fraser (Les Misérables, Coriolanus). En parlant de retour, Andy Karl (Into The Wood, Jersey Boys) reprendra le rôle de Phill Connors qui lui a valu un Olivier Award dans Groundhog Day. Les performances auront lieu au Old Vic du 20 mai au 12 août. L’été permettra également de découvrir Lilly Allen dans le revival de Martin McDonagh, The Pillowman. Les représentations auront lieu au Duke of York’s Theatre du 10 juin au 2 septembre. Emma Corrin dans l’adaptation du roman de Virginia Woolf, Orlando. Depuis le 10 mars 2022, le West End offre également une adaptation du roman d’Harper Lee, To Kill A Mokingbird. Cette fois, c’est Matthew Modine (Stranger Things) qui y interprète Atticus Finch. Vous aurez jusqu’au 23 juillet 2023 pour en profiter au Gielgud Theatre. Enfin, du 25 mars au 18 juin, c’est un casting 4 étoiles qui foulera les planches du Harold Pinter pour jouer A Little Life. En effet, ce sont James Norton (Happy Valley, Guerre et Paix), Luke Thompson (Bridgerton, Dunkerque), Omari Douglas (It’s a Sin) et Zach Wyatt (The Witcher) qui vous permettront de découvrir le second roman de Hanya Yanagihara. Ou voir du Shakespeare? Évidemment, qui dit West End, dit Shakespeare à foison. Cette année, la Saison 2023 débute sur les chapeaux de roue avec Othello et As You Like It (Comme il vous plaira). Ce dernier est mis en scène par Josie Rourke (Marie Stuart, reine d’Ecosse) sera au Soho Place jusqu’au 28 janvier 2023. Parmi les membres du casting, Alfred Enoch (Murder, Harry Potter), Tom Mison (Watchmen, Sleepy Hollow) ou encore Martha Plimpton (The Good Wife). En parallèle, Othello se jouera au Lyttelton Theatre jusqu’au 21 janvier. Côté casting, vous pourrez retrouver Giles Terera (Hamilton) et Rosie McEwen (L’Alliéniste). Vous pouvez aussi vous laisser tenter par Much Ado about Nothing du 7 au 10 février 2023 au Duke York’s Theatre. Quitte à vivre l’expérience comme à l’époque, pourquoi ne pas vous rendre au Globe ? En effet, en plus de visiter le lieu, il est possible d’y assister aux pièces de Shakespeare là où elles étaient jouées. Lors de sa saison hivernale 2022-2023, le théâtre propose notamment Titus Andronicus, The Winter’s Tale et Henri V. Cette dernière verra d’ailleurs Oliver Jonstone (Un espion ordinaire, Skyfall) dans le rôle titre. Si vous êtes prêts à rester debout, vous n’aurez qu’à débourser 5£. Les places assises sont quant à elles disponibles à des prix variants entre 25£ et 62£. Pour plus d’infos, on vous conseille de vous rendre directement sur le site du Globe ! Les Incontournables Le West End foisonnant de théâtres, certains shows sont visibles d’une année sur l’autre. C’est notamment le cas de bon nombre de musicals. Ainsi, vous pouvez assister sans mal à des représentations de Wicked, Les Misérables ou encore The Phantom of the Opera. & Juliet s’est également fait une place de choix. Actuellement, ce musical est joué jusqu’au 25 mars 2023 au Shaftesbury Theatre. Il est cependant fort probable qu’elle soit reconduite dans un autre lieu passé cette date. Le succès a aussi permis à d’autres pièces de s’installer durablement à Londres. Si vous êtes Potterheads, il est toujours possible de découvrir Harry Potter & The Cursed Child. Pièce que l’on vous recommande car, si le livre ne casse pas trois pattes à un canard, Jack Thorne a créé une mise en scène absolument magique. On en oublie alors complètement la faiblesse de l’histoire. Actuellement, les réservations sont ouvertes jusqu’au 1er octobre 2023. La pièce s’étant exportée aux USA, en Australie, au Japon et dernièrement en Allemagne, il est désormais possible de booker facilement ses places via le site officiel. Malheureusement, aucune adaptation n’est encore prévue en France. Dans un autre genre, la saison hivernale voit désormais revenir A Christmas Carol au Old Vic. Si vous comptez profiter des Christmas Lights, pourquoi ne pas faire un petit arrêt
Que vous réserve le West End londonien ?
Lieu incontournable du théâtre anglophone, le West End de Londres regorge d’une programmation alléchante. Découvrez ce que vous réserve la saison 2019-2020 ? Misant sur l’art et la culture, Londres offre une programmation éclectique. Un choix gagnant puisque le succès du West End est tel qu’il amasse aujourd’hui plus de spectateurs que Broadway. Avant de traverser l’Atlantique, pensez donc à faire un tour de l’autre côté de la Manche. Promis, le déplacement vaut la peine! Les musical Tout comme Broadway, le West End londonien regorge de Musical avec une cinquantaine de shows programmés. Si comme nous vous aimez la littérature, pourquoi ne pas vous laisser tenter par une adaptation ? De Wicked et son univers tiré du magicien d’Oz à Matilda ou The Book of Mormon, tous les genres sont représentés. La littérature française est quant à elle illustrée par Les Misérables ou Le Fantôme de l’Opéra. Deux superproductions qui, depuis des décennies, font parties des pièces à avoir le plus de succès au monde. Un musical dans le West End est aussi le parfait moyen de s’offrir un bon moment en redécouvrant un artiste ou un groupe. En tant qu’amatrices de rock, on a forcément envie de vous parler de School of Rock ou du Thriller Live. Le premier est tout simplement l’adaptation de l’iconique film avec Jack Black tandis que le second offre une plongée dans les tubes de Michael Jackson. Notre préférence va cependant au Tina – The Tina Turner Musical. En effet, quoi de mieux que cette production pour découvrir l’histoire de la reine du rock’n’roll ? Dans un autre style, il est également possible d’aller se déhancher sur les titres phares d’ABBA avec Mamma Mia!. Quitte à faire un tour dans le West End, pourquoi ne pas replonger en enfance ? Si Le Roi Lion ou Aladdin connaissent déjà un large succès à Londres, Mary Poppins fera son entrée en scène à partir du 28 octobre 2019 au Prince Edward Theatre. Elle remplace ainsi Aladdin dont la dernière représentation aura lieu le 24 août prochain. Autre bonne nouvelle, Le Prince d’Egypte a lui aussi droit à son musical. Il faudra cependant attendre le 5 février 2020 pour assister à l’une des représentations au Dominion. L’automne 2020 devrait quant à lui voir l’arrivée au Royal Drury Lane de Frozen alias La Reine des Neiges. Quels acteurs voir en 2019-2020 Voir vos acteur•ices favori•es sur les planches, c’est tout à fait possible. De Jude Law à Idris Elba en passant par Kit Harington, Martin Freeman ou encore Maggie Smith, nombreux sont ceux à fréquemment fouler les planches du West End. Nous-même avons eu la chance d’y voir Daniel Radcliffe, Joshua McGuire et David Haig dans Rosencrantz and Guildenstern are dead, Rhys Ifans en Ebenezer Scrooge dans A Christmas Carol, et plus récemment, Charlie Cox, Zawe Ashton et Tom Hiddleston dans une superbe mise en scène de Betrayal. Mais quels sont les stars à se produire à Londres courant la saison 2019 -2020 ? Si vous êtes de passage à Londres avant la rentrée, Sheridan Smith et Jason Donovan partagent actuellement l’affiche de Joseph and the Amazing Technicolor Dreamcoat, et ce, jusqu’au 8 septembre. Depuis le 7 juin, le fantastique John Malkovich interprète Barney Fein dans Bitter Wheat de David Mamet. La dernière représentation ayant lieu le 21 septembre, on se damnerait pour assister à l’une d’elles. Du côté du Noel Coward Theatre, c’est Clive Owen qu’il est possible de venir applaudir jusqu’au 28 septembre dans The Night of the Iguana. La rentrée théâtrale 2019 sera bien fournie puisque mi septembre, Stephen Fry sera au Palladium Theatre avec Mythos A Trilogy. Les 13 et 17 septembre, il présentera Gods et le 14 septembre les deux suivantes : Heroes et Men. À partir du 20 septembre le Harold Pinter Theatre accueillera la légende Ian McKellen pour son On Stage. Un véritable immanquable puisque l’acteur revient sur son expérience tout en partageant des anecdotes avec son public. Le tout, jusqu’au 5 janvier 2020. Pèle-mêle, mi septembre, Zoë Wanamaker sera à l’affiche de Two Ladies au Bridge Theatre et Sharon D.Clarke à celle de Death of a Salesman à partir du 24 octobre. L’acteur gallois Rhys Ifans sera à l’affiche de To Kill a Mockingbird au Gielgud Theatre à partir du 19 Mai 2020. Dans le cadre de sa saison au Playhouse Theatre, Jamie Lloyd propose trois pièces : Cyrano de Bergerac, The Seagull (La Mouette) et A Doll’s House. Dans la première, James McAvoy interprète le célèbre personnage d’Edmond Rostand du 27 novembre au 29 février 2020. Du 11 mars au 30 mai une adaptation de The Seagull verra Emilia Clarke faire ses débuts dans le West End. Enfin, du 10 juin au 5 septembre, c’est Jessica Chastain qui fera ses premiers pas à Londres dans A Doll’s House. À partir du 11 juin, Jake Gyllenhaal reprendra son rôle dans le musical Sunday in the Park With George. Entre les 29 juillet et 30 août 2020, le Eventim Apollo accueillera Whoopi Goldberg et Jennifer Saunders pour une nouvelle production de Sister Act. Dès le 6 octobre 2020 David Tentant, Fenella Woolgar et Elliot Levey se produiront au Playhouse Theatre avec un revival du Good de Cecil Philip Taylor. Juste pour le plaisir de vous parler du Old Vic Theatre, sachez que cet l’hiver A Christmas Carol sera de retour pour la troisième année consécutive. Et cette fois, c’est Paterson Joseph qui endossera le rôle du vieil Ebenezer Scrooge. Si vous passez du côté de Londres entre le 23 novembre et le 18 janvier, on vous recommande fortement de vous y rendre, la mise en scène de Jack Thorne étant magnifique. On est extrêmement ravies d’y voir également l’apparition du Endgame – Fin de Partie – de Samuel Beckett. Bonus, ce sont Alan Cumming et Daniel Radcliffe qui interprèteront respectivement Hamm et Clov entre les 27 janvier et 28 mars 2020. Enfin, Eileen Atkins et le petit prince d’Hollywood, Timothée Chalamet seront dans 4000 Miles du 6 avril au 23 mai 2020. Allez au théâtre, oui, mais à quel prix ? OK, on vous entends d’ici penser « c’est sympa tout ça mais les prix doivent être exorbitants« . FAUX ! À Londres, la culture est accessible à tous. Et oui, même avec
Festival Séries Mania : L’édition 2019 se dévoile
Évènement de la région Hauts-de-France, le Festival Séries Mania a dévoilé sa programmation ! Du 22 au 30 mars 2019, le Festival Séries Mania investira Lille pour la deuxième année consécutive. Découvrez les séries en compétition pour cette seconde édition dans le Nord ainsi que les membres du jury International. Un jury international à dominance féminine Pour son édition 2019, le Festival Séries Mania met les femmes à l’honneur au sein même de son jury international. Cette année, la compétition officielle sera présidée par la productrice, scénariste et réalisatrice américaine Marti Noxon (To the Bone – Buffy contre les vampires). L’entoureront Julianna Margulies (Urgences – The Good Wife), Audrey Fleurot (Kaamelott – Engrenages) et Delphine de Vigan (No et moi – D’après une histoire vraie). Deux hommes seront aussi de la partie : les réalisateurs Thomas Lilti (Hippocrate – Première Année) et Podz (Minuit – Xanadu). La compétition française sera quant à elle supervisée par un jury de presse internationale. Pour le composer : Stefania Carini (Italie), Stuart Heritage (UK), Lola Lemaigre (Belgique) Henrik Palle (Danemark) et Claudia Tieschky (Allemagne). La compétition officielle Cette année, la compétition officielle sera l’occasion de présenter dix séries inédites en avant première mondiale. Parmi elles, Chambers, la nouvelle série américaine mettant en scène Uma Thurman dans le rôle titre. Jack Thorne sera aussi de retour. Après Kiri, l’an passé, le britannique revient avec une co-scénarisation sur The Virtues dont la musique est signée PJ Harvey. Series Mania sera aussi l’occasion de découvrir la série franco-allemande Eden avec Sylvie Testud. Quant à leurs concurrents il s’agit de : Baghdad Central (RU), Chimerica (RU), Identification (Russie), Just For Today (Israël), Lambs of God (Australie), Mytho (France) et Twin (Norvège). La compétition française Côté compétition française, La dernière vague (Rodolphe Tissot) a retenu notre attention. Située dans les Landes, cette série met en scène une compétition de surf. Jusque là, rien de bien original, si ce n’est que les surfeurs vont disparaître, puis, réapparaître de longues heures plus tard. La raison ? Une vague provenant d’un arcus (nuage). On ne sait pas vous, mais nous, ça nous intrigue ! On a tout autant envie de jeter un oeil à la dystopie de Julius Berg : Osmosis. À l’heure où même l’amour est trouvable sur le net, Osmosis nous a aussi sauté aux yeux. Dans cette dystopie signée Julius Berg, l’application Osmosis repousse les frontières de l’inimaginable. Son objectif ? Trouver l’âme soeur – pour la vie – grâce à des microrobots implantés dans le cerveau de chaque utilisateur. Intrigant n’est-ce pas ? Seront aussi en compétition : Double Je (Laurent Dussaux), Le Grand Bazar (Baya Kasmi), Soupçons (Lionel Bailliu) et Une île (Julien Trousselier). Les formats courts Le Festival Séries Mania est aussi l’occasion de récompenser les formats courts. Pour l’occasion, dix séries en provenance du monde entier seront projetées. À terme, une seule obtiendra une récompense. D’ailleurs, si vous aimez Stephen Frears (Les Liaisons Dangereuses), vous pourrez découvrir sa nouvelle réalisation qui met en scène Rosamund Pike (Gone Girl) et Chris O’Dowd (Good Morning England) : State of the Union. Zérostérone, réalisée par Nadja Anane et produite par La Dame de Coeur représentera quant à elle la France. Lors des séances de projection, vous pourrez aussi regarder People Talking (Espagne), Rasbhari (Inde), M (Argentine), Hell is Other People (Danemark), Germain s’éteint (Canada), Fourchette (Canada), Drive (Singapour) et Break up (France). Le panorama international À l’issu du visionnage, un jury entièrement constitué d’étudiants remettra le Prix des Étudiants de la Meilleure Série. Au total, quinze séries présentées en avant première française, européenne, voire mondiale constituent ce panorama international. Parmi elles, 8 Days. Une série qui suit une famille berlinoise tentant de survivre au chaos. La raison ? Une météorite va s’écraser sur le centre de l’Europe. Cry a tout autant piqué notre attention. En effet, cette production anglo-australienne met en scène un couple au coeur d’une enquête suite à la disparition de leur enfant. Évidemment, la presse va s’emparer de l’affaire. Notre amour pour les pleines écossaises nous donne aussi envie de nous attarder sur Curfew. Oscillant entre Angleterre et Écosse, la série se déroule sur fond de régime totalitaire et de course automobile. Au casting : Sean Bean (The Frankenstein Chronicles), Phoebe Fox (Eye in the sky), Adrian Lester (Primary Colors), Billy Zane (Titanic) ainsi que l’admirable Adrian Brody (The Singing Detective). Quant à la musique elle est signé par nul autre que Magnus Fiennes (Chromophobia). Enfin nous ne pouvions passer à côté d’une autre série anglaise : Flack. Portée par Anna Paquin (Margaret), l’histoire nous porte au sein d’une agence de relations publiques dans laquelle elle excelle alors que sa vie personnelle est un véritable fiasco ! Complètent cette compétition : Asylum City (Israël), Blackout (Russie), Exit (Norvège), Les Misérables (Royaume-Uni), Monzon (Argentine), Motherfatherson (Royaume-Uni), Pros and Cons (Danemark), Success (Croatie), Folklore (A Mother’s love, Nobody, Tatami), The Guest (Corée du Sud) et Hierro (Franco-espagnole). Un petit nouveau : Le Prix Vidocq En 2019, une nouvelle récompense voit le jour : le Prix Vidocq. Tout comme le Prix du Quai des Orfèvres en littérature, le Prix Vidocq récompensera le 29 mars prochain la meilleure série policière française. Évidemment, le trophée représentera la canne emblématique de Vidocq mais nous n’avons encore aucune information sur les séries nommées. Afin de décerner ce prix, le festival a fait appel à des professionnels de la sécurité intérieure. À sa présidence, la grande figure de la police nationale : Mme Mireille Ballestrazzi. Elle sera entourée d’un jury à dominance féminine constitué de Mme Cécile Dindar – secrétaire générale pour les affaires régionales auprès du préfet de la région Hauts-de-France -, de Mme Dominique Buffin – officier de police affectée au ministère de la Culture -, de Madame Blandine Clerc – commissaire de police -, de M. Michel Lalande – préfet de la région Hauts-de-France -, de M. Marc Drouet – directeur régional des affaires culturelles des Hauts-de-France – et de M. Christian Belpaire – commandant divisionnaire fonctionnel -. Comme les années précédentes, le public sera également invité à donner son avis sur les projections afin de discerner le Prix du Public. À noter que la Cérémonie d’ouverture sera présentée par Frédérique Bel (La Mante
On a enfin vu Harry Potter et l’Enfant Maudit
Plus de deux ans après son démarrage au Palace Theatre, Harry Potter et l’Enfant Maudit se joue toujours à guichet fermé. Le 13 septembre dernier, nos coeurs de potterheads se sont emballés pour Harry Potter et l’Enfant Maudit au Palace Theatre. Mise en scène par le célèbre dramaturge Jack Thorne, la pièce nous présente la nouvelle génération. Une pièce à guichet fermé À l’affiche du Palace Theatre depuis désormais plus de deux ans, Harry Potter et l’Enfant Maudit est toujours aussi difficile à booker. Après de nombreux essais infructueux, nous avons tout de même réussi à dégoter notre précieux sésame pour ce mois-ci durant l’été 2017. Oui, oui, vous avez bien lu. Il nous aura fallu attendre plus d’un an avant de pouvoir assister à l’un des événements de l’année 2016. Incroyable n’est-ce pas ? Si vous n’avez pas notre patience, vous pouvez toujours profiter du #FridayForty. Le principe ? Tous les vendredi, le Palace Theatre remet en vente 40 places pour la semaine suivante au prix tout doux de 20£ par partie. Depuis quelques mois, en plus de se jouer à Londres, Harry Potter et l’Enfant Maudit s’est délocalisé au Lyric Theatre de New-York. Dès l’automne 2019, elle prendra place au Curran de San Francisco, puis au Princess Theatre de Melbourne (Janvier 2019). Enfin, elle s’installera au Mehr ! Theater am Großmarkt de Hambourg à partir du printemps 2020 pour une première en version non anglaise. Malheureusement, aucun arrêt en France n’est prévu pour le moment. Une mise en scène à couper le souffle Peu convaincues par la lecture d’Harry Potter et l’Enfant Maudit, nous espérions qu’avec Jack Thorne aux manettes, la mise en scène sauverait l’honneur. Évidemment, lui qui nous avait bluffé avec A Christmas Carol au Old Vic l’année dernière a plus que réussi le pari de nous surprendre une fois encore. Décor, transitions, illusions. Tout est au rendez-vous pour que le spectateur ressorte des étoiles plein les yeux. Mention spéciale pour les instants transitoires ponctués de danse, mouvements de capes afin d’emporter les décors ainsi que les escaliers. Le tout, accompagné en musique est très agréable à regarder. Cependant, si les effets spéciaux de la première partie sont vraiment impressionnants et laissent sans voix, ceux de la seconde nous on parût plus négligés. Là ou l’on devinait les trucs et astuces mises en place, des mains sont visibles, gachant un peu la fête. Notre placement au dernier rang du balcon le plus haut ne nous a d’ailleurs pas aidé sur ce point. On regrette aussi le choix de mise en forme du patronus de Severus Snape qui aurait pu être bien plus magistral avec une création de toute pièce à faire voguer dans les airs. Harry Potter et l’Enfant Maudit : au coeur des relations familliales Harry Potter et l’Enfant Maudit met en scène les relations familiales sous diverses formes. Chez les Weasley, le père est davantage présent, Hermione délaissant sa famille pour son travail. Côté Potter et Malfoy, là ou Ginny et Astoria s’imposent comme des mères aimantes, Harry et Draco ont tous deux des difficultés avec leur fils. Au fil de la pièce, les confrontations marquantes entre Harry et Albus s’enchaînent. On découvre alors un Harry Potter surprotecteur, colérique et prenant des décisions allant à l’encontre du bien être de son propre fils. À l’opposée, Draco Malfoy n’hésite pas une seconde à s’opposer à sa némésis afin de défendre son enfant. Tout aussi complexe et intéressante, sa relation avec Scorpius s’avère d’autant plus émouvante que la mort d’Astoria entre en jeu. Entre enfin dans l’équation Amos Diggori et son envie de voir son fils, Cédric, revenir à la vie. Delphie a aussi sa part à jouer dans tout cela, mais nous vous laisserons découvrir par vous-même en quoi. La nouvelle génération convaincante Alors que les retrouvailles avec le Trio d’Or et leur ennemi Draco Malfoy auraient dû nous réjouir, c’est finalement la nouvelle génération qui nous a séduite. Rapidement, on se prend d’affection pour Albus Potter et Scorpius Malfoy tandis que Rose Granger-Weasley se fait quelque peu détestable. Porté sur scène par Joe Idris-Roberts et Jonathan Case, le duo nous entraine sans difficulté dans ses mésaventures. On tiens notamment à saluer l’incroyable performance de Jonathan Case dont l’interprétation de Scorpius Malfoy gomme quasiment le reste du casting. À la fois timide et excentrique, drôle et émouvant, il est impossible de ne pas compatir pour ce jeune homme capable de nous faire passer du rire aux larmes en un clin d’oeil. On s’est même demandé si au final, ce n’était pas lui l’enfant maudit dont parle le titre. Malgré quelques longueurs, illusions et jeux des comédiens font de Harry Potter et l’Enfant Maudit un bon divertissement. Et qui sait, peut-être un jour sera-t-elle adaptée en français pour que les nons anglophones puissent la savourer à leur tour. Et vous, avez-vous vu Harry Potter et l’Enfant Maudit ?
Series Mania : Compétitions, invités, avant premières, on vous dit tout
Le 28 Mars, le Festival Séries Mania qui se déroulera du 27 avril au 5 mai, a dévoilé sa programmation lors d’une conférence au Nouveau Siècle de Lille. 30 jours avant le lancement, l’équipe de Séries Mania s’est réunie au Nouveau Siècle pour nous faire part du programme des festivités. Séries en compétitions, jurys, projections en avant première, invités d’honneur : Les Insouciantes vous disent tout ce qu’il faut retenir de cette première édition lilloise. Présence d’un jury international Séries Mania sera un lieu de compétition. Évidemment, qui dit compétition, dit jury international. À la présidence de cette édition 2018, c’est Chris Brancato (X-Files, Hannibal, Narcos) qui fait l’honneur de sa présence. Il sera accompagné par la co-créatrice et productrice Maria Feldman (False Flag, Absentia), l’actrice, scénariste et réalisatrice Maria Schrader, l’acteur Clovis Cornillac (Central Nuit, Chefs) et le romancier Pierre Lemaître (Au revoir là haut). Les séries en compétition Lors du festival, les compétitions se déclineront sous plusieurs formes : Compétition Officielle, Compétition Française, Panorama International, Marathon Comédies, Formats Courts et Prix du Public. La Compétition Officielle verra s’affronter dix séries en provenance du monde entier et jamais diffusées. Ont été choisi : Ad Vitam (France), American Woman (U.S.A), An Ordinary Woman (Russie), Autonomies (Israël), II Miracolo (Italie/France), Mystery Road (Australie), On the Spectrum (Israël), The Rain (Danemark), The Split (Royaume-Uni) et Warrior (Danemark). https://www.youtube.com/watch?v=-xlzZDgjPS8 La France regorgeant de séries, Séries Mania en a sélectionné huit qui s’affronteront dans une compétition nationale. Parmi elles, deux adaptations de romans : Aux Animaux la guerre (Nicolas Mathieu) et Maman à tort (Michel Bussy). Tirée de la série britannique The Fall de Allan Cubitt, Insoupçonnable mettra quant à elle en scène Melvil Poupaud et Emmanuelle Seigner. Quand au Ad Vitam de Thomas Cailley avec Yvan Attal et Niels Schneider jouera sur deux fronts, concurrents à la fois dans la catégorie officielle et nationale. Seront également de la partie Kepler(s), Vingt-Cinq et Nu. Cette dernière risque d’ailleurs de vous déstabiliser. Et pour votre plaisir, Thanksgiving sera diffusée en intégralité ! Grâce au Panorama International, ce sont dix-huit séries, dont trois en première mondiale qui seront jugées par des blogueurs. On retient notamment la présence de Kiri, série créé par le scénariste et dramaturge anglais Jack Thorne (Monstre Sacré) dont nous avions vu l’adaptation de A Christmas Carol au Old Vic Theatre en décembre dernier, ainsi que la diffusion en intégralité de la série anglaise Come Home de Danny Brocklehurst. Coté formats courts, neuf séries seront soumises à un juré professionnel constitué de Sophie Côté, Simon Bouisson, Philippe Buchet et Sophie Deloche, tandis que le panorama des formats courts sera jugé par un jury formé par des lycéens résidants dans la région Hauts-de-France. Les étudiants appelés à participer Au terme d’une nuit marathon qui se déroulera au théâtre Sébastopol, les étudiants présents seront invités à voter pour leur série favorite. Cette soirée dédiée à la comédie vous proposera : Vingt-Cinq, Action Team (Royaume-Uni), A.P Bio (USA), Future Man (USA), High and Dry (Royaume-Uni), Idiomatic (Finlande), Kiki and Kitty (Australie) et Significant Other (Israel). Acteurs, créateurs, producteurs : ils seront présents C’est probablement la partie qui vous intéresse le plus, alors on cesse le suspens tout de suite. Lors d’un « Fan Club » qui se tiendra au Tri Postal durant toute la durée du festival, il vous sera possible de rencontrer vos acteurs favoris. Seront notamment de la partie le 28 avril l’équipe du Bureau des Légendes et le lendemain l’équipe de Skam France et Corinne Masiero (Capitaine Marleau). Le 3 mai, c’est Kad Merad (Baron Noir) qui se prendra au jeu des rencontres, puis, le 5 mai, l’équipe de Plus Belle La Vie prendra le relais. En assistant à des séances de projection de la compétition officiel, Emma De Caunes, Nathalie Baye, Géraldine Nakache, Dominique Besnehard, Eric Judor ou encore Jalil Lespert vous présenteront en amont leurs séries préférées. Séries Mania, c’est aussi des invités d’honneur. Pour l’occasion, le réalisateur Jeremy Podeswa (Game of Thrones, True Detective, Homeland, Borgia, Dexter) sera présent le 28 avril. Carlton Cuse (Lost, Bates Motel, The Strain, Colony) présentera sa nouvelle série pour Amazon Prime Video, Tom Clancy’s Jack Ryan le 30 avril. Viendront à votre rencontre la suédoise Sofia Helin (The Bridge) le 1er mai ainsi que la scénariste et actrice britannique Charlie Covell (The End of the Fucking World) viendra à vous le 3 Mai. Les amateurs de Dallas seront ravis d’apprendre que les 40 ans de la série n’ont pas été oubliés puisque Patrick Duffy (alias Bobby) aura droit à sa carte blanche le 2 mai. En votre compagnie, l’acteur reviendra sur sa carrière et présentera ses épisodes préférés de Dallas et L’homme de l’Atlantide. À noter que la projection d’ouverture, Succession, se fera en présence de Jesse Armstrong et Brian Cox et que bien d’autres personnalités telles que Bernard Kouchner, Melvil Poupaud, Emmanuelle Seigner, Lou de Laâge, Pasca Elbé, Marc Lavoine, Camille Lou ou encore Sofia Essaïdi font partis des invités. Des projections inédites Ces quelques jours consacrés aux séries donneront aux festivaliers la possibilité de visualiser certains épisodes en avant première. Vous pourrez ainsi découvrir en exclusivité l’épisode 12 de la SAISON 1 de Capitaine Marleau : Double Jeu et l’épisode 22 de la SAISON 2 des Petits Meurtres d’Agatha Christie : Meurtre en Solde. Toujours côté français, vous pourrez déguster deux épisodes de la SAISON 6 de Candice Renoir. Pour avoir lu La Servante Écarlate (The Handmaid’s Tale) de Margaret Atwood, Les Insouciantes sont ravies de vous annoncer que ce n’est pas, un, mais les deux premiers épisodes de la SAISON 2 qui seront diffusés lors du festival. Il en sera de même pour la SAISON 4 de Bron (The Bridge) et la SAISON 2 de Westworld. Les États-Unis à l’honneur grâce au Best of USA Séries Mania, c’est aussi la possibilité de mettre un pays à l’honneur tout en restant dans l’actualité. Ainsi, vous pourrez découvrir les deux premiers épisodes de 9-1-1, Barry, Here and Now, The Chi, The Good Doctor, The Looming Tower, The Marvelous Mrs Maisel, et, une série que l’on est impatientes de voir en raison de l’interprétation d’un double rôle pour J.K Simons, The Counterpart. Femmes et sociétés au coeur des préoccupations
A Christmas Carol : Magique et généreuse
Jack Thorne revisite le mythique A Christmas Carol de Charles Dickens au Old Vic Theatre de Londres Début décembre 2017, deux de nos rédactrices ont littéralement craqué pour l’un des incontournables de noël : A Christmas Carol. Signé Charles Dickens, ce conte a été revisité au Old Vic Theatre par le scénariste et dramaturge Jack Thorne (Harry Potter et l’Enfant Maudit, Shameless, Skins). Bonus : Rhys Ifans dans le rôle de l’exécrable Ebenezer Scrooge. Un conte imprégné dans la culture anglophone Avant de vous parler de la pièce, revenons un peu sur le contexte. Vous connaissez probablement tous Charles Dickens pour Oliver Twist (1837), Nicholas Nickleby (1838) ou David Copperfield (1849). Mais ce n’est pas seulement cela puisqu’on lui doit LE conte immanquable à l’approche de Noël : A Christmas Carol (Un Chant de Noël). Véritable institution anglophone, A Christmas Carol nous plonge dans le Londres Victorien tant chéri par Dickens. Au coeur de l’intrigue, Ebenezer Scrooge, vieil homme solitaire, acerbe et avare reçoit la visite du fantôme de son regretté associé Jacob Marley. Captif des chaînes forgées au fil de sa vie, Marley annonce à Scrooge sa possibilité de se racheter auprès de ses pairs. Pour cela, il devra suivre trois fantômes associés aux noëls passés, présents et futurs. Myra McFadyen (fantôme du Noël Passé) et Rhys Ifans (Ebenezer Scrooge) | ©Manuel Harlan De multiples adaptations Des ballets à la bande dessinée en passant par la musique classique, le théâtre ou le cinéma, aucun art n’a omis sa propre adaptation du chef d’oeuvre britannique. Impossible d’aborder le sujet sans vous recommander Le Drôle de Noël de Scrooge (2009). En plus d’être particulièrement fidèle au livre, le film a été tourné en capture de mouvement 3D et livre une véritable performance de la part de Jim Carey qui s’illustre dans pas moins de sept rôles. Sont également présents Gary Oldman et Colin Firth. D’ailleurs, saviez-vous qu’avant d’interpréter le rôle titre dans la pièce de Jack Thorne, Rhys Ifans avait prêté sa voix au personnage de Bob Cratchit dans l’animation Christmas Carol : The Movie (2001). Jack Thorne : magicien de la mise en scène ! La réputation de Jack Thorne n’étant plus à faire, c’est avec une impatience certaine que nous avons poussé les portes du Old Vic Theatre afin de découvrir sa vision de A Christmas Carol. Un mince pie à la main, nos yeux dérivent au-dessus de nos têtes où de multiples lanternes suspendues ont remplacées le large lustre. Plus bas, nous sommes surpris par la mise en place d’une scène aussi centrale que transversale sur laquelle ont été installé une partie des sièges. Inutile de nous en montrer davantage pour deviner à quel point la prestation se montrera aussi intimiste que généreuse. Généreuse, c’est sans conteste le mot qui évoque le mieux la splendide mise en scène de Jack Thorne. Entre une scène à l’aspect minimaliste dont les éléments jaillissent et se rétractent sans cesse, un jeu de lumière éblouissant et des comédiens entrant et sortant de partout à la fois, nos yeux ne savent plus où se poser. Car oui, en plus d’évoluer sur scène, c’est bien jusqu’aux balcons que se faufilent les acteurs afin d’échanger quelques répliques. Ainsi, le public se retrouve en immersion totale, et nous, on adore ! Qui dit A Christmas Carol implique des chants de saison, et cela, Jack Thorne l’a parfaitement compris. Dans un véritable esprit de noël, les comédiens interprètent tantôt des morceaux du répertoire anglais, mais aussi français (Il est né le divine enfant), tantôt des airs connus à l’aide de clochettes de diverses tailles. La magie opère, et on l’avoue, nous ramène directement en enfance. Rhys Ifans dans le rôle de Ebenezer Scrooge | ©Manuel Harlan Des femmes pour incarner les Fantômes des Noëls Certainement la plus grande digression à l’oeuvre originelle, Thorne a choisi de faire appel à trois femmes afin d’accompagner Ebenezer Scrooge dans son périple. Tour à tour, Myra McFadyen (Fantôme du Noël Passé), Golda Rosheuvel (Fantôme du Noël Présent) et Melissa Allan (Little Fan) inculquent leurs valeurs au vieil homme à l’air aussi enjoué que fébrile face aux différents instants de sa vie. Avec elles, se succèdent instants de tensions et d’humour, détendant aussitôt l’atmosphère. Même Little Fan, dont, en tant que Fantôme des noëls futurs, la lourde tâche est de montrer à son frère ce qui l’attend parvient à nous émerveiller. Un rôle taillé pour Rhys Ifans Incarnation parfaite du Ebenezer Scrooge de notre imagination, Rhys Ifans est tout simplement épatant. En une fraction de seconde, il déclenche notre empathie pour le vieux Scrooge et nous mène de la joie à la tristesse, de l’émerveillement à la peur, et surtout, du rire aux larmes. A l’apogée de sa performance, le gallois se permet même d’insérer une part d’improvisation. Alors qu’une jeune femme est conviée à participer, il se met à hurler : “Une femme avec un pantalon”, provoquant ainsi l’hilarité de la salle face à l’anachronisme de la situation. Si Londres est dans votre carnet de voyage avant le 20 Janvier et que l’esprit de noël persiste dans vos coeurs, rendez-vous au Old Vic Theatre afin de profiter pleinement de cette expérience hors du commun et fascinante. Et vous, avez-vous eu l’occasion de voir A Christmas Carol ? A NOTER! Depuis cette saison réussite au Old Vic, A Christmas Carol est renouvelée tous les ans avec un nouveau casting! La saison 2022-2023 a lieu du 12 novembre 2022 au 7 janvier 2023. Vous pouvez réserver vos places directement sur le site du Old Vic! × Rejeter l’alerte NEWSLETTER Facebook Twitter Instagram Pinterest Linkedin