Nos bandes-annonces de la Semaine #7
Toys Story 4, Dumbo, Pikachu Detective. Nos bandes-annonces de la semaine #7 , sont très animées ! Nos bandes-annonces de la semaine sont de retour avec une sélection de films éveillant nos âmes d’enfants. TOY STORY 4 Avec pas moins de deux bandes-annonces, la saga Toy Story annonce son grand retour pour un quatrième opus ! Cette fois, Woody et ses amis embarquent dans une farandole des plus joyeuse jusqu’à ce qu’un nouveau personnage apparaisse. Ne se considérant pas comme un jouet, cet inconnu brise le quotidien de ses camarades. Autant dire qu’on a hâte d’en apprendre plus sur ce personnage qui semble des plus désorienté. SORTIE LE 26 JUIN 2019 DUMBO En voyant le nom de Tim Burton à la réalisation, nous étions un peu septique. Ces dernières années, ces films ont causé notre déception et nous avions donc peur d’une vision tronqué du chef-d’oeuvre qu’est le dessin animé Dumbo. Mais voilà, tout comme Depp nous a agréablement surprises dans son rôle de Grindelwald (Les Animaux Fantastiques), Burton épate. Littéralement soufflées par la justesse de la bande-annonce, on plonge dans une ambiance qui n’est pas sans rappelée son Big Fish. Tourné en prise réel, le film suit l’histoire de l’éléphanteau – né dans un cirque – au pouvoir de voler grâce à ses immenses oreilles. Ajoutez à cela deux minutes trente de bande-annonce faisant passer du rires aux larmes et un casting cinq étoiles (Eva Green, Colin Farrell, Michael Keaton, Danny DeVito, ou encore Alan Arkin ) pour qu’on ait envie de voir le film. SORTIE LE 27 MARS 2019 DÉTECTIVE PIKACHU Après un jeu mettant en scène un Pikachu détective, l’année prochaine, l’adorable Pokemon débarquera au cinéma. Et qui de mieux que Ryan Reynolds pour prêter sa voix à la plus célèbre de ces créatures ? Dans ces images, nous découvrons Tim Goodman – Justice Smith -, un jeune homme ayant eu le rêve de devenir dresseur de Pokemon étant enfant. Malheureusement, une toute autre voie s’offre à lui. Un jour, Tim découvre des billets de train sur son lit et un certain Pikachu entré par effraction dans son appartement. Avec ce nouveau compagnon dont lui seul comprend le langage, tous deux vont enquêter sur la disparition du père de Tim, un célèbre détective. Une nouvelle aventure promet de se distinguer de l’animé originale tout en nous rappelant le dessin-animé de notre enfance. SORTIE LE 18 SEPTEMBRE 2019 THE HAPPY PRINCE Pour sa première réalisation, Rupert Everett nous livre les dernières années du célèbre auteur Oscar Wilde dans un biopic dramatique. Ici nous retrouvons l’écrivain à l’apogée de sa réussite, tombant amoureux du poète anglais Alfred Bosie Douglas. Amour qui lui vaudra deux années d’emprisonnement. Entouré de Colin Firth dans le rôle de Reggie Turner – auteur et journaliste – et d’Emily Watson (Constance Wilde) ou encore de Colin Morgan (Lord Alfred Douglas), Everett se donne le rôle titre qu’il semble interpréter à merveille. On l’avoue, nous sommes maintenant impatiente de pouvoir découvrir ce biopic qui nous paraît aussi torturé et proche du Total Eclipse (1995) de Agnieska Holland où était relaté la sulfureuse relation entre Rimbaud et Verlaine. SORTIE LE 19 DECEMBRE 2018 SPIDER-MAN NEW GENERATION Impossible de terminer nos bandes-annonces de la semaine sans une pensée émue pour Stan Lee. Le maître incontesté de MARVEL n’est plus, laissant derrière lui bon nombre de héros orphelins et endeuillés. Heureusement, le temps n’a pas d’emprise sur Spider-Man qui s’invitera sur nos toiles à partir de mi-décembre. Dans cette version animé, Peter Parker devra former le jeune Miles Morales, un garçon lui aussi piqué par une araignée. Venus d’autres dimensions apparaîtrons également Spider-Gwen, le Spider-Man noir et… Spider-Cochon. Autant dire que cette nouvelle production animée promet déjà un bon divertissement autour du Spider-Verse. SORTIE LE 12 DECEMBRE 2018
Les Crimes de Grindelwald : un second volet brouillon pour Les Animaux Fantastiques
Le 8 novembre, l’UGC Ciné Cité Bercy de Paris accueillait l’avant-première mondiale du second volet de Les Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald. Événement immanquable, l’avant première du spin off de la saga Harry Potter, Les Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald a réuni pas moins de 1500 personnes à Paris. Mais que vaut l’un des films les plus attendus de l’année ? On vous dit tout ! Un scénario brouillon Là où le premier volet des Animaux Fantastiques amusait et attendrissait grâce à ses multiples créatures, Les Crimes de Grindelwald les gomment quasiment du scénario. Un fait particulièrement décevant puisque les bébés Niffleurs auraient pu servir de fil conducteur. Malheureusement, après une apparition rafraichissante dans l’appartement de Newt Scamander (Eddie Redmayne), ils disparaissent totalement. Vraiment dommage lorsque l’on sait que le magizoologiste les emmènent à Paris mais qu’ils restent sagement dans sa valise. Bien sûr, vous apercevrez de nouvelles créatures, dont un Zouwu aussi attachant que dangereux. Plutôt que de se concentrer sur les créatures magiques, l’intrigue tourne autour du pot sans que la relation entre Tina Goldstein (Katerine Waterston) et Newt n’évolue d’un pouce. Heureusement, le couple formé par la legilimens Queenie Goldstein (Alison Sudol) et le No-Maj, Jacob Kovalski (Dan Fogler), rattrape la lourdeur de leurs camarades. Touchant, le duo se retrouve bouleversé par les événements et ne peut vivre sereinement en raison de la loi américaine interdisant aux sorciers tout rapport avec un No-Maj. En plus de ces longueurs, Les Crimes de Grindelwald manquent cruellement de fond. Évidemment, en introduisant pas moins de neuf nouveaux personnages, la chose était prévisible. Si vous vouliez en apprendre davantage sur Nagini (Claudia Kim), on vous prévient tout de suite, c’est clairement manqué car le principal apparaît dans les bandes-annonces. En revanche, vous en saurez plus sur Leta Lestrange (Zoe Kravitz). Un dernier point risque de faire hurler les incollables de l’univers de J.K Rowling : les anachronismes. En plus d’Albus Dumbledore (Jude Law) professeur de Défenses contre les Forces du Mal plutôt que de Métamorphoses, le film nous propose une version jeune de Minerva McGonagall. Problème ? Le film se déroule en 1927 et l’enseignante n’est censée naître qu’en 1935. Si vous n’avez pas peur des spoilers, on peut aussi évoquer le twist final. [toggle title= »SPOILER »] Si Credence est bel est bien Aurelius Dumbledore, cela implique qu’il soit né avant 1899, date du décès de Kendra Dumbledore. Ce qui nous paraît impossible.[/toggle] Un visuel soigné Des créatures superbement réalisées aux effets spéciaux, Les Crimes de Grindelwald ne nous laisse pas en reste. Durant les 2h14, nous avons été émerveillées devant la maison de Newt, qui, à l’instar de sa valise, grouille de créatures magiques. Y réside notamment un magnifique Kelpy, plus connu par les Moldus comme monstre du Loch Ness. On vous garde cependant de l’approcher car il a pour réputation de dévorer les humains. Une fois nos héros à Paris, le spectateur se fraie un chemin dans le dédale des rues entièrement recréés en studio. Du Ministère des Affaires Magiques à la maison de Nicolas Flamel en passant par une statue en bronze soulevant sa robe pour révéler la Place Cachée, on en prend plein les mirettes. C’est d’ailleurs au sein de cette dernière que se trouve le Cirque Arcanus. Dans ses valises, de nombreuses créatures magiques dont un Zouwu, un Kappa et la mystérieuse Nagini. Bien sûr, avec une intrigue centrée sur Grindelwald, on attendait un puissant flot magique. On ne peut pas dire avoir été déçue sur ce point non plus. Entre une évasion spectaculaire, le moyen de rassembler ses partisans et des sorts redoutables, le mage noir en impose. Mais il n’est pas le seul à marquer sa puissance puisque Newt se révèle excellent dans le domaine des sortilèges. Mention spécial pour celui permettant de comprendre via des empruntes ce qui a pu se produire à un endroit particulier. Visuellement, c’est très appréciable et on en redemande. De nombreuses similitudes avec Harry Potter Impossible de voir Les Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald sans évoquer les ressemblances avec la saga Harry Potter. Alors simple clin d’oeil ou plus que cela, on vous laisse juger. Prenons Credence Barebone (Ezra Miller) par exemple. Souvenez-vous, dans le premier opus, le jeune homme introverti grandissait dans un environnement anti sorcier et était maltraité par sa mère adoptive. Cela ne vous rappelle-t-il donc personne ? Harry Potter bien sûr. La similitude ne s’arrête pas là puisqu’en plus d’une quête d’identité, on apprend que, comme Harry, Credence a survécu à un terrible événement. Véritable pièce maîtresse de ce préquel, son destin semble déjà tout tracé et semblable en certains points à celui d’Harry. On a donc hâte de voir ce que l’avenir du garçon hébergeant un obscurus nous réserve, d’autant plus que le rôle semble fait pour Ezra Miller qui l’interprète à merveille. Parlons maintenant de Leta Lestrange. Introduite par le biais d’une photographie dans le premier film, on la retrouve fiancée au frère de Newt, Theseus (Callum Turner). Cependant, ce sont ses souvenirs qui nous parlent le plus et nous rappellent sans conteste l’amitié particulière entre Severus Snape et Lily Evans. Alors qu’à Poudlard la jeune Serpentard essuie du harcèlement scolaire, le magizoologiste se révèle comme un ancrage. Pourtant, l’histoire n’explique pas ce qui s’est passé entre les deux amis. Leta aurait même pu avoir le même destin que Snape, mais pour cela, il faudra ouvrir la case spoiler. [toggle title= »SPOILER »] Contrairement à ses éloignés parents, Rabastan et Rodolphus Lestrange, Leta refuse de se joindre au clan Grindelwald et meurt en se sacrifiant afin de sauver la mise des frères Scamander. Dommage, car nous l’imaginions parfaitement dans un rôle similaire à celui de Severus Snape. [/toggle] Enfin, les clins d’oeil à Harry Potter sont omniprésents. En plus de l’anachronisme concernant Minerva McGonagall, plusieurs scènes rappellent la saga. Ainsi, l’évasion de Newt, Leta et Tina du Ministère français ressemble particulièrement à celle de Gringotts. Remplacez le dragon par un Zouwu et les sorciers par des matagots – nouvelles créatures – et c’est reparti pour un tour. On peut aussi vous parler de l’embrassade entre Grindelwald et un certain personnage qui
Nos Bandes-Annonces de la Semaine #2
Dark Phoenix. Les Animaux Fantastiques. Creed 2. On vous dit tout dans nos bandes-annonces de la semaine #2 ! Le cinéma n’est jamais au repos et nos bandes-annonces de la semaine #2 sont bien placées pour le savoir. Quelles ont été nos favorites ? On vous dit tout maintenant ! Les Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald Dès mardi, nos coeurs ont battu au rythme de la bande-annonce finale des Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald. Baguettes prêtes à l’emploi, on est restée bouche-bée face à l’énorme spoiler de la Warner Bros. Du coup, si vous voulez garder la surprise, on vous déconseille de le regarder. Vous êtes toujours là ? Dans ce cas asseyez-vous car il faut qu’on parle de l’énorme révélation concernant l’actrice Claudia Kim. Si on la savait atteinte de Maledictus, le mystère entourait son personnage. Aujourd’hui elle a un nom… Un nom que l’on aurait largement préféré découvrir durant le visionnage du film car il s’agit de… [toggle title= »SPOILER »] Nagini. Non non, vous ne rêvez pas, c’est bien du fidèle compagnon de Voldemort dont on parle. [/toggle] Autre nouvelle, les images teasent un Albus Dumbledore face au Miroir du Rised. Et qu’y voit-il ? [toggle title= »SPOILER »] Le reflet de Gellert Grindelwald (Johnny Depp) bien sûr. D’ailleurs, pour la version jeune de ce dernier, c’est à nouveau Jamie Campbell Bower qui se glisse dans la peau du sorcier. Un fait qui nous ravie puisqu’il signe les retrouvailles entre Depp et Campbell Bower qui avaient déjà partagé la même affiche dans le Sweeney Todd (2007) de Tim Burton. [/toggle] EN SALLE LE 14 NOVEMBRE Dark Phoenix Après avoir fait vibrer la planète avec la première bande-annonce de Captain Marvel, c’est au tour des X-Men de revenir sur les devants de la scène. Enfin, de l’une d’entre eux en particulier : Phoenix. Mais contrairement à la super-héroïne cosmique venue défendre la Terre, Jean Grey (Sophie Turner), devra lutter contre elle-même. Ce trailer particulièrement sombre nous envoie dix ans après X-Men : Apocalypse. Envoyée avec les X-Men en mission de sauvetage dans l’espace, Jean est frappée par une mystérieuse force cosmique qui, en plus de lui conférer bien plus de puissance, la rend plus instable. Ces comparses devront alors faire un choix : l’aider ou l’anéantir. À noter que Jennifer Lawrence (Mystique), James McAvoy (Professeur Charles Xavier), Michael Fassenberg (Magneto) et Nicolas Hoult (Le Fauve) ont accepté de reprendre leurs rôles respectifs. Seront également de la partie Alexandra Shipp (Tornade), Evan Peters (Quicksilver), Tye Sheridan (Cyclope), Kodi Smit-McPhee (Diablo) et Olivia Dunn (Psylocke). Jessica Chastain prend quant à elle les traits de Smith, la « méchante » du film. EN SALLE LE 13 FÉVRIER 2019 CREED 2 Les Creed ont-ils une malédiction avec les Drago ? C’est ce que semble redouter Rocky Balboa (Sylvester Stallone) lorsque son poulain, Adonis Johnson Creed (Michael B. Jordan) accepte de boxer contre Viktor Drago. Porté à l’écran par le boxeur Florian Munteanu, Viktor n’est nul autre que le fils d’Ivan Drago (Dolph Lundgren), soit l’homme ayant tué Apollo Creed sur le ring. Le huitième film de la série Rocky met en place tous les tenants du film. Là ou Creed : L’Héritage de Rocky Balboa (2015) nous présentait le jeune Adonis Johnson Creed, ici, ce n’est pas seulement sa vie qui est en jeu. En effet, le trailer nous porte tant vers l’amour pour sa famille que sa volonté à s’entraîner d’arrache pied afin de différencier son avenir de celui de son paternel. EN SALLE LE 9 JANVIER The Bookshop Visiblement sortit il y a au moins trois mois, le trailer de The Bookshop a été remis au goût du jour cette semaine par la chaîne Bandes Annonces Cinéma. Évidemment, entre Bill Nighy au casting et notre amour inconditionnel pour la lecture, nous n’avons pas résister une seconde. Adapté du roman éponyme de Penelope Fitzgerald, The Bookshop nous transporte dans un petit village anglais où Florence Green (Emily Mortimer) décide de racheter The Old House. Transformé en librairie, l’ancien lieu désaffecté est loin de faire l’unanimité. Alors quand la propriétaire met en vente le sulfureux Lolita de Nabokov, les choses vont se corser. EN SALLE LE 19 DECEMBRE Et vous, quelle bande-annonce a marqué votre semaine ?