Disney Investor Day : Marvel fait le plein d’infos

Le 10 décembre, le Disney Investor Day a révélé de nouvelles informations quant aux sorties Marvel à venir. Séries, films, on vous dit tout ! Évènement de cette fin d’année, le Disney Investor Day a offert une projection sur les films et séries de la firme Marvel à venir. De Ironheart à She Hulk en passant par Doctor Strange ou Black Panther, on fait le point ! Phase 4 en route Présent au Disney Investor Day, Kevin Feige est revenu sur le futur du Marvel Cinematic Universe. Ainsi, Captain Marvel 2, dont la sortie devrait avoir lieu le 11 novembre 2022 verra Monica Rambeau et Ms.Marvel rejoindre Carole Danvers. Cette fois, c’est Nia DaCosta (Little Woods | Candyman) qui sera à la réalisation. Déjà bien fourni au niveau du casting, Doctor Strange in the Multiverse of Madness va accueillir une petite nouvelle : America Chavez alias Miss America. Xochitl Gomez rejoint donc Benedict Cumberbatch (Stephen Strange | Doctor Strange) et Elizabeth Olsen (Wanda Maximoff | Scarlett Witch) dans cette production à la fois en lien avec Spider-Man 3 et WandaVision. Rendez-vous le 25 mars 2022 en salle. Pèle-mêle, Ant-Man & The Wasp : Quantumania voit rejoindre Kathryn Newton (Cassie Lang | Stature) et Jonathan Majors (Kang le Conquérant). Christian Bale est confirmé dans Thor : Love & Thunder afin d’interpréter Gorr. On croise également les doigts pour les sorties de Black Widow le 7 mai 2021, Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings le 9 juillet 2021 et The Eternals le 5 novembre 2021. Concernant Black Panther 2, le regretté Chadwick Boseman ne sera pas remplacé. Et ce, de manière physique ou numérique. D’après Kevin Feige, le film lui rendra hommage tout en continuant l’exploration du Wakanda et de ses personnages. Shuri (Letitia Right) y tiendra-t-elle le rôle principal ? Par ailleurs, Kevin Feige a profité de l’événement pour officialiser l’arrivée des Quatre Fantastiques dans le MCU. Si le casting reste encore un mystère, c’est Jon Watts – à qui l’ont doit les deux derniers Spider-Man – qui se collera à la tâche. Des femmes, encore des femmes ! Vous vous en doutez, on ne pouvait écrire cet article sans faire un point « femmes dans le MCU ». Il faut dire qu’outre Captain Marvel, les personnages féminins en stand-alone se font rares à l’écran. Mais voilà, qui dit Disney+, dit davantage de possibilités. En effet, compte tenu du succès de la série Jessica Jones (Netflix), la déclinaison du MCU de cette manière semble judicieux. D’autant plus que, contrairement au cinéma, les séries ont l’avantage de pouvoir approfondir les personnages. Mais revenons-en au sujet principal. Lors de ce Disney Investor Day, les séries ont fait la part belle aux femmes. Annoncé il y a quelques temps, le développement de She Hulk a désormais un début de casting. Et c’est Tatiana Maslany (Orphan Black) qui y interprètera la cousine de Bruce Banner : Jennifer Walter. Mark Ruffalo (Hulk) fera d’ailleurs une apparition dans la série. Tout comme Tim Roth qui reprendra son rôle d’Emil Blonsky, alias l’Abomination. Comme mentionnez plus haut, Ms. Marvel va également avoir droit à sa série. Prévue pour 2022, elle mettra en scène Kamala Khan (Iman Vellani) la première super-héroïne musulmane. Croyez-vous que, comme dans les comics, elle y shipera Spider-Man et Captain Marvel ? Après tout, la super-héroïne rencontrera son idole dans Captain Marvel 2. Toujours côté production connue, Kate Bishop (Hailee Steinfeld) soutiendra Hawkeye (Jeremy Renner) dans la série éponyme et Wanda se retrouvera au centre de l’intrigue de la série WandaVision. Série dont la sortie est prévue le 15 janvier 2021. L’information qui nous a le plus réjouit reste cependant la préparation d’une série autour de IronHeart. Digne héritière de Tony Stark – dont il est l’I.A dans les comics -, Riri Williams (Dominique Thorne) risque de nous réserver son lot de surprises. Des nouveautés pour Disney+ Si l’événement de ce 10 décembre 2020 a permis de faire le point sur les projets d’ors et déjà connus, il a aussi été l’occasion d’en révéler de nouveaux. Parmi eux, trois nouvelles séries et un téléfilm. Et oui, James Gunn reviendra à la réalisation pour Guardians of the Galaxy Holiday Special. Après Sam Wilson et Bucky Barnes, c’est le colonel James Rhodes qui va reprendre du service. Dans ce projet intitulé Armor Wars, Don Cheadle rendossera l’armure de War Machine afin d’affronter le pire cauchemar de Tony Stark. Le petit favori de tous, Baby Groot va lui aussi avoir droit à davantage de temps d’écran dans I am Groot. Par ailleurs, si une série centrée sur Nick Fury avait été évoqué, elle est aujourd’hui officialisée. Intitulée Secret Invasion, cette production nous fait évidemment penser au crossover du même nom où les Skrulls, peuple métamorphe, a secrètement remplacé plusieurs super-héros par des imposteurs. Tout ce que l’on peut pour le moment vous dire, c’est que Samuel L. Jackson et Ben Mendelsohn (Talos) seront de la partie. Séries repoussées, on en est où ? Bousculé en raison de la pandémie, les Studios Marvel ont du s’adapter. En effet, l’impossibilité de tournage a repoussé la sortie des productions initialement prévues pour 2020 à 2021. Ce Disney Investor Day a donc été l’occasion de faire le point. Parmi les plus attendus : What if…?, The Falcon et le Soldat de l’Hiver ou Loki. Bonne nouvelle, toutes trois ont eu droit à des images exclusives. À commencer par What if…? qui nous présente Peggy Carter sous les de Captain Britain. Ce projet animé tease également ce qu’aurait donné la vie de T’Challa – doublé par Chadwick Boseman – s’il s’était retrouvé dans la peau de Star Lord. Autant dire qu’on a déjà hâte d’être à l’été 2021. Située après les événements d’Endgame, The Falcon et le Soldat de l’Hiver promet autant de testostérone que d’action. On y retrouvera notamment l’antagoniste de Captain America, le Baron Zemo (Daniel Brühl) mais aussi Sharon Carter (Emily Van Camp) et John Walker (Wyatt Russell). Une série de six épisodes que vous pourrez dévorer à partir du 19 mars 2021. Bien sûr, le Dieu de la Malice a aussi eu droit à son heure de gloire. Si les premières images montrent la scène d’Avengers : Endgame où Loki s’échappait avec le Tesseract, le reste fait saliver. Alors que le premier teasing de la série durant le Superbowl dévoilait un Loki menaçant la TVA (Time Variance Authority), cette fois, c’est l’un de ses bureaucrates qui se dévoile : Mobius M. Mobius (Owen Wilson). Et si Kevin Feige avait promis un voyage à travers le temps, c’est bien ce qui semble se dessiner. En effet, le Trickster se présente dans cette bande-annonce tantôt comme candidat aux élections présidentielle américaine, tantôt comme le célèbre pirate de l’air D.B Cooper. Il faudra cependant attendre Mai 2021 avant son

Avengers Endgame : Entre émotions et déception

Un peu plus de dix ans après les débuts d’Iron Man (2008), Avengers Endgame boucle la boucle. Réalisé par Anthony et Joe Russo, cet opus réunit vos héros favoris dans l’espoir de vaincre Thanos. Un an après Infinity War, Avengers Endgame est dans nos salles. Que vaut la 22ème production des Studios Marvel sortie le 24 avril ? Voici notre avis AVEC SPOILER ! Avengers Endgame : La secousse émotionnelle Contrairement à ses prédécesseurs, Avengers Endgame verse dans l’émotion plutôt que l’action. Dès les premières minutes, le film se concentre sur des héros meurtris par la disparition de trillion de personnes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que chacun gère la défaite à sa façon. Clint Barton baigne dans le sang. Natasha Romanoff a du mal à gérer ses émotions. Thor est anéanti. Steve Rogers, malgré son chagrin, cherche à faire le bien autour de lui. Bruce Banner est en paix avec lui-même. Quant à Tony, il coule des jours paisibles dans un chalet avec Pepper. Qui dit émotion, dit performance. Et à ce petit jeu, Robert Downey Jr fait un sans faute. Une fois encore, l’interprète de Tony Stark nous attendrit autant qu’il nous émeut aux larmes par la justesse de son jeu. Mention spéciale pour le travail physique de l’acteur dont l’amaigrissement nous a fait frissonner. Mais il n’est pas le seul à briller. Paul Rudd offre un Scott Lang en plein détresse. À ses côtés, on vit crainte, douleur et soulagement. Quant à Natasha Romanoff (Scarlett Johansson), l’espionne ne nous est jamais apparue si ébranlée que dans Avengers Endgame. Ici, seule sa relation fraternel avec Clint Barton (Jeremy Renner) prime, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Seule ombre au tableau, celle que l’on nomme désormais Captain Marvel (Brie Larson) ne semble absolument pas affectée par la disparition de ses pairs. Un fait étonnant puisqu’elle demandait immédiatement des nouvelles de Fury dans la scène post-générique de son film. Pourtant, rien ne transparaît à l’écran. La raison ? La demoiselle à bien d’autres préoccupation que la souffrance terrienne. Pas présomptueuse du tout cette Carol Danvers. Poursuite d’une phase féministe Vous le savez, depuis quelques années maintenant, les Studios Marvel et Disney ont décidé de mettre les personnages féminins en avant. Évidemment, Avengers Endgame ne déroge pas à la règle. Après Infinity War et son temps accordé à Gamora (Zoe Saldana) et Scarlett Witch (Elizabeth Olsen), c’est au tour de Black Widow et Nebula (Karen Gillan) d’avoir leur heure de gloire. Cette dernière nous fait la surprise d’être au coeur même de l’intrigue. Une chose à laquelle on ne s’attendait pas une seconde et qui nous a fait le plus grand bien. L’arc de Black Widow nous a quant à lui touché tout au long du film, nous la présentant aussi secouée qu’indomptable. Tout aussi étonnant, le fait d’avoir survendu Captain Marvel (Brie Larson) pour finalement la reléguer au second plan. Okoye (Danai Gurira) voit également son temps de jeu se résumer à de brèves apparitions. Quant au snap volontaire de Shuri (Letitia Wright), on le regrette franchement. En effet, la jeune femme aurait probablement pu aider les Avengers à trouver une solution sans faire patauger le film. Évidemment, on ne pouvait vous parler des femmes du MCU sans évoquer la bataille finale. La scène réunissant les héroïnes en un seul et même endroit à eu l’effet escompté puisque largement applaudie dans notre salle. On avoue pourtant lui préférer un instant centré sur Scarlet Witch. Désireuse de venger Vision, elle compte bien en découdre avec ses opposants. Ou plutôt avec Thanos. Et franchement, elle est absolument badass comparée à une Captain Marvel mis à mal par le titan en moins de deux. Des personnages risibles On l’avoue, après Ragnarok et Infinity War, on espérait un Thor (Chris Hemsworth) à son apogée. Pourtant, de divin et mature, il n’est plus que misérable et idiot. Même sa nouvelle apparence drôle sur le coup de la surprise devient lourde – sans mauvais jeu de mot – et lassante. Ainsi, au lieu de profiter d’un Dieu du Tonnerre admirable sur le champ de bataille, on tremble à l’idée de le voir tomber au combat tant il est incapable de briller. Avengers Endgame nous permet aussi de renouer avec le côté extravagant de Bruce Banner (Mark Ruffalo)… en pire. D’homme en conflit permanent avec Hulk, il devient rapidement un mélange des deux. Soit, le Professeur Hulk. Sur le papier, l’idée est bonne mais c’est la douche froide. Comme le dit si bien la Valkyrie (Tessa Thompson), on préfère ses deux autres apparences. Après cela, quasiment plus rien ne va. Lui autrefois si sérieux n’est aujourd’hui plus qu’objet comique. Heureusement, sa rencontre avec l’Ancien (Tilda Swinton) permet de renouer un peu avec le scientifique qu’on aime tant. On retient également son geste de bravoure afin de ramener les disparus à la vie. Quant au redoutable et conquérant Thanos (Josh Brolin), il n’a plus rien de tel. Il devient même tellement passif qu’on en vient à se demander s’il y a bien un vilain avant la bataille finale. Une virée dans les scènes cultes du MCU Vous en rêviez ? Marvel l’a fait. En compagnie d’Iron Man, Captain America et Ant-Man, on se replonge gaiement dans Avengers (2012). Pour notre plus grand plaisir, on découvre l’envers de l’arrestation de Loki (Tom Hiddleston). Une scène qui ne manque pas de piquant, signant un nouvel instant culte du MCU. Avengers Endgame fait également un clin d’oeil au Soldat de l’Hiver (2014) en détournant la scène de l’ascenseur. Toujours la même année, on file ensuite dans l’univers pré Docteur Strange pour un moment très agréable. Et cette fois, c’est Tilda Swinton alias l’Ancien qui revient à l’écran. Rocket et Thor nous ramènent quant à eux sur Asgard. Détruite durant le Ragnarok, la cité offre au Dieu du Tonnerre un instant avec sa mère, Frigga (Rene Russo). On revoit aussi rapidement Loki emprisonné ainsi que Jane Foster (Natalie Portman). Toujours dans l’espace, War Machine (Don Cheadle) et Nebula

Glass : un film qui vole en éclats !

Après Incassable (2000) et Split (2016), M. Night Shyamalan revient dans un univers visionnaire et effrayant avec Glass. Il y a quelques jours, Les Insouciantes ont assisté à l’avant-première du film qui sortira en salles le 16 janvier. Avec Glass, M. Night Shyamalan réunit dans un crossover ce qui a fait le succès de ses deux précédents opus : de la baston, un environnement angoissant à souhait et une performance exceptionnelle de James McAvoy. Une création sonore angoissante D’une part, l’intrigue ne se repose jamais. On ne ressent pas de longueurs devant Glass. De l’autre, la bande son maintient le spectateur en alerte. Tantôt lancinante, tantôt semblable aux battements de cœur, elle accentue l’angoisse et la terreur au fil des scènes. Il en va de même pour les bruitages réalistes (surtout dans les scènes de bagarre) et fracassants. On remarque aussi que la moindre parole est accompagnée d’un son, qui va du bruit de pas sur le sol à la porte qui claque violemment en passant par les hurlements de La Bête. Des destins broyés en quête d’utilité Les trois protagonistes sont mis face à leurs démons et leurs traumatismes d’enfance : David Dunn (Bruce Willis) a survécu à une noyade « imposée » par ses camarades d’écoles, Kevin Crumb (James McAvoy) a subi des violences de la part de sa mère quand il avait neuf ans et Elijah Price (Samuel L. Jackson) s’est fracturé le corps 94 fois au cours de sa vie (dont une fois dans un manège forain). Alors que le Dr Staple (Sarah Paulson) tente de soigner Dunn de son prétendu délire, sa seule préoccupation est de protéger de La Bête le personnel de l’hôpital et le reste de la population. Dunn ne peut ainsi se résoudre à mettre un terme à sa mission car il pense être le seul capable de l’arrêter. Kevin, est quant à lui une âme brisée qui se protège de lui-même derrière des avatars. L’arrivée de ces deux personnages offre à Elijah l’occasion de se libérer et de révéler la vérité à la société : il existe bien des super-personnes parmi nous. Un raisonnement s’opposant à celui d’Ellie Staple qui pense que ces « surhommes » s’abusent eux-mêmes. Mais ce qui rend Elijah – ou Monsieur Glass – si dangereux, c’est avant tout son air tranquille sous lequel se cache la préparation d’un plan que personne ne soupçonne. Et lorsque le personnel s’en rendra compte, il sera déjà trop tard. Le film nous interroge alors sur cette question : Êtes-vous un super-héros ou ne s’agit-il que d’un fantasme malgré vos croyances ? Une performance d’anthologie Nul n’ignore la complexité que cela représente d’interpréter 24 personnages en même temps. C’est pourtant le challenge que James McAvoy relève avec brio, tantôt effrayant et émouvant, tantôt détestable et admirable. De son interprétation, on note les ressemblances avec des personnages tels que Wolverine ou Hulk lorsque Kevin/Patricia/Hedwig ainsi que le reste des personnalités se transforment en Bête. Les effets spéciaux rendent encore plus réalistes cette transition entre l’humanité et l’animosité qui caractérise ce personnage. Glass n’est pas seulement un film d’action violent. Il s’avère être une intrigue psychologique, où chaque personnage bascule dans sa mégalomanie pour se protéger. Au final, le méchant n’est pas celui auquel on pense ni celui qu’on voit dans un premier temps. La révélation de l’antagoniste et de l’existence des super-héros ne survient qu’à la fin, pour mieux faire raisonner la vérité au grand jour, et faire voler en éclats l’ordre autoritaire comme une glace qui se brise en mille morceaux. Et les femmes dans tout ça ? Outre les trois personnages principaux, le Dr Ellie Staple (Sarah Paulson) est primordial dans l’intrigue. Directrice de l’hôpital psychiatrique, elle est en charge de la sécurité des patient.e.s, et plus particulièrement de Dunn, Price et Crumb. Trois hommes considérés comme des éléments dangereux. Mais s’ils n’étaient pas le réel danger ? Pour cela, il vous faudra vous rendre en salle. En effet, empathique au premier abord, le Dr Staple est hardie dans son ambition d’établir un progrès dans sa profession. Mais, est-elle là pour réparer ces hommes, ou les briser ? Madame Price (Charlayne Woodard), bien qu’étant un personnage secondaire, occupe quant à elle une place très spéciale dans la construction du personnage de son fils. Déterminée à ne pas l’abandonner, elle est convaincue qu’Elijah a besoin d’un déclic pour redevenir actif. Enfin, le film met en avant Casey Cook (Anya Taylor-Joy). Ancienne victime de La Bête et unique personne à avoir survécu à son kidnapping, elle fascine l’opinion. Elle prend la défense de Kevin Crumb car il a été le premier à voir sa douleur lorsqu’elle était son otage. En retour, elle a vu la sienne. Et si au premier abord, on pourrait croire que Casey est atteinte du syndrome de Stockholm, c’est bien plus complexe que cela. Casey serait en quelque sorte l’alter-ego de Kevin, de par les violences familiales qu’elle a aussi subi sans pour autant être devenue schizophrène. Au final, ces trois femmes soutiennent à leur manière des hommes brisés, violents malgré eux, mais terriblement attachants. Et vous, avez-vous hâte de découvrir Glass au cinéma ?

Nos Bandes-Annonces de la Semaine #4

Drame. SF. Disney. Découvrez toutes nos bandes-annonces de la Semaine #4 ! Pas de repos pour les trailers qui se suivent mais ne se ressemblent pas dans nos bandes-annonces de la semaine #4. Glass Deux mois après sa première bande-annonce au Comic Con de San Diego, Glass s’offre son second trailer. On préfère vous prévenir, si vous souhaitez garder le secret, n’appuyez pas sur play. À travers cette nouvelle bande-annonce, on découvre comment Elijah Price (Samuel L. Jackson) parvient à s’allier avec La Bête, soit, la personnalité la plus dangereuse de Kevin Crumb (James McAvoy). Et qui de mieux que David Dunn (Bruce Willis), l’homme incassable pour les empêcher de nuire ? On ne sait pas vous, mais ces extraits nous rendent d’autant plus impatients. EN SALLE LE 16 JANVIER 2019 Aladdin Voilà une nouvelle qui nous fait complètement oublier le Alad’2 de Kev Adams. Tout comme La Belle et La Bête, Aladdin est une adaptation live du film d’animation inspiré des Mille et une nuits. Pour interpréter le prince des voleurs, c’est Mena Massoud qui a été choisi par les Studios Disney. Se joignent à lui Naomi Scott (Jasmine), Marwan Kenzari (Jafar), Navid Negahban (le Sultan) et Will Smith dans le rôle du Génie. Ce dernier à ainsi la lourde tâche de succéder à Robin Williams. Côté réalisation, on avoue faire pleinement confiance à Guy Ritchie (Snatch | Sherlock Holmes). Épaulé par John August (Dark Shadow | Big Fish) au scénario, le duo s’est entouré d’Alan Menken (La Belle et La Bête | La Petite Sirène) à la musique ainsi que de Howard Ashman (La petite boutique des horreurs) et Tim Rice (Le Roi Lion) aux paroles. Pour l’occasion, deux nouvelles chansons ont d’ailleurs été écrites par Menken sur des paroles de Benj Pasek et Justin Paul (LA LA LAND, le musical Dear Evan Hansen). EN SALLE LE 22 MAI 2019 High Life Pour son premier film en langue anglaise, la scénariste et réalisatrice française Claire Denis nous entraîne dans l’espace. Et le moins que l’on puisse dire c’est que High Life a déjà fait parler de lui Outre-Manche. En effet, certaines scènes difficiles ont provoquées malaises et nausées à certains spectateurs des festivals de Toronto et San Sebastian. Cette nouvelle production SF réunie Juliette Binoche et Robert Pattinson pour une mission un peu particulière. Criminels condamnés à mort, leurs personnages respectifs acceptent de se joindre à une expédition visant à trouver des sources d’énergie alternatives et prendre part à des expériences de reproduction. EN SALLE LE 7 NOVEMBRE 2018 Ben is back On termine notre tour d’horizon avec Ben is back. Si on avait manqué les premières images dévoilées il y a plus d’un mois, on se rattrape cette semaine avec cette nouvelle bande-annonce. Un vrai coup de coeur qui sortira le 7 décembre prochain aux États-Unis mais n’est pas programmé en France. Drame familial écrit et réalisé par Peter Hedges (Coup de foudre à Rhode Island), Ben is back se concentre Ben Burns (Lucas Hedges), un « ancien » toxicomane. La veille de Noël, le jeune homme fait son grand retour dans sa famille, soulageant autant qu’inquiétant sa mère (Julia Roberts). On ne vous en dit pas plus et on vous laisse apprécier la bande-annonce. PAS DE SORTIE FRANÇAISE  Et vous, quelles ont été vos bandes-annonces favorites cette semaine ?

Nos Bandes-Annonces de la Semaine #1

Mary Poppins. Captain Marvel. Les Veuves. Elles sont toutes dans nos bandes-annonces de la semaine #1. On fête l’Automne avec un tout nouveau rendez-vous hebdomadaire : nos bandes-annonces de la semaine. Pour cette grande première, on vous propose nos coup de coeur avec en bonus de nombreuses femmes à l’affiche ! Le Retour de Mary Poppins Cinquante quatre ans après le film culte de Robert Stevenson, Emily Blunt redonne vie à la plus célèbre nanny du globe. Inspirée des ouvrages de P.L Travers, Le Retour de Mary Poppins s’annonce comme une comédie musicale à ne pas manquer. Évidemment, les Studios Disney ont mis les petits plats dans les grands en faisant appel à Rob Marshall (Chicago) pour qui Mary Poppins a un affect particulier. Il s’agit en effet du film qui lui a « fait aimer le cinéma, donné le goût des comédies musicales, de l’aventure et du fantastique à l’écran. » Avec de telles mots, nul doute que ce retour signera un vibrant hommage à la gouvernante anglaise. Ancrées dans un Londres sous la Grande Depression, les premières images du Retour de Mary Poppins montrent un Michael Banks (Ben Wishaw) devant subvenir seul aux besoins de ses trois enfants. Heureusement, Mary Poppins réapparait dans leur vie afin d’insuffler un peu de joie et de fantaisie. À noter que Dick Van Dyke fait partie du casting rassemblant Emily Mortimer, Colin Firth, Lin-Manuel Miranda et Meryl Streep. EN SALLE LE 19 DÉCEMBRE 2018 Captain Marvel Première super-héroïne à avoir droit à son film solo dans le MCU, Captain Marvel s’annonce déjà comme l’un des immanquables de 2019. Prête à en découdre avec quiconque s’opposera à elle, Carol Danvers (Brie Larson) nous renverra dans les années 90 où se déroule une guerre galactique entre deux races avec pour enjeu la Terre. Captain Marvel sera l’occasion de retrouver Samuel L. Jackson (Nick Fury) et Lee Pace (Ronan) mais surtout de faire connaissance avec Walter Lawson | Mar-Vell (Jude Law), Talos (Ben Mendelsohn) ou encore Maria Rambeau (Lashany Lynch). Côté technique, les réalisateurs Anna Boden et Ryan Fleck ont réuni une équipe de choc. En effet, la direction photo a été confiée a Ben Davis (3 Billboards | Doctor Strange), la décoration à Andy Nicholson (Gravity | Jurassic World : Fallen Kingdom) et la supervision des effets spéciaux à Dan Sudick (Avengers : Infinity War | Black Panther). EN SALLE LE 6 MARS 2019 Les Veuves Le réalisateur oscarisé de 12 Years a Slave, Steve McQueen revient cette année avec Les Veuves. Portée à l’écran par Viola Davis, Michelle Rodriguez, Cynthia Erivo et Elizabeth Debicki, quatre femmes vont se retrouver liées par une dette due à l’activité criminelle de leurs défunts maris. Alors que leurs vies semblaient rangées, ensemble, elles vont décider de devenir à leur tour braqueuses. Une bande-annonce qui nous a curieusement rappelé la thématique de Ocean’s 8 et son braquage mis en place par une bande de femmes. À noter que le casting rassemble égalment Liam Neeson, Colin Farrel, Daniel Kaluuya et le grand Robert Duvall. EN SALLE LE 28 NOVEMBRE Crazy Rich Asians Comédie dramatique signée Jon Chu (Sexy Dance 2, Insaisissables 2), cette réalisation hollywoodienne sort du lot grâce à son casting 100% asiatique. Lors de la sortie US fin août, Crazy Rich Asians a d’ailleurs fait tremblé le box-office en amassant 25M$ en un week-end. Un joli score pour cette production au petit budget adapté du best-seller de Kevin Kwan au titre éponyme. En sera-t-il de même en France ? Réponse début novembre. Le peech ? Rachel Chu (Constance Wu), une New-Yorkaise d’origine chinoise rejoint son petit ami, Nick Young (Henry Golding) à Singapour. Elle y découvrira qu’en plus de faire partie de l’une des familles les plus riches d’Asie, il est aussi l’un des célibataires les plus convoités. Autant dire que la bande annonce promet un véritable décalage entre l’univers de la jet-set et la jeune femme. EN SALLE LE 7 NOVEMBRE Johnny English Contre Attaque Sept ans. C’est le nombre d’années que les fans de l’espion britannique auront dû attendre pour son grand retour au cinéma. Pour sa contre attaque, Johnny English est confronté à la réalité virtuelle. Prévenu de la possible perte de repères, il tombe dans le panneau et nous fait déjà rire avec ses bourdes. La bande annonce met également en scène Emma Thompson dans le rôle d’une Première Ministre agacée par l’agent. Aucun doute possible, on a déjà hâte de pouvoir retrouver l’icône de notre enfance Rowan Atkinson et son humour british. EN SALL LE 10 OCTOBRE Une famille immédiate (Instant Family) Comédie familiale tirée d’une histoire vraie, Une famille immédiate est portée à l’écran par Rose Byrne (X-men : Fisrt Class, Spy) et  Mark Wahlberg (Les infiltrés, Ted) – ce dernier étant aussi à la production-. Le film raconte l’histoire d’un couple, qui, après avoir déménagé dans une immense maison décide d’adopter. Pete et Ellie se retrouvent alors avec trois enfants turbulents dont l’ainée, Lizzy, n’est autre que Isabela Moner, la nouvelle Dora l’exploratrice en live action ! Avec Sean Anders (Very Bad Dad, Comment tuer mon boss 2) à la réalisation, nous ne pouvons que nous attendre à du rire et de l’amour. AUCUNE SORTIE FRANÇAISE A L’HORIZON Et vous, quelle bande annonce a marqué votre semaine ?

Aller au contenu principal