Super Bowl 2020 : Les bandes-annonces révélées !
De Top Gun à James Bond en passant par Black Widow, découvrez les bandes-annonces du Super Bowl 2020 ! Le Super Bowl 2020 n’est pas seulement un moment consacré au sport. Il est aussi celui où l’on attend avec impatience de nouvelles bandes-annonces. Sans plus tarder, voici les productions qui ont été mises en avant durant l’événement ! James Bond au rendez-vous Avant son arrivée sur nos écrans le 2 avril 2020, James Bond a fait un détour par le Super Bowl 2020. Dans ce spot, on retrouve Daniel Craig pour sa dernière apparition dans le rôle de l’agent 007 aux côtés de Lashana Lynch. En plus de Rami Malek dans le rôle du vilain, on retrouve la française Léa Sédoux qui campait déjà le rôle de Madeleine Swann dans 007 Spectre. Super Bowl 2020 : Jackpot pour la Paramount ! Cette année, c’est la Paramount qui a décroché le gros lot avec pas moins de quatre spots durant le Super Bowl 2020. Avant de revenir troubler les salles obscures le 18 mars prochain, la seconde partie de Sans Un Bruit a fait un détour par l’événement américain avec un nouveau spot. Inutile d’en dire davantage, les images parlent d’elles-même. Sonic s’est également invité avec un trailer mettant en scène plusieurs athlètes avant de nous plonger dans l’univers du hérisson avec lequel nous avons grandi. Vous y verrez aussi bien le personnage que son antagoniste, le Dr. Robotnik interprété par Jim Carrey. Un court intermède qui nous donne envie de découvrir ses nouvelles aventures dès le 12 février au cinéma. Histoire de rester en enfance, Bob l’Éponge a aussi eu droit à son moment de gloire. Dans ce nouveau film, Bob a perdu son escargot de compagnie, Gary et va devoir le retrouver. Notez au passage les apparitions de Snoop Dogg et Keanu Reeves ! Bien sûr, rien de tel que le Super Bowl 2020 pour retrouver Tom Cruise dans la peau de Maverick. En attendant la sortie des suites des aventures de notre pilote favori le 15 juillet 2020, on vous laisse déguster les nouvelles images de Top Gun : Maverick. Les Minions pour Universal Les Minions se sont incrustés au Super Bowl 2020 avec la promesse d’un film aussi hilarant que les précédents. Au menu : toujours plus de méchants, des explosions, du kung-fu et même des poils de torses épilés. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’avec Il était une fois Gru, Universal ne compte pas nous laisser indifférent. Il nous faudra cependant attendre le 8 juillet 2020 avant de retrouver les Minions en salle. Trailer final pour Mulan Avant sa sortie le 25 mars 2020, Mulan a révélé sa bande-annonce finale au Super Bowl 2020. Contrairement au live-action de La Belle et La Bête ou du Roi Lion, ce nouveau long métrage de Walt Disney Pictures s’éloigne distinctement du dessin-animé. Une chose qui devrait plaire à certains et être contestée par d’autres. Dans tous les cas, la jeune Mulan est prête à en découdre avec ses adversaires ! https://www.youtube.com/watch?v=GNNUzQoKLYc La part belle aux productions MARVEL Une fois encore, les Studios MARVEL ont profité du Super Bowl 2020 pour promouvoir leurs futures productions. Les amateurs de football américains ont ainsi pu découvrir une quarantaine de secondes autour de Black Widow. Interprétée par Scarlett Johansson, la super espionne va visiblement avoir des choix à faire. On retrouve également dans ce spot Yelena Belova (Florence Pugh), Melina Vostokoff (Rachel Weisz) et Alexei Shostakov (David Harbour) alias Red Guardian. https://www.youtube.com/watch?v=nd59q960YDA MARVEL a aussi promu ses séries à venir sur la plateforme de streaming Disney + via une bande-annonce regroupant Falcon and the Winter Soldier, WandaVision et Loki. De Falcon (Anthony Mackie) lançant le bouclier de Captain America à un face à face entre Zemo (Daniel Brühl) et le Soldat de l’Hiver (Sebastian Stan) ou les retrouvailles entre Wanda (Elizabeth Olsen) et Vision (Paul Bethany), la firme laisse présager de la diversité dans le MCU. Quant à Loki, nous n’avons pu nous empêcher de repérer le TVA inscrit sur sa chemise, soit Time Variance Authority. Allez donc savoir ce qu’à pu entreprendre le personnage campé par Tom Hiddleston pour les menacer de la sorte. L’homme invisible L’homme Invisible a lui aussi fait une courte apparition lors du Super Bowl 2020. Dans ce nouveau spot, on retrouve l’essence de ce qui a été révélé précédemment. Soit, une Cecilia Kass (Elisabeth Moss) harcelée par Adrian Griffin (Oliver Jackson-Cohen), son petit ami qu’elle pensait mort et finalement devenu invisible. Autant dire que nous ne sommes pas particulièrement emballées par cette nouvelle adaptation de l’oeuvre de H.G Wells. Pour les curieux, le film sera en salle à partir du 26 février et promet une expérience SF horrifique. Quelles sont les bandes-annonces révélées lors du Super Bowl 2020 qui vous donnent le plus envie ?
MCU : La phase 4 dévoilée au San Diego Comic Con
Black Widow, Thor 4, The Eternals, What if… ? Le 20 juillet, Kevin Feige est revenu sur la phase 4 du MCU lors d’un panel donné au San Diego Comic Con.
Avengers Endgame : Entre émotions et déception
Un peu plus de dix ans après les débuts d’Iron Man (2008), Avengers Endgame boucle la boucle. Réalisé par Anthony et Joe Russo, cet opus réunit vos héros favoris dans l’espoir de vaincre Thanos. Un an après Infinity War, Avengers Endgame est dans nos salles. Que vaut la 22ème production des Studios Marvel sortie le 24 avril ? Voici notre avis AVEC SPOILER ! Avengers Endgame : La secousse émotionnelle Contrairement à ses prédécesseurs, Avengers Endgame verse dans l’émotion plutôt que l’action. Dès les premières minutes, le film se concentre sur des héros meurtris par la disparition de trillion de personnes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que chacun gère la défaite à sa façon. Clint Barton baigne dans le sang. Natasha Romanoff a du mal à gérer ses émotions. Thor est anéanti. Steve Rogers, malgré son chagrin, cherche à faire le bien autour de lui. Bruce Banner est en paix avec lui-même. Quant à Tony, il coule des jours paisibles dans un chalet avec Pepper. Qui dit émotion, dit performance. Et à ce petit jeu, Robert Downey Jr fait un sans faute. Une fois encore, l’interprète de Tony Stark nous attendrit autant qu’il nous émeut aux larmes par la justesse de son jeu. Mention spéciale pour le travail physique de l’acteur dont l’amaigrissement nous a fait frissonner. Mais il n’est pas le seul à briller. Paul Rudd offre un Scott Lang en plein détresse. À ses côtés, on vit crainte, douleur et soulagement. Quant à Natasha Romanoff (Scarlett Johansson), l’espionne ne nous est jamais apparue si ébranlée que dans Avengers Endgame. Ici, seule sa relation fraternel avec Clint Barton (Jeremy Renner) prime, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Seule ombre au tableau, celle que l’on nomme désormais Captain Marvel (Brie Larson) ne semble absolument pas affectée par la disparition de ses pairs. Un fait étonnant puisqu’elle demandait immédiatement des nouvelles de Fury dans la scène post-générique de son film. Pourtant, rien ne transparaît à l’écran. La raison ? La demoiselle à bien d’autres préoccupation que la souffrance terrienne. Pas présomptueuse du tout cette Carol Danvers. Poursuite d’une phase féministe Vous le savez, depuis quelques années maintenant, les Studios Marvel et Disney ont décidé de mettre les personnages féminins en avant. Évidemment, Avengers Endgame ne déroge pas à la règle. Après Infinity War et son temps accordé à Gamora (Zoe Saldana) et Scarlett Witch (Elizabeth Olsen), c’est au tour de Black Widow et Nebula (Karen Gillan) d’avoir leur heure de gloire. Cette dernière nous fait la surprise d’être au coeur même de l’intrigue. Une chose à laquelle on ne s’attendait pas une seconde et qui nous a fait le plus grand bien. L’arc de Black Widow nous a quant à lui touché tout au long du film, nous la présentant aussi secouée qu’indomptable. Tout aussi étonnant, le fait d’avoir survendu Captain Marvel (Brie Larson) pour finalement la reléguer au second plan. Okoye (Danai Gurira) voit également son temps de jeu se résumer à de brèves apparitions. Quant au snap volontaire de Shuri (Letitia Wright), on le regrette franchement. En effet, la jeune femme aurait probablement pu aider les Avengers à trouver une solution sans faire patauger le film. Évidemment, on ne pouvait vous parler des femmes du MCU sans évoquer la bataille finale. La scène réunissant les héroïnes en un seul et même endroit à eu l’effet escompté puisque largement applaudie dans notre salle. On avoue pourtant lui préférer un instant centré sur Scarlet Witch. Désireuse de venger Vision, elle compte bien en découdre avec ses opposants. Ou plutôt avec Thanos. Et franchement, elle est absolument badass comparée à une Captain Marvel mis à mal par le titan en moins de deux. Des personnages risibles On l’avoue, après Ragnarok et Infinity War, on espérait un Thor (Chris Hemsworth) à son apogée. Pourtant, de divin et mature, il n’est plus que misérable et idiot. Même sa nouvelle apparence drôle sur le coup de la surprise devient lourde – sans mauvais jeu de mot – et lassante. Ainsi, au lieu de profiter d’un Dieu du Tonnerre admirable sur le champ de bataille, on tremble à l’idée de le voir tomber au combat tant il est incapable de briller. Avengers Endgame nous permet aussi de renouer avec le côté extravagant de Bruce Banner (Mark Ruffalo)… en pire. D’homme en conflit permanent avec Hulk, il devient rapidement un mélange des deux. Soit, le Professeur Hulk. Sur le papier, l’idée est bonne mais c’est la douche froide. Comme le dit si bien la Valkyrie (Tessa Thompson), on préfère ses deux autres apparences. Après cela, quasiment plus rien ne va. Lui autrefois si sérieux n’est aujourd’hui plus qu’objet comique. Heureusement, sa rencontre avec l’Ancien (Tilda Swinton) permet de renouer un peu avec le scientifique qu’on aime tant. On retient également son geste de bravoure afin de ramener les disparus à la vie. Quant au redoutable et conquérant Thanos (Josh Brolin), il n’a plus rien de tel. Il devient même tellement passif qu’on en vient à se demander s’il y a bien un vilain avant la bataille finale. Une virée dans les scènes cultes du MCU Vous en rêviez ? Marvel l’a fait. En compagnie d’Iron Man, Captain America et Ant-Man, on se replonge gaiement dans Avengers (2012). Pour notre plus grand plaisir, on découvre l’envers de l’arrestation de Loki (Tom Hiddleston). Une scène qui ne manque pas de piquant, signant un nouvel instant culte du MCU. Avengers Endgame fait également un clin d’oeil au Soldat de l’Hiver (2014) en détournant la scène de l’ascenseur. Toujours la même année, on file ensuite dans l’univers pré Docteur Strange pour un moment très agréable. Et cette fois, c’est Tilda Swinton alias l’Ancien qui revient à l’écran. Rocket et Thor nous ramènent quant à eux sur Asgard. Détruite durant le Ragnarok, la cité offre au Dieu du Tonnerre un instant avec sa mère, Frigga (Rene Russo). On revoit aussi rapidement Loki emprisonné ainsi que Jane Foster (Natalie Portman). Toujours dans l’espace, War Machine (Don Cheadle) et Nebula
Avengers : Infinity War. Entre tensions, vengeances et pop culture.
Sorti le 25 avril 2018, le dix-neuvième film de la franchise MARVEL, Avengers : Infinity War fait carton plein dans le monde. /!\ SPOILER en fin d’article ! Meilleur démarrage pour une sortie mondiale, Avengers : Infinity War n’aura pas mis longtemps à dépasser Black Panther. Dominant le box office mondial depuis sa sortie le 25 avril 2018, le petit dernier de la franchise MARVEL livre une histoire entre tensions et vengeances. Un « crossover » inédit dans l’histoire du cinéma Pour la première fois en dix ans, les Studios MARVEL ont réussi le pari fou de réunir 22 super-héros. Ce « crossover » inédit dans l’histoire du cinéma intègre les Avengers originaux, les Gardiens de la Galaxie, Docteur Strange, et Black Panther. Sont aussi présents les petits nouveaux arrivés lors des différents films : Vision, Scarlett Witch, Falcon, Spider-Man, War Machine ainsi que le Soldat de l’Hiver. Bien que Ant-Man (Paul Rudd) et Hawkeye (Jeremy Renner) soient physiquement absents, tous deux ne sont pas tombés dans l’oubli. Vous saurez donc où ils se trouvent et pourquoi ils n’interviennent pas dans Infinity War. Point positif, le film ne s’attarde pas seulement sur les héros. On aurait même pu dédier ce film à Thanos (Josh Brolin), leur nouvel opposant tant l’obtention des pierres d’infinité est importante. Bien qu’un long-métrage d’une telle envergure puisse s’avérer problématique, Avengers : Infinity War passe le test haut la main en mettant chacun en avant d’une manière ou d’une autre. Certes, parfois il ne s’agit que de quelques secondes, mais on s’en contente très bien. MARVEL poursuit sa mise en valeur des Femmes Si Black Panther mettait largement les Femmes en avant, Infinity War poursuit sur cette voie. Certes, elles sont moins souvent à l’écran que leurs partenaires masculins mais leur peu de présence est parfois remarquable. De Black Widow à Scarlett Witch, en passant par Okoye, Mantis ou Gamora, toutes sont prêtes à en découdre avec Thanos et son Ordre Noir. Ordre Noir comptant dans ses rangs la guerrière extraterrestre Proxima Midnight (Carrie Coon). Seule Shuri (Letitia Wright) se fait plus discrète que ses comparses. Malgré sa très courte apparition, ce personnage qui avait fait forte impression dès sa première apparition dans Black Panther continue de briller par son intelligence. Et même si l’échange tant espéré entre elle et Tony Stark (Robert Downey Jr.) n’a finalement pas lieu, on se satisfait parfaitement de celui avec le Docteur Banner. On aspire désormais à la voir davantage dans le prochain volume. On dénote tout de même une grande absente : la Valkyrie (Tessa Thompson). Apparue dans Thor : Ragnarok on s’attendait à la voir apparaître aux côtés de Thor, Loki et Hulk. Il n’en est rien. Puisque les frères Russo ont déclaré qu’elle serait toujours en vie, on espère la retrouver à l’écran dans la suite des aventures. Avec l’apparition au cinéma dans les mois à venir de la Guêpe (Evangeline Lilly) et de Captain Marvel (Brie Larson), les deux héroïnes pourraient également rejoindre le casting. Attendez bien la scène post-générique et pour avoir un petit indice (mais on ne vous a rien dit) ! Gamora et Wanda au centre de l’intrigue Si les figures masculines sont au centre de l’intrigue, Thanos en première ligne, on ne peut pas reprocher aux frères Russo de ne pas avoir essayé de donner plus de temps aux personnages féminins. Car oui, Avengers : Infinity War met deux femmes au centre de l’intrigue : Wanda et Gamora. La première, incarnée par Elisabeth Olsen crève l’écran à chacune de ses apparitions. Elle, dont nous avions fait la connaissance dans l’Ère d’Ultron se montre un véritable atout pour les Avengers. Plus puissante et survoltée que jamais, elle est prête à tout pour protéger Vision (Paul Bethany), dont la gemme de l’Esprit orne le front et avec qui elle entretient une relation. Mention spéciale à Okoye (Danai Gurira) qui soulignera même ses capacités en demandant pourquoi elle n’avait pas pris part à la bataille depuis le début. La seconde, permet d’explorer le passé qu’elle a en commun avec Thanos, son père adoptif. Membre à part entière des Gardiens de la Galaxie, Gamora (Zoe Saldana) révèle une facette de sa personnalité qui n’a plus rien à voir avec la femme antipathique des débuts. Vulnérable, elle s’inquiète pour le secret qu’elle porte sur ses seules épaules et dont Thanos souhaiterait s’emparer. Autant vous dire qu’avec ce personnage intervient un fort sentiment de compassion qui ne nous quittera plus. Entre tensions et humour D’entrée de jeu, le spectateur se retrouve propulsé dans un univers à la tension aussi palpable qu’inquiétante. Là où Thor : Ragnarok laissait le Dieu du Tonnerre et ses compères en proie à une menace imminente, Avengers : Infinity War scelle leur destin dès les premières minutes. Massacrés par l’Ordre Noir accompagnant Thanos, les Asgardiens croulent sur le sol, Thor (Chris Hemsworth) inclus. S’installe dès lors le climat global qui oscillera entre anxiété et instants dé légèreté. L’Ordre Noir aide notamment à ressentir cette sensation de chaos avec ses extraterrestres près à tout pour aider Thanos. Parce qu’un MARVEL sans humour ne serait plus un MARVEL, parlons d’un sujet plus léger. Bienvenue, il offre au spectateur la possibilité de se remettre de ses émotions. On regrette cependant que la quasi totalité des personnages au potentiel humoristique ait été mis dans le même panier. De ce fait, hormis Bruce Banner dont l’interprétation de Mark Ruffalo nous fait mourir de rire depuis deux films, les scènes sur terre manquent cruellement de cette touche permettant de désamorcer la tension. En parlant de Banner, son alter égo, Hulk, sera autant un apport humoristique qu’une compréhension de la faiblesse du Big Guy. Avengers : Infinity War et la Pop Culture Omniprésentes, les références à la Pop Culture interviennent aussi bien dans les choix esthétiques faits par les frères Russo que dans les dialogues. Impossible notamment d’ignorer les clins d’oeil à Harry Potter tant ils sont nombreux. Entre Tony Stark comparant ouvertement Ebony Maw à Voldemort, un échange rappelant curieusement celui entre Dumbledore et Harry dans Les Reliques de la Mort, ou, un personnage – dont nous tairons le nom – ressemblant étrangement à un détraqueur, il était invraisemblable de ne pas mentionner l’univers de J.K