Trois choses à savoir sur le White Album des Beatles

50 ans après sa sortie, les Beatles nous enchantent toujours avec leur White Album. Découvrez les trois choses à savoir sur le neuvième album d’un groupe intemporel. Loin d’être nées au moment de sa sorti il y a 50 ans, le White Album des Beatles est aujourd’hui l’un de nos disques favoris. Que faut-il retenir de ce neuvième album paru un 22 novembre 1968 ? On vous dit tout. L’album de la discorde Si le White Album est le troisième plus gros succès commercial des Beatles, sa conception n’a pas été des plus simple. Pas moins de trois studios ont été utilisés par le groupe. Comprenez par là que chacun avait en quelque sorte son espace pour composer en solo avant de demander le renfort des autres. L’année 68 marque donc le début des tensions. De la présence de Yoko Ono aux départs de Geoff Emerick – leur ingénieur du son – et George Martin – producteur – en passant par la remise en question de Ringo Starr, rien ne semble aider les Beatles. Pour la petite anecdote, à son retour en studio, le batteur retrouvera son instrument couvert de roses par les trois autres membres. La présence d’Eric Clapton aidera également à apaiser un peu l’électricité ambiante. Au final, malgré cette discorde, c’est pas moins de 30 morceaux qui verront le jour. Parmi eux : Back in the U.S.S.R, Happiness Is a Warm Gun, Mother Nature’s Son, While My Guitar Gently Weeps ou encore Helter Skelter.