TRENDZ fait briller le Café de la danse à Paris

Le 6 juin 2025, le Café de la Danse à Paris a vibré au rythme de la K-pop avec Trendz C’est dans une salle comble que les membres de Trendz ont offert aux fans une soirée mémorable, pleine d’énergie et de complicité, avec leur performance « Glowy ». Un groupe qui sait tout faire Lors de notre arrivée au Café de la Danse nous avons eu la chance de pouvoir accéder à la salle en même temps que les fans VIP. Au programme : photos, autographes et quelques petits mots échangés avec Trendz. Malgré une fatigue certaine, les membres du groupe se sont montrés bienveillants et souriants. Nous, cela nous fait chaud au coeur de les voir proche de leur public. À 20h30, Trendz investi la scène avec une performance dynamique et entraînante, mêlant chorégraphies impeccables et interactions sincères avec le public. Les titres phares tels que Vagabond ou Chameleon ont résonné dans la salle, captivant l’attention de tous et provoquant les hurlements des fans présents.  Les jeux de lumière et les visuels soignés ont renforcé l’ambiance immersive du concert. Fait surprenant, le groupe a dansé sur des chansons qui ne sont pas les leurs (mention spéciale à Like Jennie), prouvant cependant qu’ils sont des danseurs incroyables, ayant abattu un travail monstrueux pour en arriver là. Pour cela, on ne peut que leur dire Bravo ! Andréane Gatto Un groupe qui aime ses fans Au-delà de la musique, ce qui a marqué la soirée, c’est la proximité du groupe avec ses fans. Entre chaque chanson, les membres ont pris le temps de s’adresser au public, exprimant leur gratitude et leur joie d’être à Paris. Cette sincérité a renforcé le lien spécial entre Trendz et ses « Friendz », comme on les appelle. Mention spéciale à l’anniversaire de Havit sur scène, quel moment ! Le public avait appris la célèbre chanson d’anniversaire en coréen, et la chantait à tue-tête en brandissant des petites photos de leur artiste vedette. Le concert s’est conclu en beauté avec une ovation du public. Cette soirée restera gravée dans les mémoires comme un moment de partage et de célébration de la musique. Trendz, Café de La Danse | © Andréane Gatto Azrael Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Vundabar à la Maroquinerie : un retour très attendu, en demi-teinte

Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy

Le 20 mai 2025, La Maroquinera a accueilli Vundabar pour un concert en demi-teinte. Deux ans après une date parisienne annulée in extremis, après que le chanteur Brandon Hagen se soit fracturé le bras à Bordeaux le matin même, Vundabar était enfin de retour dans la capitale. Une Maroquinerie pleine à craquer, un public impatient, et une tournée européenne de presque deux mois pour défendre Surgery and Pleasure, leur dernier album sorti en mars. Autant dire quetout semblait réuni pour une soirée mémorable. Entre joie et déception Sur scène, le trio de Boston (Brandon Hagen au chant/guitare, Drew McDonald à la batterie/synthé, Zack Abramo à la basse) a déroulé un set dense, piochant aussi bien dans ses classiques que dans ses nouvelles compositions. On entre tout de suite dans le vif avec I Got Cracked, titre d’ouverture de leur dernier disque, avant de retrouver des morceaux plus anciens comme Acetone (Smell Smoke, 2017) ou Chop (Gawk, 2015), joués avec une précision mécanique. Visuellement, la scénographie était épurée – peu de panneaux ou effets visuels – mais les lumières soignées laissaient la part belle à l’interprétation. Le public, lui, était totalement investi : un spectateur proche de la scène s’est même mis à dessiner le chanteur en direct, pendant que d’autres scandaient les paroles par cœur, y compris celles moins connues. L’ambiance aurait pu basculer dans l’intime, mais malgré une communication chaleureuse au début (“I’m very happy to be back in Paris… with an arm again!”), le groupe a gardé une certaine distance. Quelques moments ont pourtant marqué : un chapeau de cowboy sur la tête du chanteur, un « Save a horse, ride a cowboy! » hurlé par quelqu’un dans la foule, provoquant une hilarité générale. Plus tard, lors de Alien Blues – leur tube viral devenu culte sur TikTok – la salle a vibré à l’unisson. À la fin du morceau, Hagen trinque avec le public d’un “santé” à l’accent charmant, bière à la main. Brandon Hagen, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Une personne dessinant dans un carnet pendant le concert de Vundabar Brandon Hagen, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Mais ces rares instants d’interaction contrastent avec le reste du set. Le groupe enchaîne les morceaux – Spades, Beta Fish, Oulala, I Need You… – sans accorder beaucoup de place à l’échange. Entre certains titres, de longues pauses s’installent, presque gênantes, jusqu’à ce que la foule relance l’élan par des acclamations insistantes. Et lorsque le concert prend fin… il prend fin. Pas de rappel, pas de mot d’au revoir, et aucun membre du groupe – pourtant très attendu – ne s’est présenté au stand de merch, laissant une partie du public visiblement déçue. Vundabar livre ce soir-là un concert solide sur le plan sonore, avec une exécution maîtrisée et une setlist généreuse. Mais en dépit de quelques éclairs de complicité, on reste sur une impression étrange : celle d’un moment qui aurait pu – et dû – aller plus loin. À force de retenue, le groupe est passé à côté de la chaleur qu’un public aussi enthousiaste était prêt à lui offrir. Heureusement, le public fidèle n’oubliera pas certains regards, certaines lumières, une certaine complicité des membres de Vundabar échangée avec la foule à demi-mots. Et la Maroquinerie, fidèle à elle-même, reste un écrin unique pour les concerts parfois imparfaits, mais toujours vrais. Brandon Hagen, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Drew McDonald, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Zack Abramo, Vundabar, La Maroquinerie | © C. Mabille-Lamy Et vous, étiez-vous au concert de Vundabar à La Maroquinerie ? CHARLIE Invitée : Rédactrice – Photographe MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Partez à la rencontre de Trendz (kpop)

Trendz, le nouveau groupe de Kpop en vogue, a répondu à nos questions. Ils sont 7. Ils sont talentueux. Et ils sont plus motivés que jamais en entamant leur nouvelle tournée européenne. Les Insouciantes ont eu la chance de pouvoir poser quelques questions à Trendz. Bienvenue à Paris ! C’est votre première fois au Café de la Danse. Que ressentez-vous en revenant en France après votre concert à l’Alhambra ? HANKOOK : Tout d’abord, nous étions très excités d’apprendre que nous allions jouer à nouveau en France. J’ai été vraiment impressionné par la passion des fans lors de notre dernier concert, et la nourriture à Paris était absolument délicieuse. Tous mes souvenirs ici sont si positifs que je suis déterminé à offrir une autre performance incroyable et à créer encore plus de souvenirs inoubliables cette fois-ci. EUNIL : Je suis vraiment touché et ravi de revenir dans une ville aussi pittoresque que Paris. C’est aussi très significatif pour moi de pouvoir retrouver nos fans ici et de partager à nouveau une belle énergie avec eux. Que ressentez-vous par rapport à votre tournée européenne actuelle ? ra.L : Avec notre retour et la sortie de notre nouvel album Chameleon, je suis convaincu que les fans vont découvrir un côté plus coloré et unique de TRENDZ pendant cette tournée. Nous préparons aussi des performances spéciales en sous-unités, alors soyez au rendez-vous ! On dit souvent que le public français est très expressif. Avez-vous une anecdote ou un souvenir marquant à propos de vos fans en France, ou ailleurs en Europe ? Qu’aimez-vous chez les Français ? YECHAN : Chaque fois que nous jouons en Europe, les fans chantent toujours la même chanson avant même que nous montions sur scène. L’entendre nous aide vraiment à nous concentrer et à entrer dans le bon état d’esprit pour le show. J’ai hâte de l’entendre à nouveau cette fois. LEON : Les fans dans chaque pays européen où nous sommes passés, y compris la France, nous ont toujours montré un soutien intense et enthousiaste. Cela nous pousse à donner encore plus sur scène. J’ai trouvé les fans français particulièrement chaleureux et accueillants. Moi qui suis habituellement timide, je me suis senti très à l’aise grâce à eux. YOONWOO : Je me souviens d’avoir vu des familles entières assister à notre concert ensemble — c’était un moment très touchant et précieux. Aussi, beaucoup de fans étaient émus aux larmes pendant nos performances, et cela nous a donné encore plus de motivation pour transmettre des émotions profondes sur scène. À la fin de votre prochain concert à Paris, que souhaitez-vous que le public français retienne et ressente ? HAVIT : J’espère qu’ils se souviendront de l’amour et de la gratitude que nous avons voulu exprimer, de la passion que nous avons montrée sur scène, et de l’énergie enflammée que nous avons partagée avec le public. J’espère que ces émotions resteront avec eux longtemps. HANKOOK : Je veux que le public ressente l’énergie et la passion de TRENDZ et qu’il se souvienne de cette expérience comme d’un rêve. Nous allons vous montrer à quel point nous avons évolué depuis la dernière fois — alors, attendez-vous à quelque chose de grand ! Votre musique a une identité très marquée, avec de fortes influences hip-hop, électro et parfois rock. Si vous deviez décrire l’ADN de TRENDZ en trois mots aujourd’hui, lesquels choisiriez-vous ? ra.L : Caméléon, Noir, Attention. Comme un caméléon change de couleur, TRENDZ peut s’adapter à n’importe quel concept. Le noir, qui résulte de la combinaison de toutes les couleurs, représente la force de notre unité. Et nos performances captent toujours l’attention ! YECHAN : Polyvalence, Diversité, Sans-limite ! Nous savons explorer de nombreux styles, et je crois que TRENDZ n’a aucune limite. À Havit, Leon et Hankook : vous avez tous participé à « Mix Nine » avant vos débuts officiels. En quoi cette expérience a-t-elle influencé votre parcours dans TRENDZ ? HAVIT : Cette expérience m’a aidé à mûrir et à devenir plus fort. J’étais jeune et inexpérimenté, mais ce programme m’a donné une grande motivation et a changé ma façon de penser — je pense que c’est ce qui a mené à mes débuts. LEON : C’était un moment décisif pour moi. La compétition était intense, donc j’ai tout donné. Cette lutte a été essentielle à mon développement. HANKOOK : Cela m’a appris à survivre en tant qu’idole, et m’a fait réaliser à quel point le monde est vaste. Même si je n’ai pas atteint la fin du programme, je n’ai jamais abandonné. J’ai continué à avancer — et maintenant, je fais partie de TRENDZ. Quels sont les messages ou valeurs que vous souhaitez transmettre à travers votre groupe et votre musique ? YOONWOO : J’espère que notre musique et nos performances peuvent apporter du bonheur ou du réconfort, même un tout petit peu. Je crois que TRENDZ peut avoir une influence positive. EUNIL : Je veux transmettre de la confiance et de la joie. Si notre musique peut offrir ne serait-ce qu’un moment de force ou de bonheur au quotidien, et que cela devient une source de confiance, alors c’est le message que je veux faire passer. En tant qu’ambassadeurs de l’environnement en 2023, quelles actions ou initiatives sont importantes pour vous dans ce domaine ? HAVIT : Ce n’est pas seulement à cause de notre rôle d’ambassadeur — j’essaie de vivre avec une vraie conscience écologique. J’utilise une gourde, une boîte à lunch réutilisable, je fais attention au tri des déchets… Ces petits gestes comptent ! Quel est votre talent caché, que les fans ne voient pas sur scène ? HAVIT : Je peux faire des mouvements de type “bone-breaking” où mon bras tourne à 360°, et je joue un peu de piano et de guitare. Je lis vite, et je cuisine aussi bien selon des régimes sportifs. LEON : J’adorais le foot enfant et j’ai même joué en équipe scolaire. J’aimerais bien un jour montrer mes talents sur le terrain ! YOONWOO : Je suis bon pour donner des conseils. J’aide souvent les autres membres à gérer leurs soucis avec réconfort et

Découvrez la programmation de la nouvelle édition de Séries Mania !

Du 21 au 28 mars 2025, Séries Mania sera de retour à Lille ! Que vous réserve cette édition? Le 13 février, dans la salle de projection du CNC, a été dévoilé ce qui nous attend pour cette édition très excitante de Séries Mania. Portée par des thèmes comme la famille ou la géopolitique actuelle, cette édition se voudra assez féminine, autant dans la programmation que dans les invités. Allez, trêve de suspens, place à la programmation ! Les jurys Cette année, les présidents des 3 jurys (Compétition, Panorama et Formats Courts) seront des présidentes. Le festival réaffirme cette année son envie de mettre en avant les femmes du cinéma. Le jury Compétition sera présidé par Pamela Adlon. Elle sera accompagnée de Minkie Spiro, Karine Viard, Ignacio Serrichio et Victor Le Masne. Le jury Panorama sera présidé par l’écrivaine Lola Lafon et composé de Marie Colomb, Kate Harwood, Casey Baron et Karlis Arnolds Avots. Quant au jury Formats courts, il sera présidé par l’actrice et chanteuse Camélia Jordana. Elle retrouvera à ses côtés Lisa Amjorn (réalisatrice de Young Royals), Julien Gaspard Oliveri (réalisateur de Ceux qui rougissent) et de Aaron Altaras. Pamela Adlon, Lola Lafon, Karine Viard et Camelia Jordana Les conférences Comme tous les ans, Séries Mania vous permettra d’assister à diverses conférences autour de thèmes actuels. On retient notamment un hommage à David Lynch via un échange autour de la série Twin Peaks animé par Olivier Joyard.  Les séries sur le Ramadan seront également mises à l’honneur par Mohamed Bouhafsi avec Sofiane Zermani, Zahra Arkat et Yahia Bouzahem. Une conférence qui abordera le sujet des séries fédératrices que regardent ensemble les familles musulmanes lors de la fin de jeûne chaque jour du Ramadan. Thomas Jolly et d’autres invités parleront quant à eux de la scénarisation des cérémonies des JO. Une conférence qui s’explique par le fait que l’art du récit pour ces dernières soit similaire à celui d’une série. Enfin, Séries Mania abordera le sujet des présidents de la République en héros de séries. Pour cela, qui de mieux que François Hollande, ancien occupant du poste pour en parler ? Pour nous, il s’agit d’un invité des plus étonnant ! Cette année, il faut savoir qu’avec 48 séries venues de 19 pays différents, Séries Mania rayonne à l’international et affirme sa place de festival de référence sur les séries en Europe et dans le monde. © PHOTO AFP La compétition internationale Dans la compétition internationale, le jury remettra les prix de la Meilleure série, du Meilleur scénario, de la Meilleure actrice et du Meilleur acteur. Dans l’ordre alphabétique, “pour ne pas faire de jaloux”, comme a plaisanté Laurence Herszberg, ancienne directrice générale du Forum des Images et directrice générale du Festival, vous pourrez découvrir Empathie, série venue tout droit du Canada. On retrouvera aussi Générations, une série danoise sur la découverte d’un infanticide. Est aussi sélectionnée Kaboul, un récit sur la prise de Kaboul en 2021. Quant à nous, on a hâte de découvrir la nouvelle série de Cooper Raiff, Hal and Harper, sur un duo de frère et sœur. Long Bright River reste d’ailleurs dans le thème de la fratrie avec une enquête sur une soeur toxicomane disparue. Il sera aussi question de géopolitique. Notamment via Mussolini : Son of the Century, une biographie choc du dictateur italien. Avec Querer, on découvrira les conséquences intra-familiales de la révélation des viols conjugaux subit par la mère de famille. On a aussi hâte de pouvoir se plonger dans la série franco-suisse à suspens, The Deal, sur les négociations à propos du programme nucléaire iranien. Enfin, sera proposé un thriller politique sur un ancien déporté qui traque un criminel de guerre nazi resté impuni : The German. La compétition française Bien sûr, comme tous les ans, Séries Mania fera la part belle aux séries françaises. Et on a déjà hâte de découvrir toutes ces séries. À commencer par 37 secondes, la vérité sur le naufrage d’un bateau breton, avec Nina Meurisse. Anaon, un thriller rural et surnaturel, et Clean, revanche sociale d’une bande de femmes de ménages. On est aussi intriguées par La famille rose, qui raconte la transmission du cannibalisme dans cette famille. Enfin, on retrouvera Intraçables (Log-out), un thriller sur la cybercriminalité et Le sens des choses, une comédie sur une rabine en devenir. Panorama international et formats courts Enfin, la compétition Panorama international, où le jury remettra les prix de la Meilleure série, de la Meilleure réalisation, et de la Meilleure actrice et du Meilleur acteur. On retrouve la géopolitique avec A life’s worth, sur la guerre de Bosnie. At the end of the night, une série où l’on suit un couple qui divorce. Celeste, série comique sur une inspectrice des impôts qui veut faire tomber la plus grande star du pays. On a très hâte de découvrir Family Matters, dans laquelle une famille ouvre une clinique vétérinaire qui cache probablement un autre business et Putain, sur la hargne d’un lycéen contre ce “putain de monde”. Raul Seixas : Let me sing, un biopic sur un chanteur brésilien et Requiem for Selina, sur la 1ʳᵉ blogueuse norvégienne. On est curieuses de découvrir Réunion, un thriller de vengeance d’un homme sourd. The Danish Woman, l’épopée d’une femme danoise qui débarque en Islande et enfin What it feels like for a girl sur parcours d’une personne dans l’exploration et la découverte de son identité et son orientation sexuelle, que nous avons hâte de voir aussi. Côté formats courts, on retrouvera les séries Au fond du trou, sur les gens qui se rencontrent dans un mini golf, Chef d’orchestre, El’Sardines, Friendcast de Lou Howard, Moonbird, One of us is trembling avec Alex Høgh Andersen (Vikings), T-rex de Gabriel Savignac (Nichole) et Wingspan de l’artiste multidisciplinaire Pedro Harres. « Requiem For Selina » Autres surprises Cette année, vous pourrez revoir des séries cultes des années 90, dont la culte Charmed. Aura aussi lieu une avant-première des 3 premiers épisodes, pour la première fois, d’une série animé, Astérix et Obélix : Le Combat des chefs, en présence d’Alain Chabat. En clôture, vous pourrez découvrir en avant-première la saison 5 de la série qui cartonne en France, en cours d’adaptation dans plusieurs pays, HPI. Et en ouverture, une série qui sort le 30 avril, sur un chef gastronomique sous le règne de Napoléon, Carême. Alors, l’édition 2025 de Séries Mania vous donne-t-elle envie ?

Nuit Incolore enchante le Théâtre Sébastopol

Nuit Incolore est passé par le Théâtre Sébastopol de Lille mercredi 9 octobre 2024 ! Retour sur cette soirée suspendue hors du temps. La veille de la journée mondiale de la santé mentale, Nuit Incolore a présenté La Loi du Papillon Tour au Théâtre Sébastopol de Lille. Un passage différent de sa précédente venue dans le Nord avec une nouvelle setlist. Nuit Électrique Théo, alias Nuit Incolore se présente à nous seul en scène. Prétextant un retard de ses compères, il se met derrière son clavier histoire « d’occuper le temps » en attendant leur arrivée. Devenant l’espace d’une « première partie », Nuit Électrique, le chanteur en profite pour raconter des morceaux de sa vie tout en jouant des extraits de quelques uns de ses titres. De nouveaux titres en live Découvert grâce à son feat avec Kyo sur Je cours – oui on a loupé le coche du confinement -, on avait hâte de voir Nuit Incolore sur scène. Entre textes parlant de santé mentale à sa sensibilité, tout nous donnait envie d’assister à l’un de ses concerts. De sa direction artistique à ses tenues en passant par sa présence scénique, Théo a su nous captiver toute la soirée.  Alors que la réédition de son premier album, La Loi du Papillon, La Note Noire sortira le 15 novembre prochain, Nuit Incolore a retravaillé sa setlist afin d’interpréter de nouveaux titres. À commencer par son excellent dernier single, On S’écrira où le public s’est parfaitement prêté au jeu des choeurs. On aurait presque voulu que Loïc Nottet fasse une apparition sur scène. Nul doute que les surprises, Nuit Incolore les réservent pour son Olympia le 29 novembre prochain. Parmi les nouveaux titres joués compte également Adieu et Je me déteste. Alors qu’on papillonne dans son univers, on apprécie le mélange des genres qui n’enferment pas le chanteur dans une seule case. Puisant leurs inspirations à la fois dans la pop, le rock, les musiques électroniques ou encore les animés, les compositions de Nuit Incolore trouvent le parfait équilibre pour nous plaire. Et en live, elles prennent une autre dimension. Proximité avec son public Bien sûr, Nuit Incolore n’est pas venu à Lille uniquement pour nous présenter ses nouveaux titres. La setlist comptait plusieurs autres featuring dont Paradoxe ou encore Rendez-Vous. Afin de palier à l’absence de Mentissa sur l’un et Benoît Poher (Kyo) sur l’autre, leurs voix résonnent en fond. Jusqu’à ce que la guitariste, Isia Marie, prennent le relai concernant Paradoxe.  Pendant le concert, on rit – car le chanteur ne manque pas d’humour-, chante, danse et ressent de fortes émotions. D’ailleurs, l’immense affection dont fait preuve le public lillois à son égard ne laisse pas Théo en reste. Exprimant ses émotions, on le sent à plusieurs reprises au bord des larmes. Sur scène, on sent la prise de conscience de son succès, ses peurs, ses doutes mais aussi sa joie d’être là ce soir. En somme, Nuit Incolore est un artiste humble méritant amplement sa place dans l’industrie musicale française. Alors qu’il exprime sa peur à jouer dans un théâtre en raison des conditions assises, le Sébastopol lui a montré qu’il n’avait aucune crainte à avoir. Debout, le public chante et danse au fil des titres. Notamment à plein poumons durant Dépassé. Les fans se montrent aussi généreux en cadeaux. Il n’est donc pas étonnant de voir le chanteur se faufiler dans l’allée principale pour chanter au plus près de ses fans. Un moment dont se souviendront bon nombre d’entre eux. Et vous, comptez-vous entrer dans La Loi du Papillon Tour de Nuit Incolore ? RAINE Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Styleto à L’Olympia ! 

Styleto à L'Olympia

Une salle comble pour le premier Olympia de Styleto ! Après une tournée de 26 dates dans plusieurs salles et festivals francophones, c’est dans une salle très mythique que Styleto a décidé de clôturer le premier chapitre de sa carrière de chanteuse : L’Olympia ! Une safe-place de 4 800 personnes ! Samedi 19 octobre 2024, c’est les yeux plein de larmes que Styleto – de son vrai nom Laure – est montée sur scène pour la dernière date de sa première tournée : Le Mini Tour. Une tournée au caractère exceptionnel puisqu’elle a été remplie alors que cette jeune artiste française n’a pas encore sorti d’album. À L’Olympia, comme pour ses précédents concerts, le public était au rendez-vous et… en folie ! D’ailleurs, si vous avez lu notre précédent live report sur Styleto lors de son concert à La Cigale en mai dernier, vous ne serez pas surpris de l’ambiance qu’il y avait à L’Olympia !  Durant 1h30, 4 800 personnes étaient réunies dans cette safe-place géante. Le public a ri, pleuré, chanté, dansé, et nous aussi ! Accompagnée de ses amis et musiciens, Styleto a fait chavirer le coeur de L’Olympia par son énergie solaire et débordante. Sa proximité avec son public – aussi bien sur scène, que via ses réseaux sociaux depuis ses débuts sur Youtube, il y a 10 ans – nous a donné l’impression qu’on retrouvait une copine sur scène !  Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Pour cette dernière date, et tout au long de cette tournée, ses fans ont pu (re)découvrir ses plus grandes reprises et ses premiers singles. Styleto, qui aime faire des surprises à son public, nous a fait découvrir quelques morceaux inédits de son prochain album, notamment une chanson écrite par son chanteur français préféré, Ben Mazué, ou encore La Fille Lacrymale. Cependant, les surprises ne s’arrêtent pas là ! La chanteuse a invité son amie Adèle Castillon à partager un moment unique sur scène. Ensemble, elles ont repris le titre d’Adèle Castillon aux millions d’écoutes : Amour Plastique. Un instant hors du temps rempli de bonnes ondes, qui a fait vibrer et chanter tout l’Olympia ! Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Que faut-il retenir de Styleto et de son incroyable parcours ? Tout d’abord, Laure a commencé en tant que créatrice de contenus sur Youtube et Instagram il y a 10 ans. Ce n’est seulement qu’en 2016 qu’elle décide de poster des covers sur ses différentes plateformes. Quelques années plus tard, en, 2022, elle sort son premier EP de reprises intitulé Carrousel. Cet album révéla au grand jour le talent et la voix singulière de la jeune femme. Il lui a également permis de savoir si elle envisageait (ou non) un avenir dans la musique. La suite, on la connait. Styleto fait aujourd’hui partie des artistes émergentes françaises à suivre.  Mais ce n’est pas tout ! Cette tournée quasi sold-out a permis de donner un avant goût à ses fans de son futur album qui sortira en 2025. Un nouveau projet très attendu par son public, et plein d’émotions. Dans celui-ci, nous pourrons retrouver toutes les influences musicales de Styleto. Des ballades pleines de vérité, en passant par des chansons plus rythmées au texte engagé, chaque personne pourra se retrouver dans cet album. Voilà à quoi s’attendre ! Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Styleto à L’Olympia I ©ByKahina Malgré le fait que sa première tournée ce soit terminée il y a quelques semaines, ce n’est pas la dernière fois que l’on verra Styleto sur scène ! En effet, elle a déjà été annoncée à la programmation du Printemps de Bourges 2025, soit l’un des plus grands festivals de musique français ! Alors, restez connecté.e.s, et n’hésitez pas à aller découvrir cette artiste au grand cœur dont on entendra parler en 2025. Et vous, avez-vous hâte de découvrir le premier album de Styleto ? BYKAHINA Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin

Linkin Park : un retour sur scène haut en émotions

Dimanche 3 novembre 2024 signait le grand retour de Linkin Park sur la scène française, à La Défense Arena de Nanterre. Retour sur cette soirée remplie de nostalgie et joie de vivre. Depuis le décès tragique du chanteur (et leader) de Linkin Park, Chester Bennington en 2017, le groupe a fait une longue pause dans leur carrière. Ici, tout le monde pensait que le groupe ne reviendrait plus sur scène même si Mike Shinoda (rappeur du groupe) faisait encore des apparitions en solo ou lors de concerts d’autres artistes comme Sum 41  afin de rendre hommage à son grand ami disparu. Mais quelle fut la surprise des fans de voir leur groupe préféré faire un retour sur scène avec cette fois-ci une nouvelle chanteuse : Emily Armstrong ?Son arrivée annonce le retour de Linkin Park en studio mais aussi sur scène. Depuis, tout s’est enchainé très vite et … nous voici en concert à Nanterre le 3 novembre 2024, deux nouveaux singles sortis et un nouvel album en route. Retour sur cette soirée d’exception !  Sleep Token : la première partie qui fait plaisir Après avoir franchi les bancs et vagues de personnes, nous arrivons enfin à l’intérieur de la salle qui bout d’impatience. Il faut dire que c’est nul autre que l’un des grands groupes en devenir, Sleep Token qui ouvre le concert. Formés en 2016, les membres de ce groupe britannique de métal sont constamment masqués afin de garder leur anonymat. Et cela ne fera que renforcer leur incroyable prestance scénique. Tout y est : jeux de lumières, présence sur scène, prestation vocales, instrumentation,… Un bonheur pour les yeux et les oreilles ! Imaginez vous. Fermez les yeux et plongez dans l’atmosphère de Sleep Token bercés par la voix du chanteur qui se fait appeler « Vessel« . Des instruments doux mais violents. Une voix calme et puissante avec quelques screams. Sur scène, la présence de choristes renforce davantage l’intensité du show. De la puissance musicale et vocale à en faire vibrer notre âme. Vraiment, ne passez plus à côté de cette merveille musicale qu’est Sleep Token en concert ! Un concert haut en émotions Après cette ouverture de show qui a fait plaisir à plus d’un, l’heure fatidique arrive. Lorsque Linkin Park arrive sur scène, on sent combien le groupe a marqué les générations. Sur scène, ils sont heureux. Ça se voit et ça se ressent ! Évidemment, la joie est partagée. L’ouverture du concert nous met clairement des frissons avec la foule qui est déjà en ébullition. La voix de Chester résonne également avec des éléments de Castle of Glass pendant l’introduction. Durant tout le concert on aura vu le groupe et le public en cohésion. Un fait qui nous fait chaud au coeur lorsque l’on pense à la tragédie qui a pu les toucher. D’ailleurs, le public a fait largement entendre sa voix afin de remplacer celle de Chester sur les parties des anciens morceaux qui lui appartenaient. Le temps est alors suspendu. Si vous voulez notre avis, c’est le plus des hommages. À La Défense Arena, les gens applaudissent et se réjouissent du concert. Un changement considérable par rapport à leur passage au Download Festival. Si comme nous vous avez assisté à ce concert en 2017, vous avez peut-être vécu l’un des derniers en présence de Chester. Un concert marquant du fait d’un mauvais accueil du public qui n’avait pas hésité à huer le groupe sur scène. Apparemment, les gens ont changé de discours suite au décès du leader de Linkin Park. Hypocrisie ou prise de conscience ? Ici le public était bien différent de celui de ce fameux festival (qui n’existe plus en France). Une nouvelle ère Avec l’arrivée d’Emily Armstrong, Linkin Park signe une nouvelle ère et le public sait aussi en être reconnaissants. Même si cela a clairement été la guerre pour obtenir des places pour ce concert de la tournée From Zéro World Tour. Depuis les gradins nous pouvions déjà observer au moins trois catégories différentes en fosse. Cependant, tout le monde semblait ravis d’être ici.  Mike Shinoda a gardé un sourire aux lèvres la plupart du temps, partageant une belle complicité avec Emily sur scène. Cette dernière reste tout de même par moments sur la réserve, laissant le public chanter et rendre hommage. Ainsi, la chanteuse a su garder un équilibre de présence sur scène tout en ayant à l’esprit que le public avait besoin de rendre faire ses adieux avant de tourner la page. Car même si Linkin Park restera a jamais marqué par cette tragédie et perte immense, leur évolution et joie sur scène reste à souligner. Leur setlist a su mettre en valeur les titres phares du groupe tels que Crawling, Burn It Down ou encore One Step Closer. Elle était d’ailleurs divisée en quatre actes différents, laissant le groupe nous interpréter 28 titres. Un retour sur scène marqué par la reconnaissance et l’hommage. Le temps était en lévitation durant des morceaux piano / voix uniquement comme pour Lost qui marquera l’acte III de la setlist avant de se faire rattraper par Breaking the Habit et What I’ve Done.  L’acte IV lui est quant à lui vraiment marqué par les morceaux les plus forts à vivre en concert de Linkin Park (selon nous) : Numb et In the End. Soit les grands classiques indémodables du groupe. Le rappel marque la cohésion entre les anciens et nouveaux morceaux. Dont le single Heavy is the Crown, interprété la veille à Londres pour la sortie du jeu League of Legends. Le concert s’est terminé en beauté avec Bleed It Out (Minutes to Midnight, 2007). Album qui aura marqué une génération entière avec des titres comme What I’ve Done, Shadow of the Day, ou encore Given Up. Un nouvel album très bientôt … N’oublions pas qu’en plus de leur tournée, Linkin Park sont retournés en studio. En plus des deux nouveaux singles (Over Each Other et Heavy is the Crown) ils nous reservent de nombreux autres titres. Leur nouvel album From Zero sort le 15 novembre prochain ! Et vous, qu’attendez vous pour voir (ou revoir) Linkin

Dire Straits Experience au Zénith de Lille

Les amateurs de riffs de guitares se sont retrouvés au Zénith de Lille le 9 novembre pour The Dire Straits Experience. Un groupe hommage formé par le saxophoniste Chris White. Samedi 9 novembre 2024, The Dire Straits Experience s’est produit au Zénith de Lille dans le cadre de leur tournée Shiver in the dark. Retour sur une soirée sous le signe des riffs de guitares. Gaëlle Buswel Avec déjà quatre albums au compteur, l’artiste Gaëlle Buswell a été choisie pour ouvrir les dates françaises de The Dire Straits Experience. Un choix judicieux puisqu’elle propose un set d’une petite demie-heure seule en scène avec sa guitare. De quoi attirer l’attention entièrement sur sa performance. Tout au long de son set, la chanteuse interprètera des titres telles que Lya (issu de son album Black To Blue) ou encore Jealousy. Pour clore son passage, Gaëlle interprète Save My Soul avec en guise d’accompagnement son pied et ses mains pour battre le rythme. De quoi nous rappeler les premieres heures du blues ou aucun instrument n’était nécessaire pour vous prendre aux tripes. Car c’est ce qu’elle a réussi à faire ce soir. D’ailleurs, le public n’a pas hésité à donner de la voix, reprenant le refrain à chaque signe de la chanteuse. Nul doute que ce soir, Gaëlle Buswel est repartie de Lille avec de nouveaux fans à son compteur. Si vous ne la connaissez pas encore, la chanteuse a déjà eu l’occasion d’ouvrir des concerts pour Ringo Starr (The Beattles) et ZZ Top. Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie Gaëlle Buswell, Zenith de Lille | ©RainePhotographie The Dire Straits Experience : la musique au premier plan Au premier abord, The Dire Straits Experience donne l’impression d’assister à un buff entre musiciens. Si vous êtes venus dans l’espérance d’entendre note pour note les versions albums des titres phares de Dire Straits, ce concert n’est pas fait pour vous. Ici, la musique est au premier plan. Si l’on retrouve les riffs intemporels du groupe, les 7 musiciens s’autorisent quelques écarts afin de faire durer les morceaux. Ce qui permet également de les faire vivre d’une nouvelle manière tout en respectant les codes Dire Straits. Bien sûr, tout comme les fans présents ce soir, nous sommes ravis d’avoir pu entendre en live Walk of Life, Romeo & Juliet, Brothers In Arms ou encore Sultans of Swings et l’incontournable Money For Nothing. Des titres attendus au Zénith de Lille au vue de la réaction du public. D’ailleurs, parmi les spectateurs certains ont fait le voyage depuis l’étranger puisque devant la salle et derrière nous dans le public, de l’anglais résonnait dans nos oreilles. Comme quoi, même s’il s’agit d’un Tribute Band, The Dire Straits Experience fait se déplacer les foules. À noter que The Dire Straits Experience n’est pas n’importe quel tribute band puisque le saxophoniste Chris White été l’un des membres de Dire Straits entre 1985 et 1992. De quoi réjouir les fans qui ont pu le voir passer du saxophone à différents cuivres durant le concert. L’occasion également de découvrir sur scène le chanteur et guitariste Terence Reis dont la performance nous a subjugué. Car si Mark Knopfler a laissé une marque indélébile de sa voix et ses guitares, Terence n’a rien à lui envier. Terence Reis, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Terence Reis, Richard Barrett et Yoyo Buys, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Chris White, DSE, ZénIth de Lille | ©RainePhotographie Un public en demi teinte En termes d’ambiance, le Zénith de Lille n’était pas paré de son ambiance des grands soirs. De ci de là, quelques personnes se levaient et dansaient, mais globalement, c’est un public lillois particulièrement sage et venu se détendre en musique qui était présent ce soir. Il aura fallu attendre Sultans of Swings pour que certains décident de quitter leurs sièges et se rendent devant la scène afin de se déchaîner. Soit 2 titres avant la fin du concert.  Qu’on se le dise, si aujourd’hui les jeunes sont largement critiqués pour leur utilisation massive des téléphones lors de concerts, on peut vous assurer que ce soir, alors qu’ils ne faisaient pas partis de l’audience, de nombreux écrans étaient visibles depuis le public. Comme quoi, il ne s’agit pas d’une affaire de génération ! Richard Barrett, DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie DSE, Zénith de Lille | ©RainePhotographie Chris White et John Maul, DSE, ZénIth de Lille | ©RainePhotographie Et vous, avez-vous assisté à un concert de The Dire Straits Experience ? Raine Co-fondatrice | Photographe | Rédactrice MES ARTICLES SAEVIN Co-fondateur | Photographe | Rédacteur MES ARTICLES SUGGESTION D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME Email Subscribe You have been successfully Subscribed! Ops! Something went wrong, please try again. Facebook Twitter Instagram Tiktok Spotify Linkedin